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 Queen • Solo sliding in 16

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Elizabeth A. McQueen
Sweet Little Nuisance
Sweet Little Nuisance
Elizabeth A. McQueen

Messages : 1001
Date d'inscription : 07/03/2010
Age : 31


It's a kind of magic.
Age du personnage : 16 ans
Nationalité: Ecossaise
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Queen • Solo sliding in 16 Vide
MessageSujet: Queen • Solo sliding in 16   Queen • Solo sliding in 16 Icon_minitimeMer 15 Fév - 18:06


J'ai tellement besoin d'amour
DE TES BRAS, DE TA VOIX DE VELOURS

Queen • Solo sliding in 16 BM8zV

• Surnom : Queen, du fait de ses caprices incessants et de son attitude hautaine. Liza, Lizzy, pour certains intimes.
• Age : 16 ans.
• Année : Cinquième année.
• Année d'arrivée : Première année.
• Classe : ELEM.

Queen • Solo sliding in 16 100314024058393158



I'm not the kind of girl you dream of
I'M TRYING TO TELL YOU WHAT I DREAM OF


Queen • Solo sliding in 16 RTd4N

    -Mon steak est froid.


Vous ne savez pas vraiment comment ça vous est tombé dessus. Entre deux secondes d’hésitation peut être, lorsque vous vous êtes avancé à travers la salle, en vous demandant où poser vos frites. Un instant de perdition, tandis que sursautant vous vous êtes retourné, rien à craindre pourtant, ils n’avaient guère besoin de bizut en Irlande, les roux pullulaient déjà bien assez en masse. Rien à craindre, ou presque.

    -J’ai dit. Mon steak est froid.


Voix fluette, tête dressée, elle vous fixe d’un regard autoritaire, semblant demander le monde et ses confins à la fois, et c’est qu’il vous semble l’avoir déjà entraperçu cette drôle de gamine, qui aurait pu la rater de toute manière, lorsqu’ouragan tempêtant vous l’avez vue traîner ses rubans, ses froufrous et ses jupons entre deux couloirs, mue d’un éternel mouvement, d’un incessant caprice. Car elle était ainsi, l’enfant Elizabethéenne, devenue souveraine par un caprice autoproclamé, le sobriquet d’un peuple qu’elle jetait en un coup de vent, dédaignait sans mépriser, dominait sans écraser, fuyait sans attraper, lorsque dans ses rêves enfantins elle traçait les spirales d’une destinée sans cesse enfuie. Au fond, Elizabeth n’était qu’une enfant jouant à être reine, tandis que Queen se couronnait veuve d’un monde puéril qui n’avait jamais été sien.

    -Mais, je …
    -Va m’en chercher un autre !


Yeux écarquillés face à tant de culot affirmé. Lèvres qui se serrent, sourcils qui se froncent, et voilà la gamine qui trépigne, lorsque du bout des doigts, elle frôle les fissures de ce qu’elle n’est plus, lorsque le venin du doute s’insinue dans ses veines, elle était Reine, souveraine dotée de ses majuscules pour seule couronne, monarque unique dans les châteaux de son orgueil et de ses illusions, mais qu’importe. Car il lui fallait croire à l’enfant, nichée dans le doux cocon de ses croyances. Se persuader, encore et encore, coltiner les fissures à coups de mauvaise foi racoleuse, se dire que si le monde ne daignait l’adorer encore un peu ce soir, c’est que leur idiotie les avait encore une fois perdus, que les moqueries et les rebuts n’étaient que jalousie, que l’indifférence d’un prince n’était que le venin enflammé que l’enchanteresse instillait au creux de ses veines. Et qu’importe, les soirs sans oublis, où blottie entre ses draps de soie, elle ne peut s’empêcher de sentir bouillonner en elle ce que sa naïveté et les promesses d’un brun sans couronne lui avaient ravis. La vérité c’est que son cœur lui fait un peu la misère, de derrière le voile de ses paupières.

    -Il est hors de question, que je … !


Vous n’avez le temps de finir votre phrase que ledit steak vous a déjà été projeté à la figure. Le tout suivi d’une longue diatribe contre l’incompétence des cuisiniers et du monde entier, la vôtre particulièrement évidemment, et quant à l’outrage impardonnable qu’une souveraine de son renom venait de subir, ce que l’on pourrait résumer plus simplement, par un digne et strident :

    -MON STEAAAAAK !


Se levant elle jette l’assiette à terre d’un geste colérique, femme-enfant contre le monde qui soupire mais jamais ne ploie, tandis que quelques regards se lève dans l’assemblée, et retournent à leurs frites sans broncher, bien trop habitués aux cris et aux caprices de leur reine. Tel était le monde face à Elizabeth, lorsqu’il se dérobait à elle sans plateau d’argent, lorsqu’il se dressait, loin du huis clos de ses gâteries enfantines et de ses rêves soigneusement bâtis, car malgré ses obstinations à l’envers, ses cris et mépris de travers, peut-être était ce qu’elle tentait de toucher du doigt, lorsque le rouge déborde du bord de ses lèvres, lorsqu’elle court, l’enfant sans silence, vers ses lambris de romance, lorsque du battement de ses paupières flétries, Queen ne redevient qu’Elizabeth sans Lizza, qui donnerait bien son monde cloitré et son cœur à la volée, pour n’être qu’un peu regardée.

Mais qu’importe. Toujours serait-elle reine, quand bien même, parée des doutes, dont les lambeaux s’accrochent à l’ombre de sa couronne. Et sans vous laissant le temps de répliquer, ni de comprendre, elle part, tandis qu’une trombe d’eau vient soudain s’abattre sur votre tête.




You're the dancing Queen young and sweet
FEEL THE BEAT FROM THE TAMBOURINE

✎ Don : Contrôle de l'eau.
✎ En détail : Elizabeth peut contrôler l’eau sous les trois formes, liquide, solide et gazeuse. Il lui est donc possible de faire changer l’eau d’état, et d’utiliser celle-ci à sa guise. A noter qu’il lui est aussi possible de concentrer l’eau contenue dans l’atmosphère environnante, même si cela lui demandera plus de concentration et d’énergie.
✎ Maitrise : Malgré son utilisation massive de celle-ci, la jeune fille ne contrôle pas encore parfaitement son don, et n’en a pas encore découvert toutes les utilisations possibles (fort heureusement d’ailleurs pour Aisling, qui aurait sinon disparu, ravagé par un tsunami, provoqué par une des colères de la petite). Ainsi, Queen maîtrise surtout l’eau à l’état liquide, et a du mal à la transformer en glace, ou à faire évaporer celle-ci. Elle utilise particulièrement son don durant ses caprices, s’en servant sans vergogne pour arroser quiconque la contrarierait (quand elle ne lui hurle pas dans les oreilles), ou pour exécuter diverses crasses afin de se venger de ceux osant contester son pouvoir, comme arroser puis geler les cheveux d’Aelys, tremper les cours de Clyde lorsque celui-ci refuse de porter ses affaires –soit systématiquement- ou encore laisser une large flaque devant la classe des PHY afin que les plus malchanceux y glissent. Avec de l’entraînement, d’autres utilisations lui seraient aussi possible, comme faire évaporer une partie de l’eau contenue dans le corps humain, afin de déshydrater l’importun, ou même de l’enfermer dans une bulle d’eau afin de l’empêcher de respirer.

✎ Elle & les ELEM : La classe suprême d'Aisling à ses yeux, dont elle est fière d'être la digne représentante, suivant la tradition McQueen. Depuis son arrivée à Aisling, la jeune Elizabeth ne se gêne donc pas pour proclamer la supériorité des ELEM à tout va, lorsqu'on ne la retrouve pas dans le bureau d'Aliénor à taper du pied pour que des serviteurs soient ajoutés dans leur château, et que les salles de classe soient pourvues de fauteuils au lieu de chaise, et divers caprices du genre. Les membres de sa classe étant considérés comme sa Cour, elle a tendance à se comporter de manière plus indulgente envers eux.
✎ Elle & les SPE : QU'ON SORTE ALBERT DE CETTE CLASSE D'ATTARDES C'EST UNE PURE ERREUR ADMINISTRATIVE SON FRERE CHERI SERA ELEM ET POINT. Aussi classe de son Prince bien aimé Clyde, et de l'horrible rousse qui l'accompagne sans cesse.
✎ Elle et les PHY : Des attardés fêtards et inutiles.
✎ Elle et les PSY :
D'autres misérables ne valant rien comparés à sa petite personne.




Si j'avais le coeur dur comme de la pierre
J'EMBRASSERAIS TOUS LES GARCONS DE LA TERRE


Queen • Solo sliding in 16 KHr5L

    «Dis, pourquoi tu rougis des pupilles ? T’es bien jolie pourtant, c’est triste ce rouge qui s’égare de tes joues. Allez ne serre pas les lèvres ainsi, c’est si laid les peines qui se crispent. Allez viens donc visage enfantin, c’est pas des jeux d’enfants que d’être reine tu sais, allez viens, ne me fais pas de tels regards de derrière tes paupières baissées, bientôt on en rira de peine sur les pavés, la pitié ça se gerbe à la figure, ce n’est pas cela qu’on distillera entre tes bras, va. Allez viens, tais-toi un peu, tes silences m’écœurent. C’est pas grand-chose pourtant, ça s’appelle juste la vie, on est tous passés par là tu sais, tu verras tu t’y feras à cet arrière-goût amer au fond de tes poumons, t’oublieras un peu quand tu tourbillonneras dans une autre robe neuve, quand tu te diras encore qu’il n’y a que toi dans leurs regards sarcastiques, dans leurs genoux qui se plient pour illusion partagée, ce n’est qu’une question de temps. Allez cesses, la douleur est passée, comme lui à travers tes jambes écartées d’ailleurs, allez viens, c’est pas grave tu sais, c’est de leur faute tu verras si plutôt que du chevalier, du prince, du roi, tu n’as eu que, n’as eu que le larbin. Allez viens, ne t’as t’il pourtant pas dit papa, que dans la chair, oh l’amour tracas, l’amour non, non ne s’achète pas ? »

    […]
    L’existence est si simple derrière un sourire enfantin. Moue coquette tandis qu’elle arrive, se pavane, révérencieuse, infantile, bibelot dansant joliment, étalé entre les tasses de porcelaine, dis bonjour aux dames Elizabeth, oui déjà cinq ans, voyez donc ces belles joues et comme elle s’empiffre joyeusement de macarons, doucement ma chérie, tu vas tâcher ta nouvelle jolie robe !, c’est pas la vie ça, l’illusion papillonnante, des ma beauté, ma princesse, allez retourne donc vite voir ta gouvernante. C’est que ça prendrait trop de place l’amour, entre les jouets qui s’étalent à foison, parsemés de peluches, de diadèmes à foison, robes à froufrous et rubans, coquetteries enfantines qui ne brillent que dans les yeux des mères trop fières comme trop absentes. C’est qu’elle avait tout un peu trop, l’adorable Elizabeth. Tout un peu trop, avec papa qui donne trop fort et maman toujours d’accord, tout un peu trop simple, tout un peu trop seule, tandis que les autres enfants s’enfuyaient lorsque ses cris retentissaient, pour un goûter offert refusé ou un jouet non prêté ; car tel était le monde qu’elle croyait plier à ses cris d’enfants lorsque dans les coulisses un père claquait des doigts. C’est qu’elle s’élevait haut, du haut de ses trois pommes, la perle des riches et renommés McQueen, digne joyau de cette famille de dignitaires écossais, oui elle se dressait la petite enfantine, centre d’un monde construit de toutes pièces et dont elle ne percevait qu’à peine l’ébauche. C’est qu’elle s’élevait un peu trop haut, comme un enfant qu’on soulève à bout de bras si ce n’était qu’à bout de chèques, dressée dans une seule et unique certitude. C’est qu’elle était le monde, derrière les regards qu’elle se découvrait.

    […]

      -Grand frère joue avec moi !
      -Non.
      -Maiiis … joue avec moi j’ai dit !!
      -Je joue déjà. Avec ma console.
      -JE VEUX PAS TU ES MECHANT, MAMAN, MAMAAAAN !


    Et dans un cri de frustration, qui se voulait plaintif jusqu’au ridicule, dans sa colère bafouée, l’enfant parti en pleurnichant. C’est qu’elle l’aimait son grand frère, lorsqu’elle le poursuivait les yeux brillants et les caprices aux lèvres, afin de l’entraîner dans un des énièmes jeux de sa confection. C’est qu’elle l’aimait ce grand frère Courage et Silence, qui pour les autres n’était que Grognon. Qu’elles étaient bêtes les amours enfantines que la culpabilité saupoudrait de ses amers inavoués.

    C’est que, malgré le voile des innocences, elle se souvient un peu la petite Elizabeth. Des visages déformés par des colères épuisées, des blancs d’hôpitaux, des cruautés de machines et de bips, et toujours, toujours, des gestes qui grincent un peu à chaque pas d’un frère à l’innocence enfuie, lorsqu’il traîne ses protections et ses années de rééducation loin de ses criantes affections. Mais qu’importe tout cela, les bouts de vie, les bouts de lui, les bouts enfuis. Mais qu’importe tout cet amas bête, obsolète, de réalité bafouée, au romanesque ridiculement enfantin. Qu’importe le sacrifice protecteur du frère, ses os brisés par quelques enfants colère, lorsqu’entre les rideaux de velours du grand manoir écossais résonnait les tintements de porcelaine brisée, les rides de poupées et les chutes froufroutées d’un monde à la royauté sans cesse réaffirmée.
    [...]
      -Oh ma chérie, c’est merveilleux nous sommes si fiers de toi ! Albert regarde ce que ta sœur sait faire !


    Et le visage rayonnant, l’enfant se tourne vers le Prince blond tandis que l’eau du verre tremble, tressaute … avant de s’envoler à travers la pièce et d’éclabousser copieusement le jeune homme.

      -… C’est pas drôle de jeter son verre sur les gens.


    Répondit le jeune homme d’un air grognon, avant de s’enfuir d’un pas de course boiteux, en maugréant quelque chose à propos d’effets spéciaux et de tromperie, joyeusement suivi par sa sœur lançant des « MAIS GRAND FRERE REGARDE !! » alors des chutes d’eau tombaient autour d’eux à l’improviste, éclaboussant au passage la nouvelle tapisserie, et le portrait du vieil oncle Gustave, qui se contenta de répondre à telle injure par un regard sceptique, affiché joyeusement depuis deux cents ans.

    […]
      -GRAND FREEEEEERE !


    Et se fichant de l’expression entre stupeur et désespoir qui s’afficha soudainement sur le visage de son aîné, elle se jeta dans ses bras.

      -Je suis tellement heureuse de te voir grand frère, je savais que toi aussi tu serais un vrai McQueen! Alors c’est quoi ton don, c’est quoi, c’est quoi, c’est quoi ?


    C’est que le temps avait passé depuis le triste départ, dont la fierté bienheureuse avait illuminé les yeux teintés de larmes de la fillette lorsqu’elle avait serré fort ses parents et son frère, tapant du pied face à l’impossibilité de celui-ci de la suivre. C’est qu’elle avait grandi l’enfant princesse devenue souveraine, c’est que la vie avait frappé aux portes, fait mûrir les formes et les expériences au sein de sa chair nouvellement née, lorsqu’un certain chevalier brun avait poussé celle-ci dans les affres de la chair, face à la promesse intenue de lui offrir le beau Prince Clyde dont elle rêvait depuis ses premiers pas irlandais. C’est qu’elle était restée, l’enfant chérie aux rêves évaporés, dans ses caprices affirmés de petite fille aveuglée, l’Elizabeth devenue l’Hautaine, l’Insupportable, l’Impatiente, la Capricieuse, la Stridente, la Colérique, la Narcissique, l’Artificielle, la Trompée, l’Envolée … la seule et unique Queen, et cette couronne dans son âme souverainement ancrée.

    Et le visage rayonnant elle babille, c’est qu’il est enfin là son grand frère, son adoré, ce second digne représentant des McQueen qui l’aiderait à dominer les ELEM et tout le reste de l’école, tandis que …

      -Mon don ? Tu parles encore de ces affabulations de père et mère ? Cette maison de fous ne t'aide vraiment pas, ma chère Liza. Il faut que je te fasse sortir d'ici aussi vite que possible... Enfin... Si tu veux tout savoir, je ne fais pas partie de ce que tu désignes par le groupe des "Elem"... On m'a placé chez une bande d'attardés alcooliques... Les "Spe", si j'ai bien retenu le nom de ce groupe...


    Autant dire que la réaction Elisabéthaine qui en suivit fut très … gracieuse.
    Et tandis qu’un flot de hurlements stridents, où il crut saisir quelques bribes à propos d’une sorcière rousse qu’il ne côtoierait pas, d’une grossière et insultante erreur de la part de la directrice et de la suprématie d’une classe de soi-disant rouges, le jeune homme McQueen se dit dans un soupir que son séjour chez les fous commençait décidément bien.








Sheina
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Elizabeth A. McQueen
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Elizabeth A. McQueen

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Queen • Solo sliding in 16 Vide
MessageSujet: Re: Queen • Solo sliding in 16   Queen • Solo sliding in 16 Icon_minitimeSam 3 Nov - 1:32

Il était temps je crois. J'ai honte.
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Pavel Němec
MODO | I wrote this for you.
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Queen • Solo sliding in 16 Vide
MessageSujet: Re: Queen • Solo sliding in 16   Queen • Solo sliding in 16 Icon_minitimeSam 3 Nov - 9:08

Je valide évidemment.
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Queen • Solo sliding in 16 Vide
MessageSujet: Re: Queen • Solo sliding in 16   Queen • Solo sliding in 16 Icon_minitime

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Queen • Solo sliding in 16

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