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 Summer ▬ Si la vie était moins violente, je le serais aussi.

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Summer G. Brooks
Summer ▬ Si la vie était moins violente, je le serais aussi. Rangelem
Summer G. Brooks

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Summer ▬ Si la vie était moins violente, je le serais aussi. Vide
MessageSujet: Summer ▬ Si la vie était moins violente, je le serais aussi.   Summer ▬ Si la vie était moins violente, je le serais aussi. Icon_minitimeVen 17 Aoû - 22:57


Lying is the most fun a girl can have while keeping her clothes on.
BUT IT'S BETTER IF YOU DO.

Summer ▬ Si la vie était moins violente, je le serais aussi. G5lX8

• Surnom : Salope, et autres dérivés pour les intimes.
• Age : 19 ans.
• Année : Huitième année.
• Année d'arrivée : Première année.
• Classe :ELEM.

Summer ▬ Si la vie était moins violente, je le serais aussi. 0007c962
Summer ▬ Si la vie était moins violente, je le serais aussi. JUKQ4




J'ai cru entendre 'je t'aime'
JE ME SUIS DIT 'C'EST SON PROBLEME'



    « Je suis ce qu’on appelle communément une pute. De ces spécimens qui s’emmerdent si fort qu’ils n’ont rien trouvé de mieux que de détruire le monde qui les entoure. Et tout ce qu’il y a l’intérieur. »

Il y avait toujours eu ce vide en elle. Cette force ridicule, cette machine sans moteur s’évertuant à ronfler désespérément dans l’air, tandis que ses rouages vides lançaient à la vie de longs grincements d’agonie. Il y avait toujours eu cette force dévastatrice, si désuète dans toute sa mort vive, sa vivacité viciée, qui la poussait à commettre les pires des douceurs, les plus bêtes des coups de têtes, dans ses tentatives vaines comme inachevées de surprendre la vie tout autant qu’elle-même. Il y avait toujours eu cette miséricorde en elle qui la poussait à s’envoyer en l’air plutôt que de tout y jeter. Ce soupir de lassitude plutôt que d’extase lorsqu’elle enchaînait les conquêtes dans une mécanique amère. La vérité c’est que Summer, elle s’emmerdait profondément.

    « Je sais pas ce qui m’empêcherait de tout faire sauter à l’instant. Ce serait peut-être la seule chose qui en vaudrait la peine, cette destruction préprogrammée, cette chute déstructurée, cette désamorce désaxée. Oui, tout faire sauter. A commencer par moi. »

Il y avait toujours eu cette colère en elle. Ce grognement sourd, cette rage latente, ce râle gémissant au fond de ces entrailles, comme un dégoût vague qui la prenait à chaque pas, à chaque bouffée d’air, à chaque sourire, à chaque regard, comme des souvenirs de cette vie qu’on lui insufflait à travers les os à coups de poignards comme de cœur. C’était peut-être cela qui la tailladait, le dégoût même de l’existence, du sang dans ses veines, de cette triste épopée encodée qu’était celle de naître, puis de s’enfuir. Mourir c’était pour les autres. Alors c’était peut-être cela qui la faisait mouvoir, cette haine crachée, barrée, frappée, percutée, rayée, contre chaque être croisant son chemin, chaque insouciance piétinant le seuil de ses pas, chaque joie, chaque douleur de trop, lui rappelant que tout n’était qu’un tout d’un même rien, qu’elle n’était que part d’une masse suintante de chair et d’os, d’une foule de vie grouillante des mêmes envies, des mêmes folies, de ces déjà vus à répétition, de ces fins sans reddition. La vérité c’est qu’elle voulait toujours trop pour oublier qu’il n’y avait plus rien à désirer.

    « Le cœur humain est bien trop simple, il ne trompe plus personne mais reste bien trop simple à berner. Mentir est d’un démodé tristement lascif, on agit comme on respire. Vivre sa tromperie, telle serait la nouvelle déraison.»

Il y avait toujours eu cette douceur amère en elle. Car Summer trompait, mentait, cachait le mépris que lui inspirait chaque être derrière une douceur calculée, mesurée. Car Summer voulait devenir le monde, le centre tournoyant charriant votre confortable gravité, celui qui passait comme un coup de vent, une tempête, vous aimait un peu, peut-être, passionnément, avant de disparaître par la première bise. Car Summer jouait, se moquait des tout, des riens, et surtout, surtout de vous, lorsqu’elle se faisait épaule réconfortante ou amante de vos rêves, Summer scrutait vos désirs les plus fidèles, dénichait vos rêves en grattant votre carcasse jusqu’à l’usure, car Summer jouait, se faisait tendresse et caresse, délice et luxure jusqu’à la déchirure. Car Summer voulait, prenait, embrassait, écorchait, déchirait. Et puis disparaissait.

