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 armand • then she said oh you're a freak

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Armand Mers
armand • then she said oh you're a freak Rangphy
Armand Mers

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armand • then she said oh you're a freak Vide
MessageSujet: armand • then she said oh you're a freak   armand • then she said oh you're a freak Icon_minitimeLun 26 Déc - 1:51

L : ... Parce que ça va avec Scar.

armand • then she said oh you're a freak Armand3

i know the last in line is always called a bastard.

SURNOM : peu importe.
ÂGE : dix-neuf ans.
ANNÉE : huitième.
ANNÉE D’ARRIVÉE : septième.
CLASSE : phy.

i know you've got me wrapped around your finger.

Détester. Détester les plafonds trop bas et les espaces trop grands. Détester la pluie suintant du ciel de l’Irlande et le soleil brûlant de l’Italie. Détester les rires des gens heureux et les complaintes de ceux qui ne le sont pas. Détester le brun commun, le roux grossier, le blond abrutissant et les gens parce qu’ils existent. Détester les endroits sales et ceux qui sont bien rangés. Détester mécaniquement, par principe de la haine. Détester et se permette de lancer des regards médiocres, le menton bien relevé, le dédain grossièrement dessiné entre les lèvres, le mépris imprégnant le regard. Cracher sa supériorité sur le monde en envoyant des injures mal placées, s'insurger, pousser des hurlements de bêtes, se suicider et puis renaître.
Il est assis sur le lit, les paupières bien étirées et les yeux dans un écartèlement qui dévorent l'univers. Il est l'immobile, la silhouette statique affalée sur le drap, le front collé au mur, le corps tout entier grelottant d'une fièvre d'éveil. Il a ce trouble des pupilles, un tressautement d'infini et ce visage d'illuminé comme un épris du monde, comme s'il voyait par dessus le mur, quelque chose que personne d'autre ne voit. Il a cette agitation des lèvres et ce tremblement de la mâchoire semblable à un prisonnier d'une passion soudaine. Comme s'il était palpable, comme s'il était véritablement vivant.
Mais Armand ne voit rien, rien d'autre que ce mur blanc. Il ne voit que ce plâtre diaphane et il n'y a rien d'autre dans le reflet de ses iris que cette peinture immaculée. Il n'y a pas une once de transcendance dans son regard, ni d'au-delà, ni d'absolu, juste cet aplat incolore qu'il dévisage comme un dément.
Il ne voit rien Armand, parce qu'il n’y a rien dans sa tête vide. Juste des bourdonnements agressifs, des couleurs explosant, des dégorgements de puissance. Il n’y a rien, dans le regard noir d’Armand, dans ses babines retroussées, dans son grognement d'animal, il n’y a rien d'autre que de la colère ignorante, que de la méchanceté stupide. Comme cette façon hautaine d’aborder les gens, qui ne peut être que de la vanité creuse, que de l'arrogance insignifiante.
La vérité c'est qu'Armand est un vrai con. Il est la bête, toute pensée refoulée, toute réflexion abattue en un claquement d'air. Il est une colère que tout agresse, que tout dérange, qui ne vit que de l'excès et ne comprend que les coups, que la sensation brute et cruelle. Armand ne pense que la douleur, il ne croit que la violence, il ne réfléchit que l'intensité. Présente son corps tendu à la violences : quelques dents cassées, l'ombre d'un oeil au beurre noir et d'ecchymoses tatouées sur son visage, le tout recouvert de sang. Ce sang dramatique qui palpite dans ses veines, qui bat contre sa peau, qui s’infiltre partout en lui, noie sa chemise et son corps, se mêle à sa salive, ces bouts de chairs qui tombent, comme son grondement d'animal qui n'en fini pas. Armand dissout dans sa course à l’enfer.
Il exhibe sa stupidité, étale sa détérioration, balance son égocentrisme, répand sa malveillance comme une démangeaison grossière et puéril qui s'effondre pourtant, en un soupir. C'est sa maigre horreur qu'il parsème partout où il traine, des bribes d'injures qui se répètent inlassablement, un vacarme sourd qu'il prolifère mais dans une impertinence trop prononcée, une vulgarité trop obscène, une laideur trop abject. Armand en fait trop.

Alors la porte de la chambre se braque et vrille, soudainement. La marche de Teddy est si agile, si forte et il ne prend pas la peine de bouger : il sait qu'elle est trop rapide, qu'elle a déjà fait les deux pas qui les séparent à peine, qu'elle a déjà levée sa jambe pour l'abattre dans une horreur qui lui bouleverse les côtes. Il pousse un râle qui le suffoque presque. Son abdomen comme électrocuté.
▬ Dégage.
▬ Putain Teddy, tu fais chier.
C’est un étouffement dans lequel il peu à peine respirer. Sa carcasse s’extrait avec rectitude du lit pour le rendre à sa propriétaire. Mais Teddy ne s'occupe déjà plus de lui, elle l’a agrippé distraitement par le col et navigue avec fermeté dans cette pièce qui lui est sienne. Et le voila lui, l'animal terrassé, sans défense mais qui continue de geindre. Le voila, à regarder le monde de travers, debout sur le siècle, accroché au bord du monde. La tête à moitié basculée sur son gouffre. Il fait le révolté, il joue au révolutionnaire, enfile son allure de bête ; mais après toutes ces années, il a encore du mal Armand.
▬ C'est toi qui est juste, démesurément infâme.
Et elle le balance hors de la chambre avant de refermer brusquement la porte.

armand • then she said oh you're a freak Armsb

i know you want the sin without the sinner.

DON : Résonance.
EN DÉTAIL : C'est le contrôle des ondes. Chaque objet, chaque être vivant, chaque plante émane une fréquence particulière et en se calquant sur ces fréquences, Armand peut les amplifier ou les atténuer. Faire exploser des murs, soigner un organe, apaiser des douleurs, ou même tuer.
MAÎTRISE : Très mauvaise. Armand est incapable de désactiver son don, ce qui l'oblige à endurer continuellement les sons de tout ce qui l'entour et lui devient vite insupportable. En outre, il est contraint de porter son bracelet de protection en permanence qu'il ne retire d'ailleurs que rarement et donc ne s’entraîne pour ainsi dire jamais à la maîtrise de son don qu'il a de plus, découvert très tard — ce qui explique aussi pourquoi il est actuellement en neuvième année.
LUI & LES AUTRES : Il ne les supporte pas.


i know the past will catch you up as you run faster.

Le visage contre terre, les mouvements arrêtés. Il a le corps complètement précipité au sol et l'eau tout autour qui se mêlent en lui, la peau qui se confond au gravas, la salive qui s'échappe de ses lèvres, les paupières avalées de poussières, tout son sang qui s'enfuit. Et la douleur, la douleur qui s'écroule de partout, prend ses jambes, prend ses bras, rampe sur sa colonne vertébrale et le long de ses cotes, l'infernale douleur qui le rend paralytique. Il y a une fine pluie qui tombe du ciel sombre : il la sent qui perce sa chemise et imbibe lentement son dos. C'est peut-être la nuit, il a l'impression que c'est la nuit. Ou tard dans la soirée.
▬ Lève toi. On y va.
Tu sais bien qu'il ne se lèvera pas, Andréa. Et puis pour aller où, hein ? Il ne veut pas bouger de là cet idiot, il est déjà tombé bien trop bas, au milieux de ces débris de rue, suffoquant presque à son propre sang. Il n'arriverait même plus à se relever. Alors vas-y Andréa, dis lui où est-ce qu'on va maintenant ? Il a encore trop bu jusqu'à en avoir la nausée du cerveau, il s'est encore battu, il s'est encore fait jeté. Il est encore en train de se tuer sur le béton défoncé de cette rue. Et si ce n'est pas aujourd'hui, ça sera demain, dans un autre lieu, à une autre heure. Il y en a tellement qui veulent se sentir vivre, Armand lui, se sent juste mourir.
C'est vrai, sa petite vie médiocre n'a jamais tourné qu'autour de ça. Teddy, Arsène et le monde qui s'arrêtait à l'horizon. Sa mère, son père et le temps qui passait, si immobile depuis toutes ces années. Il avait connu les bars sales où les murs sentaient l'alcool et la sueur. Il avait connu le Costwold et son horizon terne, pris dans la brulure de ses grisailles. Il avait connu ce ciel qui se consumait d'une fumée de nuages grisâtres. Il avait connu l'odeur de la terre humide, celle qui ne naissait qu'après la pluie. Il n'y avait pas d'autre maison que celle où il avait grandi, pas d'autre ville que Chipping Campden. Au-delà de cette rue, il n'y avait plus rien. Les secondes s'arrêtaient là. Au dehors, plus rien n'existait.
Il avait vécu là, dans cette petite ville anglaise où il y avait à peine eut la place de grandir, entre l'Eglise Saint James et le Market Hall. Il se souvient de l'odeur de sa mère lorsqu'elle l'embrassait sur le front, le matin. Il se souvient du bruit que faisait son père lorsqu'il écrivait ses mots ─ et il y avait des notes partout dans leurs maison « il n'y a plus de yaourts au citron », « Hannah vient manger à la maison demain », « a³ + b³ ≠ c³ », « rappelle-moi », « ta chemise est sur le bureau », « Armand ». Il se souvient de la manière dont ses parents s'aimaient, comme un couple d'adolescents qui se disputaient encore pour des choses insignifiantes parce qu'ils s'entendaient sur tout le reste. Il se souvient de leur quotidien sur des petits bouts de papiers, « non », « ceci est un corpuscule de Barr », « Stacy a appelé », « je t'aime ». Il se souvient avoir demandé un jour à son père Papa, est-ce que tu aimes maman ? et son père qui lui avait répondu Tout ce que je sais, c'est que sa simple présence suffit à avaler le monde entier. Il y avait tellement d'autres choses dont il ne se souvenait pas.
Il se souvient de la première fois où il avait rencontré Andréa et comment celui-ci lui avait présenté Teddy. Il se souvient de leur première cuite tous les trois, comme de leur premier éclat de rire et de leur première dispute. Il se souvient de toutes ces nuits à dormir dans les champs, de tous ces types avec lesquels ils se sont battus. Il se souvient de ce jour où ils avaient presque mis le feu à l'église. Ce qu'il y avait entre Teddy, Andréa et Armand ça ne se comprenait pas. Ça allait au-delà de leurs plaisanteries, au-delà de tous leurs différends. C'était la raison pour laquelle Teddy et Arsène venaient toujours le rechercher lorsqu'il se rendait ivre mort, la raison pour laquelle il n'empêchait pas Andréa de lui voler la moitié de ses affaires, la raison pour laquelle il laissait Teddy lui casser la gueule. Ce n'était pas de l'amitié, ni même de l'affection. C'était juste inexplicable.

Il n'y aurait plus jamais de silence. On était un de ces jours d'été gorgé de chaleur, un cinq juillet. La veille, on était le quatre, et le lendemain on serait le six. Mais ce jour-là c'était le cinq, comme tous les autres cinq juillet avec leurs soleils fiévreux et leurs journées bleus. Pas de vent, pas de nuages, juste une de ces journées interminables qui semblent avoir fendu le temps. Et ce cinq juillet, lorsqu'il s'était réveillé à midi cinquante et une, le silence s'était définitivement éteint du monde.
N'importe quel autre jour de vacances, il aurait peut-être ouvert les yeux sur ce monde trop éclatant. Il aurait peut-être trainé son corps partout dans la maison, fumé un peu et jeté les mégots par la fenêtre, tourné les pages d'un livre qu'il n'aurait jamais lu, frappé sa tête contre les murs de sa chambre jusqu'à ce que son crâne éclate. Il aurait peut-être enfilé son jean le plus délavé et la chemise de la veille pour sortir sans même avoir déjeuné. Il serait parti un peu comme ça, en dépassant des maisons, en traversant des rues et finir par bousculer tous les passants. Il aurait marché indéfiniment, sans but et sans vie, aurait perdu son temps jusqu'à ce que le soleil dépasse l'horizon. Il serait peut-être entré dans un bar quelconque pour se saouler et vomir sa journée dans une de ces rues sourdes, recracher toute son existence sur le sol noir. Il aurait à peine la force d'appeler un taxi qui le ramènerait chez lui pour qu'il finisse de mourir dans son lit.
Mais ce cinq juillet, il n'avait pas ouvert les yeux, de la même façon qu'il n'ouvrirait plus jamais les yeux pendant les vingt-et-un mille cent soixante-dix autre jours qui composeraient sa vie. Armand ne serait plus capable de voir le monde ; il serait condamner à l'écouter. Sûrement, s'il avait su qu'en s'endormant cette nuit-là il ne connaîtrait plus le silence, il n'aurait pas fermé les yeux. Il n'aurait plus jamais fermé les yeux.

Il avait hurlé pour couvrir tout le bruit des vibrations. Mais c'était comme des coups de fusils et toutes ces balles qui se perdaient en lui. Et il
▬ Je sais pas. C'est comme si le monde entier c'était mis à hurler et j'arrivais pas le faire taire. Le sol, les murs, les autres, je pourrai presque entendre le ciel, les nuages et même l'herbe sous moi. Même toi Andréa, ça fait du bruit à en crever. Tu comprends ? Tu comprends ce que je veux dire ?
Andréa avait souri, de ce sourire qu'il a souvent, son sourire en biais un peu étrange. Bien sûr qu'il ne comprend pas un mot de ce qu'il lui dit Armand. Il fait juste semblant avec ses sourcils bien relevés, et ses yeux brillant. Il fallait dire, Andréa était l'archétype du type louche auquel on ne pouvait s'empêcher de faire confiance.
▬ T'es complètement fou gars.
Oui il doit être fou, Armand, il doit être cinglé. Il doit y avoir un creux quelque part dans son cerveau, un trou noir dans sa psyché, un manque dans sa conscience, un énorme vide dans sa réalité. C'est visible, c'est notable, c'est écrit en majuscule sur son front qu'il déglingue complètement.
Pourtant il n'y aurai jamais que deux problèmes dans la vie d'Armand. Le premier était ancré en lui depuis des années. C'était son obsession, c'était sa maladie, c'était l'alcool. Le premier c'était l'alcool, l'alcool et l'ivresse, et l'oubli, et la perte de contrôle, et le besoin toujours de boire, de se casser entièrement. Et surtout, de recommencer.
Oui, il n'y aurait jamais que deux problèmes dans la vie d'Armand. Le deuxième viendrait plus tard. Le deuxième, s’appellerait Scarlett.

▬ Les gens nous détestent Teddy.
▬ Et on leur rend bien.
Elle avait rit, d'un rire franc, légèrement bruyant, qui trouble un peu. Un de ces rires qui donnent envie de rester. Lui ne riait pas, il ne riait jamais vraiment, comme s'il avait oublié comment il fallait faire. Il avait juste le visage froncé et les lèvres recourbées dans une expression d'énervement statique.
▬ Je m'en vais tu sais.
Elle avait lâché un soupir moqueur et un peu excédé, un soupir dont elle avait pris l'habitude et qu'il avait appris à lire, qui voulait dire « et qu'est-ce que tu veux que ça me fasse ? ». Pourtant elle n'avait rien dit, elle avait laissé un silence étrange s'installer, ces silences mal à l'aise qui avait construit toute leur relation, ces silences pesant qui ne se sentent pas obligé de se combler.
▬ Tu ne peux pas partir. Tu as encore des dettes à me rembourser.
▬ Putain va crever avec tes dettes. Je m'en vais alors va crever. Va crever Teddy.
Il s'était brusquement tourné vers elle mais elle avait le visage sérieux. Au milieu de son expression de calme, il avait perçu un certain agacement. Au fond peut-être qu'elle s'en fichait qu'il parte et qu'elle ne le revoit plus. Ou peut-être que ça l’énervait. Il aurait aimé que ça l'énerve pour une fois.
Ils s'étaient tous les trois assis dans un champ ce jour-là. Andréa s'était allongé et dormait tandis que Teddy jouait à bruler quelques herbes avec son briquet. Et puis comme ça elle avait décidé qu'il fallait rentré, s'était levé en tirant Andréa pour le réveiller. Et ils s'étaient mis à se chamailler, comme à leur habitude. Ils ne se lassaient jamais de se bagarrer l'un l'autre. Armand les avait toujours connu comme ça. Lui était resté allongé sur le sol terreux, à dévisager l'air. Elle avait lancé un « Amène toi » et c'était la dernière chose qu'elle lui avait jamais dite. Andréa lui avait tendu la main pour qu'il puisse se relever et debout, il les avait observer se disputer. Alors il eut l'impression, pendant presque une seconde d'être véritablement heureux. Et ça l'aurait presque fit sourire. A l'horizon le soleil s'était brisé, avait explosé dans le ciel, emportant les nuages et on aurait dit que tout brulait. Une brise étrange battait leurs corps. Au milieu des flammes, Teddy et Arsène continuait de chamailler tandis que leurs rires se perdaient au vent. Et il n'y avait vraiment plus aucun son.

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Peggy S. Moore
armand • then she said oh you're a freak Rangphy
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MessageSujet: Re: armand • then she said oh you're a freak   armand • then she said oh you're a freak Icon_minitimeLun 2 Jan - 13:50

Bonjour et bon retour parmi nous !
Et puis bonne année.

Pardon du retaaard, je suis vraiment confuse. Je te propose en tout cas toujours la résonance, puisque ça lui va toujours aussi bien et que je ne serai pas inquiète de te le donner, au moins, ou bien le sang acide.
Enjoy !
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Armand Mers
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MessageSujet: Re: armand • then she said oh you're a freak   armand • then she said oh you're a freak Icon_minitimeMer 4 Jan - 0:08

( oh Peggyyy. je suis comblée. )
et je vais reprendre la résonance.
merci. ♥


Dernière édition par Armand Mers le Mar 6 Mar - 0:40, édité 1 fois
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Arthur N. Padraig
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MessageSujet: Re: armand • then she said oh you're a freak   armand • then she said oh you're a freak Icon_minitimeMar 17 Jan - 13:37

    Hello, du nouveau par ici ♥ ?
    Tu as sept jours pour te manifester.
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Armand Mers
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MessageSujet: Re: armand • then she said oh you're a freak   armand • then she said oh you're a freak Icon_minitimeMar 24 Jan - 13:15

La fiche sera bientôt terminée. :3
Excusez-moi pour le retard.


Dernière édition par Armand Mers le Mar 6 Mar - 0:40, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: armand • then she said oh you're a freak   armand • then she said oh you're a freak Icon_minitimeMer 1 Fév - 12:29

Il est l'heure fatidique du poke hebdomadaire, mon cher.
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Armand Mers
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MessageSujet: Re: armand • then she said oh you're a freak   armand • then she said oh you're a freak Icon_minitimeMer 8 Fév - 23:16

Bon, je crains mais je n'aurai certainement pas fini avant la fin de la semaine. Pardon pardon.
( Si ça vous arrange, vous pouvez mettre la fiche en attente. )


Dernière édition par Armand Mers le Mar 6 Mar - 0:40, édité 1 fois
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Pavel Němec
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MessageSujet: Re: armand • then she said oh you're a freak   armand • then she said oh you're a freak Icon_minitimeJeu 16 Fév - 18:13

Bon comme c'est la fin de la semaine suivante, je mets en attente, tiens nous au courant. /o/ ♥
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Armand Mers
armand • then she said oh you're a freak Rangphy
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armand • then she said oh you're a freak Vide
MessageSujet: Re: armand • then she said oh you're a freak   armand • then she said oh you're a freak Icon_minitimeSam 25 Fév - 22:09

La fiche est (enfin) terminée.
J'espère que c'est booon.


Dernière édition par Armand Mers le Mar 6 Mar - 0:40, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: armand • then she said oh you're a freak   armand • then she said oh you're a freak Icon_minitimeSam 3 Mar - 2:03

PUISQUE WADOO PART POUR BERLIN, JE ME DÉVOUES.
C'est terriblement kikoo de ma part.

Je valide cette fiche sans commentaire aucun, secret par mp. (♥)
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MessageSujet: Re: armand • then she said oh you're a freak   armand • then she said oh you're a freak Icon_minitime

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