Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-39%
Le deal à ne pas rater :
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON AVR-X2800H, Enceinte ...
1190 € 1950 €
Voir le deal

Partagez | 
 

 son entrée dans un studio, l'écran couleur menthe à l'eau •• ethel

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
▬▬▬▬▬▬▬
Ethel J. Cameron
son entrée dans un studio, l'écran couleur menthe à l'eau •• ethel Rangelem
Ethel J. Cameron

Messages : 18
Date d'inscription : 17/11/2012
Age : 30


son entrée dans un studio, l'écran couleur menthe à l'eau •• ethel Vide
MessageSujet: son entrée dans un studio, l'écran couleur menthe à l'eau •• ethel   son entrée dans un studio, l'écran couleur menthe à l'eau •• ethel Icon_minitimeDim 18 Nov - 0:56

réservée par bhou ♥



son entrée dans un studio, l'écran couleur menthe à l'eau •• ethel O7I2x
       SURNOM Diaz. (pour Cameron Diaz)
ÂGE 17 ans
ANNÉE sixième année
ANNÉE D'ARRIVÉE quatrième année
CLASSE la miss est chez les elem

Elle semblait bien dans sa peau, ses yeux couleur menthe à l'eau.
À première vue, Ethel June Cameron a tout du stéréotype sur pattes de la parfaite petite blonde un peu bourge qui promène ses tenues à la mode et son joli petit derrière sur le campus en lançant des sourires ravageurs et plus qu’étudiés et des baisers volants un peu partout. Elle n’en est pas loin, mais la différence chez Ethel, c’est que tout est naturel. Et cela vaut aussi bien pour ses boobs et son adorable sourire que pour sa richesse. En effet, sans être millionnaire, la jeune fille est née dans une famille aisée, et cela se voit. Éducation soignée, assurance, vêtements coûteux, et cette façon toute naturelle qu’elle a d’attirer l’attention des autres. Néanmoins, Miss Cameron se détache du stéréotype évoqué précédemment en cela que le snobisme, le mépris et la bimbo attitude ne font pas exactement partie de ses défauts. Les siens se trouvent ailleurs, et sont à vrai dire, bien souvent, la face cachée de ses qualités. Pour repartir sur de bonnes bases, il faudrait commencer par souligner qu’Ethel est une fille tout à fait sympathique. Facile à aborder, sociable, charmante et attentionnée, elle a tout d’une bonne amie. C’est là que se situe le premier problème : Ethel, c’est un peu la super copine de tout le monde. Pas qu’elle aime tout le monde, non, elle peut se révéler une véritable adversaire si elle en venait à vous prendre en grippe ; mais Ethel offre si facilement son amitié que, comme pour beaucoup d’autres choses, on peut se demander quelle valeur la blonde accorde réellement à la-dite amitié. Et l’on touche là à un point sensible autour duquel se structure la personnalité de la jeune fille : la valeur qu’elle accorde aux choses.

Ethel a été élevée dans un milieu où elle n’a jamais manqué de rien, où tout était à sa portée et où il lui suffisait, à peu de choses près, de tendre la main pour obtenir quelque chose. Elle a également grandi dans un environnement sain, protégé, et entourée d’amour. Ces facilités expliquent que la demoiselle ne mesure absolument pas la valeur de certaines choses. Son rapport à l’argent est tel qu’elle ne se rend pas compte des prix, et la facilité avec laquelle elle a obtenu attention et tendresse au cours de sa vie fait que ces mêmes choses lui semblent toutes naturelles. À vrai dire, le point positif est que, loin d’être devenue une parfaite petite peste pourrie gâtée, Ethel est une jeune fille respectueuse et aimante, et même généreuse. Habituée à obtenir les choses matérielles sans effort (Ethel ne sait absolument pas ce que c’est que de travailler dur pour obtenir quelque chose, de même que le concept de « récompense », et ce qu’il a de précieux, lui sont plus ou moins étrangers), Ethel tend à accumuler une quantités d’habits et bibelots en tous genres. Objets dont elle n’a aucun mal à se séparer, puisqu’ils ne représentent pas grand chose à ses yeux : il lui sera toujours possible de les racheter ou de les remplacer par autre chose. Ce qui nous mène à l’une de ses grandes qualités : Ethel est généreuse. C’est bien simple, ce qui est à elle est à vous. Vous voulez lui emprunter quelque chose ? Il n’y a qu’à demander. Les habitué(e)s sauront même qu’ils peuvent aller se servir sans poser de questions, c’est de bon coeur. Non contente de prêter ses affaires à qui veut, Ethel n’hésite pas non plus à en faire présent sans y réfléchir à deux fois. Certains l’interpréteront comme une délicate attention, candide, peut-être un peu naïve. Certains lui en seront reconnaissants, tandis que d’autres en profiteront avidement. Les plus aigris verront ses largesses comme une sorte de mépris, la générosité toute condescendante de celle qui daigne accorder aux défavorisés ce qui ne lui coûte rien. Autant le dire clairement : pas une fois, Ethel n’a vu les choses sous cet angle. Elle ne se considère absolument pas comme supérieure aux autres, et ne cherche pas volontairement à étaler son succès, ses moyens ni ses possessions sous vos yeux dans le but de marquer la différence entre elle et les autres. Il n’en reste pas moins qu’elle peut faire preuve d’un flagrant manque de tact dans certaines situations, inconsciemment, et plus par ignorance que par méchanceté.

Néanmoins, sa générosité si reconnue nécessite que l’on s’y attarde encore un peu, pour la nuancer : car contrairement à ce qu’elle aime à croire, elle n’est pas gratuite. Il y a chez Ethel une sorte de volonté de donner, de rendre service et de s’intéresser à autrui qui sont toutes trois moyen de s’aimer elle-même. Ethel est certainement capable d’aimer, mais elle n’a encore jamais aimé véritablement. Bien trop souvent, elle s’aime au-travers des autres, et parvient par de bonnes actions à atténuer son sentiment de culpabilité. En effet, malgré l’innocence de son ignorance, il est des choses que l’on découvre en grandissant, en sortant du cadre protégé de l’enfance et du monde où l’on nous enfermait alors, et malgré la façon désarmante dont elle passe parfois à côté des règles de conduite les plus élémentaires, la jeune fille s’est forcément rendue compte du décalage qu’il existait entre ses actions, sa façon de vivre et de voir le monde, et la vision que les autres s’en font. Et Ethel culpabilise. Elle culpabilise de la légèreté avec laquelle elle appréhende le monde, elle culpabilise de bafouer les valeurs des autres, parfois, de considérer leur dur travail comme s’il ne représentait rien, de ne pas reconnaître les choses à leur juste valeur, de ne pas comprendre l’importance de cette notion de valeur, enfin, qui ne représente pour elle qu’un nombre plus ou moins grand de zéros au bas de l’étiquette, et les bouts de papier vert correspondant au montant. Au fond, Ethel réalise bien qu’elle ne pense pas vraiment comme il faudrait, que son comportement est parfois en décalage avec ce que l’on pourrait attendre d’elle, et que son gentil laisser-aller cause parfois des dégâts qu’elle n’aurait pas su prévoir. Oui, mais Ethel tient trop au confort de sa jolie petite vie pour affronter cette vérité. Elle ferme les yeux, bat des cils, et feint l’ignorance. Voyez-vous, Miss Cameron est dans le déni et, quelque part, elle sait qu’elle est coupable par une sorte d’oisiveté, de paresse confortable et commode qu’elle refuse égoïstement d’abandonner. Ce n’est en soi pas bien méchant, mais cette part d’égoïsme la pousse parfois à des réactions assez lâches et peu appréciées de ses camarades, et l’on touche là à une autre composante importante de la personnalité d’Ethel June Cameron : la jolie blonde est fondamentalement insouciante. Frivole et négligente, Ethel cherche sans cesse à se divertir, à s’amuser, à vivre sa vie comme elle l’entend. Elle ne passe pas véritablement pour une personne égocentrique, imbue d’elle-même, ni véritablement insensible, bien au contraire ; le malheur des autres l’émeut sincèrement, et elle possède une fibre altruiste tout à fait sincère. Tant que cela ne menace pas son propre confort. Ethel, c’est la fille qui vient spontanément à ton secours, mais qui risque de se désister si tu viens la chercher quand ça ne l’arrange pas. Et parfois, c’est juste parce qu’elle avait prévu d’aller boire un coup avec des copines. Et ça, c’est probablement le plus grand défaut d’Ethel. Ethel est une fille très sympa, un peu étrange parfois, mais pas prise de tête. Elle est gentille, généreuse et attentionnée, on s’amuse bien avec elle, et on peut lui faire confiance. Mais elle n’est pas vraiment fiable en fin de compte, et il y a des fois où elle n’en a gentiment rien à faire.

Mais si l’on met ce travers de côté, Ethel est une fille charmante à côtoyer. Agaçante, oui, parfois, pour certains plus que d’autres. Ce genre de fille dont se dit qu’elle a dû se voir attribuer un quota de chance et de bonheur supérieurs à la moyenne à sa naissance. Le genre pokémon shiny. Et ça, c’est rageant. Il y en a probablement qui rêveraient de briser la charmante petite créature, avec ses gestes désinvoltes et ses sourires insouciants, et son petit monde parfait où tout tourne tout naturellement autour d’elle. Parce qu’elle attire les regards, et elle le sait. Ethel, elle a un petit côté mégalo, parfois. Elle aime le jeu de scène et la théâtralité, elle aime se sentir en contrôle, regardée et appréciée. Elle aime se glisser dans la peau d’un personnage pour expérimenter toujours plus de choses, toujours plus de sensations. Et le pire, c’est qu’elle n’est pas timide pour un sou. Ethel fait du roleplay, que ce soit à l’écrit ou en vrai. Lorsqu’elle vivait encore aux Etats-Unis, elle faisait du théâtre, et ça lui allait à merveille, à la petite comédienne. Costumes, masques et rôles à tenir sont son pécher mignon. Encore aujourd’hui, il lui arrive régulièrement de se prendre pour un personnage, de s’inventer des histoires ou de s’imprégner de celles des autres, et de leur donner vie dans les couloirs de l’établissement, avec une conviction désarmante. Elle tente même d’entraîner ses camarades dans son jeu d’actrice. Et le tout, lorsqu’elle n’est pas vêtue d’une tenue soigneusement réfléchie et indéniablement fashion, en costume ! Ne vous étonnez pas de la voir porter des costumes variés au sein même de l’école, en lieu et place de son uniforme. Les adultes lui font régulièrement des remarques sur ses tenues parfois saugrenues, mais ils ont fini pour la plupart par abandonner. L’adolescente commande autant de costumes en tous genres que d'habits à la mode, et elle cherche parfois à recruter d’éventuels couturiers et stylistes en herbe au sein de l’école pour lui confectionner des tenues sur mesure. Moyennant salaire, bien entendu. Mais ne vous attendez pas à la voir saisir le fil et l’aiguille : mademoiselle est tout bonnement incapable d’effectuer le moindre travail manuel. Pas plus que la moindre tâche ménagère. C’est déjà un miracle qu’elle sache faire marcher l’aspirateur et qu’elle réussisse à faire des pâtes !

