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 and she said; baby you are the darkness.

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AuteurMessage
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Adriel Stratford
and she said; baby you are the darkness. Rangspepa
Adriel Stratford

Messages : 1578
Date d'inscription : 05/03/2010
Age : 30


It's a kind of magic.
Age du personnage : 17 ans
Nationalité: Galloise
Relationship:

and she said; baby you are the darkness. Vide
MessageSujet: and she said; baby you are the darkness.   and she said; baby you are the darkness. Icon_minitimeMar 31 Déc - 13:42

HELLO WORLD. THIS IS A NEW DAWN, THIS IS A NEW DAY
THIS IS A REBIRTH.

(still under construction)



contenu très explicite, vous êtes prévenus.


arsenic • 18yo • spécial
arrivé à douze ans • 7ème année

I FUCKED MY AMERICAN CUNT

On m'appelle Arsenic.
Je suis la bile dans ta gorge. L'acide dans tes narines. La crasse sous tes ongles. L'écorchure sur ta bouche. La mouille sur ton string. Le sang sur ta langue.

Je veux qu'elles rêvent de moi la nuit, quand elles se touchent au creux d'un lit. Je veux être Fantasme, ce prénom que l'on gémit, écorché par le désir, vacillant sous l'envie, ce soupir qui déchire, le cri éraillé d'une fille qui jouit. Je veux être Plaisir, la petite flamme au creux des reins, la chaleur sanguine qui flambe les veines, cette étincelle dans leurs prunelles. Je veux être la chair, les tétons pointés, les culottes humides, l'érection entre leurs cuisses. Moi je suis Orgasme. La plus belle mort qu'elles peuvent avoir.

Tu sais bébé, je suis la brûlure dans ta gorge quand t'avales.
La morsure sur ta bouche quand tu m'embrasses.

Je voulais qu'elles aient soif de moi. Qu'elles aient faim de mes mains sur leurs peaux, faim de ma bouche sur leur sein. Je les abreuvais de baisers, les noyais entre mes doigts et ma chair, les incendiais sous mon amour, sous mes caresses. Avant de les abandonner, bonnes à crever sous un porche mal abrité. Alors elles mourraient à demi, comme anémiées par une absence de tendresse.
Elles ne survivent jamais longtemps sans amour.

Alors je devenais les larmes sous les paupières, les sanglots dans le noir, la chute, toujours la même. Les éclats fragiles d'un petit cœur qui se brise.

Et je recommencerai, encore, avec chacune d'elles jusqu'à qu'il n'y en reste plus. Le même petit rituel toujours le même, si bien rodé. Cette pincée de sadisme dans la noirceur du petit jour.

Oubliez les Ludvik, les Arthur et les Leif, toutes ces charognes qui rampent sous la moquette. Oubliez la vermine et sa bouche moqueuse. Craignez moi. Ça fait bien longtemps que le Malin ne se cache plus seulement derrière de longs cheveux noirs et un regard assassin. Il a de grands yeux d'ambre et une tête toute blonde. Il a un sourire en coin et répond au doux prénom d'Adriel.

IT WAS A DIRTY DREAM CAME TRUE

téléportation • maîtrisée à 84%
everywhere i wanna be = everywhere i go
screw you all

just like i like it shes got nice tits

J'aurais du me rappeler de cette fois-là.
Revoir la gueule de ma mère et celle de son amant. Les revoir encore, toujours, gravées dans ma mémoire comme une vieille balafre sur une peau ravagée. Mais j'ai oublié. Juste un vague reflet demeure, deux visages hagards dans le brouillard, cette nausée dans la poitrine, la même - toujours la même - et un rictus qui pend aux lèvres. De cette fois-là, j'ai juste retenu que la vie est une chienne et que depuis, moi, je la baise.

Mais cette fois-là, pour la première fois, j'avais éprouvé ce que les gens de lettre appelleraient la douleur de vivre. Cette fureur au creux du cœur qui ne te quitte plus. J'avais seulement huit ans, et juste comme ça, je n'étais plus un enfant. J'avais le lait maternel au coin des lèvres encore, mais sans attendre la vie me pissait dessus, la patte levée, la truffe en l'air, impatiente et pressée comme sur un pylône électrique.

Je ne l'ai jamais plus jamais appelée maman. Elle était devenue Susan. La femme mère. La génitrice. Une inconnue presque.
Elle s'en moquait. Pour un peu, elle en riait.

Je me suis souvent dit que ma mère avait eu une bonne raison sûrement de cocufier mon père, qui le lui a vite bien rendu. J'ai longtemps cru qu'il y avait eu un temps révolu où ils s'étaient aimés. Peut être une nuit seulement ou rien qu'une minute mais c'était arrivé. Je repensais à ce temps quand mes parents avaient encore le goût et l'envie l'un de l'autre. Je me disais que ça leur manquait peut être au fond. Puis un jour la vérité m'a sauté à la figure comme un vieil obus d'une guerre lointaine dont le cœur n'a jamais cessé de battre :

Ils n'en avaient plus rien à foutre.

J'en ai longtemps voulu à ma mère. J'étais plus indulgent avec Mark, mon père, par solidarité masculine. Mon mépris amusait Susan, ça la faisait presque rire. Je lui volais ses cigarettes. C'est certainement à cause d'elle que je me suis mis à la clope. On fumait ensemble, souvent. On ne parlait presque pas, on était juste là, ensemble. Unis par un même silence passif. Elle n'avait pas l'instinct maternel. Elle avait juste eu ce rêve un peu fou de croire à l'amour. Je n'étais finalement que son devoir envers la nation, son dû à mon père pour son alliance à l'annulaire. Un prêté pour un rendu. Elle lui avait donné une descendance, un héritier mâle pour son nom, elle avait rempli sa partie du contrat. Elle m'aimait désormais comme on aime un vieil ami, sans drame et sans surprise. Elle vivait sa vie, je vivais la mienne, chacun de son côté comme on l'entendait.

C'était un fragment de ma vie qui craquait sous son talon vernis. Elle me décocha son rictus carmin. Le même que le mien.
Elle laissa son mégot tomber à ses pieds et l'écrasa avec application du bout de son soulier. Sans cesser de le regarder, elle remua délicatement sa cheville, animant sa ballerine rouge qui faisait une si jolie tâche sur le gravier. Je savais que Susan aurait aimé que Mark la regarde et qu'il l'aborde. Il lui manquait. Elle ressentait toujours à le regarder un peu de nostalgie, comme si dans ces moments là surtout, les relents de leur gâchis emplissaient ses poumons. Elle avait des remords peut être, parfois. Ça devait lui arriver. Elle repensait à ces années disparues ; ils s'aimaient alors tous les deux comme on aime un idéal. Elle repensait à cette pièce ou à celle-ci, à cette chambre où ils étaient venus en douce autrefois, à l'improviste, comme des amants. Puis le quotidien revenait. Ses yeux se couvraient. Son manège recommençait. Les femmes ne peuvent pas vivre sans tendresse.

uc.

On disait rien. On était deux mômes, au bord de l'eau.
Au loin, la mer s'était retirée; mais dans ses yeux bleus, deux petites vagues étaient restées. Je l'ai regardée, on a souri. Puis plus rien.

C'est dommage qu'on se soit perdu, April.

uc.

Quand je me suis téléporté la première fois, ça n'a choqué personne. J'étais né pour être exceptionnel, ça n'avait rien de magique, c'était juste génétique.

uc.

Elle s'appelait Aelys.
Elle était là, sur ma bouche, comme un baiser mal effacé. Un délicieux mensonge, cruel et étouffant avec de la belle rhétorique.
Elle allait me bouffer.




Je serai celui qui ira cracher sur la tombe du monde.

it was a perfect dream came true

camie • 20 • faible femelle
adriel est joué par alex pettyfer & dino de reborn


MOHSEN BB JE T'AJOUTERAI BIENTÔT À L'HISTOIRE !!!
(si j'arrive à la finir) (un jour)
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and she said; baby you are the darkness.

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