Nola Tilde Jaegler

Nola est une étoile. Une boule de plasma qui une fois son éclat perdu devient des milliers de grains de poussières. Nola c’est une étoile qui ne peut pas briller seule et qui une fois entourée ne se démarque pas des autres. Pourtant elle est là, elle brille, même si sont éclat n’est pas resplendissant. Comme cette étoile qui tous les jours apparaît à la même heure, au même endroit, Nola suit le même programme chaque jour, parce qu’elle veut que tout soit parfait. Elle applique comme un Robot, elle veut que tout ce passe bien, alors elle fait de son mieux pas pour elle, mais pour ses élèves. Nola elle aime son travail, mais malheureusement il n’est pas vraiment fait pour elle. Nola c’est le prof qui veut tout faire bien, qui veut un cours structurer, qui se passerait parfaitement et où les élèves seraient contents de s’y rendre. Mais Nola elle ne s’est pas rendu compte qu’à Aisling ce cours si parfait n’est qu’un rêve irréalisable (essayez un peu de faire cours aux élèves d’Aisling vous). Les gens comme elle seraient partis au bout d’une semaine. Mais Nola n’abandonne pas. Nola essaye toujours de faire de son mieux, elle s’obstine et si ça n’a pas marché c’est à cause d’elle. Alors dans ces cas là Nola recommence à planifier un nouveau planning, en espérant qu’elle ne va pas faire d’erreur cette fois ci. Mais l’étoile sera toujours au rendez-vous, chaque jour au même endroit à la même heure sans jamais faiblir. Et c’est grâce à cette obstination que les élèves ne la détestent pas. C’est parce que Nola ne pense qu’à eux. Jour est nuit Nola ne vit que pour ses élèves (sans doute son caractère de grande sœur qui prend le dessus). Mais à force Noly en devient collante. Parce qu’elle suit les élèves jusqu’à ce qu’ils lui disent ce qui n’allait pas. Parce que dès qu’elle voit un élève elle lui demande si son cours a bien été comprit. Elle est toujours derrière eux à demander de venir la voir s’il y a un problème, s’il y a une question. Comme une grande sœur un peu trop possessive, Nola continue de chercher à atteindre le cœur de ses élèves, comme une étoile qui n’a de cesse de briller jusqu’à ce qu’on la remarque au loin dans le ciel.
Tout serait plus facile si la Mademoiselle savait se faire respecter. Elle pourrait forcer ses élèves à rester assis tant qu’ils n’ont pas compris le cours. Elle pourrait faire son cours normalement. Mais Nola n’a pas une personnalité qui se détache des autres. À vrai dire, ce n’est qu’une jeune femme trahie, qui manque de confiance en elle. Noly se remet toujours en question, pense que tout est toujours de sa faute. En plus la pauvre est maladroite. Elle tombe souvent, dit des choses qu’il ne faut pas dire, fait des choses qu’il ne fallait pas faire, se trompe souvent, ce qui ne l’aide pas à avoir plus confiance en elle. Mais Nola n’abandonne pas, parce qu’elle en a marre de rater ce qu’elle entreprend (Je vous rassure elle n’a pas une vie malheureuse, loin de là). Nola se donne a fond et c’est ça qui force le respect des élèves. Mais Nola n’est pas que ça. La jeune fille a beau ne pas avoir confiance en elle, quand il sait de ses élèves elle est prête à tout.

Mademoiselle n’est pas qu’une étoile terne parmi tant d’autre. Elle possède sa propre lumière. À force de briller, on fini par la remarquer et alors elle vous réchauffe le cœur. Parce que si Nola au premier abord peut paraître froide et stricte ce n’est pas du tout le cas. La jeune fille ne supporte pas punir ses élèves et fait tout pour qu’ils aient de bonnes notes. Elle est capable de refaire une interro sur le même thème dix fois pour être sur que ses élèves apprennent la leçon. Et ça marche parce qu’à la fin ils ont de bonnes notes. Nola n’aime pas coller ses élèves mais préfère leur donner des cours particulier en cas de mauvaise note. Et ils viennent parce qu’elle donne de son temps pour eux. Et quand on apprend à parler avec elle, on remarque que Nola brille de milles feu. Nola est une grande sœur dans l’âme. Elle a tendance à se comporter avec ses élèves comme avec son frère et au fur et à mesure qu’elle les connaît elle devient plus naturelle. Parce qu’en vrai Nola c’est une fillette bavarde, qui aime parler de ses problème et écouter ceux des autres et surtout qui aime aider (ça lui donne confiance en elle). Nola elle sourit souvent, mais elle se cache aussi. Mademoiselle est vite jalouse, parce qu’il y a toujours quelqu’un qui fait mieux qu’elle. Par exemple Nola est très jalouse de Léo, mais elle le cache, parce qu’en dehors de cette petite jalousie il y a de l’admiration et de la reconnaissance. Nola se cache derrière sa lumière parce que le monde va ainsi.

Enfin vous l’avez compris Nola c’est une étoile de mer.

- Abel fait attention à toi tu vas tomber. Viens avec moi j’ai une surprise pour toi. Franchement tu feras comment quand je quitterais la maison ? Il faut toujours que je sois derrière toi, pour être sur qu’il ne t’arrives rien. Je me demande même si tu ne fais pas exprès des fois. Mais bon tu sais bien que je t’aime petit frère et je serais toujours avec toi.

À cette époque je ne savais pas à quel point ce que j’étais entrain de te dire était faux. Je ne savais pas à quel point j’allais être impuissante fasse à tes problèmes. Tu sais Abel, je regrette de n’avoir rien pu faire. Je regrette de ne pas être restée ta grande sœur trop protectrice. Si je pouvais, je recommencerais tout, pour vivre heureuse avec toi. Mais je n’en ai pas le pouvoir. Alors je recasse toujours la même histoire, dans ma tête, en sachant que ça ne sert strictement à rien. J’aimerais bien pouvoir me libérer de cette malédiction qui me ronge jour après jour. C’est dur, mais j’y arriverais, parce que je te fais confiance. Parce que je sais qu’en ce moment, tu vas bien, tu donnes le meilleur de toi pour réussir, pour être celui que tu as toujours voulu être. En tout cas je l’espère.

Dis-moi Abel, tu te souviens de notre vie avant tout ça ? On était heureux quand on était môme. On avait l’impression qu’à deux, le monde nous ouvrait ses bras. Papa et maman étaient heureux, ils s’aimaient et on s’aimait. Notre vie était paisible, normale. Mais au moins on était heureux, même s’il nous arrivait de rêver de plus. D’ailleurs on n’aurait pas dû, Abel. Tu te souviens, quand on se demandait quel don nous allions avoir. Quand on faisait des pronostiques, quand tout ce qui comptait pour nous c’était d’être comme Papa et Maman. On n’aurait pas dû autant penser au futur. On aurait dû vivre l’instant présent, comme tous les enfants de notre âge. C’est là notre première erreur, penser que le futur serait mieux que le présent. Je me rappelle de nos escapades dans la forêt. Tu te souviens de notre maison ? Elle était tout ce qui a de plus modeste. C’était une petite maison de banlieue. Je pense que Maman et Papa y habitent encore. On devrait penser à y retourner un jour, quand tu reviendras. Enfin bref, je te parlais de cette forêt, celle derrière la maison et dans laquelle on avait l’habitude de jouer les aventuriers ensemble. Evidemment je faisais beaucoup trop attention à toi, comme d’habitude et te réprimandais souvent. Mais on s’amusait bien là-bas, à imaginer notre futur. Savais-tu qu’on allait finir ainsi ? Pas moi. Je m’imaginais devenir une écrivaine célèbre, mariée avec deux enfants. Je pensais que toi et moi on serait toujours ensemble. Mais j’avais tord. C’est con de mettre concentrer sur un futur inexistant pendant mes plus belles années. On était trop proche petit frère, parce que je refusais de te laisser seul. Nos parents étaient fières nous. Ils étaient sûrs qu’on finirait par être ce qu’on voulait être, comme eux. Pourquoi n’a t’on pas réussit ?

Dis-moi, Abel, tu te souviens de notre premier « Adieu » ? Il n’avait rien avoir avec celui qui a suivi. Parce qu’on savait qu’on allait se retrouver. C’était le jour de mon envoie à Aisling. J’avais douze ans, à cette époque je pensais que ma vie allait commencer seulement maintenant. Mais j’avais tord, maintenant je me rend compte que mes plus belles années sont mes douze premières. Tu te rappelles comment mon don c’est déclenché ? On jouait dans ce parc, près de la ville et d’un seul coup toutes les personnes présentent ont été attirées vers moi. Je me souviendrais toujours de ton rire ce jour là. C’était la première fois que tu me voyais paniquée et tu rigolais à en pleurer. Tu as compris avant moi, que c’était mon don, alors tu m’as calmé. Ce jours là c’était toi le grand, mais tu ne l’as plus jamais été. Je me souviens au début j’avais un bracelet, pour éviter d’attirer tout le monde vers moi. Ce bracelet je l’ai toujours parce que dessus tu as marqué ton nom. Tu avais peur que je t’oublis. Et moi je t’ais répondu « Ne t’inquiète pas petit frère, je t’attendrais. Et quand tu me rejoindras on s’amusera à deux ». C’était ce que je voulais, vraiment. Je n’ai jamais eu l’occasion de te raconter mon année sans toi. J’ai eu du mal cette année là. Au début ça a été difficile de s’intégrer, surtout à la classe des phy. Parce que j’étais plus calme qu’eux de nature. Parce que je manquais de confiance en moi. Mais c’est vite passé, ils sont devenus importants pour moi, comme une seconde famille. Là-bas aussi je jouais le rôle de la grande sœur d’où le surnom « b-sister ». Et là-bas je m’étais découvert une passion pour tout ce qui était culture. C’est à partir de ce moment là que j’ai commencé à me balader avec mon calepin (pas très phy je dois bien l’avouer). Et puis je me suis mise à apprendre à contrôler mon don sérieusement, parce que j’en avais marre d’être une des seules à devoir avoir un bracelet. Et un jour tu es arrivé. Tu te souviens de nos retrouvailles ? Moi je ne les oublierais pas. Parce qu’à ce moment là j’étais à la fois heureuse de te revoir et triste de comprendre que plus rien de serait comme avant. Je ne pouvais plus être la grande sœur que j’étais par le passé. Il fallait que tu te fasses ta place ici, sans mon aide. Mais il y avait autre chose, ce qui nous a séparé je le sais. Notre différence, mon incapacité à te comprendre. Si tout a tourné ainsi c’est de ma faute Abel et j’en suis désolé.

Dis-moi, Abel, Tu te souviens de nos années, à Aisling ? Pour moi elles ont été les années les plus dur, parce qu’elles nous ont séparé. Parce que chaque jour, je voyais se fossé se creuser entre nous deux et j’avais beau faire mon possible pour nous rapprocher rien ne fonctionnait. Je les entendais.

- Tu sais qui c’est Abel ? Ouais il paraît qu’il arrive toujours pas à contrôler son don, ouais il galère, il va pas sortir de si tôt.
- Parle moins fort, il y a sa sœur derrière. Ca doit être dur pour lui d’avoir un sœur qui réussit si bien à contrôler son don et lui qui y arrive pas.
- C’est clair, il paraît que c’est pour ça qu’il ne lui parle plus.

À cette époque je n’avais qu’une envie aller les voir et leur crier « Taisez-vous, vous ne savez rien ». Mais je n’osais pas et je savais qu’ils n’avaient pas totalement tord. Parce que j’avais beau essayé de t’aider, t’apprendre comment contrôler, tu ne voulais pas. Tu ne voulais plus qu’on parle de ça. Au début on a banni ce sujet de nos conversations et très vite on a fini par ne plus savoir quoi se dire. C’était tellement frustrant pour moi, de te voir te détruire et ne rien pouvoir faire. Je me sentais pitoyable, capable de rien, une moins que rien, alors moi aussi j’ai eu ma période noire. C’était pendant ma quatrième année que tout a dégénéré. Je te voyais trainer avec ta bande de pote, sortir d’Aisling pour rejoindre un certain Léopold. J’ai essayé d’en savoir plus, alors je les ai rencontré. Et c’est là que j’ai compris, que si quelqu’un pouvait t’aider à aller mieux se n’était certainement pas moi. Que maintenant je devais laisser cette affaire à Léo. Tu sais j’étais jalouse, tellement jalouse de savoir qu’il pouvait t’aider et que moi non. Que tu lui parlais de tes problèmes et qu’à moi non, qu’il pouvait te protéger et que moi non. Je me souviens de la fois où je suis allée le rencontrer pour être sûr qu’il soit une bonne fréquentation. C’était pendant ma quatrième année. Je commençais à savoir contrôler correctement mon don. Je me souviens lui avoir poser un interrogatoire.

- Qui es-tu ? D’où viens-tu ? D’où connais-tu Abel ? Comment ce fait-il que tu sois au courent pour Aisling ? Es-tu capable de le protéger ? De l’aider ?

J’ai dû passer pour une hystérique, surtout quand je me suis mise en colère et que mon don c’est activé. Mais je m’en foutais Abel, parce que c’était pour toi. Je n’avais jamais été aussi sûr de moi (si on peu appeler ça comme ça. J’ai plutôt piqué une crise comme j’en avais jamais piqué avant). À la fin j’ai fini par te laisser à lui, parce qu’il était le mieux placé pour t’aider. J’ai quand même voulu rencontrer la bande. Tu te souviens quand je me suis ramenée à une de vos réunions. Je savais que tu n’allais pas me pardonner de si tôt, mais je me suis bien éclatée. Léo avait réussit à me convaincre. (même si pour être honnête je savais que je n’avais pas mon mot à dire qu’il y arrive ou non). Et puis les années sont passées et j’ai fini par quitter Aisling sans t’avoir parlé pendant ma dernière année (d’ailleurs il ne vaut mieux pas que je te raconte cette années là. L’influence des phy ne m’a pas bien réussit). Je savais parfaitement contrôler mon don, alors j’ai quitter Aisling c’est l’à qu’on c’est dit notre deuxième « Adieu ». Et celui là était le plus triste, parce que je savais qu’il allait durer beaucoup plus longtemps que celui d’avant. Il c’est passé tellement de chose entre ces deux instants. Notre futur n’est pas tel que nous l’imaginions quand on était gosse.

Laisse-moi te raconter ma vie, Abel. Celle où tu n’étais pas là. Tu sais après Aisling, j’ai décidé de voyager. Je voulais connaître toutes les cultures de l’Europe, je voulais découvrir le monde. Faire ce que, j’espère, tu es entrain de faire. Mais je voulais surtout m’oublier et me redécouvrir, comprendre quelle était mon erreur avec toi. Alors j’ai voyagé. C’est à ce moment là que j’ai vraiment repris contact avec les parents. Tu sais à cette époque où tu pensais ne rien valoir, ils étaient fiers de toi, ils te faisaient confiance, comme moi. Je suis d’abord allé en Angleterre, où j’ai emménagé chez des amis, j’ai même eux la chance de travailler pour eux à leur pâtisserie. Puis je suis allée France. Un jour je t’y emmènerais, il faut que tu vois Paris. J’ai collectionné les petits boulots là-bas comme serveuse, vendeuse, secrétaire. C’est là bas que j’ai rencontrer l’homme qui allait devenir mon fiancé. On c’est rencontré sur mon lieu de travail –à l’époque c’était une pâtisseries, café magnifique. - On c’est vite plus, moi je suis tout de suite tombée sous son charme Français, pour lui ça a pris plus de temps (Je me demande s’il m’a vraiment aimé pour tout te dire). Je suis restée en France pendant un an avec lui (Il s’appelait Louis). Il m’a fait une demande en mariage, alors que ça ne faisait que neuf mois qu’on sortait ensemble. Je sais que je n’aurais pas dû accepter, tout ça allait trop vite. Mais tu sais Abel, à cette époque tu me manquais tellement, je regrettais tellement de chose que je ne voulais plus rien regretter. Notre mariage était prévu pour Juin. C’est une très belle saison, malheureusement il n’a jamais eu lieu étant donné que Louis m’a lâché avant pour une autre fille. J’aurais dû m’en rendre compte plutôt. Je ne sais même pas ce qui l’a attiré en moi. Comme avec toi, je pensais que c’était de ma faute, que j’avais fait quelque chose de mal. Même si je ne savais pas quoi. Tu sais, ce que je regrette le plus dans cette histoire, c’est qu’elle m’a fait perdre le gout de l’amour et toute ma confiance en moi. Après ce coup je suis devenue une épave, et pour changer d’air j’ai décidé de reprendre mon tour de l’Europe. Après la France, je suis allée de l’Italie à la Grèce (j’avais déjà visité la Belgique avec Louis). J’ai adoré visiter tous les monuments qui date de la Grèce antique. Puis je suis remontée jusqu’en Norvège en passant pour la suède et la Finlande. Et je suis redescendue en Espagne jusqu’au Portugal. Pour revenir je suis passé en France. Tu sais je suis devenue forte en langue. Cette escapade était magnifique, malheureusement elle ne m’a pas apporté ce que je voulais. Quand j’ai appris qu’on ne savait plus où tu étais, ça ne m’a pas surpris. Parce que je savais qu’un jour tu partirais, sans rien nous dire aux parents et à moi. Je le sentais dans ton regard Abel. Comme maintenant je sens au plus profond de moi que tu sais ne pas être seul. Mais j’ai toujours des regrets Abel et je pense que tant que je ne t’aurais pas vu j’en aurais encore. Mais je ne compte pas abandonner petit frère, après tout c’est moi la grande. C’est moi qui dois prendre soins de toi, je ne dois pas t’inquiéter. Après un long temps de réflexion, j’ai décidé de faire une formation de trois ans pour devenir prof et de retourner à Aisling. Je ne sais pas si j'y ai ma place, mais je pense que j’aurais mes réponses là-bas. Tu sais je suis devenue une prof d’ECGS, mais tu te moquerais de moi. Je ne suis pas vraiment celle que j’aurais voulu devenir. Je suis le genre de prof dont on se moquait tous les deux quand on était petit. Je planifie mes cours, je n’ai pas la force de m’imposer aux élèves et mes cours ne se passent jamais comme je le voudrais. Mais je n’abandonnerais pas cette fois, pas comme avec toi. Je serais un bon model pour mes élèves, j’arriverais à les aider, même si je n’ai pas réussit avec toi. Tu vois petit frère ma vie n’est pas comme nous l’avions imaginez tous les deux, j’espère que pour toi c’est différent. Mais sache que je ne suis pas malheureuse, bien au contraire. Parce que j’ai le sentiment de pouvoir aider et qu’un jour je pourrais retrouver ma confiance en moi. Oh j’ai oublié de te dire, Léo est là aussi. Enfin ça tu dois le savoir. J’essaye d’avoir des nouvelles de toi par lui, vu que tu ne m’envoies rien. Ca me suffit (il faut avouer que je lui force la main aussi).

Tu sais Abel, même aujourd’hui, je ne brille pas autant que toi à l’époque. Et je sais que je ne brillerais jamais autant que Léo. Mais si tu reviens, je serais là pour toi, je n’abandonnerais pas. Quoiqu’il se soit passé, je t’aime toujours autant, tu serais toujours mon petit frère. C’est pour ça que je sais que tu vas finir par me revenir. Parce qu'il me reste encore un futur à choisir.

✎ Don : Attraction
✎ En détail : Nola utilise son don à longueur de journée. Plutôt pratique pour une prof qui n'a aucune autorité. Le plus souvent Mademoiselle l'utile pour choper un de ses élèves et le forcer à rester près d'elle temps qu'il ne lui a pas dit si son cours a bien été comprit et s'il n'y a pas de question. Ou bien elle l'utilise pour forcer les élèves à aller à ses cours particuliers pour qu'ils s'améliorent (elle ne pense qu'à ses élèves). Mais Nola l'utilise aussi pour stopper Léo et l'obliger à lui donner des nouvelles de son frère. Une vraie casse pied celle là
✎ Maitrise : Nola contrôle parfaitement son don (c'est une de ses plus grandes fiertés)
✎ les ELEM : Elle les aime mais ne les contrarie pas
✎ les SPE : Elle les aimes mais a du mal à les comprendre
✎ les PHY : Elle les aime mais en a peur
✎ les PSY : Elle les aime mais pas dans le passé
✎ les ADULTE : Elle les aime et leur demande conseil

CRÉDIT - FICHE