Elle rêvait qu'elle posait, juste pour un bout d'essai.

DON contrôle des tissus
EN DÉTAIL ce don permet à la jeune fille de contrôler toute sorte de matériau obtenu par tissage de fils ou de fibres naturels tels le coton, le chanvre, le lin ou encore synthétiques tels que le nylon, le polyamide, la viscose. Ethel peut contrôler toute sorte de tissu par le simple exercice de sa pensée. Elle peut les faire bouger, étirer le tissu, défaire une couture, détendre ou resserrer les mailles... Elle ne peut pas réellement coudre car cette opération implique des éléments qui échappent à son contrôle, comme le fil qui sert à faire les coutures, mais elle peut faire ce qu'elle veut du tissu lui-même, y compris le faire tenir en place en restant concentrée.
MAÎTRISE le don lui-même n'est pas très difficile à maîtriser. Ethel parvient à l'activer et à le désactiver à volonté, et obtient généralement le résultat escompté. Le problème se situe plutôt dans le fait que la jeune fille tente assez souvent d'utiliser son don pour "arranger ses vêtements", voire se confectionner de nouvelles tenues. Or Ethel n'a pas l'âme d'une couturière, et le résultat est rarement satisfaisant, à l'image du plan à partir duquel elle a tenté de l'obtenir. En fin de compte, Ethel s'en sert surtout pour faire venir ses habits à elle depuis son placard, pour ne pas avoir à porter son manteau (elle le promène comme un petit toutou), et pour détruire ses vêtements ou ceux des autres, généralement sous le coup d'une émotion forte ou d'une soudaine pulsion de créativité.
ELLE ET LES AUTRES Ethel a besoin de se sentir aimée. Ethel ne s'intéresse pas à la guerre des classes et ne tient pas son statut d'elem. Néanmoins, son côté involontairement snob lui a permis de bien s'intégrer dans la classe, même si l'on voit parfois d'un mauvais oeil le fait qu'elle traîne autant avec les phy et les spe. Quand à elle, elle se sent bien partout.

coucou ici alcyone, et ceci est déjà mon cinquième compte, qui vient rejoindre sully, nikolaï, lisandra et sieben. que le temps passe vite ! j'ai 19 ans et je ne crois pas avoir changé de sexe au cours des derniers mois donc aux dernière nouvelles je suis toujours une fille. ma petite nouvelle emprunte le physique (avantageux) de hoshii miki (the idolm@ster). amour sur vous ♥
NB : les références menthe-à-l'eau-esques sont sponsorisées par eddy mitchell.


Dernière édition par Ethel J. Cameron le Mer 21 Nov - 23:00, édité 8 fois
Revenir en haut Aller en bas
▬▬▬▬▬▬▬
Ethel J. Cameron
son entrée dans un studio, l'écran couleur menthe à l'eau •• ethel Rangelem
Ethel J. Cameron

Messages : 18
Date d'inscription : 17/11/2012
Age : 30


son entrée dans un studio, l'écran couleur menthe à l'eau •• ethel Vide
MessageSujet: Re: son entrée dans un studio, l'écran couleur menthe à l'eau •• ethel   son entrée dans un studio, l'écran couleur menthe à l'eau •• ethel Icon_minitimeDim 18 Nov - 1:10

La chanson qui couvrait tous les mots qu'elle mimait semblait briser son ♥

Le bruit des pas sur l’asphalte, et puis son rire. Le sang qui bat aux tempes. Cette impression que le monde autour d’elle devenait flou, juste un peu, et qu’il n’y avait plus que cette rue en pente et la silhouette qui courait devant elle, sans attendre, depuis qu’ils avaient quitté l’école. Attends-moi. Mais la course l’essoufflait, elle ne pouvait pas l’appeler. Tout ce qu’elle voyait, c’étaient ses cheveux bruns sur sa nuque, et son dos qui s’éloignait. D’aussi loin qu’elle s’en rappelait, c’était toujours comme ça, toujours lui qui partait devant, toujours elle qui lui courait après. Et puis c’était lui qui s’arrêtait, se retournait pour la regarder en souriant, qui l’appelait. Alors elle ne pensait plus à la fatigue, à cette impression d’être laissée en arrière, de se laisser conduire par le bout du nez. Parce qu’il s’était arrêté pour l’attendre. Tant qu’il l’attendrait, elle pourrait continuer à le suivre.

▬ Allez, dépêche !

Ç’aurait été n’importe qui d’autre, tu aurais protesté. Et pourtant, tu t’étais contentée de sourire, comme une gentille fille. C’était pas ta faute, Ethel. T’avais toujours eu un faible pour les méchants.

♥ ♥ ♥
Elle essuie une larme sur sa joue, avec un sourire. Elle se dit que c’était il y a longtemps, mais elle s’en souvient toujours aussi bien. Elle se dit que c’est bête d’y repenser maintenant, mais les souvenirs affluent. Elle se dit que c’est juste une broutille, mais c’est un drame d’adolescente. C’est du moins comme ça que son cœur le vit, mais elle n’écoute jamais son cœur.

▬ Hey, June, ça va ?

La voix de sa meilleure amie grésille dans le combiné. L’espace d’un instant, la concernée hésite à répondre. Elle est un peu ailleurs, perdue dans ces après-midis d’il y a cinq ans, quand elle était encore petite et qu’elle rentrait de l’école en courant joyeusement dans les rues en pente de San Francisco. Perdue dans les weekends pluvieux à jouer dans la maison, avec ses poneys à elle et ses voitures à lui. Perdue dans la cabane au fond de son petit jardin, bricolée à l’aide d’un drap et de quelques planches de bois. Et de la ficelle pour les faire tenir en place. Beaucoup de ficelle. Elle se demande s’il reste assez de ficelle dans le tiroir de la cuisine pour faire tenir son cœur en place. Parce qu’elle a un peu l’impression qu’il se détache, petit bout par petit bout.

▬ June ?

Ashley s’inquiète. Elle ferait mieux de lui répondre.

▬ Ah, oui oui, ça va. Excuse-moi, j’étais ailleurs.

On entend son sourire dans sa voix. Elle sent son amie hésiter.

▬ Tu es sûre ?

Petit silence. Ashley se demande si elle peut la croire. C’est normal, elle la connait bien. Si elle l’avait en face d’elle, avec ses larmes aux yeux et son sourire un peu triste, plus amer qu’elle ne le voudrait, elle comprendrait. Mais, pour l’heure, elle se décide à la croire sur parole.

▬ Je pensais pas que tu serais aussi calme.
▬ Je ne vais pas fiche ma vie en l’air à la moindre contrariété.
▬ ...T’es vraiment froide, parfois.

♥ ♥ ♥
Elle finit par raccrocher et se laisse tomber sur le lit, le téléphone dans la main. Elle regarde ses messages, par réflexe. Le dernier date du matin même. « Attends-moi ce soir. » Ses traits se crispent machinalement au ton sentencieux, et son coeur se serre un peu. Il n’en a pas renvoyé depuis, et il n’en renverra probablement pas. Après tout, c’est terminé. Ils doivent même cesser de se voir. C’est ce qu’ils avaient décidé, pas vrai ? C’est ce qu’elle avait voulu, reprendre le contrôle, se libérer de ce lien qui l’emprisonnait. Alors pourquoi est-ce qu’elle se sent aussi fatiguée ? L'idée qu'elle doit rentrer à San Francisco pour les vacances, dans quelques semaines, et qu'il sera là, lui effleure l'esprit. Elle sait bien, au fond, qu’elle a du mal à l’accepter. Elle s’y est accrochée depuis qu’elle est petite. C’était une constante dans sa vie, quelque chose de stable, un point de repère. Et elle vient de tout balayer du revers de la main. Elle et Evan, c’est fini. Elle le sait, elle veut juste pas voir ce que ça signifie. Elle se persuade qu’elle peut faire avec ou sans lui, et elle ferme les yeux en serrant dans ses bras la peluche qu’il lui a offerte pour ses quatorze ans. Elle émet des hypothèses sur le menu du dîner.

♥ ♥ ♥
Le lendemain matin, la jeune fille parcourait les couloirs de Stallone avec énergie et le sourire aux lèvres, comme s’il ne s’était rien passé. Quelques semaines plus tard, son père lui apprenait qu’ils devaient déménager à l’étranger. Et bien que son cœur se soit serré à cette pensée, elle accueillit la nouvelle avec enthousiasme. C’était une nouvelle vie qui s’annonçait.

