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 «L'Art sauvera le monde» Dostoïevski — Maxence. {Fiche Terminée}

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Maxence Duchesne
«L'Art sauvera le monde» Dostoïevski — Maxence. {Fiche Terminée} Rangpsy
Maxence Duchesne

Messages : 10
Date d'inscription : 08/10/2012
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«L'Art sauvera le monde» Dostoïevski — Maxence. {Fiche Terminée} Vide
MessageSujet: «L'Art sauvera le monde» Dostoïevski — Maxence. {Fiche Terminée}   «L'Art sauvera le monde» Dostoïevski — Maxence. {Fiche Terminée} Icon_minitimeLun 8 Oct - 19:41

You know my name.

.
Oeuvre d'Art: un arrêt du temps — Pierre Bonnard.
«L'Art sauvera le monde» Dostoïevski — Maxence. {Fiche Terminée} Petiteimage2
✂ Surnom : Max. Mais il préfère qu'on l'appelle Maxence.
✂ Age : 17 ans.
✂ Année : Sixième année.
✂ Année d'arrivée : Sixième année.
✂ Classe : PSYCHIQUE
Supernatural Superserious.

.
Sociabilité discrète

Je déteste les travaux d'équipe. Non pas que je n'aime pas être avec les gens, mais quand il s'agit de faire un travail de classe avec quelqu'un d'autre, je n'aime pas ça. Et là, on me jumèle avec quelqu'un. Au secours.

«Monsieur ! Est-ce qu'il serait possible de faire ce travail seul ?
- Non, pas cette fois-ci jeune homme.»


Super. Bon ben tant pis…

Une fois m'être décider à ranger mes affaires pour rejoindre ma camarade, je lui demanda la nature du travail que nous devions faire. J'étais trop perdu dans mes pensées après que le prof ait prononcé "travail en binôme" pour savoir sur quoi nous devions nous attarder.

«Et bien, commença l'adolescente, comme personne ne se connait vraiment encore, on doit présenter l'élève avec qui nous sommes à la classe entière. En gros, faut apprendre à se connaître… puis de ce que j'ai vu, ça ne t'enchantait pas vraiment d'être avec moi.
- Ho non, pas d'être avec toi en particulier, mais d'être avec quelqu'un tout court… mais là, on dirait qu'on a pas vraiment le choix.
- Pourquoi tu voulais être seul ?
- Parce qu'une fois le travail terminé, je peux dire "ça, c'est moi qui l'ai fait" et ça sera quelque chose de personnel. Alors qu'à deux, trop de choses feront qu'on ne s'entendra pas sur certains points et du coup j'ai l'impression que le travail sera moyen. C'est psychologique, ça n'a rien à voir avec qui je travaille.
- Bon… ben ça m'aide déjà plus à te connaître… Parle moi de toi…
- Puisqu'il le faut… Déjà, je n'aime parler de moi, parce que je ne m'aime pas. Extérieurement je veux dire. C'est pour ça que j'aime la Culture, l'Art, la Littérature, le Cinéma… Je me forge de l'intérieur puisque je suis coincé avec ce que je suis. J'aime vraiment beaucoup la photographie et le dessin. Mes cahiers sont bourrés de dessins et mes murs de photos. J'aime les gens, et j'aime ce qu'ils font. C'est là que je me dis que nous avons tous du bon, du génie et que finalement, il y a peut-être de l'espoir pour que l'humanité mûrisse… Puis, une part de moi est jalouse des autres, de ce qu'ils sont. J'admire leur travail en espérant un jour devenir comme eux et je suis jaloux de ce qu'ils sont physiquement. Je suis assez… bizarre. J'aime le calme. Pas forcément le silence, juste le calme et la solitude. Pas tout le temps, parce que sinon je déprime. Mes amis ont une place importante pour moi. Même si je ne fais pas grand chose quand je sors avec eux, je ne serais jamais celui qui plombe l'ambiance. Je suis franc et ne passe pas par quatre chemins pour dire ce qui doit être dit. Je fais attention à ne pas blesser les autres, mais la vérité sortira. Je n'aime pas me faire remarquer, être celui qui est dans les devants de la scène, mais celui qui fait en sorte que tout aille bien pour les protagonistes. Puisque je ne peux pas être physiquement ce que je veux, et bien, je ferais en sorte qu'on se souvienne de mon nom en accomplissant quelque chose. Pas forcément de très grand, pas forcément quelque chose qui changera le monde, mais plutôt qui amènera à réfléchir, ne serait-ce qu'une infime partie de personnes. Je suis gourmand, j'aime les saveurs, les parfums, les épices… j'aime la vie. Je suis quelqu'un d'assez rêveur aussi et je pourrais passer des heures à admirer la beauté de la nature ou d'une peinture. Mon peintre préféré est William Turner et je n'aime pas que les gens soient mauvais envers les autres pour une raison quelconque: j'ai appris que la vie était trop courte pour en venir à détester qui que ce soit ou à perdre du temps à semer le chaos. Parce que nous tuons le temps du mieux que nous pouvons, mais au final, lui nous enterre…»


Il y eu un silence. Elle me regardait avec des yeux écarquillés. Lui aurai-je fait peur ? Au bout de quelques petites secondes, elle s'aperçut que j'avais arrêté de parler et que je la fixai droit dans les yeux.

«- Hum… heu excuse-moi, je n'ai pas eu le temps de tout noter… mais heu… on aurait pu commencer par ta couleur préférée par exemple… ou l'endroit où tu te sens le mieux… mais c'est pas grave, tout ça, c'est bien aussi…
- Désolé… j'me complique souvent la vie pour rien, j'oublie le plus basique et une fois que j'ai commencé à parler d'un sujet, je ne peux plus m'arrêter, même s'il s'agit de moi…
- Ce n'est pas grave…
- Et bien sinon… J'aime le rouge, et l'endroit où je me sens le mieux… il y en a plusieurs… Il y a sous l'eau, parce que c'est calme, au fond de mon lit, parce que je trouve ça rassurant, et dans un endroit en hauteur pour mieux respirer… Je suis asthmatique. Et toi ?
- Non, je ne suis pas asthmatique.
- Non, et toi, qui es-tu ?
- Haa ! Et bien disons que…»


La cloche sonne et l'interrompt. Le cours est fini et je ne sais même pas comment s'appelle ma camarade. Tant pis, la semaine prochaine. Je crois qu'elle ne sait même pas comment je m'appelle non plus.

«Bon ben, ça sera une prochaine fois alors. Passe une bonne semaine… Maxence.
- M… Merci, toi aussi.»


Et merde.

Je prends toutes mes affaires en prenant mon temps. je suis toujours le dernier à sortir de la classe. Tout le monde se précipite, sort en riant, d'autres en baissant les yeux, mais tous sont pressés de partir. J'aime l'école. J'aime apprendre. Je ne sais pas si j'ai un bon avis critique, puisque tout m'intéresse et que j'aime tout, mais je sais qu'une seule chose m'énerve: ceux qui n'aiment rien et que rien n'intéresse. On a le droit d'avoir des avis divergents, mais ceux pour qui rien ne mérite d'attention et d'intérêt, n'auront pas les miens non plus.

Ma camarade allait sortir de la salle de classe, mais sur le pas de la porte, se retourna et me fixa un moment. Nous étions seuls.

« - Heu… je peux te poser une question ?
- … Bien sûr.
- Pourquoi tu dis que tu ne t'aimes pas ?
- Parce que ce physique me rappelle mes parents.
- C'est ce que je me disais… Il semblerait qu'on ait tous une part de haine contre eux après tout ce que certains nous ont fait subir.
- On… On dirait, oui.»


Je ne savais pas quoi dire, alors j'ai acquiescé. Je ne ressens aucune haine pour mes parents, mais penser à eux me fait de la peine… parce qu'il méritait tout, sauf ça… Moi.

Elle posa sa main contre le mur et y accota sa tête par dessus. Elle avait l'air pensive, peut-être même nostalgique. Les souvenirs lui revenaient en mémoire, ces souvenirs d'intimidation, de dégout de la part de ceux qui nous ont donné la vie. Très vite, elle revint parmi nous. Elle me regarda dans les yeux. Ils étaient plein de tristesse mais également d'envie de vivre. Elle me fit un sourire puis partit, sans un bruit.

Me retrouvant seul dans la salle de classe, à mettre mon dernier livre au fond du sac, je me rendis compte d'une chose: j'aime le silence, la solitude et le calme, certes, mais après le brouhaha et l'agitation d'une salle de classe, arrive seulement la triste idée et le silence assourdissant que finalement, on est seul. On a beau essayer de se serrer les coudes pour vivre notre différence ensemble… Au final on est seul. Et ça, est-ce que j'aime vraiment ? Est-ce que c'est vraiment ce que je veux ? C'est comme si je n'était pas vraiment complet, qu'une partie de moi était ailleurs, vivant la même chose, et que nous devons être deux pour vivre pleinement. Ou bien il faut que je trouve LA chose qui fera qu'enfin, je trouve ma place dans ce monde.

Il faut croire que malgré tout l'intérêt que l'on donne aux autres et aux choses, on ne nous en rend pas grand chose en retour.

«Donnez, donnez, Dieu vous le rendra.» Ouais, mais quand ?
It's the end of the world as we know it.

.
♠ ♥ ♣ ♦

✎ Don : Décuplement de Sentiments
✎ En détail : Si en ce moment, vous ressentez une infime partie de joie, il aurait la capacité de la transformer en un bien-être intérieur, une béatitude qui vous emplirait de bonheur. Vous serez l'être le plus heureux pour qui plus aucune mauvais pensée ne traverserait l'esprit. En revanche, s'il choisit d'amplifier votre colère ou votre tristesse, votre sentiment devra s'extérioriser et votre entourage ou bien vous-même, pourrait en payer de leur vie. Dans chaque phrase que vous prononcez, dans chaque souvenir que vous vous remémorez, un sentiment y est attaché, voire plusieurs. C'est alors que Maxence intervient. Il ressentira ces émotions instinctivement et décuplera le sentiment qu'il veut afin que tout votre être transparaisse de ce dernier. Vous serez enivré de votre propre énergie et vivrait des parties de votre vie intensément: jamais les disputes n'auront été aussi violentes, vos rires si euphoriques, vos pleurs aussi tristes, vos idées négatives aussi ténébreuses… votre désir pour un autre, aussi brulant. Chaque moment de vie deviendra unique, mais c'est à vos risques et périls car si l'esprit devient si facilement manipulable, le corps suivra aussi et ça peut laisser des séquelles à l'un comme à l'autre si l'on en abuse…
✎ Maitrise : Maxence maitrise son don à environ 70%. Il distingue bien les émotions des gens et les sondent convenablement, mais son niveau de dosage «d'augmentation de sentiments» reste assez aléatoire, ainsi que le sentiment qu'il vise, car certaines subtilités sont difficiles à discerner, comme par exemple l'empathie et la compassion, la tristesse et la mélancolie, la frustration et la colère… Et surtout, s'il ne se concentre pas vraiment ou si trop de sentiments partagent une même personne, l'Amour et la Haine peuvent être mis dans le même bateau… Le problème avec son don, c'est qu'il ne fonctionne que sur les autres, et au niveau de maitrise qu'il est, Maxence utilise de son énergie et des «souvenirs de sentiments» qui lui appartiennent pour nourrir les autres. C'est-à-dire que pour l'instant, il ne peut améliorer un sentiment que s'il l'a déjà vécu au moins une fois et si l'autre est en train de le vivre en ce moment également. Il ne perd pas de mémoire ni rien, mais d'utiliser son don peut l'épuiser au plus au point. On ne dirait pas, mais les 30% restant sont les plus importants afin de gérer, non seulement comment décupler le sentiment des autres et de choisir le bon, mais également de gérer l'énergie nécessaire à utiliser pour que Maxence ne finisse pas exténuer après avoir transformer l'esquisse d'un sourire en un rire communicateur.
✎ Lui & les gens: Etant quelqu'un de très altruiste, il ne comprend pas pourquoi une personne devrait être plus importante qu'une autre et donc pourquoi mépriser quelqu'un pour son statut social ou sa classification de don. S'il doit en venir à ne pas aimer quelqu'un ça sera pour sa personnalité et non pour le «monde» auquel il appartient. Ça sera donc avec plaisir qu'il jouera aux cartes avec les SPE ou ira courir avec les PHY par exemple. Enfin… si ces derniers n'en viennent pas à le mépriser à cause de sa classe de PSY. De plus, il trouve chaque personne et chaque capacité totalement fascinante. Il s'émerveille de voir ce que la nature (ou autre cause encore inconnue) peut donner aux être humains. Il admirera d'autant plus la personne, si elle envisage de «faire don» de sa capacité pour propager le bien. Trop de misères et d'horreurs ce sont déjà passées pour que cela continue. Un rêve utopique (pléonasme ?) qu'il espère néanmoins réaliser un jour, avec l'aide de chaque personne dotée de la possibilité de faire changer les choses, d'une manière ou d'une autre. Il verra donc chaque personne, comme étant un éventuel espoir futur pour l'humanité.
Jolie petite histoire.

.
My mistakes were made for you


Maxence est né par une belle matinée d’Avril. Le jour se levait, le ciel se teintait d’un bel orangé… Une bien magnifique journée pour accueillir l’enfant tant voulu par ce jeune couple.

Ses parents sont dans la classe moyenne. Ils vivent dans un appartement modeste proche de la banlieue parisienne et ont tout préparé pour la venue de ce petit être qui, ils en sont sûrs, fera leur bonheur. Les parents s’aimaient. Ils riaient, dansaient et cuisinaient ensemble. Ils s’émerveillaient chaque matin de voir qu’un fabuleux mélange de leurs gênes grandissait sous leurs yeux. Les yeux foncés du père contrastaient avec la peau blanche de la mère. Un parfait mélange, leur parfait mélange qui ne fera que de plus en plus leur ressembler au fil du temps…

Il grandit donc dans l’amour, dans un foyer chaleureux. Ils n’avaient pas tout, mais ce qu’il fallait pour élever convenablement un enfant. Et puis, ils étaient bien tombés, parce qu’il n’en demandait pas beaucoup cet enfant là ! Il ne piquait pas de crises au supermarché, ne bronchait pas (ou presque pas) pour manger ou gouter de nouvelles choses, il était le premier à vouloir aller prendre son bain… Seul le fait d’aller se coucher lui posait problème. Il ne comprenait pas pourquoi il devait perdre du temps à dormir, à rien faire, quand tant de choses restaient à découvrir. À six ans, au CP, il savait déjà lire relativement vite et écrire correctement lorsqu'arrivèrent les périodes des fêtes de Noël. La compréhension quasi parfaite de l’orthographe n’arriva qu’en troisième, au collège, lorsqu’il fit la rencontre de la femme qui lui ferait aimer la lecture et le français à jamais. Il comprit la beauté de l’écrit et décida de se forcer à honorer ces créateurs de rêvent que le monde commun appelaient : les écrivains. Ils étaient tellement plus pour Maxence.

Plus tard, le jeune adolescent de quinze ans qu’était devenu Maxence, se rendit compte que les mots n’étaient pas les seules choses qu’un homme pouvait apprivoiser et maîtriser pour toucher du bout des doigts la Beauté. L’Art. La culture qu’offrait l’humanité était si riche, qu’il n’arrêta pas son envie de savoir aux mots. Très vite il fit son choix pour les arts et se focalisa sur le cinéma et la musique. C’étaient ces deux choses-là, avec l’écriture, qui lui faisaient ressentir l’émotion pure d’une vie humaine. Ce qu’il voulait ressentir par-dessus tout. La musique l’enchantait, le faisait pleurer, l’emplissait de joie et pouvait lui donner envie d’apprendre à jouer de la batterie. Pour les films, c’était exactement la même chose, mais l’image en plus. Les deux arts qui permettaient d’allier l’émotion au vécu.

Puis un jour, c’est arrivé. L’émotion pure, celle qui engendre toutes les autres et où toutes les autres passent forcément : l’amour. Assis lors de son premier cours d’histoire, au dernier rang afin d’avoir une plus belle vue depuis la fenêtre sur le ciel, elle entra. Premier jour de lycée, lundi matin, histoire. Personne ne se connaît vraiment, mais tout le monde se regarde parce qu’ils seront ensemble pendant au moins une année. Maxence n’y prêtait pas tant attention, il n’était pas encore vraiment réveillé car avec les années, il avait compris l’intérêt que l’on pouvait avoir à dormir, et en plus, il y avait pris goût. La jeune fille rentre dans la salle et s’installe juste devant la table de Maxence. Un courant d’air passe et fait voyager l’odeur des cheveux de la jeune fille jusqu’à ses narines. Une odeur familière, qui lui rappelait des souvenirs doux et tendres de vacances à la campagne avec sa mère et ses grands parents pendant que le père travaillait. Un doux sentiment, un merveilleux souvenir. Il regarda la jeune fille en face d’elle. Silence. Le temps s’arrête. Plus rien ne passe par son cerveau, tout est resté figer dans sa poitrine. Son pouls bat plus fort. Pas plus rapidement, juste plus fort. Ça le chauffe de l’intérieur. Tout de suite un seul mot résonne dans son crâne : l’amour. Le sentiment qu’il recherchait depuis toujours, qu’il voyait dans les films, qu’il ressentait dans la musique. Il le vivait. Enfin.

Les autres élèves s’installèrent et au bout de quelques petites minutes, le professeur arriva. Nous sommes au premier étage et les fenêtres sont ouvertes pour laisser passer de l’air. L’été n’est pas encore complètement terminé. Les dix premières minutes du cours sont longues pour certains élèves, mais pour Maxence, elles passent trop vites car il ressent déjà le besoin d’observer le profil de la jolie brune assise devant lui pour le restant de ses jours. Plusieurs personnes sur la même rangée que lui, ont remarqué que son regard ne se détachait plus d’elle. Il n’avait ni d’yeux, ni d’attention pour les dires du professeur, mais rien que pour elle. En jouant dans ses cheveux, la jeune fille passa par hasard un regard par dessus son épaule pour croiser celui de Maxence. Son souffle se coupa, elle le fixait. Elle était gênée. Elle commença à rougir puis reporta son attention devant elle. Mais la gêne était toujours là, grandissante.

Maxence ne savait plus quoi faire non plus. Il n’avait pas prévu le coup au cas où elle se retournerait pour le regarder, puis maintenant elle sait qu’il la fixait. La gêne s’empara de lui également. Il regarda autour de lui chaque élève pour voir si personne d’autre ne l’avait vu. Personne. Mais quelque chose se passa. C’était comme si tout le monde, d’un seul coup, se mettait à rougir. Et plus le temps passait, et plus chaque élève se sentait gêné. Certains détournaient le regard, d’autres avaient chaud tellement ils étaient rouges… Bizarre. Maxence décida de ne pas y faire attention et d’écouter le professeur, ou du moins, de faire semblant de. Lorsque leur deux regards se croisèrent, l’homme, qui paraissait sûr de lui en parlant de la Grèce Antique, s’arrêta net pour commencer lui aussi à rougir.

* Merde, il se passe quoi ? *


Les élèves le remarquèrent et s’observèrent chacun leur tour. La surprise prit la place de la gêne. Un étonnement massif, presque éxagéré, qui semblait faux, théâtralisé, mais qui était parfaitement spontané et synchronisé. Tous se fixaient les uns à la suite de l’autre. De la surprise, on passa au doute. Pendant que la moitié de la classe pensait à une blague et commençait à éclater de rire, l’autre moitié était sceptique et commençait à avoir peur. Peur causée par l’incompréhension collective de ce qu’ils vivaient en ce moment. Ils n’étaient plus maîtres de leurs propres émotions. Et Maxence ne faisait rien, à part les fixer tous un par un pour comprendre. Là où tous passaient d’une émotion à une autre, seul lui restait dans le même état d’esprit. Il était perdu. Perdu, et seul. Petit à petit, la peur finit par gagner tous les élèves. Une peur terrible, mais encore une fois, trop exagérée pour être naturelle. Maxence pensait à une blague organisée par la partie de la classe qui était en cours d’art dramatique. Mais non. Il sentait que quelque chose créait tout ça. Il n’osait pas le dire, mais il sentait que ça venait de lui. Mais comment ? Pourquoi ?

La peur grandissait. Non, la terreur. Des cris s’élevèrent parmi les pleurs. De la terreur, certains passèrent à la détresse. Maxence chercha du regard le professeur. Un regard d’adulte pourrait peut-être l’aider. Un symbole d’autorité et de pouvoir qui pourrait régler les choses… De peur et commençant à suffoquer, Maxence regarda droit dans les yeux son professeur d’histoire. Des larmes coulaient le long de ses joues. De peur de perdre le contrôle. Mais ils avaient déjà tous perdu le contrôle. Tous, sauf un. L’homme fit le tour de son bureau, s’approcha de la fenêtre grande ouverte, passa une jambe, puis l’autre… Son corps suivit ses deux membres jusqu’au bitume de la cours, cinq mètres plus bas. Maxence décrocha. Le lien qu’il avait créé avec chacun des élèves, se rompit. Silence.

Puis un cri strident, déchirant. Celui d’une jeune femme qui observait le corps sans vie de l’homme qui venait de se jeter de la fenêtre du premier étage. Puis les élèves de la classe, réalisant enfin ce qu’ils venaient de vivre, paniquèrent.

Près de deux heures après, après décision de suspension de cours pour le restant de la journée et aide psychologique installée, on autorisa les élèves à enfin retourner chez eux. Maxence vivant à quelques minutes du lycée, décida de partir à pieds. Sous le choc, il n’adressa pas un mot à sa mère qui faisait du repassage dans le salon. Il s’enferma dans sa chambre. Sa mère l’appelait, mais il ne répondait pas. Il était vidé, épuisé, absent. La mère s’approcha doucement de la porte de la chambre de son fils et demanda si tout allait bien. Inquiète, mais connaissant son fils et ses désirs de solitude, elle respecta ça et retourna dans la cuisine en lui lançant un je t’aime à travers la porte. Maxence avait fermé les rideaux pour créer une ambiance tamisée, comme il les aime, et s’était couché sur le lit. Les yeux grands ouverts. Exténué, mais incapable de s’endormir. Il se repassait la même scène, encore et encore et qu’une seule conclusion lui venait à l’esprit : il avait causé tout ceci.

Dans le salon, un flash spécial d’information : le suicide d’un professeur dans un lycée parisien. La mère stoppa son mouvement et le torchon qu’elle repassait commençait à bruler. Son cœur s’arrêta. Au moment où elle allait se décider à courir voir son fils, quelqu’un frappa à la porte. D’un pas lent et branlant, elle se dirigea vers l’entrée et ouvrit la porte à un homme, grand, qui tenait une lettre avec un blason particulier dessus :

« - Bonjour madame Duchesne, Maxence serait-il avec vous par hasard ?»


~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
L'homme attendit que le mari rentre du travail pour la pause déjeuner afin de parler complètement de ce qu'étaient les personnes dotées de dons et de ceux qui ne l'étaient pas. Car quand les parents n'en possèdent pas, une personne doit venir elle même pour l'annoncer à la famille. Pendant que Maxence était toujours enfermé dans sa chambre à reprendre ses esprits, les trois adultes discutaient dans la salle à manger. L'homme expliqua aux parents le principe des écoles qui permettent aux détenteurs de don d'apprendre à le maîtriser afin de ne plus être un danger pour soi ou pour les autres… afin que des accidents comme celui causé à l'école ne se reproduisent plus.

«- Vous… vous voulez dire que cet homme ne s'est pas suicidé et que…
- Maxence en serait la cause, en effet.
- Max aurait assassiné quelqu'un ?!
- Ce n'était absolument pas son intention ! Il arrive parfois que certains dons soient trop difficiles à gérer par les détenteurs et que ces derniers soient trop perdus, désorientés ou apeurés pour comprendre… et des dommages collatéraux sont de mises. C'est dommage et triste… mais cela peut arriver…»


La mère éclata en sanglot et son mari la prit dans ses bras.

«- Mais… comment… comment cela est-il arrivé ? Je veux dire… qu'a t'il pour qu'au final, quelqu'un perde la vie ?
- Il semblerait que votre fils ait la capacité de décupler les émotions des autres. Je le sais parce que mon don est de savoir le don des autres, mais hélas, nous ne pouvons pas prévoir qui en sera doté ou non, tant que le don n'a pas été activé une première fois. Il semblerait que quelque chose l'ait déclenché chez votre fils. Quelque chose d'assez fort, qui l'ait déstabilisé à un point tel, qu'il aurait décuplé les sentiments de gêne et de peur que vivaient chaque personne présentes à cause de leur première journée de classe. Nouveau système, nouveaux camarades, nouveaux professeurs… cette classe était une boule d'émotions instables.»


Maxence réussit à se calmer et à descendre. On lui expliqua tout. Le rassura. Mais dans les yeux de ses parents, il voyait que quelque chose avait changé: pendant ces quelques heures où ils étaient ensemble à discuter, il ressentait, il ne sait pas vraiment comment, le dégout de sa mère envers lui et la peur de son père. Mais il ne leur en voulait pas, parce qu'il ressentait la même chose pour lui. Il se faisait peur et se haïssait de ne pas donner une vie normale à ses parents… et d'avoir pris celle de son professeur. Tout ça à cause de ce qu'il voulait connaître le plus au monde. L'Amour. Il se trouvait si égoïste !

La lettre qu'il reçut était pour l'école française, l'Aurore. Ne connaissant pas vraiment ces choses là et encore perdu et désolé, il y resta, pendant un an. Là-bas, il appris à mieux comprendre son don, qui pendant les premiers six mois, ne voyait que comme étant une abomination. Puis le déclic se fit. Les émotions sont des choses fragiles et complexes. S'il les comprends mieux, il pourrait faire en sorte de causer le moins de mal possible, voire même, de générer du bon. Si on a tous une part d'ombre en nous, la lumière est toujours présente. Toujours. Et ce don lui permettait de voir cette lumière et de la faire grandir. L'espoir renaissait enfin. Enfin il allait pouvoir se racheter auprès de ses parents, auprès de l'homme tout là haut qui lui avait offert ceci. Alors il court. Pour se défouler et s'épuiser autrement qu'en pratiquant son don, il court. Ça lui permet d'oublier pendant un instant ce qu'il vit et a vécu. Un court instant certes, mais il en avait besoin.

Il apprit, pendant cette année là, que son don n'était valable que sur les autres. Il ne peut décupler ses propres émotions. Son don devint comme un sixième sens. Il réussissait à sonder chaque personne pour connaître leurs émotions dans la phrase qu'ils prononçaient, dans l'expression faciale qu'ils faisaient et voire même dans leurs gestes. C'était comme une petite voix instinctive qui lui disait parfaitement le nom de chaque émotion qu'une personne vit à l'instant où il la regarde. C'est alors qu'en se concentrant, il arrive à viser une seule d'entre elles et à utiliser son pouvoir. Décupler son sentiment.

Depuis l'accident de la salle de classe, il n'aime plus vraiment les mêmes choses. Là où la musique et les films lui faisaient vivre les émotions comme jamais, il se détourna de ces deux formes d'art pour aller vers la photographie et le dessin, mais ayant une forte préférence pour la photo. L'émotion est toujours là, présente, mais moins. Et la photographie est l'arrêt du temps sur un sentiment. Du moins, pour lui. Psychologiquement, la photographie est quelque chose de plus neutre que la musique. Une image fixe, aussi belle soit-elle, le fera autant voyager que la neuvième symphonie de Beethoven, mais il se sentira beaucoup plus en sécurité face à du papier glacé qu'en écoutant des gammes et des arpèges.

Un jour, il dût prendre une décision difficile. Quitter la France, quitter l'Aurore pour fuir, partir loin. Il était doué et aimait toutes les matières scolaires, mais il n'avait porté aucun grand intérêt pour les autres langues. Mais sa décision était prise, il partirait pour l'Irlande. Dès maintenant. L'école avait déjà commencé en Irlande depuis un moment, mais il ne se faisait pas trop de soucis pour rattraper ce qui devait l'être. Et puis il devait partir.

Lorsqu'il arriva dans sa chambre au sixième étage, il n'y avait personne. Ses autres colocataires devaient être en cours ou sortis. On lui avait donné tout ce dont il avait besoin pour comprendre la langue et le fonctionnement de l'école. Le choix a été difficile, mais l'Irlande… il sentait qu'il allait s'y plaire. Il se leva et alla prendre une douche. En y sortant, il s'observa dans le miroir, serviette autour de la taille. D'un coup d'avant bras, il enleva la buée sur le miroir. Le jeune homme de quinze an n'est plus le même. Ses traits se sont plus forgés et ont quitté ceux de l'enfance pour aller vers ceux d'un adulte. Ou presque. Il ressemblait beaucoup à son père. Beaucoup trop. Seul son visage et sa peau étaient de sa mère, sinon les yeux, l'ossature, la musculature… tout représentait son père. Un visage allongé, très masculin, des yeux sombres, tout comme ses cheveux. Un corps grand et élancé, relativement musclé. Un physique qui plaisait beaucoup. Et d'ailleurs, il a très vite su utiliser son physique ainsi que son don à des fins un peu plus personnels, mais sans jamais en abuser. Le plaisir est à utiliser avec modération tout de même ! Mais il savait s'en servir quand il fallait.

Il retourna à sa chambre et s'allongea sur le lit en prenant soin de fermer les rideaux. Il aimait toujours les ambiances tamisées. Il trouvait ça chaud et réconfortant. Maternel. Il ferma les yeux et s'endormit. Ses cours ne commençaient que demain.


Votre pseudo.

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Dernière édition par Maxence Duchesne le Sam 13 Oct - 2:16, édité 23 fois
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Pavel Němec
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Bonjour, et bienvenue à Aisling !

Il est demandé de poster la fiche avec au minimum les deux premières parties de complétées, sans quoi nous devrons archiver, ce serait donc bien que tu corriges ça au plus vite, merci.

Bonne continuation !
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Maxence Duchesne
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MessageSujet: Fait !   «L'Art sauvera le monde» Dostoïevski — Maxence. {Fiche Terminée} Icon_minitimeLun 8 Oct - 20:38

Voilà ! Modifications faites ! Smile

J'attend avec impatience ce que vous pouvez me proposer comme don *_*

Edit: s'il faut que je rajoute certaines choses, un peu plus de détails… j'peux me forcer un peu plus Smile
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Freyja T. Westernlund
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MessageSujet: Re: «L'Art sauvera le monde» Dostoïevski — Maxence. {Fiche Terminée}   «L'Art sauvera le monde» Dostoïevski — Maxence. {Fiche Terminée} Icon_minitimeLun 8 Oct - 22:18

Alors, je t'avoue que j'ai un peu de mal à envisager des dons ; on apprend pas grand-chose sur Maxence si ce n'est sa capacité à faire l'éloge d'une chose puis de son contraire. C'est un peu trop ambivalent pour qu'on arrive à la cerner, il ne veux pas travailler en groupe mais aime bien les gens, paraît solitaire mais "aime bien faire le fou" ? Enfin, je n'ai rien contre un caractère complexe, mais là on dirait vraiment qu'à force d'avoir plusieurs aspects de personnalité, il semblerait qu'il n'en ait plus aucune. Ce serait bien si tu pouvais lui développer quelques opinions claires, des faiblesses, etc.

Le personnage de Gareki est déjà utilisé par un membre, comme précisé ici, dans le bottin. Il faudrait que tu changes d'avatar.
Aussi, ta signature dépasse la limite des 400 pixels de hauteur, il faudrait donc y faire attention.

N'hésite pas à nous faire signe une fois que tu auras un peu développé, et on repassera te proposer des dons.
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Maxence Duchesne
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MessageSujet: Re: «L'Art sauvera le monde» Dostoïevski — Maxence. {Fiche Terminée}   «L'Art sauvera le monde» Dostoïevski — Maxence. {Fiche Terminée} Icon_minitimeLun 8 Oct - 23:40

Modifications apportées.

J'espère que c'est mieux Smile

Je changerai également mon Avatar très prochainement ainsi que ma Signature…
S'il en faut encore plus sur le caractère, j'peux rajouter et améliorer (pour que ça soit plus cohérent si cela ne l'est pas encore assez)

Merci ! :p

Edit: Avatar changé, et j'ai re-modifié des choses dans la description.

Edit: D'autres modifications d'apportées, de : «Ma camarade allait sortir…»… jusqu'à «…Sans un bruit.»
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MessageSujet: Re: «L'Art sauvera le monde» Dostoïevski — Maxence. {Fiche Terminée}   «L'Art sauvera le monde» Dostoïevski — Maxence. {Fiche Terminée} Icon_minitimeMar 9 Oct - 23:21

Nickel pour les modifications.
Les réflexions de Maxence étant résolument PSY, je te propose la COMPLEXIFICATION, qui consiste à rendre tout et n'importe quoi extrêmement complexe -un puzzle de quatre pièces a tout à coup la difficulté d'un casse-tête millénaire- ou l'INVENTEUR D'IDÉE, je cite : tout simplement le type qui aura toujours la bonne idée dans la bonne problématique, le coup de génie qui te fera dire "j'aurais du y penser avant !" ou "mais où va-t-il chercher tout ça ?"
Je suis désolée, je suis un peu dubitative. Si les propositions ne te conviennent pas, tu peux demander un troisième choix.
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Maxence Duchesne
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MessageSujet: Troisième choix   «L'Art sauvera le monde» Dostoïevski — Maxence. {Fiche Terminée} Icon_minitimeMar 9 Oct - 23:44

C'est ok pour le troisième choix, ça sera donc: Décuplement des sentiments !

Merci Wink

ps: si j'ai bien compris, ce troisième don est un PSY lui aussi, non ? Smile

Capri. Oui oui, c'est bien du PSY o/

Edit Maxence: Merci ! J'ai fait la présentation du don… si j'ai mal compris le don ou si ça convient pas (trop fort ?) faites le moi savoir Smile J'attaque l'histoire !
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Maxence Duchesne
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MessageSujet: Re: «L'Art sauvera le monde» Dostoïevski — Maxence. {Fiche Terminée}   «L'Art sauvera le monde» Dostoïevski — Maxence. {Fiche Terminée} Icon_minitimeJeu 11 Oct - 18:51

Salut !

Juste pour prévenir que ma fiche était terminée Smile

Si des choses ne sont pas très cohérentes ou s'il y a des fautes d'orthographes (ou d'inattention), merci de prévenir ! Very Happy

Bonne lecture O_O …… parce qu'il y en a XD désolé :p
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MessageSujet: Re: «L'Art sauvera le monde» Dostoïevski — Maxence. {Fiche Terminée}   «L'Art sauvera le monde» Dostoïevski — Maxence. {Fiche Terminée} Icon_minitimeJeu 11 Oct - 23:03

Il ne me semble pas avoir croisé de faute majeure, tout est en ordre et j'ai beaucoup apprécié l'histoire o/
Tu es donc validé pour de bon. N'oublie pas d'envoyer ton secret par mp à Aelys !
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Maxence Duchesne
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MessageSujet: Re: «L'Art sauvera le monde» Dostoïevski — Maxence. {Fiche Terminée}   «L'Art sauvera le monde» Dostoïevski — Maxence. {Fiche Terminée} Icon_minitimeVen 12 Oct - 6:25

HO MON DIEU YES !

Merci beaucoup, vous venez de faire ma semaine Very Happy

J'envoie le secret de suite Wink

Homme heureux je suis *_*
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MessageSujet: Re: «L'Art sauvera le monde» Dostoïevski — Maxence. {Fiche Terminée}   «L'Art sauvera le monde» Dostoïevski — Maxence. {Fiche Terminée} Icon_minitime

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