You know my name.

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Just let it be.

✂ Surnom : Yann, Bertrand, Borgnefesse Quarante douzième du nom ✂ Age : 20 ans ✂ Année : 9ème ✂ Année d'arrivée : 1ère ✂ Classe : Peu importe. Mais une légère préférence pour un Spé, ou un Psy (et si il y avait moyen d'éviter Phy... *va se faire tout petit*)

Supernatural Superserious.

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Breton de corps, et Corse de coeur.

Yann', il passe souvent pour un blasé de la life. Le genre de personne complètement indifférente à tout ce qui se passe autour d'elle. La vérité, c'est qu'il est trop occupé pour faire vraiment attention à tout ce qui se déroule. Trop occupé par la tempête qui souffle sous son crâne. Parce qu'en réalité, dans la tête de Yannick, c'est toujours un énorme tourbillon d'idées et de pensées. Pourquoi ? Oui, pourquoi donc ? Pour plusieurs raisons. Parce que Yannik est dépressif. Parce qu'il est contradictoire. Parce qu'il ne voit la vie que d'un oeil morne. Parce qu'il a oublié ce que signifie espérer. Parce qu'il a peur. Parce qu'il souffre. Parce qu'il se cache. Parce qu'il prévoit. Parce qu'il s'en fiche au final. Et aussi parce que plus il pense, et plus il s'enfonce dans ses pensées, au point de ne même plus être conscient de ce qui l'entoure. Jusqu'à en oublier les présences, les sensations, les sentiments. Quand Yann' réfléchit, il ne se contente pas d'aligner des pensées. Il devient lui même une énorme tempête de pensées. Et les gens craignent généralement de le perdre lorsqu'il se lance dans ce genre d'errances.

Mais non, Yann arrive toujours à retrouver la réalité après ces moments de réflexion intense. Parce que Yann a une technique infaillible. Yannik est un brin masochiste oui. Et Yann est peureux. Il est rongé par ses peurs. La peur de la médiocrité, la peur de l'oubli, la peur du néant, la peur de la mort, la peur de la peur, la peur de lui-même. Il est toujours assailli par ce genre de pensées négatives, des pensées qui le parasitent, qui le rongent, et qui l'empêchent de se perdre dans son univers. Mais le problème est que plus Yann' pense, plus il sombre dans des pensées sombres et déprimantes, avant de se trouver une excuse, un petit quelque chose pour foutre son argument précédent en l'air, et vice-versa. Oui, il est très contradictoire. Mais ça n'est pas le seul soucis. Le pire, c'est qu'à force de se plonger dans ses pensées ainsi, il s'en donne des migraines. Et quand il a mal, généralement, ça se finit en séance de réflexion, sur le thème « Pourquoi j'ai mal déjà ? », ce qui ne fait qu'augmenter son mal de tête. Et c'est une boucle sans fin. Il faut savoir que de toutes façons, il est déjà arrivé à se faire une crampe des muscles dorsaux alors qu'il réfléchissait, allongé n'importe comment sur son lit, et qu'il s'est déjà évanoui de douleur suite à une migraine trop importante.

Au niveau scolaire, Yann' est ce qu'on appelle un élève... Moyen. Et ça le terrifie. Comme dit auparavant, il craint la médiocrité, et cherche de ce fait à approcher l'excellence. Mais la vérité, c'est qu'il a des capacités intellectuelles supérieures à la moyenne, mais qu'il les a stupidement gâchées en se creusant la tête sur des sujets totalement hors de rapport avec ce qu'on lui demandait. Car oui, il est du genre à se compliquer la vie pour pas grand chose. Alors si vous le trouvez en train de sécher sur une équation linéaire pendant une heure, c'est qu'il se creuse la cervelle en se demandant où est le piège à cette question alors qu'il pourrait en finir avec trois malheureux calculs, ne vous inquiétez pas, c'est tout à fait normal. Et puis, il est assez suspicieux, et fait rarement confiance aux gens. Et puis, déjà faudrait-il qu'il y fasse attention. Ce qui n'est guère le cas. Donc, vous l'aurez compris, sur le plan social... La vie de Yann est ce qu'on peut qualifier d'inexistante. Car encore une fois, Yann est trop enfoncé dans ses pensées pour prêter attention aux gens. Donc, vous aurez de la chance si il vous remarque. Mais une fois qu'il vous aura remarqué ne serait-ce qu'une fois, il se souviendra de vous. Car même si ses résultats en cours sont tout juste moyens, il a une excellente mémoire. Mais ce n'est pas cette dernière qui est à remettre en cause quand à ses résultat, bien entendu.

Il faut aussi ajouter que Yann', suite à sa dépression, a eu une période suicidaire. Qui refait parfois surface de temps en temps. Et c'est dans ces moment qu'il se met à jouer. A des jeux dangereux. La roulette russe arrivant en numéro un de ces occupations. Mais il a d'autre trucs, comme un défi, qui consiste à se faire une entaille au couteau, chacun son tour, sur le bras, du côté où passent les veines bien entendu. Et à ce genre de défis, Yann' est encore invaincu. Par une chance incroyable pour le premier, et par une volonté inébranlable pour le second. Mais ce sont les seuls moments où il manifeste un peu de vie. Où il devient un peu moins morose et mou. Où il a vraiment l'air vivant. Parce que ces montées d'adrénaline lui insufflent un peu de cette vie dont il voudrait se débarrasser...

Infos complémentaires : - Les cycles lunaires le rendent insomniaque, donc, si suite à une pleine lune, vous entendez une respiration réglée comme une horloge suisse au fond de la salle, c'est Yannik qui dort.
- C'est un nageur émérite.
- Il tient un journal, ainsi qu'un herbier, qu'il a décidé de commencer sur un coup de tête, et qu'il a continué à entretenir.
- Ses parents ont oublié le « c » à son prénom au moment de le baptiser.
- Il descendrait directement du Flibustier français nommé « Borgnefesse »
- Les initiales de son nom sont « LG », ou « Life is Good » pour certains, et ça l'ennuie fortement.
- Il aime les citations et autres maximes, dont il noircit des pages et des pages de ses cahiers lorsqu'il ne se plonge pas dans ses dilemnes sans fin.
- Il a pratiqué la méditation et l'aïkido en France, mais a laissé tomber après trois ans. Il garde néanmoins quelques réflexes, et peut aisément faire faire des torsions très douloureuses à vos bras, poignets, et autres articulations.
- Breton de naissance (St-Malo), il a déménagé en Corse (Bastia) à huit ans, car son père avait été muté.
- Fume par moments, mais ne boit pas une goutte d'alcool (Il a tenté de finir ivre pour oublier tous ses soucis, mais il n'y est jamais arrivé. Il s'est juste retrouvé avec un mal de crâne énorme le lendemain. En bref, l'alcool n'a aucun emprise sur lui, n'espérez pas le voir finir bourré.)
- A un tatouage en forme de Triskell sur tout le dos.

It's the end of the world as we know it.

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✎ Don : Maelström
✎ En détail : Le Maelström permet à Yannik de quitter son corps pour lancer des assaut avec son esprit. Comme un énorme tourbillon formé par son âme, venu enserrer une personne à proximité. Mais il ne s'en sert que très peu, et l'utilise parfois lorsque son mal de tête est trop grand, pour tout évacuer, tout remélanger, et revenir ensuite dans son corps, l'esprit un peu plus tranquille et les pensées à peu près remises en place. Mais il arrive qu'il veuille évacuer et qu'il frappe une personne qu'il n'avait pas remarqué à proximité. Ce qui arrive malgré sa maitrise, puisqu'il a tendance à oublier la présence des gens.
✎ Maitrise : 97 %
✎ Lui & les ELEM : "Les Elem'... Ils sont ce qu'ils sont. Des petits péteux qui ont le trou plus haut que le cul, et qui se prennent pour les rois du monde. Mais, qu'ils continuent à gravir la paroi, plus ils tenteront de se dresser haut, et plus leur chute sera douloureuse."
✎ Lui & les SPE : "Les Spe... Insouciants, inconscients, fumistes et paresseux. J'exgère peut être le portrait, mais c'est ce que j'en vois la plupart du temps. Mais bon, je suppose que certaines choses ne peuvent pas se changer d'un claquement de doigt. Alors, si la vie leur plait ainsi, je vais les laisser faire et ne pas m'en mêler."
✎ Lui et les PHY : "Fêtards et turbulents. Il s'enfoncent dans tous les pêchés sans même s'en appercevoir. Mais après tout, on leur donne cette réputation de demi malades mentaux... Alors quoi ? Je ne vais pas aller les voir un par un pour leur ouvrir les yeux et leur faire comprendre qu'ils ne sont que des gamins turbulents. J'ai d'autres préoccupations."
✎ Lui et les PSY : "La plupart perdent leur temps. Certes, ils sont efficaces, ils sont brillants pour certains. Mais et au final ? Ce ne sont que des gamins qui passent leur temps la tête dans un bouquin ou dans leurs études. Ils restents scotchés à leur boulot et se changent en bonnes gentilles machines, fondues dans un moule, faites pour attraper ce qu'on leur lance entre les dents et pour apprendre. Non, vraiment, j'ai du mal à les comprendre. Autant dire que je ne les comprendrais jamais."

Jolie petite histoire.

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Born to Die.

Prologue :

Aujourd'hui, j'entamme ce journal. Pour écrire. Pour rendre sur papier toutes les pensées qui me traversent la tête. Parce que j'en ai assez de vivre chaque jour avec une tornade de pensées sous la boîte crânienne. Il me faut un moyen dévacuer. Si ce n'est pas le bon, j'en changerais. Mais pour l'instant, j'ai besoin de ce moyen d'expression. J'ai l'impression que ma tête risque d'exploser chaque jour, chaque heure, chaque minute... Alors, dans ces pages, je transmettrais au papier tout. Mes pensées, mes idées... En somme, ma vie. Jour après jour.

I. This is past :

Il y a... Beaucoup de choses à conter à propos de mon passé. Mais je tenterais de faire court, pour ne pas envahir les pages qui suivent. A vrai dire... Je n'ai jamais vraiment aimé les gens. Déjà enfant, j'avais cette aversion pour la foule. Je n'aimais pas les grands rassemblements. Ils me donnaient l'impression de voir un troupeau de moutons se rassembler... Et je n'aimais pas me noyer dans ces foules d'individus médiocres, moyens, et qui se croyaient pourtant au dessus de tout. Ils se sentaient tous si supérieurs, alors qu'en réalité, ils étaient tous au même niveau, à se regrouper en foules grouillantes et repoussantes. Non, vraiment, je n'ai jamais aimé les gens superficiels, les gens prétentieux, et toutes ces autres personnes tentant de se valoriser alors qu'elles ne valent pas grand chose. J'aime les personnes simples. Qui sont elles-même, et qui l'assument.

Mais, pour en revenir à mon enfance, je dois avouer que les évènements ont été nombreux. Tout a commencé avec ma naissance, en la ville de Saint-Malo, en plein pays Breton. Non, rassurez-vous, je n'ai pas grandi en mangeant de la galette matin midi et soir, je n'ai pas appris la danse folklorique, on n'a jamais mis de chouchen dans mon biberon et je ne sais pas non plus jouer du biniou. Je déteste ce genre de clichés. Surtout qu'avec le nom dont j'ai hérité, je ne peux nier mes origines. Mais peut importe. Après tout, mon ancétre était un Flibustier célèbre, alors je ne vais pas me fatiguer à refuser de voir d'où je viens. Et puis, c'est vrai, j'ai toujours aimé la mer. Cette immense étendue d'eau m'a toujours attiré. Autrefois, j'aurais aimé pouvoir devenir marin. Mais les choses ne se sont pas passées comme je l'avais espéré. Enfin, il suffit de voir que mes parents ont oublié une lettre à mon prénom pour comprendre que je n'ai pas eu beaucoup de chance...

Les choses ont commencé à se détraquer lorsque j'atteignis l'âge de neuf ans. A l'époque, je n'étais pas le dépressif suicidaire d'aujourd'hui. Non, à l'époque, j'étais encore jeune. Insouciant. Et je n'avais pas conscience de ce pouvoir qui sommeillait en moi. On m'aurait parlé de don, d'école spéciale, et de tout ce qui s'y rapporte, je n'y aurais pas cru. Ou j'aurais pensé à un univers fictif. Mais c'était sans compter cette journée là. Les choses s'étaient mal passées. J'avais eu la mauvaise idée de ma battre avec un de mes camarades de classe, pour la raison totalement puérile que ce dernier refusait de croire que mon ancètre avait bel et bien trempé dans la piraterie jusqu'à l'os. Et j'avais fini par atterir dans le bureau de la directrice, où j'avais été sermonné par cette dernière. Et pas qu'un peu. Alors, le soir, lorsque ma mère était venue me chercher, mon moral n'était pas au plus haut. Et il avait encore descendu lorsqu'elle aussi avait commencé à me faire la leçon... Puis, s'est produit le pire. Je me rappelle précisément de chaque détail de son visage lorsqu'elle m'avait vu hurler. J'avais pu voir la terreur, l'étonnement, et l'incompréhension. Mon don venait de s'éveiller, et j'avais... Par la tornade générée par mon Maelström, provoqué la perte de contrôle du véhicule. Et tout avait semblé se figer. Le violent coup de frein donné, la voiture arrivant en face, la collision. Puis, le noir total. La pénombre. J'aurais du mourir. Ne serait-ce que pour ce que j'avais fait. C'était un accident, certes, mais cet accident avait causé la mort de ma génitrice... J'aurais du la rejoindre dans la tombe. Mais le ciel en a décidé autrement.

Je me suis réveillé, bien plus tard, dans un lit d'hôpital, une perfusion au bras gauche, et le corps complètement endolori. Ce fut mon père qui m'annonça tout ce qui s'était passé. Ma mère était morte dans l'accident, mais j'en avais miraculeusement réchappé. J'avais reçu de nombreuses contusions, et des coupures multiples, mais j'étais en vie. Blessé, mais vivant. Et extrêmement chanceux. Oui, j'avais vraiment eu beaucoup de chance d'en ressortir vivant. Mais était-ce vraiment une chance ? Je ne sais pas. Car, c'est à partir de ce jour que j'ai commencé à changer. J'ai cessé de voir les choses d'un bon oeil. J'ai commencé à m'enfoncer dans la déprime et la tristesse. Puis, les choses se sont enchainées. J'ai commencé à avoir des idées suicidaires. Et pendant ce temps, je grandissait... Les années passaient. Et ces idées de mort restaient gravées en moi.

Puis, à onze ans, mon père a obtenu une mutation. En tant que professeur, il était envoyé en Corse. Et je n'ai guère eu le choix. Il m'a fallu le suivre. Un ans a suffit pour me faire aimer l'île de beauté. Au moins, il me restait ça, si je n'avais plus cet amour de la vie... Et j'aurais pu en rester là, oublier peu à peu mes idées noires en contemplant les magnifiques paysages de l'île... Faire le vide en travaillant sur cet herbier que j'avais débuté quelques semaines après mon arrivée. Et me couper du monde. Me contenter de rester en union avec la beauté de la nature. Sauf que, un an plus tard, je fus renvoyé en France. En à pein un an, je ne me considérais plus Français, mais Corse. Et pourtant, mon père m'envoya là-bas, sans aucune trace d'hésitation, ou même de regret. Il m'inscrivit dans une école réputée : Aurore. Sans me demander mon avis. Et il m'y envoyait en pension. Totale. Ce qui signifiait que je n'étais même pas sur de pouvoir rentrer pour les vacances... Alors, n'ayant pas le choix, je dus reprendre la mer pour retourner en territoire français.

La seule chose est que... Je n'avais pas le niveau pour rester ici. Je ternissais la réputation de leur établissement. Mon niveau était bien trop bas. Seulement, je me dis aujourd'hui que les Elem' d'ici... Sont de doux agneaux à côté de ces petits merdeux de français. Alors, après deux semaines à peine, je fus transféré. Dans une école étrangère. Au Royaume Uni. A Aisling. Mon père ne fit aucun commentaire. Il se contenta de signer quelques papiers, et ce fut tout. Je fus intégré à Aisling, et je n'ai plus eu de nouvelles de mon paternel depuis ce jour. Il m'a laissé tomber. Comme un papier froissé jeté par terre. Comme un déchet. Comme un objet cassé inutile... Alors, aujourd'hui, je ne le considère plus comme mon père. Il n'est qu'un étranger pour moi. Tout comme l'inverse est vrai. Mais même si j'ai perdu ma mère. Même si j'ai été abandonné par mon père. Je reste qui je suis. Je reste Yannik Artus Le Golif, 20 ans, Breton, Corse, élève d'Aisling...

II. Facts from today.

En ces pages, j'inscrirais les faits marquant se déroulant chaque jour. A partir d'aujourd'hui, ce journal renfermera ma vie...

Crow

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Encore moi '-'

✔ Age : Pas plus que la dernière fois. ✔ Sexe : Idem. ✔ Avatar : Taka Honjou – Eyeshield 21 ✔ Comment avez-vous connu le forum ? Bah, c'est un DC ✔ Pensez-vous demander un parrain/une marraine ? Nooooon. ✔ Autre chose ? Insomnie, Elvis Presley a fond, ennui. Alors j'ai fait mon DC. (ouais je sais, je l'ai fait pile à la date (ça fait en effet un mois de validation today.))