Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -40%
Tefal Ingenio Emotion – Batterie de cuisine 10 ...
Voir le deal
59.99 €

Partagez | 
 

 Percy • Vous ne soupçonnez pas les pulsions qui m'animent.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
▬▬▬▬▬▬▬
Perceval A. Clydwyn
Percy • Vous ne soupçonnez pas les pulsions qui m'animent. Rangphy
Perceval A. Clydwyn

Messages : 240
Date d'inscription : 15/05/2010
Age : 31


It's a kind of magic.
Age du personnage : 19 ans.
Nationalité: Gallois, évidemment.
Relationship:

Percy • Vous ne soupçonnez pas les pulsions qui m'animent. Vide
MessageSujet: Percy • Vous ne soupçonnez pas les pulsions qui m'animent.   Percy • Vous ne soupçonnez pas les pulsions qui m'animent. Icon_minitimeDim 16 Mai - 22:21

« Moi mon cœur est chrysanthème. »

« Et putain moi j'avais trop bu, moi j'avais trop les idées noires. »

Percy • Vous ne soupçonnez pas les pulsions qui m'animent. Iconpercy2

    • Surnom : Le plus souvent Percy. Ou le binoclard. Ou le chevalier de la table ronde. Vous aurez même droit à une courbette.
    • Age : 19 ans.
    • Année : Huitième. Il a raté son examen de passage.
    • Année d'arrivée : En sixième année, il y a deux ans.
    • Classe : N'importe, tant qu'il a un Don aussi fourbe que lui, fufu. Et qui lui permette de survivre face à Arthur


« En dessus sans dessous, oui moi ça me rend fou. »

« Lula tu sais quand t'es pas là, tu sais moi j'fais n'importe quoi. »


Perceval est un crétin. Que ce soit clair. Désolé de casser votre trip "Houhou, encore un canon à Aisling *__*" mais un crétin reste un crétin. C'est presque écrit sur son front de toute façon. Si vous l'observez quelques minutes, vous vous apercevrez bien vite que rien d'autre ne régit sa vie mis à part sa flemme légendaire et son envie d'enfoncer les gens. C'est plus fort que lui. Son sourire niai qui tourne très vite sarcastique et son attitude "rien à battre des problèmes du peuple, mon but dans la vie c'est de te t'emmerder stupidement jusqu'à ce que je te sorte par les yeux ~" est assez bien représentatif de sa personnalité. Il a par exemple raté son examen pour sortir d'Aisling l'année dernière mais rassurez-vous, il s'en tape complètement. Tout le monde le prend déjà pour un abruti, alors un peu plus un peu moins, quelle différence ? Capable de sortir des questions existentielles ("Dis Lance. Comment on fait les bébés ?") à quatre heure du matin et vous réveiller pour les poser ou de partir dans des trips incompréhensibles pour le commun des mortels, il ne fait que rire quand il s'en prend une en pleine poire, ou quand on l'insulte de n'importe quelle manière que ce soit. Car c'est bien connu, Perceval Clydwyn est beaucoup trop bête comparé aux autres.

Perceval n'est pas un crétin. Oui, je sais, c'est pas ce que j'ai dit plus haut. Mais comme tout humain qui se respecte, notre brave Percy (barrez la mention inutile) a d'autre faces cachées que celle d'un abruti fini. Si on creuse un peu, on se rend compte que le garçon est très bon observateur. Jouer au idiot sert parfois. Les gens finissent par penser qu'on peut se lâcher avec vous, que vous ne comprendrez pas de toute manière. Un simple geste, un sous-entendu à demi-mot, un regard discret. Juste un moment anodin, qui passe pour invisible à la plupart d'entre nous. Mais qu'un certain brun remarque tout de suite. Oh, ce n'est pas comme s'il allait se la jouer Dr Lightman et disséquer le moindre de vos mouvements pour établir une conclusion alambiquée mais tout à fait vrai, non. Même s'il ne voit pas à quoi cela correspond, il le garde au fond de sa mémoire et attend simplement un autre indice qui pourrait le mettre sur la voie. Mais s'il découvre vos petites cachoteries, vous êtes mal. Car il se fera un plaisir de s'acharner sur vous en vous mettant dans des situations plus que gênantes, juste pour voir comment vous allez vous en sortir. Vous pouvez l'insulter, l'humilier, le frapper, ca ne changera rien. Il continuera à exhiber son sourire doucereux qui vous donnera envie de le battre à mort pour faire disparaitre ce rictus à la con sur son visage. Son instinct de survie frôlant le zéro absolu, penser aux conséquences de ses actes est une chose qu'il ne connaitra surement jamais de sa vie.

Perceval est parfois de mauvais poil. Mais c'est rare. Très rare en fait. Parfois, notre chevalier crétin se lève avec une soudaine envie d'exploser la gueule au premier qui l'ouvrira. Plus question de sourire niaisement. Plus question d'aller emmerder les autres. Même pas question d'aller en cours, au risque d'en coller une au prof ou au voisin un tantinet trop curieux de savoir pourquoi le crétin de service a troqué les ricanements idiots en fond de classe contre des regards de bête sauvage furieuse d'avoir été attrapé. Hurler, injurier et même frapper sans raison (du moins, pas pour les autres) devient le rituel de sa journée. Il s'isole, s'en va déverser sa haine contre un pauvre mur n'ayant rien demandé, ou monopolise le défouloir sans que personne n'y trouve à redire. Parce qu'il est flippant, oh oui. Son regard furieux, sa langue devenu violente et ses gestes impétueux font de lui la personne à éviter à tout prix pour la journée. Changement radical face aux sempiternels sourires idiots. Mais ne vous inquiétez, ca finit toujours par passer. Et Percy, notre brave emmerdeur de première, reviendra comme si rien ne s'était passé.

« Don »

« Citation, jukebox ou autre. »


    • Don : La section du corps. T'as presque envie de rajouter "lol", quoi. Ce Don permet de se découper en morceaux. Trop la classe.
    • En détail : Ce qui est cool, c'est qu'on peut se faire condamner à être décapité et aller à la guillotine en chantonnant. Et puis faire genre : "Va s'y, essaie de me choper pour voir ? A ouais t'as eu ma main. Mais juste ma main en fait. Le reste a pas suivi 8D" En général, les gens sont plutôt choqués de voir un membre leur rester entre les mains. (ne voyez aucune allusion dans cette phrase) Et Percy s'éclate de laisser vagabonder un pied, une main, et puis sa tête parfois. Bref, il adore voir la tête des gens quand une main se pose sur leurs épaules, et qu'il n'y a personne derrière. Il peut contrôler les mouvements de ses membres à distances, même si sans la vision, ca devient du tâtonnement...
    • Maitrise : Il est arrivé à sectionner en 36 morceaux pour l'instant. Il est fier, que voulez-vous. Par contre, ses mains ont tendance à faire ce qui leurs chantent quand il ne fait pas attention, ce qui donne lieu à des situations assez cocasses... Et qui lui a fait planter son examen entre autre.
    • Lui & les ELEM : Bande de con. A emmerder.
    • Lui & les SPE : Pas difficile. Mais la présence de Stratford fait basculer l'avis dans le négatif.
    • Lui et les PHY : Sympathique classe. Il peut s'estimer heureux d'être tombé chez eux.
    • Lui et les PSY : Han mais va s'y, faut les décoincer un peu. Faut les emmerder, ca leur changera, tiens.


« Ça finira mal. »

« Est ce que quelqu'un ici a croisé mon amour ?
Elle a les yeux tristes et le corps du christ. »


Percy • Vous ne soupçonnez pas les pulsions qui m'animent. S26 Percy • Vous ne soupçonnez pas les pulsions qui m'animent. S34
Elle m'a laissé sur le quai des tristes,
elle est partie loin.
Elle m'a laissé naufragé.

Vu que je me suis (très) largement inspiré de la chanson de Damien Saez, Lula, je vous incite à l'écouter ~



    J'ai toujours détesté me réveiller. Vous savez, ce moment de flottement ou durant quelques secondes éphémères vous ne savez plus qui vous êtes, ou vous êtes, et pourquoi vous êtes la. Ce putain de moment qui vous laisser espérer que vous pouvez être n'importe qui, que vous n'avez aucuns problèmes, que vous vous trouvez dans un endroit chaleureux. C'est beau, on se sent bien, on est tranquille. Et la seconde se brise au moment ou la mémoire vous revient en pleine gueule. Ah ouais, c'est vrai. Moi je suis ce con qui se réveille dans des draps vides. Moi je suis ce con qui n'a aucun but dans sa vie. Moi je suis ce con qui se rendort pour retrouver la seconde perdue.

    • Elle aime bien trainer ici, son corps comme un festin comme un amuse bouche entre les reins.
    .


    Je me réveille toujours trop tard. Trop tard pour les profs, trop tard pour ma mère, trop tard pour Lula. Les draps sont vides, froissés. Je peux encore sentir ses doigts s’agripper violemment aux draps, ses ongles s’enfoncer sans remords dans ma chair, ses cuisses se serrer fermement contre moi. Et la chaleur de son corps. Cette fougue brulante, cette ardeur embrasée. Elle brule mes nuits tel un feu follet flamboyant, réduisant au silence toutes pensées logiques. Plus rien d’intérêt quand son corps s’arque délicatement. Plus rien n’a d’intérêt quand elle jouit avec indécence. Elle seule sait embraser la noirceur de mes nuits de ses cris éperdus.
    La nuit réduit en cendres, seuls les souvenirs viennent rallumer la braise jusqu’au retour de son empire ténébreux et flamboyant.
    Lula, elle est partie. Comme ca, sans un mot griffonné à la hâte, sans un brin de rouge à lèvre à mon miroir. Elle met pas de rouge à lèvre Lula. Mais elle aime bien écrire avec un carmin éclatant. Pour m’entendre râler en le nettoyant. Ca la fait rire.
    Mais elle a rien laissé. Ah, si. Elle a fait tomber son bracelet en argent. Mais pas de talon aiguille trainant dans le couloir, pas de soutien-gorge au pied du lit, pas de mascara dans la salle de bain. Elle laisse toujours trainer quelque chose. Parce qu’elle est bordélique et qu’elle s’en fout. Parce qu’elle aime bien revenir pour récupérer ses affaires et en oublier d’autre en repartant. Mais pas aujourd’hui.
    Lula, elle est partie. Et je sais que je ne reverrai plus d’incendie étincelant entre ces murs.


    • Ma putain s'est barrée dans le quartier dans les bars, dans les pussy en vrillent, dans les chaleurs des filles.
    .


    Mes nuits brulantes remplacées par des nuits de perdition. A courir après une ombre fuyante, courir comme un dératé, courir à en perdre haleine. Courir après un brasier perdu, courir jusqu’à l’aube pour pas devenir cinglé. Au milieu des ivrognes et catins, cette foule qui m’indiffère et me gène. De bars en bars, de bordels aux ruelles sombres, ton nom crié jusqu’à l’aurore à en perdre la voix et la raison. Lula. Lula Lula Lula. Ton crépuscule est la, Lula ! Ton empire t’attend, tend les bras à sa putain en l’implorant ! Il supplie, gémit en te pressant de revenir à lui, t'injurie et t’abhorre en hurlant ton prénom en vain. Il n’attend que toi, toi et ton corps lascif, toi et tes yeux tristes, toi et ton embrasement exalté ! Ta décadence inégalable, ton indolence et ton indifférence effrontée.
    Il attend. Il cherche. Il implore. En vain. Toujours en vain.
    Alors il se noie. Dans le souvenir de ton chagrin, dans son verre au comptoir. En t’imaginant dans des draps étrangers et des bras inconnus aux couleurs de billets claquants que tu aimes tant. Partir comme une putain, ca t’allait bien. Se barrer au petit jour, se rhabiller en vitesse pour échapper aux questions et claquer la porte en pensant au prochain. Pas de mensonges impertinents, pas de silences tendus, pas de hurlements injurieux. Après tout, quelle autre fin aurait été mieux appropriée ? Vraiment parfait. Lula est partie. Et il se noie.

    • J'ai perdu tout ce que j'ai, perdu mon amour au fond de ma bouteille, lancez les SOS.
    .


    Je l'ai pas connu longtemps Lula. Juste assez pour oublier que je pouvais vivre sans elle. Ma vie avant c'était... comment dire ? Inintéressant au possible. Mes parents se droguaient aux médocs divers et variés, et se droguent surement toujours d'ailleurs. Je peux encore voir ma mère et ses antidépresseurs dans une main, son verre de vodka dans l'autre. Et mon père qui brillait par son absence quotidienne. Rien de très reluisant. Tu m'étonnes que je me sois barré. J'ai toujours plus ou moins trainé dans les rues. Même les plus mal famées. Non, en fait, surtout les plus mal famés. La drogue, l'alcool, le sexe. Ça je connais. J'ai baigné dans des ambiances malsaines depuis tout jeune, rien de plus normal à ce que je finisse avec une pute. Et puis il y a eu Lula. On passe, si vous le voulez bien. C'est ca ou je finis par défoncer le mur de rage. Bref. Et un beau jour, j'ai découvert que je pouvais envoyer mes mains en balade. Ou qu'elles y allaient quand elles le voulaient en fait. Flippant au début. Et à la fin on se rend compte que c'est truc de crétin, ce Don. Sérieux, qui irait s'amuser à se démembrer pour voir en combien de morceau au maximum on peut se diviser ? ... 36. J'arrive pas à plus. Et à cause de cette connerie, on m'envoyait chez les irish, dans une école de cinglés. Congratulation Percy ! Tu vas pouvoir fuir ta vie merdique et tous ces putains d'endroits à la con qui gardent l'odeur de Lula ! Et ben puisqu'on y est, pourquoi ne pas jouer au con la-bas ? Tu ne seras plus "le type qui s'est avoir par un pute", ni même celui à qui il faut pas parler de Lula. Juste un crétin parmi tant d'autre. Ouais, c'est bien ca. Et dans mon délire, j'ai cru que je finirais par l'oublier, la Lula. Ça finit toujours par passer dans les films. Le type se trouve toujours une autre nana à la fin. Mais en réalité ca passe pas. Ce type est un connard. Comme s'il pouvait oublier l'autre. Même si la nouvelle a un joli petit cul et un décolleté plongeant, il peut pas l'oublier en croisant un nouveau regard. C'est des foutaises, ca. T'oublies jamais. Tu peux pas. Moi ca fait deux ans que je refrène mes souvenirs. Mes pulsions. Ça faut deux ans que je joue au crétin de service pour qu'on ne me demande pas pourquoi je ne me trouve pas une copine, pourquoi je déteste ces cons qui jettent après avoir baisé, pourquoi mon regard est triste. Pourquoi mon regard ressemble au sien.

    • J'ai perdu mon amour dans un verre de vin rouge, c'est moi qu'elle a noyé.
    .


    Elle était belle ma Lula. Plus belle que toutes ces catins des bas fonds, plus belles que toutes ces vierges aux regards fuyants, plus belle que toutes ces idoles païennes aux rites passionnelles. Lula c’était la décadence et l‘indolence, Lula c’était la passion et la dérision. Lula c’était une putain d’emmerdeuse. Lula c’était une putain tout court. Une catin sortie d’un bordel dépravé, une chevelure à se noyer passionnément dedans, un regard à en faire pleurer n’importe quel saint, une bouche qui hurle toute l’indécence du monde. A vous aguicher le plus pieu des chérubins. C’était une belle salope ma Lula.
    Combien de nuits blanches à essuyer ses courbes brulantes, à la sentir frissonner comme aux premières fois, à noyer son chagrin entre ses reins, combien ?
    Des « je t’aime » lancés comme une braise sur la cendre qui enfoncent un peu plus dans la tombe, des regards qui se gravent sur la pierre, une fuite finale qui jette des chrysanthèmes. Une superbe putain, vraiment.

    Je m’appelle Perceval Clydwyn, j’ai 19 ans et ma vie s’est figée lorsque je me suis fait baiser par une putain.

« Bonnie Bonnie ~ »

« Vas-y pour la folie, au gré des paradis. »


Percy • Vous ne soupçonnez pas les pulsions qui m'animent. Firecatgraphics_asu30
    • Age : Ca se demande pas. Non mais.
    • Sexe : J'ai dit Clyde. Un point c'est tout.
    • Avatar : James/Harry Potter. Mais sans l'air niai de gamin s'il vous plait.
    • Comment avez-vous connu le forum ? ... Sérieusement ?
    • Pourquoi vous êtes-vous inscrit ? Parce qu'il manquait un crétin à Lance et Arty ~
    • Autre chose ? IL EST PAS ROUX. Je vous incite à le taper pour ca. Sur ce, je m'en vais finir l'histoire de ma rouquine.


Dernière édition par Perceval A. Clydwyn le Ven 21 Mai - 9:33, édité 5 fois
Revenir en haut Aller en bas
▬▬▬▬▬▬▬
Clyde A. Buckley
ADMIN | Just a curse. Have a nice day.
ADMIN | Just a curse. Have a nice day.
Clyde A. Buckley

Messages : 2186
Date d'inscription : 11/02/2010
Age : 31


It's a kind of magic.
Age du personnage : 17ans.
Nationalité: Irlandaise.
Relationship:

Percy • Vous ne soupçonnez pas les pulsions qui m'animent. Vide
MessageSujet: Re: Percy • Vous ne soupçonnez pas les pulsions qui m'animent.   Percy • Vous ne soupçonnez pas les pulsions qui m'animent. Icon_minitimeDim 16 Mai - 22:28

Azy, il nous manquait personne, t'es venue toute seule
(Mais pour ça, honnêtement, je m'en fiche, fais nous toute la table ronde, je kiffe)

Hohoho. Père Clyde a dans sa hôte pour toi :

En PHY : la section des corps (azy, ma main c'est elle qui a tourné La Chose dans la Famille Addams), la fusion et sinon je proposerais bien le sixième sens en PSY (comme ça, tu sais quand Arthur devient vraiment dangereux)
Revenir en haut Aller en bas
http://socialsuicidebytruth.wordpress.com/
▬▬▬▬▬▬▬
Perceval A. Clydwyn
Percy • Vous ne soupçonnez pas les pulsions qui m'animent. Rangphy
Perceval A. Clydwyn

Messages : 240
Date d'inscription : 15/05/2010
Age : 31


It's a kind of magic.
Age du personnage : 19 ans.
Nationalité: Gallois, évidemment.
Relationship:

Percy • Vous ne soupçonnez pas les pulsions qui m'animent. Vide
MessageSujet: Re: Percy • Vous ne soupçonnez pas les pulsions qui m'animent.   Percy • Vous ne soupçonnez pas les pulsions qui m'animent. Icon_minitimeDim 16 Mai - 22:36

Mais D8 Il faut toujours un abruti dans une quête. Qui ralentirai et ferai chier la troupe, sinon ?

Va pour la section du corps, qu'on rigole ~
Revenir en haut Aller en bas
▬▬▬▬▬▬▬
Clyde A. Buckley
ADMIN | Just a curse. Have a nice day.
ADMIN | Just a curse. Have a nice day.
Clyde A. Buckley

Messages : 2186
Date d'inscription : 11/02/2010
Age : 31


It's a kind of magic.
Age du personnage : 17ans.
Nationalité: Irlandaise.
Relationship:

Percy • Vous ne soupçonnez pas les pulsions qui m'animent. Vide
MessageSujet: Re: Percy • Vous ne soupçonnez pas les pulsions qui m'animent.   Percy • Vous ne soupçonnez pas les pulsions qui m'animent. Icon_minitimeVen 21 Mai - 15:27

J'aurais cru que si on tranchait le personnage avant que genre, il se sectionne, bah le truc était vraiment tranché. Enfin je sais pas.

Enfin je lis l'histoire, là, j'ai les larmes aux yeux (bon, le rhume y est pour quelque chose), mais je trouve ça classe, ce genre de truc.
Enfin, tu sais bien que je te déteste, toi et tes perso. Que je suis pas en admiration devant ce que tu fais. Tu le sais, ça.
Revenir en haut Aller en bas
http://socialsuicidebytruth.wordpress.com/
▬▬▬▬▬▬▬
Contenu sponsorisé



Percy • Vous ne soupçonnez pas les pulsions qui m'animent. Vide
MessageSujet: Re: Percy • Vous ne soupçonnez pas les pulsions qui m'animent.   Percy • Vous ne soupçonnez pas les pulsions qui m'animent. Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

Percy • Vous ne soupçonnez pas les pulsions qui m'animent.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: « CAP OU PAS CAP ? :: « Que la partie commence. :: « Bienvenue à Aisling.-
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit