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 Tu vas apprendre à avoir peur du noir. ♥

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Henry G. Vittore
Tu vas apprendre à avoir peur du noir. ♥ Rangspepa
Henry G. Vittore

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MessageSujet: Tu vas apprendre à avoir peur du noir. ♥   Tu vas apprendre à avoir peur du noir. ♥ Icon_minitimeVen 8 Fév - 3:46

Il était une fois un jeune adolescent disant s'appeler Henry. Ce jeune homme avait de grands yeux bleus et des cheveux à l'origine noir - comme son âmeuuuuh -, maintenant tout blanc - pas comme son âmeuuuuh -. Ce garçon, c'était un méchant, il aimait faire du mal aux gens ! Oh la la, ce n'est pas très gentil ça ! Il fallait lui apprendre à devenir un bon petit ! Mais ce n'était pas possible, alors on le laissait être un vilain pas gentil sous peine de se manger une mandale en plein dans la façade. Hum... Bon, j'arrête de parler comme ça, j'ai l'air d'un attardé vous racontant une fable à la con. Oui donc, en bref, Henry c'est un sale petit enfoiré et il vous crache à la gueule, c'est déjà plus rapide et concret. Petit enfoiré donc, se promenait dans la... La... Hum. Peut-on dire que tout ce qui est externe à l'enseignement mais se retrouve près de l'école fait partie d'Aisling, ou alors est une sorte de ville ? Huhuuuuum. Bwarf, on s'en tape. Donc, machin là, tête de flocon, se promenait dans les alentours, sans réel objectif. Quoi ? Ça ne vous arrive jamais de vous promener sans rien prévoir ? Genre. On ne me la fait pas, je sais que vous êtes des glandeurs en puissance. Bref.

Errant tel un fantôme trop dark t'as vu, Henry se comportait comme à son habitude, ce qui signifiait emmerdes et douleur pour autrui. Oh, vous avez besoin d'un schéma je suppose ? Bien bien. En gros... Dîtes-vous que le charmant enfant aimait bien créer des plaques de verre sous les passants pour les voir se rétamer sur le bitume. Qu'il est mignon. On voyait donc quelques personnes tomber à la renverse, alors que l'adolescent était déjà loin, un sourire mesquin sur son joli minois. Faites pas style, si vous aviez son don, vous feriez pareille, bande de sadiques. Quoi qu'il en soit, les minutes défilaient, et c'est alors que quelqu'un se retrouva dans le collimateur du jeune élémentaire. Des cheveux roux, des yeux grisâtres, un air timide, c'était Luca. Luca partage un point en commun avec Henry: il est Italien. Mais pour ce qui est du reste, les deux ne venaient clairement pas du même moule: si le rouquin était gentil, serviable et doux comme un agneau, en face, nous avions plutôt droit à un gamin fourbe, perturbateur et aussi turbulent qu'un chien mal éduqué. Dire qu'il y a encore quelques mois - bien qu'il avait ses sauts d'humeurs -, Henry se faisait passer pour un gentil auprès de Luca... Les choses avait bien changé, au détriment de l'aimable rouquin.

En effet, révélant sa véritable nature de grosbill maléfique suite au départ de son ami Strombolino, Henry n'avait pas attendu longtemps pour montrer à Luca la différence entre son rôle d'innocent petit et ce qu'il est réellement. Petit résumé: Afin de se présenter officiellement, Henry avait proposé à Luca de venir à sa rencontre en emmenant son roman préféré, prétextant qu'il voulait vraiment le lire avec lui, et là, comme vous vous en doutez, trahison ! Infamie ! Arrachant son bouquin à Luca avec un sourire mauvais, Henry, après avoir prononcé un inquiétant " Donc, c'est ça ton livre préféré, heiiin ? Hihihihi, tu vas voir, je vais le rendre suuuubliiiimeuh ! ", il transperça sans cérémonie le bouquin avec une dague en verre. S'en est suivi un rire sardonique de grand méchant, et ensuite, l'horreur pour toutes personnes aimant les livres: le sale gamin s'était mis à arracher les pages les unes après les autres, sous le regard désabusé de Luca... Il devait encore en être traumatisé, le pauvre choupinet.

Repérant donc sa victime, Dylan Fever se planqua rapidement afin de la prendre par surprise - le coquin -, préférant la suivre avant de passer à l'action. L'italien à la crinière blanche aimait jouer, il n'allait donc pas se gâcher le plaisir en attaquant précipitamment sa cible. Se comportant donc comme un prédateur chassant sa proie, il observa quelques minutes le pauvre rouquin, attendant patiemment la bonne occasion pour porter sa première attaque. C'est une fois la brebis loin du troupeau que le prédateur passa à l'action... Celle-ci consista à faire éclater le verre d'un lampadaire au passage du rouquin, et quelques secondes plus tard, c'était tous les autres qui explosèrent, laissant le petit chemin dans la pénombre. Henry surgit alors derrière Luca, tel un adorateur de surprise buttsecks.

- Alors mon mignon, on se promène seul dans le noir ?

L'instant d'après, Henry bouscula Luca sans retenir ne serait-ce qu'un peu sa force. Il croisait maintenant les bras, balançant sa tête de gauche à droite, un air faussement innocent collé sur son faciès. Son regard se fixant dans les prunelles du garçon, Henry se pencha légèrement vers lui, tendant sa main dans sa direction. En s'y attardant, on pouvait voir dans sa paume une pointe de verre menaçante se profiler. En voilà une vision rassurante, n'est-ce pas ? Enfin, pour le moment, Henry attendait de voir comment allait réagir son jouet, ce n'est qu'après qu'il se déciderait sur la manière de s'amuser avec... Mwahahaha !
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Luca E. Aldena
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MessageSujet: Re: Tu vas apprendre à avoir peur du noir. ♥   Tu vas apprendre à avoir peur du noir. ♥ Icon_minitimeLun 5 Aoû - 3:59

(Waaah pardon je suis méga en retard mais wow regarde je suis pas si rouillée!! Je crois.)

YOU ALMOST ALWAYS PICK
THE BEST TIMES TO DROP THE WORST LINES

Il y avait, étrangement, quelque chose qui s'était brisé, au même moment que le verre des réverbères. Quelque chose d'aussi fragile, d'aussi transparent. Ce quelque chose qui lui aussi s'était craquelé presque aussitôt. Matraqué, pilonné, fissuré fusillé. En un simple instant, c'était rien, c'était trop simple, trop facile.

On aurait presque pu te ramasser en morceaux au milieu des cristaux, Luca. La lumière débridée, lorsqu'elle ne frappait pas les éclats t'entourant, éclairait ton visage, avant de s'évanouir dans l'obscurité; un salut passager. Ce visage, un écran pâle modelé à l'aide d'un seul outil, un seul couteau, une lame fine qui dessine tes traits, si parfaitement, si correctement. De la peur, Luca. Ce n'est rien que de la peur. Tu devrais commencer à connaître ce que ça fait, après toutes ces années. La sentir s'infiltrer, sinueuse, à travers tous tes pores, comme une obligation, un fait immuable, une loi du monde. L'entendre s'approcher, pas par pas, la sentir avancer vers toi, inévitablement, guidée tout naturellement par cette graine, ce parasite qu'elle a posé en toi. La voir imprégner ton être, se saisir de tous tes membres, te contrôler complètement et - tu le sais - ne pas pouvoir s'échapper. Sentir ses crocs déchirer, avaler, t'avaler. La sentir te dévorer de l'intérieur. Fermer les yeux et crier. Crier, fort, plus fort, aussi fort que tu le peux. Quel dommage que personne ne puisse t'entendre. Car peu importe à quel point tu te fatigues, Luca, les hurlements restent coincés au fond de ta gorge. Eux aussi t'abandonnent. Tu t'égosilles et tu piailles en vain. Bientôt, ce sont tes membres qui, à leur tour, abdiquent, qui à leur tour refusent de se battre. Tes jambes déclinent tout ordre, repoussent toute commande, sauf une seule. Elles tremblent, sans interruption, terrifiées, autant que toi tu l'es. Elles n’écoutent que ta peur, ta peur déchaînée qui tempête au fond de toi. Ton propre corps te fait défaut, te trahit, paralysé par cette machine du mal, cet engin mécanique maléfique. Un virus qui corrompt tout ce qu’il touche, une maladie incurable qui se saisit de ton cou, qui t’étrangle. Tu suffoques et tu t’emportes, tu voudrais t’enfuir. Tu ne peux pas. Tu ne pourras jamais. Alors tu renonces, et tu tentes, peut-être un peu naïvement, de comprendre ce qui t’arrive.

Pourtant il n’a suffi que d’un contact, une bousculade, comme celles que tu avais depuis longtemps l’habitude de subir. Il n’était pas bien différent de tous ceux qui t’avaient un jour maltraité ; voire même, qui était un de tes premiers bourreaux. Il n’avait suffi que d’un éclat de voix pour comprendre dans quel enfer tu étais tombé, Luca. L’enfer était italien - comme toi - et il s’appelait Henry Vittore. Ce gosse qui pourtant, malgré ses sautes d’humeur, n’avait pas été si méchant. Ce gamin avec qui tu avais trainé, à qui tu t’étais presque confié. Dont tu étais persuadé que son meilleur ami était terriblement injuste avec lui. T’aurais presque pu lui faire confiance, t’aurais presque pu y croire, à sa mascarade, comme t’aurais pu croire à n’importe quoi, en vérité. Il te suffit juste d’y placer un peu d’espoir et tes fantaisies démarrent, aussi facilement qu’en claquant des doigts.

C’est ce genre d’espoir, fragile et superficiel, que les vautours préfèrent.

Il est là et il te fait face, te fixe, tu oses à peine le regarder, prunelles argent plongées l’une dans l’autre. Tu ne voulais pas le regarder. Tu ne voulais affronter ni la lame dans ses yeux, ni l’ombre d’un souvenir qui s’y reflétait. L’ombre de quelqu’un que tu aurais préféré oublier. C’est triste qu’il vienne te pourchasser jusqu’ici, pas vrai Lulu ? Tu l’entendrais presque te murmurer, cette voix si grave qui te hantait encore, jusqu’ici, partout, des années après. Il te haïssait, et tu lui rendais la pareille avec joie. Mais Luca, ouvre les yeux. Ce n’est pas tes souvenirs qui vont te sauver la vie. Il est encore là, et il ne bougera pas. Tu le sais. Tu le connais, à force. Tu avais cru le connaître. C’est dommage. Les yeux encore plantés dans ceux de ton interlocuteur, tu ne savais quoi dire. Ce ne fut que quelques syllabes qui s’envolèrent de tes lèvres, des bribes de mots incompréhensibles, qui à elles seules traduisaient toute la détresse du monde.

▬ Qu’est-ce…tu…

Tes pupilles divaguent, divergent, ne serait-ce qu’un instant, un instant de trop. C’est quelque chose de brillant qui attire ton attention, qui t’éloigne de l’autre. Quelque chose qui repose dans sa main, et qui luit trop pour que ça soit rassurant. En un éclair, c’est le don du garçon qui te revient en tête. Contrôle du verre. Et c’est un frisson qui descend le long de ta colonne vertébrale, qui lui aussi s’enfuit, qui lui, a tout compris. Qui sait quel sale quart d’heure tu vas passer. Ce même frisson que tu ressens à chaque fois, peu de temps avant que ton corps devienne bleu hématome. A nouveau les tremblements reprennent, tes yeux hurlent à qui veut entendre. Personne n’entend. Peu importe quelle pensée, ne serait-ce qu’un minimum logique et saine, te traverse l’esprit, c’est l’émotion qui prend le dessus, qui t’engloutit, et tu ne sens plus rien. Tu es seul, avec lui, avec elle.


La vérité, c’est que tu n’es qu’un froussard, Luca.
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Henry G. Vittore
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MessageSujet: Re: Tu vas apprendre à avoir peur du noir. ♥   Tu vas apprendre à avoir peur du noir. ♥ Icon_minitimeJeu 13 Mar - 16:29

( the dreaaaaaaam !!! )

Le jeune italien aux cheveux blancs fixait sa proie, amusé de voir ainsi son collègue à la chevelure rougeâtre trembler de tout son corps alors qu'il n'avait pour le moment rien fait. Luca avait l'air d'un chien battu, apeuré à l'avance en imaginant ce que pouvait bien lui réserver son bourreau. Ce dernier respire à ce point la peur qu'il n'arrivait même pas à crier à l'aide, ni même à articuler une phrase. Ce type est pathétique, voilà ce que pensait Henry de Luca. Avait-il jamais eu ne serait-ce qu'un peu de fierté ? Ce ne serait pourtant pas si difficile de se redresser et de coller son poing à la figure du jeune elem. Oui, il prendrait sûrement des coups en retour, mais si ça lui permettait de regagner son honneur, ce serait un moindre mal, pas vrai ? Henry en avait légèrement sa claque de voir ce garçon plus âgé avoir les glandes face à lui. Parfois, il se disait que ce serait plus intéressant de s'en prendre à quelqu'un ayant du répondant, comme Sixtine... Mais l'idée de finir carbonisé ne l'attirait pas tant que ça, en fait.

Ah quelle blague ce bahut, on avait d'un côté les pétochards aux dons ridicules et de l'autre les fiers aux dons dangereux. Bonjour la diversité au menu: d'un côté le jeune italien avait le choix de s'en prendre à des faiblards en y prenant peu de plaisir, de l'autre il pouvait s'attaquer aux forts mais prenait le risque d'en ressortir largement perdant. On se croirait dans un jeu mal calibré. Heureusement que notre petit sadique était bien assez fourbe pour poser des problèmes aux forts sans se faire prendre, tiens. Bref, après plusieurs secondes de silence, le jeune adolescent se décida à passer à la vitesse supérieure, mettant fin au calme des lieux en projetant son morceau de verre contre le sol, ce dernier frôla de peu la joue gauche du vert pour finir par se briser.

- Sérieusement, mon petit nabot roux, tu pourrais pas t'acheter des cojones ?

Fixant les éclats de verre, Henry se concentra sur ces derniers et peu à peu, le petit amas se mit à léviter lentement au-dessus du sol avant de venir se planter devant le faciès de Lulu. Le visage faussement innocent de Dylan Fever se mua alors en un regard sombre. Sans même prévenir, il projeta l'un des éclats contre l'épaule de son compatriote, le verre tranchant légèrement les habits de ce dernier. D'autres se rapprochèrent des yeux de Luca pendant que Henry s'abaissait pour le tirer par le col avec brutalité.

- Si tu continues à bégayer comme une petite tapette, le prochain ira se planter dans autre chose que tes vêtements. Capiche ?

Le petit roux semblait tellement effrayer que le voir se faire dessus ne surprendrait même pas Henry. Il fallait faire quoi pour le réveiller celui-là ? Allez quoi, bouges-toi un peu le cul Lulu ! Autant Henry aimait bien dominer son jouet du moment, autant que ce dernier ne se débatte pas était d'un ennui assommant. Avec un soupir las, Ghislain se redressa tout en soulevant l'autre chochotte dans son élan. Les éclats de verre tombèrent alors à terre, non pas pour laisser un peu de répit à Luca, mais pour laisser au vilain garnement le temps de reprendre un peu d'énergie. Car oui, vous ne le savez peut-être pas, mais Henry était encore assez faible pour ce qui est de faire virevolter le verre. Pas surprenant qu'on ne le voyait que très rarement utiliser cette faculté du contrôle qu'il exerce sur cet élément. Les cours qu'il prenait avec Summer en privé afin d'améliorer sa maîtrise pouvait d'ailleurs rapidement l'épuiser. Dommage qu'elle ne désirait pas le fatiguer en s'entraînant dans un autre domaine, là, il ne dirait sûrement pas non à se retrouver en sueur. Ah, si jeune et déjà pervers, elle est belle la jeunesse. En parlant de ça.

- En parlant de cojones, je me demande si une larve dans ton genre a déjà vu des gros obus. Hum ? Dis-moi tout Lio, tu te touches en pensant à qui ? Hum ? Allez, balances, tu n'arriveras pas à me faire avaler que personne ici ne te donne des envies de salir tes draps. Skyler la cinglée ? Lisandra la sournoise ? Zora la rêveuse ? Melina la plate ? Queen la péteuse ? En tout cas moi je me ferais bien Aelys. Et Billie. Voir Victoria même si elle a pas grand chose dans le soutif. Ah, mais peut-être que tu préfères les mecs ? Genre ce connard de Ludvik ? Qui sait, ça se trouve tu te touches en pensant aux deux Haraldson en même temps, hein mon petit dépravé ?

Oui, il est comme ça le Henry nouveau, nature, à se foutre complètement de vos tabous. Qu'est-ce que ça peut bien lui foutre vos histoires de vie privée ? Il se torche allègrement avec. Ah, qu'il est gentil ce gamin, un véritable petit ange. On a envie de lui faire plein de poutoux d'amour et des câlins tout doux, pas vrai ? Non hein. Collons-lui plutôt des baffes, ça lui ferait pas de mal. Enfin. Poursuivons avec les dires de ce sale petit con.

- Ou alors tu préfères carrément les trans ? Après tout t'en es limite un, avec ta face de soumis et tes cheveux longs. Oh, je sais !!! Ton truc, c'est les animaux ?.. Humn, nan, ce serait dégueu ça quand même. Et t'es trop coincé du cul pour être aussi cintré... Allez, dis-moi tout mon Lulu ! Je suis ton copain, ton pote, ton bro ! Pas vrai ? De toutes façons t'as pas le choix, parce que si tu fais ta pucelle, je te lacère le visage. Hihihi <3

Un sourire malsain sur le visage, Henry tapota le crâne de Luca, probablement pour le mettre en confiance. Ou le faire encore plus flipper. J'hésite. Le doute m'assaille. Non vraiment, c'est dur de choisir tant Henry me paraît être un confident plein de bonne volonté. M'enfin. Passons. Quoi qu'il en soit, notre italien à l'âme aussi noire que Scar pouvait l'avoir bourrée de saloperies traîner avec lui Luca droit vers un endroit bien précis. C'est que l'improvisation pouvait vous rendre encore plus vicieux que vous ne l'êtes au naturel, alors cette petite conversation sur les fantasmes de l'innocent Luca avait donné une idée tordue à ce petit salopard d'Henriette. Sa petite idée lui semblait bien plus fun encore que passer à tabac le nain, c'est dire son enthousiasme. Oui, moi aussi imaginer ce taré dans un tel état d'esprit me fait peur. Je pourrais même trouver envisageable de finir cette histoire sur le meurtre et l'enterrement de plusieurs prostiputes avec ce gugus dans les parages.

Pauvre petit Luca, je me demande dans quel merdier Henry va le mettre. Notez cet effet de style en mode suspens et tout alors que je sais très bien dans quoi ce monstre embarque le rouquin. Je suis trop génial. Allez, à la prochaine pour la suite de nos aventures ! Pour ma part je m'en vais consulter un psychologue, parce que c'est vraiment pas normal d'en arriver à créer un mioche pareil. Brrr, je me sens sale.
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MessageSujet: Re: Tu vas apprendre à avoir peur du noir. ♥   Tu vas apprendre à avoir peur du noir. ♥ Icon_minitime

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