Mais un type est entré et le charme est tombé

Evan, c’était le garçon qui vivait à côté de chez elle quand elle était petite, dans la jolie maison bleue qui ressemblait à sa maison blanche. Ils se sont connus quand ils avaient cinq ans, par le biais de leurs mères, et s’entendaient très bien. Les deux enfants devinrent bien vite inséparables, sans cesse fourrés chez l’un ou chez l’autre, à toujours inventer de nouveaux jeux. C’est avec lui qu’elle découvrir son don, l’année de ses dix ans, alors qu’elle avait déchiré son costume en jouant avec lui, la veille de sa représentation théâtrale, et que, paniquée, elle avait réussi à l’arranger par la simple force de sa pensée. La lettre était arrivée peu de temps après et Evan avait été le seul de ses amis non doués à être de la confidence. Ethel était loin de manquer de caractère, mais ce n’était rien comparé à Evan, et le garçon prit rapidement la tête du petit duo. Et les années passant, la différence s’accentua davantage. Les deux amis développèrent peu à peu une relation déséquilibrée, dans laquelle Evan était symbole d’autorité. Et plus ils grandissaient, plus Ethel en prenait conscience. L’entourage de la jeune fille s’en rendit compte bien avant elle. L’enfant, sans être véritablement autoritaire, n’avait jamais manqué de s’imposer partout où elle passait, allant aisément au-devant des autres, enfants ou adultes, exposant son point de vue sans ciller, défendant son opinion. Lorsqu’elle se trouvait avec des enfants de son âge, c’était souvent elle qui prenait des décisions, elle qui leur tendait la main pour les emmener avec elle quand ils n’osaient pas l’approcher. Mais lorsqu’elle était avec Evan, elle n’était plus la même. Son regard d’émeraude s’éclairait et s’adoucissait à la fois lorsqu’elle croisait ses yeux noirs. Avec lui, c’était elle qui suivait ses moindres directives, soucieuse d’être à la hauteur, inquiète à l’idée qu’il pût se lasser d’elle. Les adultes s’amusaient de la voir lui tourner autour en papillonnant, comme une jeune fille amoureuse. Est-ce qu’elle l’aimait ? Encore aujourd’hui, elle vous répondrait que oui. Ethel ne comprend pas qu’il s’agissait moins d’amour que d’amitié et d’amour-propre. C’était ce besoin d’être à ses côtés, ce besoin de le savoir là, de se sentir acceptée. C’était avant tout ce besoin d’être rassurée, et cette attirance qu’elle éprouvait pour tout ce qu’il représentait. Parce que depuis qu’elle avait cinq ans, il était son quotidien, le signe que tout allait bien. Si elle ne pouvait envisager l’idée qu’on les séparât, c’était essentiellement par la force de l’habitude. Parce qu'il la connaissait mieux que personne, au fond, parce qu'elle pensait qu'elle ne pourrait jamais reconstruire de lien aussi fort, réexpliquer à quelqu'un d'autre tout ce qu'il avait d'elle au fil du temps. Parce qu'elle ne voulait pas être seule. Il gardèrent contact lorsqu'elle dût quitter San Francisco pour devenir interne à Stallone, l'année de ses douze ans. Ils s'appelaient et s'écrivaient souvent, et se retrouvaient pendant les vacances, quand elle rentrait dans la petite ville vallonnée, avec son cable car et ses jolies maisons accrochées à la colline. Deux semaines avant son quatorzième anniversaire, ils finirent par sortir ensemble de façon officielle. Trois jours après son anniversaire, c’était terminé.

♥ ♥ ♥
Tu traversais la cour en marchant à grands pas souples, comme un chat, les talons de tes bottines émettant un petit claquement étouffé quand ton pied touchait le sol. Ta jupe frissonnait au mouvement de tes hanches, gracieuse, presque autant que toi. Tu distribuais des sourires aux gens que tu croisais, ces sourires malicieux dont tu avais le secret, et tu tenais le téléphone portable contre ton oreille en écoutant sa voix. Tu avais quatorze ans depuis trois jours seulement et cela faisait dix-sept jours qu’Evan et toi étiez en couple. C’était rien, comparé aux années que vous aviez passées ensemble, ce n’était même pas un chiffre anniversaire, digne d’être fêté, et pourtant tu avais des papillons dans le ventre rien que d’y penser. Tu ne comprenais pas trop ce que ça signifiait, pour toi ça ne changeait pas grand chose, mais c’était symbolique. Ça voulait dire que tu avais ta place à ses cotés, ça voulait dire qu’il ne pouvait pas te remplacer, qu’il ne pouvait pas t’oublier, même si vous étiez loin et que vous ne vous parliez la plupart du temps que par l’intermédiaire d’un téléphone ou d’un ordinateur. Pour tes amies, à qui tu avais annoncé la nouvelle quelques semaines plus tôt, ça paraissait tout naturel. À vrai dire, si elles ne t’en avaient pas parlé, tu ne lui aurais probablement jamais demandé, et vous en seriez toujours au même statu quo.

À l’origine, tu avais décroché avec agacement. Il avait appelé pendant ta récréation, alors que tu étais avec tes amis, et tu avais voulu laisser sonner et le rappeler plus tard, à la fin des cours, quand tu aurais du temps et que tu serais plus tranquille. Mais il s’était fait impérieux, comme souvent, et tu avais finalement décroché, décidée à lui dire en direct que tu avais autre chose à faire pour le moment. Et puis tu avais fondu. Comme toujours. En quelques mots, il avait eu raison de ton amertume et de ta volonté. De ton courage aussi, parce que tu n’assumais pas ton propre égoïsme. C’était toujours comme ça, tu te raccrochais toujours à lui, tu te laissais toujours cajoler, tu le laissais t’offrir ses efforts, ses sacrifices qu’il t’agitait sous les yeux, et tu te laissais culpabiliser quand tu ne lui rendais pas la pareille. Tu me manquais, j’ai laissé les copains sortir sans moi parce que je voulais te parler un peu. Et tu ravalais tes mots comme une enfant honteuse, tu sentais le jugement de ta propre conscience peser sur toi comme si ç’avait été le sien ; comme si prétendre que tu avais mieux à faire pour le moment revenait à confesser que tu ne l’aimais pas assez. Et tu avais besoin de te dire que tu l’aimais. Tu avais besoin qu’il t’aime aussi, qu’il ait besoin de toi, tu voulais te sentir irréprochable à-travers ses yeux.

▬ Au fait je serai là un peu tard ce soir, je suis occupée.
▬ Ah, tu fais quoi ?

Encore, ces questions, ce besoin de savoir ce que tu faisais. Ce contrôle qu’il exerçait sur ta vie. Tu savais qu’il ne pensait pas à mal, tu savais que tu en faisais trop, que t’étais parano, c’est du moins ce qu’une voix accusatrice te répétait sans cesse dans ta tête. Mais tu ne pouvais rien dire, tu devinais d’avance ses arguments, tu savais que tu te dégonflerais, que tu n’arriverais pas à l’accuser, que tu finirais par t’excuser et par penser que tu avais tort, par t’en vouloir de rechercher autant d’indépendance alors qu’il était là pour toi. Et tu refusais de passer pour une idiote une fois de plus, de goûter à l’amertume de ta défaite. Alors tu t’accrochais à ton sourire pour ne pas qu’il se brise.

▬ Je fais une soirée avec des amis. À l’internat.
▬ Ah, avec tes copines ?

Ça exigeait une réponse claire, sans faux-semblants. Tu savais qu’il ne serait pas à l’aise. Tu pensais que ça le rassurerait de savoir où tu étais. Grossière erreur, Cameron. Tu avais deux choix devant toi : lui mentir et te débrouiller avec ta conscience, ou bien être sincère et gâcher ta soirée. Tu avais choisi la première option les deux dernières fois. Alors tu décides d’être honnête.

▬ Il y aura Jason, Dave et Andy, aussi. Le groupe habituel, quoi.

Tu sais qu’il se rembrunit. Il ne dit rien mais tu entends sa grimace dans le silence. Il est jaloux. Vexé. Il l’est dès que tu approches un autre garçon. Dès que tu vas à une soirée où il ne peut pas te surveiller. Il l’est même quand tu passes du temps avec les filles, parfois. Tu te dis qu’il s’inquiète, mais tu sais qu’il est juste frustré. Tu sais exactement la tête qu’il fait, et tu regrettes déjà d’avoir parlé. Tu sais que la réponse tombera en un mot, cassante, par simple principe. Que si ça ne tenait qu’à lui, il t’aurait déjà interdit d’y aller. Tu sais qu’il sait que tu n’auras pas besoin de plus pour comprendre. Tu te mordilles la lèvre, et tu lui en veux déjà.

▬ D’accord.

T’en as marre.

T’en as juste marre. Tu enrages en silence. Tu sais pas comment tu supportes ça à chaque fois. Peut-être que tu te dis que ça changera. Peut-être que tu te dis que tu exagères, que tu pourrais faire un effort, que tu te trouves égoïste...

▬ Ça suffit.

Tu ne sais pas ce qui te prend. Tu ne sais pas pourquoi tu réponds, alors que tu t’es toujours dégonflée avant. Tu ne sais pas pourquoi tu le provoques. Tu sais que tu vas lui faire du mal. Tu sais qu’il va t’en faire aussi. Et tu ne sais pas pourquoi, cette fois, tu t’en fiches.

▬ Qu–
▬ Ça suffit.

Silence. Lui non plus, il ne comprend pas.

▬ Ça veut juste dire ça, ça suffit. J’en ai assez. Je ne veux plus me sentir coupable. Je ne veux plus me laisser étouffer comme ça. Oui, tu m’étouffes, Evan. Je me sens surveillée, je me sens jugée en permanence. Regarde les choses en face : on a pas les mêmes valeurs dans la vie. On a presque plus rien en commun, non plus, à part des souvenirs. Et même eux, quand j’y repense, ils m’écœurent. On est trop différents. Ou peut-être qu’on se ressemble trop, en fait, et que c’est pour ça que ça marchera pas. Parce qu’on cherche la même chose, toi et moi, et qu’on peut pas se l’offrir. Je sais que tu changeras pas. Je changerai pas non plus, Evan. Je refuse de changer pour toi, de devenir quelqu’un d’autre pour que tu me félicites, de devenir cette fille dépendante qui t'aime trop pour te désobéir. T’es trop égoïste, Evan. Et je suis trop égoïste aussi pour te le pardonner. T’es toujours là à me donner des ordres, à surveiller ce que je fais, à me faire culpabiliser sans jamais m’accuser. Ça, t’es un sacré manipulateur. Peut-être le meilleur. Mais tu sais, je suis pas à toi. J’en ai marre de te courir après. Tu sais la première chose que je vois quand je pense à toi ? Je te vois de dos. Au loin. J’ai toujours vu que ton dos, j’ai toujours marché derrière toi, là où tu voulais bien m’emmener. C’est peut-être ma faute, je t’ai sûrement trop laissé faire, je t’ai tout laissé passer, tout cédé. Et toi, tu m’as jamais respectée. Avoue, t’étais juste content de savoir que, moi, je te laisserais jamais tomber. Eh bien si, tu vois. Comme quoi, rien n’est jamais assuré. Je suis plus la petite fille que tu appelais au pied, qui attendait quand tu le disais, qui faisait la belle quand tu le voulais, juste pour t’impressionner. Je suis plus ton amie d’enfance. Je suis plus ta petite amie. Je suis même plus une connaissance, tu comprends ? Je suis rien qu’un souvenir, un nom sur un visage, que tu es libre d’oublier ou de détester si ça te chante. J’en ai plus rien à faire.

Tu inspires rapidement.

▬ J’ai pas besoin de toi pour m’aimer.

Tu t’arrêtes, à bout de souffle. Tu ne lui avais pas laissé le temps de t’interrompre, il ne devait pas briser ta volonté, pas cette fois. Ça t’avait demandé trop de courage pour ça. Tu t’étais même pas rendue compte que tu avais commencé à crier, ni que les élèves dans la cour avaient les yeux braqués sur toi. Tu te sentais fière de toi, même si tu savais pas encore trop ce que tu venais de faire. Tu écoutes le silence pendant quelques secondes. Tu sais pas pourquoi. Tu attends une réponse, peut-être même que tu espères encore qu’il comprendra, qu’il te rassurera. Que pour la première fois, il te regardera vraiment.

▬ Bien.

Clic. Bip. Bip. Bip.
Et ton cœur vole en éclats.

Ma plus jolie des mythos, couleur menthe à l’eau

L’été qui suivit sa troisième année à Stallone, Ethel June Cameron quitta l’Amérique. Son père avait obtenu un très bon poste dans une grande compagnie irlandaise. Sa mère, bien qu’étant née aux Etats-Unis, avait conservé de la famille là-bas, aussi les Cameron n’avaient-ils pas hésité lorsque l’occasion s’était présentée. Ethel suivit le mouvement : ses parents n’auraient pas même envisagé de laisser leur fille seule de l’autre côté de l’Atlantique. Ils organisèrent donc son transfert à Aisling en même temps que le déménagement, et furent soulagés de voir la facilité avec laquelle l’adolescente vivait la chose, et la même facilité avec laquelle elle sembla s’adapter à sa nouvelle situation. Cela n’avait en vérité rien de bien étonnant. Ethel avait une façon bien à elle de vivre et de se protéger, qui consistait en mélange d’insouciance et d’optimisme. Elle avait la positive attitude, en français dans le texte, pour reprendre les mots de Lorie (parce que quand on est une chanteuse de son gabarit, paraît-il, les fautes de grammaire passent pour des licences poétiques). Ethel était peu à peu devenue très douée pour ce qui était de détourner les yeux d’un problème, ou de ne se concentrer que sur les points positifs : elle refuse de se laisser abattre, de se laisser atteindre dans son enthousiasme constant, de voir quoi que ce soit gâcher son plaisir et sa petite vie bien agréable. Et c’est en vérité ce simple système de défense qui passe parfois pour de la complète insensibilité. Ethel June Cameron, toujours si volatile et si assurée, est une jeune fille fragile et une fieffée menteuse. Mais celle à qui elle ment le plus, c’est à Ethel June Cameron elle-même.

♥ ♥ ♥
DIAZ : il me donne des frissons. c’est pas ma faute >w<
TABRIS : T’es pas normale, Ethel. Tu sens bien pourtant qu’il y a un truc louche avec ce type.
DIAZ : haha tu vas pas te mettre à me faire la morale, si ?
TABRIS : ...
TABRIS : C’est pas la question. C’est justement pour ça que je suis bien placé pour te dire ça.
DIAZ : ouais je sais, t’en fais pas, je fais attention.
TABRIS : Tu parles, tu lui cours déjà après, Ethel, ouvre les yeux. Et c’est pas le premier. Tu te souviens du blond du mois dernier ? T’as déjà oublié ?
DIAZ : pfff mais c’était rien, ça. et puis qu’est-ce que ça peut te faire de toute façon, c’est pas comme si t’avais ton mot à dire, hein :p
TABRIS : Je te dis juste de faire attention. Les larmes, t’as déjà donné.
TABRIS : Il est pire que moi, tu le sais bien.
DIAZ : et puis de toute façon je suis pas amoureuse, t’as pas à t’en faire
TABRIS : Ça je sais. Ça ne t’a pas empêchée de souffrir, avec moi.


Elle regarde l’écran en silence quelques instants. Peut-être bien qu’il a raison. Elle a les yeux qui piquent un peu, mais elle n’y fait pas attention. Comme toujours, elle n’écoute pas. Elle n’écoute pas son cœur, elle n’écoute pas les avertissements, elle n’écoute que ce qu’elle veut entendre, ne voit que ce qu’elle veut voir. Elle sait même pas pourquoi elle lui parle encore. Elle se souvient plus comment ils ont recommencé à parler. Elle ne sait plus si elle lui a encore couru après, ou si elle a encore fondu devant lui, une fois de plus. Elle ne comprend pas comment elle en est arrivée à lui raconter tout ça. Il n’a pas changé. Qu’est-ce qu’elle fiche encore avec lui ? Elle croyait avoir retenu la leçon. Tout comme elle croyait savoir ce qu’elle faisait. Mais tout ça, ce sont des excuses. Pas vrai, Ethel ?

DIAZ : tu sais bien que je t’aimais, Evan (:
DIAZ s’est déconnecté(e).


Au fond, tu ne veux pas avouer qu’il a raison.


Dernière édition par Ethel J. Cameron le Jeu 22 Nov - 3:03, édité 3 fois
Revenir en haut Aller en bas
▬▬▬▬▬▬▬
Camélia Walter
MODO | I SHIP US SO HARD
MODO | I SHIP US SO HARD
Camélia Walter

Messages : 639
Date d'inscription : 29/06/2011
Age : 30


It's a kind of magic.
Age du personnage : 18 ans
Nationalité: Irlandaise
Relationship:

son entrée dans un studio, l'écran couleur menthe à l'eau •• ethel Vide
MessageSujet: Re: son entrée dans un studio, l'écran couleur menthe à l'eau •• ethel   son entrée dans un studio, l'écran couleur menthe à l'eau •• ethel Icon_minitimeLun 19 Nov - 21:04

....

Citation :
Le genre pokémon shiny.

Ceci a fait ma soirée. Sinon, je t'aime.

Bon pour ton Pokemon rare je te propose CONTRÔLE DU TISSU ( je l'imagine trop s'entrainer a son don sur ses fringues super cher et pas réussir a les recomposer AHAHAHA MAIS ELLE S'EN FOU, ça me fait penser, t'as pensé a un lien avec Freyja ? OK MAGGLE) ou bien le CONTRÔLE DES REFLETS Parce que ça colle bien avec le coté un peu superficiel. MAIS PAS TROP. Et parce que je sais pas pourquoi mais Cameron, qui fait mumuse avec son reflet dans le miroir, j'ai trouvé ça fun, et puis t'imagines au toilettes ? Défaut du don, BAAAAM elle se rend encore plus belle, elle te rend encore plus moche ? POUAHAHAHA. Destin cruel.

... Bon, si jamais ça te va pas, tu viens me sonner ♥
Revenir en haut Aller en bas
▬▬▬▬▬▬▬
Ethel J. Cameron
son entrée dans un studio, l'écran couleur menthe à l'eau •• ethel Rangelem
Ethel J. Cameron

Messages : 18
Date d'inscription : 17/11/2012
Age : 30


son entrée dans un studio, l'écran couleur menthe à l'eau •• ethel Vide
MessageSujet: Re: son entrée dans un studio, l'écran couleur menthe à l'eau •• ethel   son entrée dans un studio, l'écran couleur menthe à l'eau •• ethel Icon_minitimeLun 19 Nov - 21:25

Le pokémon shiny prendra le CONTRÔLE DU TISSU merci ♥
Je me mets de suite à l'histoire.

( gniiiiiih je t'aime bhou coeur coeur coeur )
( et pour le lien avec Frey on en a pas encore parlé mais need, oui ♥ )
Revenir en haut Aller en bas
▬▬▬▬▬▬▬
Ethel J. Cameron
son entrée dans un studio, l'écran couleur menthe à l'eau •• ethel Rangelem
Ethel J. Cameron

Messages : 18
Date d'inscription : 17/11/2012
Age : 30


son entrée dans un studio, l'écran couleur menthe à l'eau •• ethel Vide
MessageSujet: Re: son entrée dans un studio, l'écran couleur menthe à l'eau •• ethel   son entrée dans un studio, l'écran couleur menthe à l'eau •• ethel Icon_minitimeMer 21 Nov - 23:00

Double post pour prévenir que ma fiche est terminée
désolée c'est long, c'est pas intéressant, c'est juste les histoires de cœur d'une adolescente un peu blonde, c'est pas chronologique, je passe mon temps à changer de personne pour la narration et à changer de temps verbaux aussi orz je compatis pour la lecture, bhou. et bon courage à quiconque aurait l'étrange idée de lire ça /dies
Revenir en haut Aller en bas
▬▬▬▬▬▬▬
Camélia Walter
MODO | I SHIP US SO HARD
MODO | I SHIP US SO HARD
Camélia Walter

Messages : 639
Date d'inscription : 29/06/2011
Age : 30


It's a kind of magic.
Age du personnage : 18 ans
Nationalité: Irlandaise
Relationship:

son entrée dans un studio, l'écran couleur menthe à l'eau •• ethel Vide
MessageSujet: Re: son entrée dans un studio, l'écran couleur menthe à l'eau •• ethel   son entrée dans un studio, l'écran couleur menthe à l'eau •• ethel Icon_minitimeSam 1 Déc - 15:17

Désolé du retard x___x

Fu, je valide évidement. Et je vais réclamer des liens, parce que voila, je l'aime et je t'aime aussi fu. Arrete d'etre douée tu veux ?
Revenir en haut Aller en bas
▬▬▬▬▬▬▬
Contenu sponsorisé



son entrée dans un studio, l'écran couleur menthe à l'eau •• ethel Vide
MessageSujet: Re: son entrée dans un studio, l'écran couleur menthe à l'eau •• ethel   son entrée dans un studio, l'écran couleur menthe à l'eau •• ethel Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

son entrée dans un studio, l'écran couleur menthe à l'eau •• ethel

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: « CAP OU PAS CAP ? :: « Que la partie commence. :: « Bienvenue à Aisling.-
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit