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 You can be barbarian, prince, but i'm both - Attila

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AuteurMessage
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Attila Kahlil
You can be barbarian, prince, but i'm both - Attila Rangelem
Attila Kahlil

Messages : 43
Date d'inscription : 29/05/2012
Age : 35


You can be barbarian, prince, but i'm both - Attila Vide
MessageSujet: You can be barbarian, prince, but i'm both - Attila   You can be barbarian, prince, but i'm both - Attila Icon_minitimeMar 29 Mai - 22:39

Attila Kahlil

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Prince of turkish nights
You can be barbarian, prince, but i'm both - Attila 120529105008665923
✂ Surnom : Prince of Persia (with being no persian?)
✂ Age : 18 ans
✂ Année : 7e année
✂ Année d'arrivée : 6e année
✂ Classe : ELEM
Piece of turkish awesomness

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For the great empire of myself

Premièrement et avant tout, Attila, tu es un étranger. Bon, c'est totalement évident rien qu'à ton physique, tes vêtements et la particularité prononcé que tu partages avec son grand pote Temujin : l'impossibilité pour le fameux philtre de traduction de faire disparaître ton accent à couper à la thermos-foreuse. Au moins arrives-tu à comprendre les autres.
Bref, Attila, tu transpires l'exotisme par tout les pores de sa peau. Tu es grand, tu es beau, tu sens bon le sable chaud... Ainsi que les étendues arides, les déserts dorés, les palais somptueux et tu fais penser à un prince de Perse... Sauf que voilà, tu es turque d'origine, comme le véritable Attila dont tu as hérité le nom – et quand bien même tu ne vive pas en Turquie même mais dans une zone désertique non loin. D'ailleurs, ta lignée descend de ce même Attila, historiquement connu, et tu es très fier, et ne cache pas, être son descendant direct. Parce qu'après tout, pour toi, c'est tout simplement classieux, et une preuve de ton pedigree.
Parce oui, monsieur, tu es fier de ce que tu es et considères être plutôt au dessus de la masse populaire. Tu ne t'en cache pas et ne trouve pas offensant de le dire : tu es né dans une famille de haute lignée, une famille possédant un sang privilégié par l'Histoire, pourquoi prétendre le contraire ?
Du coup, tu agis avec un certain air supérieur. Tu es plus beau, plus intelligent, plus important que la masse populaire, de ton point de vue – et de celui de tes parents. Être un « sang bleu », comme ils disent en occident, n'empêche pas que même les petites gens aient leur utilité, mais tu restes au dessus de la masse, de ton avis. En cela, tu t'avères très semblable à l'être qu'était réellement son ancêtre – contrairement à ce que l'Histoire en a retenu – c'est à dire souverain, mais accordant son importance au bas peuple, malgré tout. Oh bien entendu il t'arrive de réagir avec un air hautain évident et de te placer au dessus des gens, de passer pour le cliché des ELEM qui se voient comme des rois en traitant les autres comme de la merde. Le fait est que tu ne le vois pas comme ça et considère exposer simplement un fait – à savoir que ton existence vaut plus que celle du peuple moyen – mais tu ne penses pas à le préciser et passe donc pour prétentieux et hautain.
Tu traites les gens depuis un point de vue nettement plus haut – qui n'est pas seulement physique – tant qu'ils ne sont pas eux-même d'une extraction suffisante pour que tu les considère comme valant la peine. Autrement dit, ceux qui ne sont pas issus d'une famille fortunée ne sont pas tes égaux, de ton point de vue. Outre l'éducation, tu as eut l'occasion de constater que la différence était flagrante entre toi et quelqu'un du peuple, ce qui t'as ôté nombre de doutes quant à ta valeur par rapport à eux.

Mais, si tu es issu d'une haute lignée, tu n'en passe pas moins pour un barbare à Aisling. Ta culture est différente, ta vue sur la plupart des choses également – après tout, tu as grandit dans une propriété en plein désert – et sans parler de ton accent digne de faire un concours avec celui de Temujin (ton kardeş, ton “frère”). Et tes vêtements, alors là... Tu ne portes que des tenues de chez toi, exclusivement, parce que tu ne saurais rien porter d'autre, ce qui t'empêche totalement de te cacher dans la masse. Sans parler des boucles d'oreilles, grands anneaux pendant à chacun de tes lobes.
Question culture, le problème se base surtout sur une question de dépaysement. Par exemple le fait que tu n'aies pas – autant – de serviteurs s'occupant de tout pour toi, ici, contrairement à chez toi, te forçant à te rappeler que tu dois te débrouiller seul. Même si tu arrives à trouver quelqu'un pour s'occuper de ce que tu ne veux pas faire, à l'occasion...
Accessoirement, tu as beaucoup de mal avec la technologie de pointe. C'est tout juste si tu sais te servir d'un téléphone portable – notons que par « t'en servir », nous parlons de décrocher quand tu reçois un appel, uniquement – donc c'est pour dire. Mais qu'on ne te parle pas d'ordinateur, ou des chaînes du satellite, parce que là, on te perd. La technologie et toi, ça fait deux, tu vis dans un registre beaucoup plus simple et à l'ancienne, et ne semble pas en souffrir particulièrement. Après tout, contrairement à ce que ces enfants de la technologie pensent, il y a beaucoup à faire pour s'occuper même sans tout leurs appareils. Toute ton enfance et ta vie à été bercée de cette façon, et jamais tu ne t'es sentit désœuvré. Imaginer et s'émerveiller des étendues dorées entourant le domaine familiale avait largement de quoi occuper un enfant jusqu'à ce qu'il parvienne à l'âge adulte.

Vient ensuite l'un des points majeurs : par tradition familiale, Attila, tu es polygame. D'ailleurs, ta mère est la seconde épouse de ton père, sur un total de cinq. Aussi, tu as un peu de mal à comprendre ce principe occidental de se réserver à une seule femme – difficile pour toi de t'imaginer dans une telle situation : comment ne pourrais-tu pas faire profiter plusieurs d'entre elles de ta personne ?
Ce qui nous mène à un autre point important : ta façon de séduire. Qui peut faire peur. Selon des traditions inculquées par ton père, tu as une façon bien à toi de courtiser une femme. Offrir un collier en or incrusté de pierres, voir une dague, es pour toi faire un cadeau de choix. Surtout le second. Autre exemple, faire un duel avec un jeune bœuf est également une technique de séduction. Si si, tu l'as déjà fait. La pauvre demoiselle a eut le droit, au réveil, tôt le matin, en ouvrant sa fenêtre, de te voir, torse nu, en train de résister à la poussée d'un jeune bovidé dans un duel de persévérance. Et encore, ce ne sont que des exemples, tu as d'autre techniques en réserve. Heureusement ou malheureusement.
D'ailleurs, pour toi, dire à une demoiselle qu'elle ferrait une mère parfaite pour tes enfants est un compliment. Dommage que la plupart ne le comprennent pas comme ça...
Mais tant pis, tu fais avec et te moques bien de ce que le bas peuple peut penser. Ils n'ont pas ta vie, tes ancêtres, ni tout ce qui s'en suit, donc comment pourraient-ils comprendre ? Tu te contentes, quand ils t'en font la remarquer, de les regarder avec une certaine condescendance, comme des enfants ignorants. Le mieux encore, pour des personnes qui n'ont pas la portée pour comprendre les gens comme toi, serait d’obéir, de pouvoir faire quelque chose de leur vie, une forme d'accomplissement. Pourtant, tu sais qu'ils ne peuvent s'empêcher de tenter de comprendre, et de juger. C'est dans la nature du peuple que de tenter de se mettre à la place des biens nés et de juger leur comportement à partir de leurs croyances et de leurs standards, de leurs préceptes. Difficile de leur reprocher de rêver de toucher le soleil sous lequel tu te complais dans une existence dorée.

En ce qui concerne les raisons d'une telle culture, elle est simple. Ta famille, bien que fortunée, à décidée de rester quelque peu à l'écart du développement turque lui-même, tant sur le plan géographique que sur le plan culturel, au point, comme précédemment cité, que les terres familiales se trouvent en pleine zone désertique. Du coup, depuis de nombreuses générations, la famille Kahlil suit des traditions que d'autres jugeraient plutôt vieux jeu et dépassées. Pourtant, c'est cela qui lui permet d'asseoir sa réputation et sa fortune, sans compter le cachet que les hommes de la famille ont sur le sexe opposé, et l'impact sur les relations d'affaires. Traiter avec un prince exotique en vêtements dignes de cette image plutôt qu'avec un énième homme d'affaire en costume aide beaucoup.
De plus, tu trouves ce genre de tenue nettement plus à l'aise et, disons-le, plus classieuses, plus remarquables, surtout ici, à Aisling. Les têtes se tournent plus facilement vers toi que quelqu'un d'autre, et ce n'est pas pour te déplaire. Tu aimes qu'on fasse attention à toi, qu'on te remarquer, en mettre plein la vue par ta seule présence. N'est-ce pas l'apanage des princes et des rois ?

Donc, Attila, tu as été élevé dans ce concept, ainsi que pour reprendre, à terme, une partie des affaires familiales. Ton frère aîné – actuellement envoyé à Iadviga puisqu'il a lui aussi un don – est censé reprendre le cœur des affaires, tandis que toi à Aisling – pour permettre de prendre contact avec de potentiels clients et relations d'affaire en Irlande et Angleterre. Enfin, ton frère cadet – qui lui n'a pas de don pour ce que tu en sais – est destiné à reprendre les plus récentes entreprises, et vous trois devraient œuvrer de concert pour le bien de la famille, une fois votre père décédé. Puisque oui, il conservera les rênes jusqu'à sa mort.
De fait, tu as eut une bonne part de ton éducation prévue pour reprendre à terme certaines des affaires familiales. La branche qui sera te reviendra est centrée autour de l'exploitation de ressources minières sur les terres familiales, ainsi que de puits de pétroles. Par conséquent, tu as du apprendre en détail ce qui concernait ces domaines, pour que ton père soit assuré que tu saurais gérer les entreprises familiales dans le moindre détail. Du coup, tu as aussi passé pas mal de temps sur les chantiers, pour voir comment ça se passant. Tu en es même venu à en faire, occasionnellement, tes terrains de jeux avec tes frères, en profitant des spécificités du terrain. Là aussi, tu y as passé pas mal de temps.

Cependant, tes véritables passion tournent principalement autour d'autres domaines. Outre « permettre aux employés de la famille de mériter leur salaire » – comprendre donner des ordres aux serviteurs du domaine familiale – chose qui t'amusais beaucoup étant jeune, tu as surtout développé une passion pour les scorpions. Depuis tout jeune, ces petites bêtes ont toujours exercé un grand intérêt chez toi, au point que tu as fini par les « collectionner », d'une même ou de différentes espèces, jusqu'à en avoir une bonne petite centaine. Tous vivants. Ta plus grande satisfaction les concernant n'était pas tant de les avoir, mais surtout d'en posséder certains depuis leur naissance. Tu les as habitués à toi, à ta présence, ainsi qu'à se faire manipuler et, on peut le dire, une partie d'entre eux t'obéissait, pour peu que tu saches comment leur « parler ». Pas au sens propre, bien sûr, ce n'était pas des chiens, mais avec quelques petites tactiques basiques, comme les attirer avec de la nourriture, tu as pu passer des heures et des heures à les dresser, d'une certaine façon, à leur faire faire de petits parcours, par exemple.
Mais le plus surprenant, pour ta famille, était d'en voir une partie sortir de leur cachette dés ton passage aux alentours de leur vivarium, comme si tu les convoquais de la même façon que tu convoquais les serviteurs du domaine. Ces petites bêtes t'ont occupées pendant longtemps, pendant des heures, même, tout au long de ta vie, et tu en as apprit pas mal sur leur sujet, et ils restent l'un de tes plus heureux souvenirs. Tu es, encore aujourd'hui, capable d'en parler pendant des heures, et c'est un sujet sur lequel il est difficile de te semer. Tu sais reconnaître les espèces à l’œil, à tel point que tu ne te sois jamais trouvé sur un seul des individus de ta collection. Peu importait celui qu'on te demandait de trouver, tu finissais toujours par l'avoir en mains, comme s'ils y apparaissaient, pour ceux dont tu étais les plus proches. Cette proximité, cette sécurité, quelque part, sachant qu'ils ne s'en prendraient pas à toi, avait quelque chose d'amusant et de rassurant. Plus d'une fois, tu as rêvé d'avoir ta petite troupe de scorpions t'obéissant au doigt et à l’œil...
Ces nombreuses heures, des années durant, passées à les côtoyer t'ont donné une certaine proximité avec eux, sans parler des connaissances accumulées par tout ce temps à les observer, pour les comprendre de mieux en mieux. Leur mode de vie, leur façon de se comporter les uns avec les autres, que se soit de la même espèce ou d'une espèce à l'autre, et même jusqu'entre eux et toi-même, tout cela exerçait une véritable fascination, depuis tes jeunes années jusqu'à ton départ pour Aisling.

Et si l'on veut donner dans le jeu de mot osé, on pourrait comparer ta tendance polygame à tes scorpions, et leur dard. L'idée t'as toujours beaucoup fait rire. Car oui, si tu es hautain, parfois snob, tu n'en as pas moins le sens de l'humour malgré tout. Tu es capable de rire de quelque chose de drôle. Ou du moins, que tu trouves drôle, et le plus souvent, c'est au dépend des autres. Tu n'éprouves, heureusement ou malheureusement, pas de honte à rire du malheur de ceux que tu croises, pour peu que la cocasserie de la situation ne t'échappe pas. Et tu ne t'excuseras pas non plus, à moins que tu considères la victime comme étant d'un rang social similaire au tiens.

Parmi les autres de tes hobby notables, on pourrait citer le papier. Non, pas l'écriture, mais le pliage, surtout. Une feuille, un peu de temps, voir un jeu avec tes frères, et tu pouvais te retrouver à plier tout et n'importe quoi, en augmentant le nombre de résultats possibles avec les années. Dire que tout a commencé avec de bêtes avions en papier, pour que maintenant tu parviennes à faire des origamis tout à fait réussis...

Enfin, pour ce qui est d'Aisling, tu t'adaptes. Tu es là depuis un an, mais tu n'es toujours pas réellement adapté au paysage, et, quelque part, tu te rappelles certains scorpions que tu as eut et dont tu as du te séparer, qui ne se sont jamais adaptés au climat de chez toi. La différence étant que, toi, tu arrives parfaitement à vivre ici, même si c'est très différent. En revanche, les cours d'Aisling même, or ce qui te permet de maîtriser ton don, ne te passionnent guère, et tu passes plus de temps à laisser couler et te préoccuper de ta vie personnelle, et des devoirs familiaux t'ayant fait arriver ici, qu'à les suivre.
Tu te laisses quelque peu vivre, en découvrant les gens et en les laissant plus ou moins te découvrir, sans t'abaisser à leur portée, comme s'ils lisaient un libre bourré de métaphores et de sous entendus. Ils pensent comprendre l'histoire, cerner le personnage principal et le comprendre dans les moindre détails, et pourtant, chaque nouvelle page révèle plus de complexité et de détails.
Oh et, au cas où on l'aurait oublié : autant, dans ta langue natale, tu t'exprimes très bien - logique - autant, avec le philtre traducteur d'Aisling, c'est assez désastreux...

Awesomness means power.

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♠ ♥ ♣ ♦

✎ Don : Contrôle du papier
✎ En détail :
Ce don permet tout bonnement de plier le papier – et ses dérivés (papier cartonné, carton, etc) – à sa volonté. Le faire bouger, se plier, se déplier sans la moindre trace de pliure, voler, tenir, etc, en quantité diverses, au point de pouvoir faire un pont complet qui soutiendra sans problème le poids d'un homme. La complexité des constructions et autres pliages, ainsi que leur solidité, dépendent de l'entraînement. On peut faire complexe mais fragile, ou solide mais simpliste. Ou les deux.
✎ Maîtrise : 61%.
Attila arrive à faire se plier le papier. À la main ! Eh oui, les pliages complexes par la force de l'esprit, c'est pas encore son truc du tout. Par contre, il sait a peu près les faire bouger, jusqu'à ce qu'il en perde le contrôle. On peut généralement suivre les pérégrinations de ces étranges OVNIs à travers salles et couloirs, qui percutent et détournent la route des messagers des élèves, avant de finir par se planter dans la tête de quelqu'un. « Bordel quel est le con qui balance des origamis dans la tronche des gens ! » et « Mais, il risque pas de pouvoir piquer les messagers volants des autres, avec ça ? » sont les commentaires les plus récurrents. Tout ce bordel correspond, à peu près, à 11% de la maîtrise d'Attila.
Pour ce qui est des 50 autres, là, on entre dans l'epicness. Là où Attila s'avère doué – et quand je dis doué, je veux dire très doué – c'est pour la solidité. Empiler et compacter assez de feuilles, plus serrées qu'un muscle humain ne pourrait le faire, pour atteindre la solidité du métal. Être capable de s'équiper entièrement d'une amure aussi dure que les écailles d'un dragon, d'une lance acérée et d'un bouclier qu'envierait les plus grands guerriers spartiates ! Ou quelque chose comme ça. Enfin bref, en gros, de quoi se faire de bons gros duels bien bourrins avec son kardeş, ou foutre un sacré bon dawa, semant [s]mort et destruction, veuves et orphelins[/s] cris indignés et hurlements rageurs sur son passage. Et vous vous en douter, c'est un domaine qu'il exerce régulièrement, quand Temujin n'est pas loin. Comment vous croyez qu'il a atteint le plein potentiel dans ce domaine précis ?
✎ Lui & les ELEM : Les siens, pour la plupart. Attila adore tout ceux qui, parmi les ELEM, sont issus des hautes sphères de la société. On est toujours mieux, entouré de gens de son rang social.
✎ Lui & les SPE : Ils sont étranges, ont des dons tout aussi étranges et, dans l'ensemble, laissent Attila perplexe, car difficiles à catégoriser, dans sa vision du monde.
✎ Lui et les PHY : La caste manuelle ! Les ouvriers, artisans, la main-d’œuvre, en somme. Roturiers, aussi, de façon générale. Mais ils peuvent faire de bons serviteurs, et un palais ne se construit pas sans ouvriers.
✎ Lui et les PSY : Le bas peuple également, mais plus malin. Ceux-là, c'est plutôt la classe sociale qui se hisse jusqu'à des postes plus pointus. Chercheurs, ingénieurs, enseignants, etc...
Lineage is everything.

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And i got an awesome one.

Comme vous l'avez peut-être déjà apprit, Attila est un descendant le très célèbre Attila le Huns. Le grand, le conquérant, celui que tout le monde imagine avoir été le plus grand, le plus sanglant guerrier de l'Histoire avec Genghis Khan. Bon, les historiens et autres nerds savent probablement que la réalité était tout autre, et que le fait est que la confusion avec l'autre barbare précité est ce qui a donné naissance à la croyance commune disant que, comme pour les coureurs du Tour de France, là où il [s]pissait[/s] passait, l'herbe ne repoussait pas. Bref, revenons-en à l'Attila actuel.
Ce lien familiale, réel, prouvé, assumé et porté avec fierté, lui a valu de porter le prénom de son illustre ancêtre. Ce n'est bien entendu pas une tradition familiale, et tout les hommes de la famille ne s'appellent pas de la même manière, mais le père de notre estimé ELEM a songé qu'il était tant de refaire honneur au roi des Huns. C'est sur ce principe qu'a été appelé Attila Kahlil à sa naissance, second fils de son père, obtenu de sa seconde femme, sur les cinq.

L’événement était digne d'un film adapté des Prince of Persia au rabais, façon contrefaçon taiwannaise arrivée avec dix ans de retard sur un marché déjà saturé par de mauvaises copies au goût de vieux plat surgelé oublié trop longtemps au fin fond de son congélateur. Le décor, une demeure aux allures de palais perse perdu en plein milieu d'une région trop aride pour ne pas être qualifiée de désert et pourtant moins sableuse que le Sahara, est aussi enchanteur que l'imaginaire laisserait le supposer. Un coin chaud, sec, où le port du chapeau et autre protection de tête est plus que vivement conseillé. Un coin où on ne s'attendrait pas à trouver une immense propriété construite autour d'une oasis en guise de jardin intérieur, assurant un peu de fraîcheur, de végétation et une piscine naturelle. Bref, un emplacement idéal pour tourner un film.
Et la naissance en elle-même était digne d'un des plus grands scénaristes hollywoodiens ! … Ou pas. Un mère – Azra – qui hurle à la mort des insultes en turc, un père – Menderes – qui s'impatiente et tape du pied à répétition, des serviteurs qui courent dans toutes les directions en esquivant les reproches comme autant de vaisselle durant une dispute de couple, et un médecin ne trouvant rien de mieux à faire que répéter les éternels « pousser », « détendez-vous » et autres « encore un effort » que tout les praticiens de ce type semblent voir comme autant de formules magiques destinées à faire sortir un bébé de leur stéthoscope.
Parce que oui, le gaillard, s'il n'était même pas encore réellement né, commençait déjà à s'attirer la réputation faussée de son ancêtre homonyme, de l'avis de sa mère. Non pas qu'il y ait eut de réelles complications, non... Disons plutôt qu'Attila était un beau morceau, un bébé costaud, qui a donné toutes les peines du monde à sa mère qui, si elle insultait tout ce qui passait dans son champ de vision, sans bips de censure, évitait soigneusement de prendre son époux pour cible. Quand on vit en plein désert avec un homme très riche et très polygame, on apprend à éviter de le mettre en colère. Surtout quand ses traditions familiales priment autant que le maintient de la fortune qu'il possède. On ne gueule pas sur Menderes Kahlil.

En résumé, il aura fallu pas moins de dix-sept heures, un flacon d'alcool pour donner courage au médecin, la dépression nerveuse de quatre serviteurs, le remplacement de cinq vases, deux miroirs et deux fenêtres, pour qu'Attila Kahlil vienne au monde. Et là, hors de question de priver la mère de son enfant. Car, même si elle l'a traité de tout les noms, y compris ceux qui choqueraient n'importe quel divinité, dés la fin de son calvaire, son fils était la plus belle chose qui soit. Et en prime, cela lui donnait un avantage sur les trois autres femmes de son époux. Après tout, elle, avait réussit à lui donner un héritier supplémentaire, après Ozan, le premier fils de Menderes.

Choyé, Attila fut finalement, dés qu'il eut l'âge, éduqué en digne fils de la famille Kahlil. On lui enfonça dans le crâne, dés son plus jeune âge, toutes les traditions et le mode de pensé familiale de sorte que cela lui paraissait des plus normales. Tout était à l'ancienne, fleurait bon le décalage temporel digne d'un épisode de la Twilight Zone, mais aucun problème ! La famille vivait comme ça depuis des siècles ! À part des adaptations mineures, pourquoi remettre en cause des siècles de tradition ? Pour rien.
Donc pas de télé, pas de console de jeux vidéos, pas de Coca Cola. Tout ce genre de chose n'existait pas dans le monde des Kahlil. Même les entreprise familiales. Celle axé sur le pétrole se contentait du minimum pour assuré rendement et sécurité du personnel, et pour l'exploitation minière, là, on en restait carrément aux méthodes artisanales ! Mineurs et lampes de chantier ! Pas de foreuses ni de treuil. Tout à la force des bras, ma bonne dame. De toute façon, on trouve toujours de la main-d’œuvre dans le bas peuple.

Dés qu'il fut en âge de courir, Ozan et lui passèrent leur temps à vivre leurs aventures d'enfants, sous le regard amusé de leur père, fier de voir ses héritiers plein d'énergies, et nostalgique de l'époque où il en avait encore autant. Malgré leur écart d'âge de deux ans, les deux jeunes Kahlil s'entendaient à merveille, et ce pour une raison simple : l'éducation. Rien n'est plus important que la famille, aussi n'y avait-il pas de place chez eux pour les disputes fraternelles.
Le cas resta le même après la naissance du petit dernier, Yavuz, cinq ans plus jeune qu'Attila et fils de la quatrième femme de Menderes. Au final, le trio forma une fratrie soudée, s'épaulant les uns les autres dans leurs similitudes et leurs différences, sans se préoccuper des chamailleries de leurs mères pour savoir lequel était le meilleur, lequel avait hérité le plus leur père, lequel était le plus digne fils Kahlil, etc.

Les trois enfants avaient bien entendu des cours. Non pas dans un établissement prévu à cet effet, mais par un vieux professeur qui avait enseigné à leur père lui-même. Ses méthodes et ses cours étaient déjà à la traîne à l'époque, et rien n'avait changé au fil des années. Par conséquent, sans être préhistorique, l'éducation des trois frères était tout bonnement lacunaire et nettement en retard sur n'importe quel ville du globe. Mais au moins, ils avaient les bases et le plus important. Sans parler de la part d'apprentissage lié directement aux activités professionnelles familiales.

En parallèle, Attila développa sa passion pour les scorpions, dés lors qu'il en vit deux se battre en duel dans les jardins intérieurs. Il les regarda lutter jusqu'à ce que l'un l'emporte, et n'eut de cesse de questionner son vieux professeur à leur sujet. Hilare devant un tel hobby, et touché par l'amour paternel que cela déclenchait en lui, Menderes fit bien entendu faire quelques installations afin que son fils puisse commencer sa petite collection. Même ses deux frères étaient sidérés de voir, au fil des années, tout ce qu'Attila pouvait apprendre et faire avec ces petites bêtes, sans jamais avoir été piqué plus de deux fois, et sans jamais risquer de mourir.

Dés lors que lui et Ozan furent assez vieux, leur père commença à les instruire, à coup d'histoires personnelles, sur la façon de séduire une femme, s'ils voulaient un jour avoir la chance d'avoir autant de femmes que lui. Bien évidemment, vu leur éducation, les deux garçons prirent ces leçons à cœur car, pour eux, arriver à avoir plusieurs femmes faisait partie du prestige familiale. C'est de ces « leçons », données par les expériences personnelles de son père, que viennent les compétences actuelles d'Attila avec les femmes. Sa façon brutale et trop franche de dire les choses, de faire des cadeaux étranges ou déplacés, et d'attirer l'envie de le gifler. Quoique, le gifler revient à lui faire se dire que celle-ci a du tempérament. Et il aime ça.

Quelques temps après le quatorzième anniversaire d'Ozan, a démontré des capacités hors normes. Des pouvoirs étranges qui ont effrayé plusieurs serviteurs, émerveillé Yavuz et Attila, et sidéré leur père. Il ne fallu pas longtemps pour que la famille Kahlil reçoive une lettre d'Iadviga lui permettant de tout comprendre, et l'incitant, à contrecœur, à envoyer son fils y apprendre à maîtriser son étrange don. Les mises en garde contre l'influence des grandes villes furent de mise, mais Menderes n'avait pas trop de soucis à se faire : Ozan était celui de ses trois fils qui était le plus profondément ancré dans les traditions familiales. Les premiers temps, l'absence de leur aîné fut difficile à vivre pour ses petits frères habitués à sa présence. Pour compenser, leur père trouva intéressant de les autoriser, sous surveillance d'un serviteur de confiance, à se rendre dans les petites villages les plus proches, goûter à la civilisation, tout en profitant du fait que lesdits villages restaient plutôt simples et très peu développés, technologiquement.


Ce changement de cadre fut le déclencheur d'un événement majeure dans la vie directe d'Attila, alors qu'il n'avait que quinze ans.
Il s'étaient rendus dans l'un de ces petits patelins avec son petit frère et leur chaperon habituel, quand il remarqua un attroupement sur la place principale du village. Curieux, il s'approcha en questionnant le premier badaud qu'il trouva.. En parallèle, son petit frère tenta de s'éclipser, forçant leur accompagnateur à lui courir après.
Attila apprit pendant ce temps l'affaire qui se déroulait devant eux. Une jeune fille avait été jugée coupable d’adultère et allait être châtiée d'une manière qui, même pour l'éducation vieux jeu du jeune Kahlil, était barbare et injuste : par lapidation. D'après ce qu'il glana comme informations des commentaires d'autres hommes alentours, elle avait été violée par des hommes d'un autre village non loin et, puisqu'elle était sous la coupe d'un mariage arrangé, il avait été jugé qu'elle avait trompé son futur mari. Les violeurs n'étaient pas inquiétés, mais elle, en revanche, était condamnée à finir lapidée. La cruauté et l'illogisme de la sentence lui retourna l'estomac.

Contre toute attente de la part des badauds, il fendit la foule en direction de la jeune fille, solidement attachée à un piquet, alors que les lanceurs de pierre se préparaient déjà à faire feu. Le temps qu'il travers la foule compacte, leur victime avait déjà été touchée aux jambes et à une épaule, sous les acclamations de pseudo-justice de ceux qui regardaient, comme s'il s'agissait d'un spectacle public.
Dés qu'il eut atteint l'un des tireurs, Attila le fit pivoter en lui attrapant l'épaule et le projeta au sol d'une droite bien sentie, sonnant l'homme et le laissant sous le choc de la surprise. En quelques grandes enjambées de plus, il atteignait la victime décrochait – sous son regard terrorisé – la petite dague familiale que son père tenait à ce qu'il emporte avec lui à chaque fois. Elle crut qu'il allait la tuer, alors qu'il la contournait pour couper ses liens et la faire se relever. Avant même que le jeune héritier n'ouvre la bouche, une nouvelle pierre vola et percuta la fille à la tête.
Vu l'angle, il n'eut aucun mal à repérer le responsable et laissa sa dague se planter dans le sable pour foncer sur le responsable et le frapper à son tour, déclenchant une petite rixe avec les quelques autres tireurs, tandis que le reste de la foule profitait de l'inattendue rebondissement, en huant, insultant et criant sur le jeune homme.

C'est avec à ce moment que le serviteur revint avec Yavuz, fendant la foule sans ménager les badauds, en donnant du « Maître Kahlil » à tout va. Dés qu'Attila éleva la voix pour lui signifier qu'il se trouvait au milieu de l'entremêlement de poings et de pieds constituant la rixe qu'il avait déclenché, nombre d'hommes, tireurs ou badauds, sentirent une sueur froide leur couler dans le dos en reconnaissant le nom d'un des employeurs locaux les plus riches et puissants. Après quelques autres coups de poings, la bagarre cessa.
Yavuz questionna son frère sur ce qui se passait, lequel résuma la situation. On lui avait expliqué la méthode de justice barbare et stupide de ces messieurs, les raisons de cette sentence, et il avait refusé de les laisser faire, puis déclenché une bagarre en libérant la jeune fille. Pour finir, il profita du silence qui régnait pour prendre tout les badauds de haut.

« Je me fiche de vos raisons, de votre justice, de la sentence que vous avez définit. Je me moque de votre avis. Je ne suis pas au même niveau que vous : je suis nettement au dessus. Si je décide de prendre cette fille avec moi, je le fais, car j'en ai envie. En tant que fils de Menderes Kahlil, je m'octroie ce droit. Et je défis quiconque parmi vous se croit valoir autant que moi de m'en empêcher. »

Aucun ne fit plus que toussoter ou marmonner, alors qu'il l'emmenait avec lui, son frère et leur chaperon pour rentrer chez eux.
Sans le savoir, ce jour-là, il sauva la vie de cette jeune fille.

Une fois de retour au domicile familiale, Attila s'empressa d'aller voir son père et de lui exposer les faits dans les détails, le reste de la petite troupe derrière lui. Bras croisés, il subit sans reculer les remontrance de son père pour son attitude, le fait d'avoir mit le nez dans une affaire qui ne le concernait pas, d'avoir mit en danger sa vie, pour un désir égoïste. Une fois calmé, Menderes se mit à faire les cents pas en parlant tout seul et en commençant à réfléchir à la façon de s'excuser après de la famille – même s'il concéda qu'une telle méthode de justice lui déplaisait un peu, sans le dégoutter autant que cela avait retourné l'estomac de son fils.
Sans se laisser démonter, Attila prit tout le monde au dépourvu.

« Dédommagez ses parents, Père. Je la prends à mon service.
- Qu... Quoi ? Qu'est-ce que tu racontes ?
- Vous nous avez apprit par l'exemple qu'il y avait des serviteurs que vous préfériez à d'autres, soit pour leur ancienneté, soit en raison de leur caractère. Il en va de même pour nos mères, et vos autres femmes. Comme s'ils étaient plus spécifiquement les serviteurs de certains membres de la famille.
- Mais... On a déjà des dizaines de serviteurs !
- Peut-être, mais c'est elle que je veux à mon service. »

Menderes fixa un long moment son fils dans les yeux, sans un mot, sans plus donner l'impression d'être en colère. Il le jaugea silencieusement, et son fils ne baissa pas le regard une seule seconde. Derrière lui, Yavuz suivait la scène avec intérêt, leur chaperon s'éclipsait rapidement, et la jeune fille fixait obstinément le sol.
Finalement, le chef de famille soupira, et tourna son regard vers la concernée.

« Quel est ton nom ?
- Esra Feride, Monsieur Kahlil.
- Soit. Je vais envoyer quelqu'un jusque chez toi pour que vous préveniez ta famille. Dorénavant, tu travailles pour la famille Kahlil, au service de mon fils Attila. N'oublies pas que tu as une dette envers lui. »

D'un geste, Menderes congédia tout le monde alors qu'il prenait les dispositions nécessaires. Dans les trois jours qui suivirent, la jeune Esra avait emménagé dans le quartier des serviteurs de la demeure des Kahlil et prenait son service aux ordres de son sauveur et maître. Elle commença à le suivre comme son ombre, toujours à portée quand il avait besoin d'elle. Jamais il ne se sentit gêné par sa présence, ou n'eut l'impression qu'elle le collait trop. Au contraire, avoir une servante pour lui seul était des plus agréables à son avis, et il y prit vite goût, d'autant qu'elle ne rechignait pas à obéir, puisqu'il ne se montrait jamais tyrannique ou méchant.
Ce jour, Attila gagna une petite ombre à la peau bronzée, nommée Esra Feride.


Deux ans plus tard survint un nouveau bouleversement qui, non comptant de secouer la famille, le fit doublement. Alors qu'il atteignait ses dix-sept ans, Attila démontra posséder lui aussi des signes de don tel que son aîné l'avait fait avant lui, au grand dam de leur père. Mais, pour couronner le tout, il ne fut pas le seul. Non, ce ne fut pas Yavuz, mais bien Esra, la servante d'Attila, qui s’avéra être dans le même cas.
Menderes commença presque à déprimer en songeant qu'à ce rythme, tout ses fils allaient lui être arrachés les uns après les autres, même si ce n'était que momentané. Pourtant, quelques temps après avoir reçu une double lettre d'Iadviga, il se mit à réfléchir, et trouva même, finalement, un moyen de faire jouer cela en sa faveur. Il pouvait se servir des divers écoles pour les gens comme son fils afin d'étendre le réseau d'affaires familiales !
Quelques lettres et autres coups de fils lui permirent de mettre au point un coup de maître, selon ses propres mots. Il annonça à Attila qu'il n'allait pas rejoindre son frère, mais partir pour Aisling, en Irlande. De là, outre apprendre maîtriser son don, il servirait d'intermédiaire à son père pour se forger des relations d'affaires là-bas et en Angleterre. Une façon de le plonger doucement dans ses futures responsabilités. Bien entendu, le jeune homme annonça que sa servante partait avec lui et, bien entendu, son père sourit en lui répondant qu'il s'en était douté et avait tout arrangé.


Après un long et pénible voyage, Attila et sa servante débarquèrent donc en Irlande pour entrer à Aisling, école pour possesseurs de dons. Tout deux eurent droit au dépaysement le plus total, à se perdre une bonne dizaine de fois – à cause d'Attila, jusqu'à ce qu'Esra prenne le relais et les mènent à bon port – et, une fois sur place, au breuvage de traduction qui laissa un accent sidérant au jeune homme, et une version plus sobre et simplement exotique à la jeune femme.

Il n'y a pas grand chose à dire sur la première année, si ce n'est qu'elle fut centrée sur l'adaptation au nouvel environnement, aux nouvelles règles, mœurs et autres étrangetés de ce monde totalement nouveau. Bien sûr, Attila travailla aussi un peu pour son père, en parallèle du reste.

Et pourtant, il lui reste encore pas mal de temps à passer ici, en Irlande, loin de son chaud et désertique environnement naturel...
Adraeth

.
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Wexley A. Johnson
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MessageSujet: Re: You can be barbarian, prince, but i'm both - Attila   You can be barbarian, prince, but i'm both - Attila Icon_minitimeDim 3 Juin - 17:56

Bonjour et re-bienvenue à Aisling !

Citation :
Parmi les autres de tes hobby notables, on pourrait citer le papier. Non, pas l'écriture, mais le pliage, surtout. Une feuille, un peu de temps, voir un jeu avec tes frères, et tu pouvais te retrouver à plier tout et n'importe quoi, en augmentant le nombre de résultats possibles avec les années. Dire que tout a commencé avec de bêtes avions en papier, pour que maintenant tu parviennes à faire des origamis tout à fait réussis..."

... je-voudrais-le-don-du-contrôle-de-papier spotted ? xD Bon en soi, je te le propose donc en ELEM, vu que j'aurais été un peu embêtée pour t'en trouver un autre pour être honnête, vu que tu as tendance à beaucoup parler des traditions and stuff d'Attila mais en soi très peu de son caractère :3
Si ça ne convient pas ceci dit je repasserai. Enjoy !
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MessageSujet: Re: You can be barbarian, prince, but i'm both - Attila   You can be barbarian, prince, but i'm both - Attila Icon_minitimeDim 3 Juin - 21:00

Rofl Leifounet, t'aurais pu aussi parler de spotted pour le paragraphe des scorpions (Genre, s'faire quasi obéir de scorpions et tout, t'as vu.). =p

Mais ouais, faut bien orienter si je veux avoir un perso dans chaque classe. =p

Donc, oui, je prends le don, et je taff sur l'histoire au plus vite. o/
Et jetem, tu sais ? o/
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Attila Kahlil
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MessageSujet: Re: You can be barbarian, prince, but i'm both - Attila   You can be barbarian, prince, but i'm both - Attila Icon_minitimeLun 4 Juin - 5:20

Double post (kinda) méchant, mais juste pour une petite chose, Leifounette.
J'ai profité de ton commentaire (très vrai au demeurant) pour gonfler un peu le caractère (rien enlevé ni modifié, juste des ajouts). Bon évidemment, a priori je ne change pas d'avis pour le don, mais si jamais les ajouts t'inspirent d'autres possibilités (par curiosité =p), n'hésite pas, le temps que je bosse sur l'histoire. ^^

Mais pour l'instant, dodo. x_x
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Attila Kahlil
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MessageSujet: Re: You can be barbarian, prince, but i'm both - Attila   You can be barbarian, prince, but i'm both - Attila Icon_minitimeVen 8 Juin - 3:39

Et pouf, triple-post, je me surpasse pour toi, Leif. ♥

En bref en résumé, j'ai terminé. Bonne lecture. ♥
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Clyde A. Buckley
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MessageSujet: Re: You can be barbarian, prince, but i'm both - Attila   You can be barbarian, prince, but i'm both - Attila Icon_minitimeLun 11 Juin - 15:38

Rien ne retarde ta validation, re welcome parmi nous !

Enjoy !
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MessageSujet: Re: You can be barbarian, prince, but i'm both - Attila   You can be barbarian, prince, but i'm both - Attila Icon_minitime

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