Terrence D. MacShelton

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"Who in the world am I ?" Ah, that's the great puzzle!

Surnom : Terry, diminutif inutile et immonde s’il en est un. Ou Dwight, son second prénom… Et une multitude de "Mac(entrez votre texte ici)" qu’il a cessé de relever, la liste est donc ouverte. Age : 17 ans Année : 6ème année Année d'arrivée : 1ère année Classe : Je le verrais bien en PSY… Mais son sort est entre vos mains !

Supernatural Superserious.

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That which is imagined can never be lost.

"Terrence. Terrence MacShelton. Enchanté."

Encore une fois, on lui avait demandé qui il était. Encore une fois, il s’était contenté de ne donner qu’un simple nom, par habitude. Mais ce vague patronyme suffisait-il vraiment à le dévoiler ? C’était à voir… Telles étaient les idées qui, à ce moment-là, traversaient l’esprit du jeune homme assis en tailleur sur le gazon. Qui était-il… L’envie soudaine d’apporter à cette banale question une réponse complète et détaillée, tant par jeu que pour lui-même, venait de le saisir. Il se laissa tomber dans l’herbe, un faible tintement de grelot accompagnant son mouvement, puis entama la délicate tâche qu’il venait de s’attitrer.

"Qui je suis, qui je suis… Je doute qu’on puisse avoir un avis objectif là-dessus. Il faut dire que ce n’est pas évident de faire la part entre la façon dont on se voit, celle dont on est vu, et ce que l’on est véritablement, au fond… Enfin. Je veux bien essayer. Je n’ai rien de mieux à faire pour le moment de toutes façons ; toi non plus j’imagine."
"Non, c’est vrai, pas vraiment."

Il fixa le ciel quelques instants, un sourire amusé flottant légèrement sur ses lèvres tandis qu’il étirait ses jambes endolories. Un désagréable fourmillement les parcourait ; sans doute les avait-il gardées croisées trop longtemps.

"Je suis né dans l’Argyll… Oui, je crois que je vais commencer par là. Je suis donc écossais, comme mon père. Mais avec le nom que j’ai, tu l’auras sans doute déjà deviné… Et puis il parait que je roule encore les R. J’ai dû garder l’accent."
"Je vois. L’Argyll, c’est à l’Ouest de l’Ecosse, non ? J’ai de la famille là-bas moi aussi…"

L’Ecosse… Il ne pouvait s’empêcher d’éprouver une certaine nostalgie, à l’évocation de ces montagnes et de ces lochs, au bord desquels il s’était autrefois tant plu à rêvasser… Combien de fois, assis là-bas au bord d’un lac, n’avait-il pas espéré voir jaillir de l’eau quelques créatures fantastiques ? Combien de fois n’avait-il pas été tenté d’y plonger lui-même, croyant distinguer sous la surface une ombre mystérieuse ? Peut-être aurait-il dû… Probablement, d’ailleurs. C’est ce qu’il ferait, aujourd’hui, à n’en pas douter. Il faut toujours aller au fond des choses ; on n’est jamais trop prudent.

"J’aime l’Irlande, pourtant. J’imagine que j’ai dû m’y faire avec le temps… Et puis après tout, ce sont deux pays qui se ressemblent. Ne serait-ce qu’en matière de légendes, l’un n’a rien à envier à l’autre… Je crois même que ç’a été l’une des clés de mon adaptation quand je suis arrivé ici…"

Et en matière de clé, Terrence s’y connaissait bien, pour en avoir amassé dans ses tiroirs une quantité considérable. Alors que pouvait-il ainsi regretter ? La cuisine, peut-être… Ah… Le haggis… Il en aurait presque pleuré. Mais ce n’était pas le moment de défaillir, surtout pour une chose aussi futile que la gastronomie écossaise. …Futile, le haggis ? Non, certainement pas ! Bah, et puis mieux valait ne plus en parler.

"Hm... J’aime bien mon prénom, aussi… Ce n’est pas très humble, présenté comme ça, n’est-ce pas ? Mais j’admet apprécier la façon dont il sonne."
"C’est vrai, on dirait un souffle de vent. C’est joli."
"Oui. Ou un sablier qui se vide. Il ne me va pas si mal, finalement…"

A vrai dire, de ce point de vue-là, il lui allait même très bien. Le temps l’avait toujours fasciné, et il aurait à coup sûr pu passer des heures entières à regarder tourner les aiguilles d’une montre autour du cadran dans leur ronde hypnotique – Occupation qui en valait bien une autre, somme toute. C’est probablement cette hantise qui expliquait l’amoncellement sur son bureau d’instruments de mesure en tous genres ; clepsydres, pendules, montres, réveille-matin et autres métronomes s’y agglutinaient, chacun battant régulièrement la mesure, à sa manière, de façon parfaitement désordonnée. Un véritable chaos, auquel il était cependant habitué et qui semblait même l’apaiser. L’idée seule de devoir un jour s’en défaire suffisait à lui donner la nausée… Pour quelle raison ? Certainement l’ignorait-il lui-même.

"Ah, et j’adore rêvasser. Nos limites dépendent à mon avis de ce que l’on est prêt à admettre ou non… Et, vu sous cet angle, certains te diront que je n’en ai pas assez. Ce dont je doute. Mais je dois être fantaisiste…"
"Peut-être animiste, aussi, non ?"
"Moi ? Qu’est-ce qui te fais dire ça ?"
"Non… Rien… Continue."

C’est vrai, il adorait plonger dans ses pensées et se laisser bercer par le flux et le reflux de ses idées - qui bien souvent se trouvaient être aussi désorganisées que son plan de travail. Il se plaisait à se laisser entraîner par leur courant, et il lui suffisait, à ses heures "inspirées", de convenir par exemple qu’un caillou était une montagne pour se trouver libre de circuler à loisir au cœur d’un paysage alpin. Pas qu’il ait été fou, loin de là… Il n’était pas question d’hallucinations ou de délires, simplement de mirages parmi lesquels il se plaisait à cheminer : donner une symbolique aux choses, les animer, et superposer ses chimères au monde qui l’entourait étaient devenus au fil du temps ses jeux favoris. Mais il savait encore – en règle générale – faire la différence entre le rêve et la réalité… Et bien qu’il su apprécier le calme et le silence qui lui permettaient de s’adonner à ses rêveries, les partager ne lui posait pas problème, pourvu bien entendu qu’il trouve quelqu’un prêt à écouter ses inepties ; car si divaguer le distrayait, parler de tout et de rien en se vidant l’esprit avait le don de le rassurer. Tout dépendait donc en vérité de son humeur, mais, contrairement à ce que ce genre de comportement pouvait laisser présager, il était loin d’être associable.

"Il faudra que je réfléchisse plus avant à tout ça avant de continuer, je pense. Tu en sauras sûrement d’avantage plus tard, quand on aura appris à mieux se connaître toi et moi... Je suppose que tu vas rester dans le coin un certain temps ?"
"Il y a des chances, oui. Tu reviendras me voir ? C’est gentil, je m’ennuie assez en ce moment… Il faut dire qu’on ne me parle pas souvent. Mais c’est normal. Je ne suis qu’un pissenlit après tout."
"Oui… Oui, je sais."

L’écossais s’étira mollement avant de se redresser, faisant s’entrechoquer les breloques diverses – et nombreuses – qui pendaient à son sac de cours. Il jeta encore un regard à la fleur, subitement redevenue muette, puis haussa les épaules avec désinvolture.

"Bah, ça ne fait rien."

Il épousseta machinalement son uniforme et tira de sa poche une montre à gousset qu’il contempla quelques instants. Puis, le regard perdu dans le vague, il se laissa aller au hasard des couloirs, un sourire badin sur les lèvres, les grelots qu’il portait ponctuant chacun de ses pas d’un léger tintement – Dling, dling, dling…

It's the end of the world as we know it.

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♠ Autant en emporte le temps ♠

Don : Psychométrie

En détail :
Terrence et capable de psychométrie, c'est-à-dire de lire à travers les objets leur passé, leur Histoire. Il peut ainsi avoir un aperçu des évènements auxquels ces derniers ont été mêlés, de leur ancien propriétaire, ou encore du lien qu’il partageait avec eux… Cette faculté nécessite néanmoins un contact physique avec la chose, ainsi qu’une concentration suffisante pour percevoir ses « vibrations ». Elle requiert également la capacité de pouvoir les bloquer à l’occasion, au risque de se retrouver sinon dans un état proche du lendemain de fête – soit avec une migraine atroce et un marteau dans le crâne. Il est aussi important de toujours se souvenir qu’avec ce genre de capacité, la curiosité peut parfois être un vilain défaut, et que certaines choses sont vraiment faîtes pour être ignorées… Oui, vraiment.

Maitrise :
En cinq années d’étude, le PSY a eu le temps de se familiariser avec son don et sait comment l’utiliser à peu près convenablement. Il a apprit quelles étaient les limites de son pouvoir, ainsi que les avantages qu’il lui procurait… Théoriquement.
En pratique, en revanche, les résultats sont plus mitigés : Il parvient généralement à « consulter » les objets, à condition d’être au calme et suffisamment reposé, mais les flashs qu’il provoque alors sont souvent brefs et ne lui apporte pas toujours les informations désirées… Il arrive également qu’il ait des visions accidentelles, de manière a priori aléatoire. Ces dernières sont souvent plus longues et plus nettes, mais consomme aussi une quantité plus importante d’énergie, pouvant conduire à l’évanouissement si elles ne sont pas maîtrisées à temps.
Une maîtrise générale relativement moyenne, donc, bien que ce ne soit pas faute de bonne volonté… Probablement aux alentours de 6 ou 7/10.

Lui & les ELEM :
« La plupart d’entre eux sont hautains et arrogants. Je ne suis pas fermé cela dit, il y a sans doute aussi des exceptions… Mais leur mépris a malgré tout le don de m’agacer. Bref, disons qu’en général, je préfère les éviter. »
Lui & les SPE :
« Ah, les SPE, les herbes folles… Les écouter parler entre eux est souvent très divertissant ! Ils semblent également assez ouverts et sympathiques, bien qu’assez… Spéciaux, justement. Enfin. Au moins, ils ne mordent pas. Ou alors pas souvent… »
Lui et les PHY :
« Avec eux, je ne sais jamais vraiment à quoi m’en tenir. Certains sont charmants, d’autres au contraire paraissent déterminés à éliminer les PSY de la surface terrestre. Ce qui serait assez problématique pour moi, à vrai dire… J’essaie donc de rester méfiant. »
Lui et les PSY :
« Etant moi-même un PSY, je ne suis donc logiquement pas confronté à la « guerre des classes » avec eux. Cela me permet d’être moins sur mes gardes en leur présence, et de mieux les connaître que les autres. Mais demeure que certains sont assez inquiétants, tout de même… »

Jolie petite histoire.

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Begin at the beginning and go on till you come to the end : then stop.

"J'aurais vraiment aimé qu'ils existent... Enfin plutôt non, j'aurais vraiment aimé les rencontrer. Alors que là, quand j'y pense, rien ne se passe, ils ne sont que du vide. C'est drôle, non, de sentir ça pour des personnes qu'on ne connait pas vraiment, qui ne sont même pas réelles ? Pourtant, je sais que je le sens, je ne peux pas m'en empêcher. J'ai essayé, déjà, de me poser la question, de l'éviter, de faire semblant. Mais ça reste. Et plus j'y pense, plus j'en suis certain. Oui, je dirais même que j'en suis bien sûr, maintenant...
Ils me manquent."

Terrence, 6 ans

Il rabattit sur les feuillets illustrés la couverture du livre. Le réveil, sur la table de chevet, affichait 10:20. Terrence se laissa glisser à bas du lit, ses pieds nus rencontrant le tapis sous lequel grinça légèrement le plancher. Puis il s'avança jusqu'à l'étagère où étaient entreposés d'autres ouvrages, aux couvertures fines et criardes, des albums pour enfant principalement, que sa mère lui lisait à l'époque où lui-même ne savait pas le faire. Depuis quelques temps, un autres genre d’œuvres avait néanmoins fait son apparition entre les minces reliures plastifiées : des bouquins d'au moins une cinquantaine de pages, ce qui selon lui ne représentait pas rien. Du haut de ses 6 ans ½ (malheur à celui qui oubliait le demi), ils faisaient sa fierté. Le gosse rangea sa dernière lecture sur le rayonnage, parmi les dragons en plastique qui semblaient s'en être échappés et sa collection de boules à neige. La maison des MacShelton n'avait dans l'ensemble rien d'extraordinaire, et la chambre du garçon ne faisait pas exception : en dehors de la bibliothèque, un lit et une armoire étaient installés contre un mur, alors qu'un bureau trônait fièrement près de la fenêtre qui donnait sur la petite cour extérieure. A eux tous, ils constituaient l'essentiel du mobilier de la pièce, aux dimensions relativement réduites. Pas plus réduites que la plupart des pièces à vivre, cependant, qui occupaient l'étage ; seule la boutique de souvenir paternelle, au rez-de-chaussée, couvrait une surface plus importante, mais la cause en était évidente et légitime.

Ce qui était moins ordinaire, en revanche, était le jeune homme qui se tenait adossé au mur opposé, l'air à la fois surpris et résigné, cape au dos et épée au flanc. En l'apercevant, les coins de la bouche du garçon s'étirèrent progressivement, tandis que ses yeux, jusque-là encore voilés par les lignes, aussi expressifs que ceux d'un noyé, retrouvaient peu à peu de leur vivacité.

"Tu es qui, toi ?
- Comment veux-tu que je te dise ? C'est toi qui sait, non ?"

Son sourire ne s'en étendit que davantage. A le voir, il lui aurait donné à peu près son âge, peut-être quelques années de plus... Soit une bonne dizaine supplémentaire, car de toute évidence, il s'imaginait plus vieux qu'il n'était. Il s'approcha lentement de l'apparition, la détaillant d'un œil circonspect, tâchant ce faisant de se remémorer les noms de chevalier qu'il connaissait. Puis son regard s'éclaira soudain d'une lueur encore vacillante.

"Que dirais-tu de... Glenn.
- Glenn ?"
Le personnage laissa plusieurs fois glisser le mot sur ses lèvres, comme pour en goûter la consonance.
"...Oui, Glenn ça me va.
- Parfait alors, Sir Glenn. Je suis Terrence, du comté de l'Argyll."
Il hésita entre tendre la main et s'incliner, ignorant quel geste était le plus adapté en cette circonstance, puis régla la question en effectuant les deux à la fois.
"MacShelton, pour les intimes, poursuivit-il sur un ton théâtral. Et Dwight, accessoirement.
- Enchanté...
- Avez-vous fait bon voyage ?
- Bon voyage ? Depuis où ?
- Depuis là. Enfin il me semble."

Le gosse posa son doigt contre sa tempe, fixant l'étranger le plus sérieusement qu'il soit. Il laissa ensuite son bras retomber mollement le long de son corps, le regard manifestement plongé dans ses réflexions métaphysiques. Quand il revint à lui, il lui saisit la main d'un air enjoué, et le tira sans véritable considération pour son expression déconcertée vers l'encadrement de la porte. Il profita également de leur subit rapprochement pour relever quelques traits de l'individu : les cheveux blonds cendrés, les yeux d'une teinte indéfinissable tendant néanmoins vers le gris, la côte de maille qui cliquetait discrètement, le blason qui ornait plusieurs pièces de son accoutrement. Le reste était encore assez flou, mais il ne doutait pas qu'avec le temps, les détails s'affermissent.

"Venez, je sens que nous allons former un duo épique !
- Vous ? Tu ne me tutoyais pas tout à l'heure ?
- Si... Mais vous n'aviez pas encore de nom. Et puis vous pouvez me vouvoyer aussi, si vous voulez. C'est plus chevaleresque. On ne gardera le tutoiement que pour les occasions graves.
- D'accord... Enfin je veux dire, si vous voulez."

Ils franchirent le seuil de la chambrette et s'engagèrent tous deux dans le couloir aux murs blancs, empruntant l'escalier de bois duquel plusieurs planches craquèrent sous le poids - pourtant pas si élevé que ça - du jeune Écossais. Parvenus en bas, ils débouchèrent dans une petite réserve dont les cloisons recouvertes d'une tapisserie archaïque, disparaissant çà et là derrière des monceaux de cartons tantôt vides, tantôt pleins, semblaient grésiller comme une télé un jour d'orage, au même rythme que l'ampoule nue qui pendait du plafond. Terrence se pencha vers les emballages pour en dénicher un qui n'aurait contenu ni porte-clés en tous genre, ni statuettes figurant des joueurs de cornemuse en habit traditionnel, ni bouteilles de whisky single malt. Quand il eut trouvé ce qu'il cherchait, il se redressa et désigna au jeune homme la pièce, puis la boîte vide.

"Vous voyez ? Ici, c'est le cachot. Et là, une cellule."
"Une cellule ?"
"Oui. Le but est de ne pas se faire enfermer dedans. Mais s'ils me capturent, vous devez me délivrer. Et s'ils vous attrapent, je m'en charge."
"Qui ça ?"
L'enfant haussa les épaules d'impatience.
"Ben. Les dragons."

Il se saisit de l'épée en bois qui trainait dans un coin et fit lentement pivoter le bouton de la porte voisine, retenant son souffle, comme pour échapper aux dizaines de paires d'yeux qui semblaient le guetter.
Ainsi Terrence partit-il à l'aventure pour la première fois.

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Suite en cours de (ré)écriture...

Lonie

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We're all mad here.

Age : 16 aujourd’hui ! (Si c’est pas classe, de poster le jour de son anniversaire, franchement !) Sexe : Féminin ! Parce que je le vaux bien. Avatar : Haruhi Suzumiya no yuutsu - Itsuki Koizumi Comment avez-vous connu le forum ? Car Yue est contagieux. Et que je suis l’une de ses victimes. (Mais j’aime ça 8D) Pensez-vous demander un parrain/une marraine ? Disons que je la harcèle déjà, mais... S’il faut rendre les choses officielles, je demanderai donc Yue/Veneciano. Autre chose ? Vous avez de la tarte au concombre ?

Bonjour, bienvenue à Aisling, et joyeux anniversaire !~
Hiii, hiii, Itsuki hiiiii.

Alors. Je t'aurais volontiers donné un don relativement en rapport avec l'obsession pour le temps qu'a Terrence, mais nous sommes un peu à sec dirions nous. Ceci dit, avec ses nombreuses breloques et cette même passion, je lui donnerais bien la psychométrie, qui te permet de voir le passé à travers un objet. En gros, voir la mémoire de l'objet. Le tout en PSY. Ou alors tu peux carrément aller demander à tes petites horloges et grelots comment ils vont avec la possibilité de parler aux objets.
Enjoy~

Oui, oui, oui, je me connecte justement pour ça D8 *vient d'être frappée par la réalisation*
Comme d'habitude, erreur de liste, avec Aelys, on pensait qu'il n'avait pas été remis dans la liste après un membre inactif. Si tu veux bien, Terrence, je te donnerai un deuxième don dès que possible. Vraiment, pardon encore.

Bonjour ! Désolée de m'incruster, mais c'était juste pour prévenir que j'avais posté dans les absences à propos de Terrence. Je la connais irl et elle s'est absentée pour encore une semaine à partir de maintenant. Elle n'a pas eu le temps de prévenir, du coup... Voilà. Elle n'a pas oublié le forum.
Pardon du dérangement :3