"La différence entre toi et moi, c’est que moi j’ai la classe !" ✂ Surnom : Aza' ou Rhododendron lorsqu'on a le courage. (Ou sinon "Agent Coligny" pour les intimes.) (Ou "tepu raciste" aussi.) ✂ Age : 25ans et toutes ses dents. ✂ Profession : Professeur de Grammaire et Conjugaison pour le Français. ✂ Ancienneté : Elle est à Aisling depuis 1an mais a été à l'Aurore pendant 1an. ✂ Situation amoureuse : Célibataire et assez romantique je dois bien l'avouer. (à force de lire des romans à l'eau de rose aussi...) ✂ Ancienne classe : Je sais pas du tout. On dira SPE ou PHY mais elle a un peu de ELEM aussi, en tout cas elle n'a pas l'air très PSY. (BREF FEELING) "À quoi ça sert de sauver la vie quand on voit ce que vous en faites ?" « B'jour moi c'est Azalée... Hum... J'ai un. Un peu de mal avec votre langue. J'suis française de base aussi... C'pour ça qu'jdis pas toujours bien les mots, ahem... Et pas toujours les bons. Mais j'me débrouille. Et pis vu que j'suis là pour enseigner l'Français.... -J'mange un peu mes mots, Sorry.- Donc. Vu que j'suis là pour enseigner le Français j'dois surtout connaître ma langue... Langue... How do you say « Maternelle » in English ..? Hm... Maternelle. » La jeune demoiselle aux cheveux de blés qui vient vous aborder maladroitement avec un accent peu agréable à l'oreille mais tout de même mignon, celle qui dit « Ze » au lieu de « The », celle qui mâche ses mots car elle n'est pas sûre de pouvoir tous bien les dire, celle qui a refusé d'avoir un filtre de langue pour des raisons farfelues... La jeune femme, toujours un peu gauche, toujours un peu trop Française, râleuse, pétillante, puérile par moments, c'est bien votre prof de Français. Vous l'aimez, oui, elle est gentille, amusante bien qu'il est dur de la comprendre tant elle n'arrive pas à rythmer ses phrases correctement, mais elle est tout de même bien spéciale cette fille. Bah oui, toujours à balayer la pièce du regard, à dévisager les jolies demoiselles lorsqu'elle se calme ou à gesticuler partout dans la pièce en faisant des prompts gestes comme pour mimer son cours... Cela aurait été agréable à voir si elle avait été professeur d'Histoire, mais pour une femme ayant à expliquer la grammaire Française, cela est quelque peu insolite. Mais, vous allez me dire, c'est pas plus mal, au moins il y en a une qui ne s'endort pas sur les constructions grammaticales de Balzac. « Madame ! -Oui ..? -C'est quoi 3centimètres ? Dit le garçon en pointant la mesure écrite sur le tableau. La Française glousse: -Ton zizi ! -.... -.... Raclement de gorge. C'est la marge à laisser pour la rédaction... » Parce qu'elle a un humour quelque peu « gras ». Oui, cette femme a beau être très stéréotypée, elle reste néanmoins humaine et garde ses défauts. Oubliez ces belles images des parisiennes bien habillées et toujours élégantes dans leurs jeans slims taillés 32 -et bien sûr magnifiquement bien portés-, Azalée elle taille un 36 normal et n'aime pas les slims parce que elle complexe sur ses genoux. Azalée a un humour d'homme, un rire très -trop- aigus, Azalée elle parle de Bites elle parle de Zboubs (parce que l'influence des weshs est une tare) et n'a pas honte de faire ses sales blagues à ses élèves. Ne lui parlez pas de perches et encore moins de taches blanches ou de moules, la discussion pourrait déraper -enfin si vous voulez perdre une heure de cours à parler de cul au lieu de Français, alors là, vous avez la bonne méthode-. « … *Soupire* Non Lajos … Anus n'est pas l'équivalent de « a nurse » en Français.... » Mais, en dehors de ses cours farfelus, de ses quelques problèmes psychologiques et de son humour inexistant, Azalée reste assez normale, ou en tout cas, « fille ». En effet, n'entrez pas dans un magasin d'habits avec elle au risque d'y rester des heures, mais surtout, ne lui montrez pas des choses telles que ça ou bien cela, car elle voudra tous les acheter. Petite femme au portefeuille facilement vidé, elle fait le bonheur des marchands et le malheur de son banquier. De plus, certains de ses goûts restent étranges, trouvant mignon certains accessoires très peu attirants (non parce que vous voyez les sortes de « anti stess » en forme de seins ..? Elle en a déjà trois dont un vert, l'autre violet.) et elle serait capable d'acheter quelque chose qu'elle n'aime pas simplement pour ne pas sortir d'un magasin les mains vides. « Donc... Erhm... J'disais que Lajos il n'-.... » Petit arrêt, elle se fige, pose son regard sur sa collègue par la suite et se baisse, se met à parler Français: « Estelle ! Tu l'as vu lui là bas ? Il est louche, avec ses lunettes. Putain on doit se casser. VITE. Ils vont m'attraper ! Donne moi la main, je vais trouver une issue, sinon on passera par les égouts ! » Elle pose sa main sur sa hanche, un juron passe, un air contrarié et déclare en serrant les dents: « Merde j'ai pas mon flingue... » « … Enfin, mon pistolet à billes. Bon viens ! » Bah oui. Elle serait trop normale la petite sinon. Il lui fallait bien quelque chose de spécial, quelque chose d'unique, intéressant, étrange. Azalée, elle n'aime pas donner son prénom aux inconnus, Azalée en fait n'aime pas les inconnus. Pour tout dire, Azalée souffre de paranoïa et divague dès qu'elle ne prend pas ses médicaments régulièrement. On ne sait si les médicaments ont un réel effet sur elle ou si cela n'est pas simplement psychologique, mais après avoir consulté plusieurs psychiatres, ceux-ci ont conclus que la jeune femme était tout à fait apte à vivre seule et à travailler si elle suivait son traitement. Ainsi, elle essaye de le faire, elle prend quelques comprimés le matin ainsi que le midi mais parfois n'a pas le temps pour les prendre le soir. Le seul problème est la manière dont sa pathologie a été « modifiée ». Car Azalée n'a pas peur des personnes simplement car elle les devine capables de lui faire du mal ou même de la tuer. Non, en réalité, la jeune française a toujours cru être un agent secret. Alors, n'imaginez même pas à quel point elle pouvait se sentir mal à l'aise en se baladant dans les rues de Paris et en rencontrant russes, arabes et chinois* à tous les coins de rue -les fausses images véhiculées par les médias l'ayant profondément influencée quand au choix de ses 'adversaires'-. Ainsi, la demoiselle peut avoir des « retours » en voyant quelqu'un de trop « étranger » ou une personne habillée en costard-cravate-lunettes. Car pour elle, un espion de l'agence adverse vient soit d'un pays étranger à la France, soit est habillé comme un « Men in Black ». Autant vous dire que son arrivée chez les Irlandais au début l'avait quelque peu perturbée. Bah oui, les Irlandais, ils ne sont pas Français (Et roux). Mais bon, le racisme se soigne apparemment. *J'suis pas raciste et je ne crois pas les arabes/russes/Chinois terroristes hein, j'dis ça au cas ou qu'on me tombe pas dessus. Au contraire même. Mais ma personnage est conne >D. "Ce qui ne me tue pas me rend plus... bizarre." • Don : Métamorphose en primates. • En détail : Faut bien l'avouer elle a un peu honte de ce don et ne l'utilise que lorsqu'elle ne se contrôle plus ou en cas de besoin. Bah ouais, pouvoir devenir un babouin ou un chimpanzé, pour Azalée, c'est comme se transformer en un arabe ça craint. Mais il faut dire que c'est bien utile lorsqu'elle veut frapper Malik ou intimider Temujin. Il suffit de se transformer en Gorille et les deux sous-hommes se calment directement. Lorsqu'elle fait cela, elle se justifie simplement: "Faut bien soigner le mal par le mal wesh !" • Maitrise : Maitrise presque totale après avoir quitté Aurore et sûrement perfectionnée au fil des années. • Lui & les ELEM : "Ils sont beaux et intelligents. Mais doit y' avoir des hm. Espions. Chez eux, ils sont trop parfaits pour être d'civils. J'les ai à. à l'oeil. Hrum." • Lui & les SPE :"Trop étranges pour n'pas m'vouloir du mal. Mais y'en a qui sont cools puis drôles même si niveaux français y' craignent." • Lui et les PHY : "I' sont un peu cons mais j'les aime bien. C'son les moins... Arem.. "Susceptibles" -je ne sais pas le dire en anglais- d'être des espions." • Lui et les PSY : "Trop intelligents pour n'pas être d'mèche avec d'connards. En plus i' sont p'tits -sauf leur représentante elle aussi louche, j'suis sure qu'elle simule sa "cécité" pfeuh-. -Je ne sais pas dire cécité en anglais non plus sorry-. Donc Ahem. Les p'tits ça se faufile partout j'les sent pas. Wesh." "Ce que j’ai subi a fait de moi ce que je suis." Premier jour chez le Psy. J'avais quoi ? 12 ans ? Je ne sais plus trop. C'est vrai qu'à force d'y aller, on ne compte plus. J'étais déjà en pleine « crise d'ado », je parlais avec des Weshs des zeubi et en fait j'avais trop le seum de devoir quitter la ps2 pour devoir voir un sale mec qui allait m'étudier de A à Z. Et puis pourquoi ? Je n'étais pas folle, et il devait sûrement vouloir me piquer des informations secrètes sur mon identité d'espionne. Il n'aura rien ! Nada ! Nothing ! Voilà, c'est dit quoi. Je l'imaginais déjà, son crâne chauve recouvert de quelques grains de beauté-pas-si-beau-que-ça-en-vue-des-poils-trônant-fièrement-dessus. Sa petite moustache grise et la marque de ses rides sur un visage bien trop grave pour me donner envie de dire quoi que ce soit. Ouais, les psys, ils sont tous comme ça t'façon, moches et vieux, que des gros teubés. Ouais bah non en fait. Elle était belle, elle était blonde, elle avait les yeux azur, elle était franchement bonne et j'avais eu du mal à ne pas passer l'heure, le regard plongé dans son décolleté. Mais bon. J'étais quand même bien remontée contre mes parents qui m'avaient obligés à y aller, et je dois dire que cette heure fut plus une torture que quoi que ce soit de constructif. Mais bon au moins j'avais une belle vue. « Parle moi de ce que tu veux. -... » Rien. Rien ne sortait de ma bouche. Je n'allais pas lui dire que j'avais joué à Ratchet et Clanck tout à l'heure. Pourquoi dire ça ? Ça n'allait pas l'aider à m'analyser wesh. Quand à mon identité d'agent secret, ô grand jamais je trahirais mon père ! Non mais ho. Elle a beau être bonne comme Kristen Bell, j'vais pas pour autant lui offrir ma vie. Alors ce fût une heure de silence, rien ne filtrait, elle ne cessait de me fixer, me perçant de ses deux beaux saphirs. Un long soupir venant de ma part, je vois que c'est l'heure, je tourne enfin la tête pour croiser son regard, elle me sourit: « Et maintenant, comment tu te sens ..? » Bah. Rien. « J'ai envie de grailler. » Deuxième jour chez la Psy : Wesh. Alors bon. Faut dire que tout le monde avait eu peur ce jour là. J'voulais tellement pas y aller aussi ! Et ma mère qui faisait sa tepu à me trainer par le bout des fesses. Puis à un moment j'ai gueulé, genre, que j'étais pas son singe de compagnie -va savoir pourquoi. Et là, j'sais pas pourquoi mais après la meuf elle comprenait trop plus ce que je disais ! Elle répondait même « Quoi ouhinhin ? Quoi ??? Mais dis moi où est ma fille ! » Bref chelou. J'lui disais que j'étais là mais elle captait pas. Puis, truc encore plus zarbi, je sautais super haut et j'avais une queue. Enfin... Une queue poilue. Enfin genre une vraie queue quoi ! Pas un zboub hein. Mais vraiment j'ai flippé ce jour là. Puis quelques heures après le facteur était arrivé avec une lettre chelou parlant de pouvoirs et tout. Mdr trop pas capté cette histoire. Mes parents eux disaient que c'était une raison de plus pour aller consulter. Mais, sérieux, ils auraient mieux fait d'y aller à ma place, wesh. Troisième jour chez la Psy : « ... » Toujours. Ce silence, pesant, trop lourd à porter et surtout bien chiant. Déjà que j'avais le seum d'être là, j'aurais au moins kiffé rendre cette heure un peu plus agréable. Merde elle est bonne en plus la meuf quoi. Je balaye la pièce du regard et décide de fixer un petit point ébène sur le plafond albâtre qui pourrait presque être intéressant tant je m’emmerdais. « … Bon ! Si vous voulez me voler toutes les infos bah je vous le dit moi ! Jamais je trahirais mon père d'accord !? En tant qu'agent secret, je me dois de garder le secret ! Alors vous ne saurez rien, rien ! Vous et vos étranges caméras. Je suis sûre que vous avez un mouchard dans votre décolleté. » Bah ouais attends. Tes lolos me préoccupent, ce doit être mon instinct, haha ! Je le sais. Elle sourit. Ses lèvres s'étirent au même rythme qu'un rictus apparaît sur mon visage, je n'aime décidément pas le Psy. « … Je pense que je vais devoir parler à vos parents. -Ouais, vous avez bien raison, c'est eux qu'il faut interner wesh. Non mais zeubi quoi. » Quel beau langage d'adolescent. Tout en prose. Quatrième jour chez la Psy : L'homme soupire, passe une main sur son front avant de commencer à parler sur un ton des plus las : « … Je ne sais pas trop pourquoi elle l'a prit au sérieux, vraiment. Mais, un jour, lorsqu'elle était petite, j'ai dit à notre enfant qu'elle était un agent secret et qu'il fallait qu'elle garde le secret que hrum... » Raclement de gorge, joues un peu rouges : « Enfin... Elle m'avait surprit avec ma maîtresse de l'époque. Et pour l'empêcher d'en parler à sa mère par maladresse, je lui ai dit qu'elle devait garder l'identité de ma maîtresse secrète et ne rien dire à personne. Et, je pense que... Vu que je suis un homme ayant assez d'importance dans mon entreprise, elle a du croiser un bon nombre d'hommes en costume dans la maison, donc... Oui, elle doit sûrement avoir prit tout cela un peu trop au sérieux. -Et vous lui en avez parlé .. ? » Elle venait de le couper, il ne savait pas trop quoi répondre, évitant de regarder cette femme bien trop séduisante. « Euhm. Non. Enfin si j'ai essayé, mais elle m'a crié dessus, disant que je n'avais pas le droit de révéler le secret ou bien d'en parler. Elle croit qu'il y a des caméras partout et que tout le monde lui veut du mal en dehors de ses proches. Je. Je-. Je ne sais plus quoi faire. » *LaSalée vient de se connecter. La Salée> Putain saoule ma mère là ! Elle veut absolument que j'me trouve un coress parce que je suis une merde en langues ! Dis Tes', tu voudrais pas .. ? Enfin, ouais quoi, ce serait cool, t'es super déjà sur le pc, j'kifferais bien te voir IRL. Aussitôt dit aussitôt fait. Ce fut agréable, oui, vraiment... génial. Je m'emmerdais tellement, elle m’occupait si bien. En fait, avec elle, j'étais à l'aise. Elle avait beau être étrangère, ne pas être de ma famille -et donc une potentielle espionne-, j'avais confiance. Confiance en elle, en son pauvre sourire, en son langage toujours familier et ses manières inexistantes. J'aimais les baffes qu'elle donnait avec ses mots et la peur qu'elle inspirait avec ses yeux. Elle était inoubliable. Cette nuit l'était tout autant. Vraiment, je crois n'avoir jamais été aussi euphorique, ivre de joie. Nan mais oui quoi. Sérieusement, c'était tellement "voulu", je l'avais tellement désiré que rien que sa peau glissant sur mes doigts brûlants d'excitation me rendait folle. Oui, folle, je l'étais. « Tess je v-... » Un court silence, un prompt mouvement, je crie déjà, m’époumone en espérant que Testament fasse quelque chose. Mais non. Elle ne fit rien. Strictement rien cette tepu. On me balança à la rue en quelques heures à peine, toujours insultée, rabaissée au niveau de fille facile trainant dans les bars à la recherche d'une nouvelle âme à pervertir. Je souillais les bonnes âmes avec mes mains pour ensuite les vampiriser avec mes lèvres. Et toi alors, sale « exorciste » ? Tu n'arrachais pas des cœurs avec tes mots ? Tu ne détruisais pas des vies avec la tienne ? En tout cas, tu venais de briser mes rêves, aidée par ta fille qui, justement, ne faisait rien. Rien. Rien. Vraiment rien. C'était ce que je représentais pour toi, Tess' ? Rien ? Vraiment ? Tant mieux. Moi non plus. Quinzième jour chez la Psy : Putain quoi. J'avais enfin arrêté les séances, et après avoir été prise en pleine « action » avec Tes', voilà que je devais retourner voir cette blondasse. Mes parents croyaient que mes « troubles » de jeunesse étaient la raison de ce qui pouvait perturber ma vie sexuelle. Mais bien sûr ! Hé ho papa, tu voudrais pas quand même que je révèle tout sur notre identité !? C'est honteux de laisser sa fille se démerder avec le camp adverse sans même un mot d'encouragement ! Ou alors, c'était un test ? Ah. Ceci expliquerait cela, je n'échouerai pas alors. « Bonjour Azalée. -Wesh madame. -Qu'as-tu à me dire aujourd'hui ? -Bah. J'ai été voir ma corres' chez elle. Puis, enfin elle était bon-... Belle quoi. Donc, enfin... On a... Hrm. » C'est beau l'auto-censure que l'on peut faire face à des personnes trop belles pour souiller leurs oreilles avec un langage un peu trop « cru ». C'est beau les « hrm » les « crac crac » et les « hmhm » pour remplacer « baiser ». « Et... Sa mère -qui aurait elle aussi besoin d'un psy- nous a surprises toutes les deux. Et, du coup, elle m'a envoyé chez sa mère -voyez comme l’émancipation dans cette famille est inexistante- en attendant que la mienne me ramène par la peau des fesses chez vous. J'vous ai manqué ? » Un petit sourire, elle doit essayer de ne pas glousser. Ce n'est pas professionnel. Haha. Elle n'en a rien conclu, n'a pas donné son avis. Et, étrangement, mon père était venu me chercher, alors qu'autrefois, seul ma mère se bougeait les fesses pour aller me voir. Étrangement il souriait. Étrangement, là, elle avait eu un petit rire. Mon nouveau Psy. J'ai pas envie d'écrire beaucoup à son sujet. Il est laid il pue il ne me fait pas parler il ne me met pas à l'aise il me fusille du regard, me prend pour une folle et m'oblige à prendre des médicaments. Parce que je suis passée du psychiatre au psychologue. Non. En fait je vais simplement vous résumer la situation en quelques mots. V'voyez la description que j'avais faite de mon « peut-être psy » en haut là, au début du chapitre ? Ok. Ouais. Bah là. C'était vraiment ça. Pff. Aisling, Irlande, les roux. J'avais eu mon diplôme à Aurore du premier coup. Mes parents étaient fiers, pour une fois qu'ils ne trouvaient pas quelque chose à me reprocher. Mais bon. J'avais été une fille modèle, je ne pensais plus trop à mon rôle d'espionne, je n'avais plus jamais apprécié une donzelle ou du moins posé mes pattes dessus. Et je ne m'étais transformée en singe qu'une fois, au zoo. Bref. J'étais trop cool. J'avais trouvé un poste de professeur de Français à Aurore après des études en Lettres modernes et un passage réussit -de justesse- à l'agrégation, c'était assez cool, même si je ne comprendrais jamais le plaisir que peuvent avoir les jeunes à charcuter notre belle langue avec des néologismes et du barbarisme digne de...de. De rien en fait. D'un emo peut-être ? J'sais pas, en tout cas d'un truc pas super super. Sauf que voilà. Je vivais toujours chez mes parents à 23ans -ouais la looze et alors ?- et je fus rapidement mise à la porte. Parce que j'étais cool comme fille, mais pas trop quoi. Enfin j'étais tip top mais surtout dehors, pas dans la maison à foutre le bordel et à râler sur mes parents parce qu'ils m'empêchaient de bosser sur mes copies du lendemain. Donc bon, j'ai vécu une année dans un petit studio ridicule juste à côté de Aurore, mais je fus rapidement lassée de cette vie. Bah ouais, professeur de Français en France ça paye bien mais pas trop quoi. Alors, du coup, lorsque j'ai vu qu'il restait une place à Aisling pour être professeur de Français pour la Grammaire et la conjugaison, j'ai sauté sur l'occasion. Et puis, hé. La Grammaire c'est trop merdique non ? Ouais hein. Alors j'vais bosser pour faire chier les roux. Si c'est pas trop cool. Héhé. "Kathaputes Katharina et puis voilà." • Age : 16 j'crois maintenant. (OH PUTAIN LA FICHE DATE DU DEBUT DE MES 16AAANNS.) • Sexe : Je suis un homme vous ne le saviez pas encore ? • Avatar : Karina Lyle - Tiger & Bunny • Comment avez-vous connu le forum ? ... Euh je sais plus. • Pensez-vous demander un parrain/une marraine ? Non. • Pourquoi vous êtes-vous inscrit ? pr rir MDR !!!! • Autre chose ? Lajos et Vivi jlesem.

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Luce Dell'Elce a écrit:

métamorphose en primates.

HAHAHAHAHAA OMFG HAHAHAHAHA.

/me part crever de rire.

VA POUR LE MARSUPILAMI KRKRRRR ♥♥♥. (Luv Luce ♥.)

Citation :

Et je ne m'étais transformée en pot de fleurs qu'une fois, pour la fête des mères -quand on a oublié la fête et que celle-ci nous est rappelée le matin par notre amie, ce don peut franchement être utile-

Herm. Je pense qu'il va falloir réviser ton idée...

Et j'ai juste une question. Sachant qu'en France, pour être prof, il faut un diplôme qui s'obtient en cinq ans (donc à 23 ans), comment a-t-elle fait pour étudier à Aurore dès son bac ? Ils prennent des anciens élèves à bac + 0 là-bas ? Moi qui pensais qu'avec leur réputation d'élite, ils prenaient quand même des profs avec leur concours réussi en poche...