Pourtant, mentir n’était pas assez pour tromper l’ennui, ce monstre bouillonnant qui lui écorchait l’intérieur, qui égrenait chaque minute, chaque seconde en une interminable agonie, délicieuse égérie de tout ce fatras prévisible, pré-vécu, prémâché, par cette horde rampante, traînant dans son sillage des siècles de vices et de sévices au nom d’une supériorité clamée à faux, qu’était l’humanité. Vivre c’était toujours la même chose. Vivre aussi c’était pour les autres.

Alors la vérité c’est qu’au fond Summer vous aime quand même peut-être un peu. Que lorsqu’elle jette son dévolu sur vous, lorsque ses ongles griffent votre nuque et que sa bouche dévore la vôtre, c’est un peu d’elle-même qu’elle assassine. La vérité c’est que ses sentiments Summer se les injecte, les déchiquète, les avale, les régurgite. Et se les enfonce jusqu’au fond de la gorge et du cœur. La vérité c’est que Summer se force, ressent, puis oublie, lorsqu’elle enlace les pires comme les meilleurs, selon ses désirs et ses vices, la vérité c’est qu’elle vous ressent lorsque ça s’entrechoque au fond d’elle, que le dégoût tout entier de vous la tiraille jusqu’aux entrailles, et que pourtant, pourtant, sa bouche continue à chercher la vôtre, ses yeux à dévorer vos pupilles, ses lèvres à murmurer votre nom. La vérité c’est qu’elle vous hait bien plus encore lorsqu’elle vous accueille jusqu’au fond des os. Celui que Glory veut tromper, ce n’est pas vous. C’est elle-même.


    « Je hais toutes ces histoires d’amour de pâquerette, ces soap opéra de dessous d’escaliers et de détours de couloirs, ces geignardises inutiles pour une seule et unique chose. Quitte à en sortir baisé, autant prendre son pied au passage. »

Mais au final que Summer le cache ou le clame, il n’y avait peut-être qu’une seule chose qui valait vraiment. Cette bestialité sordide unissant les êtres sans jamais les cœurs, ce retour à l’essence même des choses, au début de tout, de rien, cette recherche vaine et égoïste de l’extase qui ne saurait donner de fruits, lorsqu’elle frappe à votre porte en pleine nuit, à peine vêtue de la caresse de ses draps. En d’autres mots Summer ne jure que par le sexe, la baise, les étreintes sales et rabaissantes qu’on caquète au fond des couloirs les petits matins venus. La vérité c’est qu’il n’y avait peut-être que cela, cet amour jetable, consommé, consumé, sans attentes ni déceptions, cette unique nouveauté lorsque la chair mordait à pleines dents le fruit trop croqué et déjà pourri d’un pêché banalisé. La vie dans toute sa futilité.

Et puis dans tout cela il y avait lui. Peut-être il y avait-il eu quelque chose de plus, ou justement de moins, comme une étincelle que soudainement on écrase ; peut-être il y avait-il eu quelque chose dans cet être grésillant, électrique. Peut-être était-ce ses colères, son mépris mesuré à démesure qui l’amusait et la fascinait. Peut-être était-ce ses étreintes, cette sensation de rétrécir entre ses bras, lorsqu’elle râlait d’extase en lacérant ses reins. Peut-être était-ce la sensation de se révéler avant la fin, de redevenir la Summer grincheuse, colérique, méprisante, cynnique, ricanante, qui si peu connaissaient. Peut-être était-ce parce que quelqu’un avait enfin réussi à la surprendre. Mais par-dessus tout cela, restait éternelle et toujours la colère. Car alors qu’elle était restée, Velmur s’en était allé, mettant fin à un jeu dont elle croyait tenir les ficelles, achevant des émotions dont elle seule clamait avoir le contrôle. Alors elle le rattraperait. Le reprendrait. Seules les garces étaient dignes d’être aimées.


....



Moi je voulais juste un corps
JE VOULAIS SEULEMENT DES BRAS

Summer ▬ Si la vie était moins violente, je le serais aussi. 1HM5B



✎ Don :
Cirurgie.
✎ En détail : Summer peut générer et contrôler la cire, que cela soit au niveau de la forme ou de la température.
✎ Maitrise : Summer est capable de générer de la cire à partir de rien, mais cela lui nécessitera évidemment plus d’énergie que contrôler de la cire déjà existante, ses capacités de ce côté sont donc limitées. Malgré son côté laxiste en cours et son échec à l’examen final (qu’elle a échoué exprès afin de pouvoir rester aux alentours d’Erick) Summer maîtrise plutôt bien son don. Parmi les utilisations de son don Summer peut donc générer de la cire chaude (à balancer sur les rares ayant déjà eu à subir ses crises de colère), donner la forme de son choix à la cire, voire la mettre en mouvement (on dit qu’il lui arrive de créer des golems de cire à l’image de Lienart, afin de parodier les gestes de celui-ci), ou encore la durcir, afin de s’en servir comme projectile. En empêtrant une personne dans de la cire liquide qu’elle se charge ensuite de durcir elle peut aussi emprisonner celle-ci dans une gangue qui l’empêchera de bouger ou empêtrera ses mouvements selon le degré de solidification de la cire. Il arrive encore que sous le coup de la colère son don se déclenche à l’improviste, mais peu de gens connaissant cette face de Summer, il ne lui est pas demandé de porter un bracelet.


✎ Lui & les ELEM : Shitheads.
✎ Lui & les SPE : Shitheads.
✎ Lui et les PHY : Shitheads.
✎ Lui et les PSY : Shitheads.





On dit que je suis née le jour le plus froid du monde
ON DIT QUE JE SUIS NEE AVEC LE COEUR GELE



    ▬ Dis, pourquoi tu fais ça ?
    ▬ Quoi ?
    ▬ Tout ça.
    ▬ Ca n’a pas d’importance.
    ▬ Tu t'es perdue Summer. Au moins avant, tu savais sourire dans tes silences.
    ▬ Conneries.
    ▬ Tu sais c’est pas avec toute cette vulgarité que tu fuiras ton désespoir. Avant t’étais plus digne dans tes refus, t’avais pas besoin de toute cette mascarade.
    ▬ Conneries !
    ▬ Si au moins il y avait un drame dans ta vie, quelque chose sur lequel tu pourrais bâtir, devenir un monstre Shakespearien, une effigie antique tiraillée entre la vie et la vengeance, que sais-je ! Mais non, toi t’as que des drames de trottoir, montés de toutes pièces par tes silences. La vérité c’est que tu vaux pas plus qu’eux dans tes fuites.
    ▬ Ta gueule putain, ta gueule !
    ▬ T'es qu'une conne de bas étage Summer. A tellement regretter de pas pouvoir faire comme eux, à tant te pisser dessus à la peur de décevoir, que tu préfères tout briser avant pour t'éviter le sacrifice. Au final ya que lui qu'a réussi à bien te baiser à ce petit jeu ... dans tous les sens du terme.
    ▬ Tu me débectes tout autant que lui.
    ▬ Ca, c'est encore ce que tu dis ...



Summer ▬ Si la vie était moins violente, je le serais aussi. QAopK

▬ Non.

C’était aussi simple que cela.

▬ Ma chérie, tu …
▬ Non.


De nouveau le mot claque dans l’air, mais sans coup de revolver.

▬ Non.

Et dans ses yeux, dans cette première parole qu’elle prononce, c’est soudain la vie qui éclate, comme le premier cri d’horreur des arrachés à l’abîme, comme la première reddition … la première chute. C’est dans les plus faibles rébellions que se cachent les plus forts désespoirs.

▬ Mais Aurore est une excellente école, exactement ce qu’il faut pour une fille de ton niveau ! Et puis la France ce n’est pas si loin mon ange, tu verras nous …

Et lorsqu’en silence ses yeux viennent croiser le ton condensant de son père et la froideur appuyée de sa mère, elle sait déjà que tout est terminé. Parfois les plus grandes phrases ne tiennent qu’en une syllabe.

▬ Non.

Une petite flaque de cire à ses pieds, ses yeux fixent le silence.
Et la Gloire disparu dans un Eté glacial.



Summer ▬ Si la vie était moins violente, je le serais aussi. Tqg0B

Elle était partie, sans vraiment savoir pourquoi.
Le regard au loin comme on laisse ses premiers espoirs, ceux qu’on ne saurait jamais vraiment aimer, comme on plaque nos amours de trottoir, les draps défaits, sans un au-revoir. Le sac à dos sur les épaules, un billet d’avion un peu froissé, comme une nonchalance provocatrice, Angleterre-Irlande à la main. Aller simple.

Elle était partie, sans vraiment savoir comment.
L’échine un peu voutée pour sa tête un peu trop haute, comme les enfants fuient lorsque les adultes baissent les bras, comme le monde bascule lorsque la vie ne bouge d’un pouce. Elle était partie. Le reste n’avait d’importance. Avait déposé un baiser vide de sens sur la joue de son père, puis de sa mère qui l’avait accepté sans un mot, cela avait toujours été ainsi avec elle, la froideur aisée, calculée, teintée de l’indifférence de ceux pour qui l’excellence ne fixait que le seuil de la normalité. C’est qu’elle avait le triomphe ancré dans son nom, Summer Glory Brooks. « J’avais rarement vu un jour aussi froid que celui de ta naissance » lui racontait souvent son père « et puis tu es apparue, comme un rayon de soleil. Et à ce moment-là je su que je serais le père le plus heureux du monde.» Comme la joie des beaux jours avant la canicule.

Tout avait été simple autrefois pourtant. C’est qu’elle était parfaite, la petite fille sans encombre, aux grandes boucles claires et au sourire silence, la gamine sans histoire, dont les « dis c’est vrai que ta maman elle est à l’armée ? » inspiraient l’admiration, les papas gâteaux au foyer, les bonnes notes des professeurs, l’indifférence polie ou agacée des autres enfants. De sa mère toujours aussi. C’est que cela avait été simple, cette mécanique du cœur préprogrammée, ces sentiments en cadence, alignés au millimètre. C’est que cela avait été simple, ces rituels à répétition, les longues absences de maman, l’amour de papa, les coups de fils tant attendus, leur joie à tous les deux, tandis que la maison récurée, les cheveux parfaitement coiffés, les vêtements repassés, elle venait s’asseoir sur les genoux de sa mère stoïque, lui racontant les contrôles, le premier prix au concours d’orthographe, ses médailles au club de natation, lui déroulant d’un ton enthousiaste cette perfection qu’elle se devait d’être. Hochement de tête. « C’est bien ma fille. Maintenant, au lit. » Et baisser de rideaux.



Summer ▬ Si la vie était moins violente, je le serais aussi. 5fk5c

    ▬ Dégage.
    ▬Quoi?
    ▬Tu as bien entendu. Dégage. Tu me dégoûtes.
    ▬ Mais Summer, tu … On vient de …
    ▬ Et alors ? Maintenant, tu te casses. Je ne veux plus jamais voir ta face de fion ici.
    ▬ Mais toutes ces fois où on a … ! Tu as dit que tu m'aimais !
    ▬ Je t’aimais. Maintenant casses toi.
    ▬ Summer expliques moi bordel !
    ▬ Ecoutes, je te laisse trois secondes pour passer cette porte. Si d’ici là tu laisses encore traîner ton putain de visage qui me donne envie de te gerber à la figure sous les yeux je te colle un bouchon de cire dans le cul tellement profond que t'en chieras dans les entrailles. C’est clair ?
    ▬ Tu n’es qu’un monstre.
    ▬ Non. Je m’emmerde juste depuis toujours.


Summer ▬ Si la vie était moins violente, je le serais aussi. 0lPRY

Elle ne savait plus vraiment comment tout cela s’était terminé.
Comment l’été à la tendre indifférence avait mêlé ses bras à ceux de l’orage tonitruant. Comment la Summer souriante, caressante, indolente, à la sympathie un peu trop franche pour en être réelle, s’était peu à peu fait crépitante à mesure les vêtements comme les peaux tombés. Comment elle s’était accrochée, ses doigts de condamnée à l’abîme écorchant sa peau comme pour ne pas tomber lorsqu’elle râlait des « plus fort » au creux de son oreille. Comment lâchant ses voiles d’indifférence et de sentiments régurgités, elle s’était enfin sentie … vivre.
Lorsque la gifle claque sur la joue de Lienart elle se dit que le temps est trop lent pour les gens qui s’aiment.

Le reste elle ne s’en souvient plus.
Sa bouche égrenant des insultes qui n’auraient dû être siennes, la raison qui s’effondre, la violence inutile des effarés de la vie se découvrant vulnérables face à l’impossible. Alors elle vocifère. De cette rage des fautifs, de la fierté enrayée des joueurs dont on a coupé les ficelles. »Mais évidemment que je les ai baisés mon pauvre Liennart, et pas qu’un peu même ! Hein que t’aimerais que je te raconte, que t’attends que ça, de visualiser mes jambes écartés comme une chienne, mon visage enrayé par l’extase, leur foutre au coin de mes lèvres … ça t’en endurcit le pantalon d’avoir était fait cocu tout ce temps ? » Ses yeux dont la rage et le dégoût viennent se mêler au sien, en un brasier sanguinolent. « Qu’est-ce que t’as cru, que je t’aimais ? Que tu pourrais me garder éternellement ? Mais personne ne vaut cela, personne, surtout pas toi ! Deux ans avec une fille des caniveaux on peut dire que t’as bien réussi à perdre ton temps ! » Alors elle crache, et dans cette rage-là sonne comme un désespoir un peu âcre, comme une fausse note dans sa comédie de la fierté brisée. C’est juste qu’elle était ainsi, Summer. A foncer droit dans le mur, pour oublier qu’elle était la seule à toujours tout briser. « Alors vas-y, casse toi. Tu seras le seul à le regretter. »

Et crachant d’un air méprisant à ses pieds, elle lui tourne le dos et s’en va doucement, sans même se retourner. Comme pour retarder le moment. Comme pour ne pas dire la seule chose qui en valait la peine. Il n’y avait rien à regretter, rien à désirer, rien à endiguer. Tu me collais tant à la peau que même leurs caresses sales ne m’ont permises de te fuir.
Seules les saisons avaient le droit de s’en aller. Et au retour à être condamnées.










Well' paint the town in blue
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Dernière édition par Summer G. Brooks le Dim 26 Aoû - 13:19, édité 17 fois
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MessageSujet: Re: Summer ▬ Si la vie était moins violente, je le serais aussi.   Summer ▬ Si la vie était moins violente, je le serais aussi. Icon_minitimeSam 18 Aoû - 14:57

Bonjour,
Je ne vais pas disserter sur la première proposition, hein, fermeture des orifices. On dit souvent que ça permet de fermer les yeux sans clore les paupières, "fermer" les oreilles dans les boucher, etc. mais ça doit fonctionner avec tous les orifices. Pour faire la guerre avec Velmur, aussi. Sinon, chant de la sirène, ou comment donner du désir aux personnes environnantes en chantant.
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MessageSujet: Re: Summer ▬ Si la vie était moins violente, je le serais aussi.   Summer ▬ Si la vie était moins violente, je le serais aussi. Icon_minitimeSam 18 Aoû - 16:20

Thankies.
Par contre pour la fermeture des orifices, est ce que le détenteur ne peut fermer que les siens, ou aussi ceux de son entourage? Pourrais avoir une troisième proposition aussi? (pardon pour le dérangement, beuh ;; )
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MessageSujet: Re: Summer ▬ Si la vie était moins violente, je le serais aussi.   Summer ▬ Si la vie était moins violente, je le serais aussi. Icon_minitimeDim 19 Aoû - 1:13

Cirurgie, mademoiselle, afin que vous fondiez sous le soleil comme vous semblez fondre sous la foudre du soir d'été.
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MessageSujet: Re: Summer ▬ Si la vie était moins violente, je le serais aussi.   Summer ▬ Si la vie était moins violente, je le serais aussi. Icon_minitimeDim 19 Aoû - 14:24

Cirurgie ce sera alors, merci beaucoup.
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MessageSujet: Re: Summer ▬ Si la vie était moins violente, je le serais aussi.   Summer ▬ Si la vie était moins violente, je le serais aussi. Icon_minitimeDim 26 Aoû - 13:20

Et c'est terminé. o/
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MessageSujet: Re: Summer ▬ Si la vie était moins violente, je le serais aussi.   Summer ▬ Si la vie était moins violente, je le serais aussi. Icon_minitimeDim 26 Aoû - 13:40

dfgdghfdg tu écris toujours aussi bien ♥. et moi je valide, donc !
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MessageSujet: Re: Summer ▬ Si la vie était moins violente, je le serais aussi.   Summer ▬ Si la vie était moins violente, je le serais aussi. Icon_minitime

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