Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Display Star Wars Unlimited Ombres de la Galaxie : ...
Voir le deal

Partagez | 
 

 Ange_Until the day I die.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
▬▬▬▬▬▬▬
Ange Duschenes
Ange_Until the day I die. Rangphy
Ange Duschenes

Messages : 300
Date d'inscription : 04/09/2010
Age : 31


Ange_Until the day I die. Vide
MessageSujet: Ange_Until the day I die.   Ange_Until the day I die. Icon_minitimeSam 4 Sep - 5:11

___________________________________________________________________________
Derrière mes paupières closes.
___________________________________________________________________________

LES ECUREUILS ONT-ILS DES MAUX DE TETE ?

Ange_Until the day I die. Ava1681

    • Surnom : En a t’il vraiment besoin avec un nom pareil?
    • Age : 17 ans.
    • Année : Sixième année.
    • Année d'arrivée : Quatrième année.
    • Classe : Peu importe. A moi le don useless !



___________________________________________________________________________
Et puis ma sympathie
___________________________________________________________________________

A CES FOUS QUI COMME MOI FINIRONT PAS LA NUIT…
    -Dis Ange, la connais tu au moins cette peine là ? A être là comme une conne à te regarder la peur et la rage au ventre, à te voir me fixer avec ton sourire indifférent, à m’écouter ainsi, sans même chercher à m’interrompre, à t’excuser, à t’expliquer, avec ton putain de sourire que je comprend pas, et que j’aimerai l’arracher ce sourire, ni cruel, ni sarcastique, mais tendre, chaleureux, comme si rien de ce que je te disais n’avais d’importance, prêt à me murmurer ton amour au creux de l’oreille, comme tu l’as sans doute fait avec l’autre. Lui as-tu donné ton cœur aussi, l’as-tu inondée de ta passion, l’as-tu emportée à travers les coins perdus de la ville lui faisant découvrir ce monde que tu m’avais offert, l’as-tu caressée du bout des doigts, lui répétant à quel point tu l’aimais, l’as-tu fais tourbillonner entre tes bras, t’es tu donné à elle corps et âme, ta chair et la sienne, danser, et brûler au creux de ses reins, sans remords, comme tu me toise là, car tu t’en fous n’est pas, pour toi, cela n’a pas d’importance ? Et cette rage à l’intérieur de moi, cette frustration, parce que tu vois, j’aimerai tant te haïr, hurler au mensonge, à la trahison, mais je ne peux pas, quand tu me regarde comme ça, avec ton regard trop franc pour mentir, du moins j’ose le croire. L’as-tu regardée ainsi, elle aussi, lui as-tu promis tout de toi, as-tu brûlé dans ses bras ? Dis, Ange, c’est pour cela ? Tes absences, ces moments de flottement, cette froideur dans ton regard qui m’effrayait, c’était pour cela ? Dis, Ange, m’as-tu seulement jamais aimée ?

    -Je t’aime.

    -Et le pire vois tu, c’est que je te crois. Lui as-tu dit cela à elle aussi ? Mais je peux pas Ange, je peux pas, moi, je suis idiote avec mes amours de contes de fées, mais je peux pas. Tout ça, c’est trop fort, et tant pis si je te déverse mon sac à la figure, car n’était ce pas ce que tu voulais, avoir « tout » de moi ? Je peux pas, Ange, je peux pas t’imaginer sans cesse en train d’offrir tes lèvres à une autre, sans remords comme ça, je suis fatiguée de tes changements d’humeurs, de me retourner le soir en t’imaginant dans d’autres bras. C’est finit, tu entends, c’est finit ! Mais bon sang, je suis là à pleurer comme une conne, et toi… c’est… c’est tout ce ça te fait ?

    -La vie s’écoule.

Oui, elle s’écoule la vie, elle s’enfuit, vive, insaisissable, la vie qu’elle faut saisir à bras le corps, faire tourbillonner, et danser, danser, jusqu’au dernier souffle. Il est ainsi Ange, à tout vouloir sans se soucier des conséquences de ses actes, à flirter inconsciemment avec son existence, prêt à saisir tout ce qu’elle lui offrira. Trop vite, trop fort, sans jamais s’arrêter, jusqu’à ce que tout s’épuise, impatience qui le saisit, trop pressé Ange, incapable de s’arrêter, d’attendre une opportunité qu’il se chargera d’aller débusquer lui même. Tout saisir pour mieux perdre, monter jusqu’à l’inévitable chute. Rejeter les limites, les nuances, tout est noir ou blanc, et oublier les gris sans se soucier des conséquences, tracer son chemin à travers une existence saisie à l’arrache, comme une échappée belle au dessus de la foule, tandis qu’il refuse de s’abaisser, de rentrer dans le moule, vivre te qu’importe le reste. Monter jusqu’aux sommets et chuter, chuter, jusqu’à toucher le fond et remonter de nouveau, tout saisir pour mieux perdre, tout perdre pour mieux recommencer, comme tant de vies qu’il enchaîne, tout, tout, il lui faut tout, il lui a promis.

Aimer passionnément, jusqu’à ce que les braises s’éteignent, offrir son cœur tout entier, pour s’enfuir au premier orage, tout donner pour mieux reprendre, sans se soucier des larmes ou des mots durs bien trop inutiles, pas cruel Ange, simplement indifférent, se moquant des conventions, des jugements, des risques, jeu dangereux qui l’attire, ou du mal qu’il fait. A quoi bon s’encombrer de mots et maux inutiles, et brûler encore et encore, jusqu’à se consumer dans le feu qui l’anime, s’éprendre, quitter, souffrir, haïr de tout son être ou être haït, pousser jusqu’au paroxysme les sentiments qui l’animent, vivre à mots déclamés, jetés tout haut, dans un désir violent de tout ressentir, tout expérimenter. Comme un gamin jouant avec le feu, un brin trop cynique, trop franc, trop sincère, sans une seconde à perdre, et ne pas s’embarrasser des apparences, pleurer, rire ou se moquer selon ses envies, déclamer à voix haute ses pensées intimes, ses interrogations les plus étranges, sans pudeur, les mots cruels, moqueurs ou froids. Rejeter d’une parole ceux n’ayant de place à ses yeux, sans se soucier de leurs réactions, tout donner à d’autres, les étouffer de son amour et de ses sentiments tandis qu’ils deviennent le monde à ses yeux. Avant de sombrer de nouveau dans l’indifférence.

Et toiser le monde de son air nonchalant, tandis qu’il se détruit peu à peu, mais peu importe les conséquences, tout rejeter, tout chambouler, et vivre, vivre, vivre, boire jusqu’à l’oubli, s’injecter toujours plus de rêve dans les veines dans l’espoir de toucher le ciel, foncer, foncer au volant d’une voiture dérobée, sans rien voir, grisé par le pouvoir de vie et de mort entre ses mains, dans l’attente d’un choc inéluctable. S’en aller au milieu d’une conversation, d’une phrase inachevée, agir par pulsions, par coups de têtes, au gré de ses envies, tenter de fuguer, tantôt provoquer la chance, tantôt se laisser porter par le courant, répondre aux professeurs, dénigrer les cours qui l’ennuient, se jeter corps et âme dans l’étude d’une matière qui l’intéresse. Se dénuder, prêt à recevoir les coups, à être frappé, et toujours cette obsession, tout saisir, vouloir vivre pour deux, en se moquant du reste. Se consumer pour elle, pour lui prouver qu’il peut tout lui offrir, la retenir encore un peu, celle qui hante ses pensées, douce et cruelle obsession, prisonnière d’un recoin de son esprit, que les caresses ont combien répétées d’une nouvelle présence féminine dans son lit n’ont parvenu à effacer, poison latent dans ses veines pour lequel il se consumme, et tout donner pour ce sourire qui le hante. Jusqu’à la chute.


___________________________________________________________________________
Sur mon tricycle en roue arrière…
___________________________________________________________________________

JE M’EN VAIS DE L’AUTRE COTE DE LA TERRE.

    • Don : Amphibie.
    • En détail : A part pouvoir concurrencer Queen pour le mode grenouille (*tousse*), celui-ci confère à Ange une grande aisance en milieu aquatique. Au contact de l’eau, une fine peau apparaît généralement entre ses doigts et ses orteils, reproduisant grossièrement des palmes. Sa peau devient aussi plus visqueuse et rugueuse, lui conférant une meilleure isolation, et un déplacement plus rapide dans l’eau. Pratique pour la natation. Moins pour la douche.
    • Maitrise : Même si Ange peut se déplacer plus aisément dans l’eau, sa capacité respiratoire demeure celle d’un être humain normal, la durée d’utilisation de son pouvoir reste donc assez limitée. Celui-ci s’activant automatiquement au contact de l’eau, il a encore du mal à réfréner celui-ci (essayer d’attraper un savon avec des palmes à la place des mains, namého.)

    • Lui & les ELEM : Etrange orgueil que le leur. Il s’amuse à les taquiner lorsque l’envie lui en prend.
    • Lui & les SPE : Il aime beaucoup leur bateaux, mais n’a pas encore réussit à les convaincre de s’enfuir pour une croisière improvisée à bord de celui-ci.
    • Lui et les PHY : Amusants. Pratiques lorsqu’il s’agit de trouver des camarades pour aller voler les soutiens gorges de Tristan ou repeindre la chambre de la directrice pendant son sommeil.
    • Lui et les PSY : Trop sérieux.



___________________________________________________________________________
Puisque je sais qu’un jour nous gagnerons à devenir fous…
___________________________________________________________________________

ON A FROLE LA VIE.

    Dis Ange, tu te souviens ? De sa chaleur, de ses sourires, de ses bras qui t’entouraient ? De sa douce présence, de celle qui te saisissait tout entier, douce aura protectrice qu’elle savait étendre autour de toi, et dans laquelle tu te lovais, enfant naïf que tu étais ? Dis, tu te souviens ? Lorsqu’elle te tenait la main sur le chemin de l’école, pour t’attendre à la sortie ton goûter dans un sac de papier brun, lorsqu’elle te prenait dans ses bras et te laissait te blottir dans son lit les soirs d’orage, te murmurant des paroles rassurantes à l’oreille ? Lorsque tu répétais naïvement à mots déclamés que ta grande sœur c’était la plus belle du monde, une princesse de conte de fée et qu’un jour vous iriez vivre dans un château, un vrai de vrai, avec des rideaux en velours et des serviteurs à chaque coin de porte ? Bel enfant blond qui s’attirait la sympathie de ses camarades et de ses professeurs. Cependant, tu n’avais besoin d’eux.
    Elle était le monde à elle seule.


-Dis Ange, tu m’aime ?

Doucement ses yeux se lèvent vers elle, tandis qu’il ne sait que répondre. Que sait-on de l’amour quand on a neuf ans ? Que pourrait-il lui dire qui saura la retenir encore un peu, car il a peur le bel enfant, si peur, dis grande sœur, tu ne partiras pas n’est ce pas, tu ne t’en iras pas avec tes autres amis, ceux avec lesquels je te voie déambuler si joyeusement, la peur au ventre dis tu ne me quitte pas, dis, dis ? Et comment expliquer cet attachement si fort, qui le raccroche à chacun de ses pas, à chacun de ses mots, son cœur qui tambourine, ses yeux fixés dans les siens, cet amour dévorant, immense, qui prend toute la place à l’intérieur ? Comment lui dire, je t’aime grande sœur, je t’aime, encore plus fort qu’une tartine de chocolat, qu’une petite voiture rouge à la carrosserie rutilante, que les dessins animés du samedi matin, que les chocolats de la dame d’en face, que la musique du camion du marchand de glaces, que le sourire rayonnant de la petite voisine, que les billes que je collectionne, que le grenier poussiéreux et magique de mamie, que les bisous de maman, que les câlins de papa, moi je t’aime, si bien qu’un jour nous irons vivre dans un grand château que j’aurai construit rien que pour nous, tu seras une princesse grande sœur, une vraie de vraie… Dis je pourrais être ton roi ?

-Oui je t’aime. Fort quand ça. répond t’il en écartant les bras aussi grand qu’il le peut.

-Vraiment ?

Elle sourit, tandis qu’elle rapproche son visage du sien, et le voilà de nouveau qui tambourine, le membre battant à l’intérieur de lui, reste avec moi, à jamais grande sœur, nuées de bonheur qui le submergent. Jusqu’à ce qu’elle rajoute, un étrange sourire aux lèvres.

-Mais je crois que ce n’est pas encore assez…
[…]

Et elle est partie. Une d’histoire d’école dont elle a refusé de parler. Mais peu importe.
Elle est partie.
Elle est partie.

Et il ne sait quel est ce vide qui lui ronge le cœur, pauvre enfant qui pleure toutes les larmes de son cœur, enfouis sous les draps où ils avaient l’habitude de se blottir.

Elle est partie.
Le laissant seul. Seul. Sur les ruines de son univers effondré. Oh il aurait dut savoir. Comprendre que trop d’années les séparaient, lui et cette jeune fille de cinq ans son ainée. Après tout, qu’avait-elle besoin d’un gamin comme lui ? Amertume, mots douloureux qui lui rongent le cœur, obsession qui grandit et s’installe peu à peu en lui.
Grande sœur… comment pourrais je un jour te retenir ?
[…]

Et tu pleure, la tête calée contre sa poitrine, larmes de joie douces amères qui viennent mouiller sa belle robe, enfin, vous voilà réunis, de nouveau, contre tout, finies les rencontres furtives, les regards volés, l’acide amertume à chaque départ, rencontres glanées au fil des weekends et des vacances, enfin, finie, enfin, les longues semaine sans toi, le vide qui me dévore, les regards inquiets de maman et des professeurs tandis que tu te dépérissais peu à peu, sans elle, prisonnier d’un monde oh combien trop fade, grâce à une lettre salvatrice, porte d’entrée vers un monde inconnu, me renvoyant vers tes bras. Aurore.

-Dis on ne se quittera plus, n’est ce pas ?

-Peut être, cela dépendra de toi, mon Ange… J’ai d’autres amis tu sais, il va falloir t’acharner à me retenir… Alors dis moi, que ferais tu pour moi ?

-Tout.

-Vraiment tout ?

-Tout.


Et sans hésitation tu lui offre cet unique mot, « tout », je ferais tout pour toi grande sœur, je t’aime, mon monde, mon obsession, tout, sans me soucier de ton égoïsme, de ce pouvoir que tu obtiens peu à peu sur moi, tandis que tu m’enserres dans tes bras, étreinte étouffante scellant mon cœur au tien, tout, tout pour que ce monde ne s’effondre de nouveau. Et tant pis pour les conséquences. Quitte à me perdre. Quitte à me détruire.

-Alors offre moi un cadeau digne de ma valeur…
[…]

Et puis il y a le silence. Celui qui recouvre tout, et s’échappe de ses lèvres serrées, seule réponse à la douleur qui le lancine. Comme une barrière face à leurs interrogations effarées, à leurs protestations, jamais, jamais il ne l’avouera. Silence qui scelle ses lèvres, tandis que les mots se bousculent à l’intérieur, les mots qui brûlent, les maux qui font mal, dis tu ne me quitteras plus grande sœur, dis tu m’aimeras à présent, toi et moi contre le monde, triste obsession qui m’anime, me détruit, mais qu’importe, moi je t’aime. Et toujours le silence entre lui et les autres, entre lui et elle, après tout il n’osera jamais lui demander, et admettre l’existence de ces sentiments, de cette affection démesurée qui le consume, il ne veut pas savoir ce qu’elle pense, mettre de mots sur ce mal. Par peur. Dis, tu ne me quitteras plus n’est ce pas ? Dis tu me laisseras te retenir ? Te prouver que je tiendrais parole. Tout. Il lui donnerait tout.
Quitte à se perdre.
Et toujours le silence obstiné. Et la douleur insupportable à l’intérieur.
[…]

Et tout s’enchaîne. Tout donner pour une promesse d’amour factice, chercher à tout saisir d’un revers de mains, en se moquant des jugements, des conventions, au gré de ses envies et de ses désirs, vivre à mots jetés tout haut, tandis qu’elle t’observe, sûrement amusée par le pouvoir qu’elle possède sur toi. Tandis que tu te brûle, tandis que tu te consume. Tirer les cheveux des filles, pour en embrasser d’autres à pleine bouche, provoquer les professeurs, tâcher les uniformes de tes camarades, piquer des colères bien trop violentes, se jeter dans la première bagarre venue, déchirer tes vêtements, marquer ton corps de piercings comme pour te l’approprier plus fort, sécher les cours, faire le mur, rire au nez de la directrice lorsqu’elle t’annonce ton renvoi, et ton transfert en Irlande. Rien n’a d’importance.
Tant qu’elle reste près de toi.

[…]

Et le temps qui passe, l’obsession qui grandis, tandis qu’elle reste là, à chaque coin de ta tête, derrière chacun de tes pas, des mots que tu prononce. Obsession à laquelle tu te donne tout entier, ton monde, ton univers, celle dont tu as tant besoin, tandis que tu t’efforce de tout vivre, de tout donner, de peur qu’elle parte à nouveau, cruel poison qui le dévore, jeu trop vite entamé, trop violent, dans lequel tu t’es bien trop enfoncé, sans retour en arrière. Liens terribles, oppressants qui lui apparaissent parfois, éclairs de lucidité, où il tente d’aimer ailleurs, donner de toutes ses forces à un autre cet amour qu’il lui réserve, un autre univers, un autre monde répété sans cesse. En vain. Toujours ce même visage ancré au milieu de ceux qui se succèdent. Le sien.



___________________________________________________________________________
Est-ce qu’on se prend pour mieux s’oublier ?
___________________________________________________________________________

LIFE IS YOURS TO MISS.

Ange_Until the day I die. Domfromnextlives
    • Age : 18 ans.
    • Sexe : F.
    • Avatar : Shin, Nana.
    • Comment avez-vous connu le forum ? Double(s) compte.
    • Pourquoi vous êtes-vous inscrit ?/
    • Autre chose ? Les citations sont de Saez, Katherine Pancol, RENT et Fight club.





Dernière édition par Ange Duschenes le Lun 6 Sep - 20:03, édité 3 fois
Revenir en haut Aller en bas
http://life-in-plastic.deviantart.com/
▬▬▬▬▬▬▬
Mohsen Ljubomir
Ange_Until the day I die. Rangphy
Mohsen Ljubomir

Messages : 1505
Date d'inscription : 01/04/2010
Age : 31


It's a kind of magic.
Age du personnage : 17 ans
Nationalité: Saoudienne naturalisée anglaise
Relationship:

Ange_Until the day I die. Vide
MessageSujet: Re: Ange_Until the day I die.   Ange_Until the day I die. Icon_minitimeSam 4 Sep - 12:20

    Re-bienvenue ! ♥

    Bon, étant donné qu'au niveau des dons, on commence à être restreint, que tu en es à ton 6ème compte, tu m'excuseras de te proposer des dons pas forcément übercool.
    Donc. Je te propose l'AMPHIBIE ( tu évolues aussi bien dans un milieu aquatique que sur terre ), en PHY ou bien l'INGENIOSITE ( le fameux coup de génie qui te permet de te sortir des situations les plus merdiques ), en PSY.
Revenir en haut Aller en bas
▬▬▬▬▬▬▬
Elizabeth A. McQueen
Sweet Little Nuisance
Sweet Little Nuisance
Elizabeth A. McQueen

Messages : 1001
Date d'inscription : 07/03/2010
Age : 31


It's a kind of magic.
Age du personnage : 16 ans
Nationalité: Ecossaise
Relationship:

Ange_Until the day I die. Vide
MessageSujet: Re: Ange_Until the day I die.   Ange_Until the day I die. Icon_minitimeSam 4 Sep - 16:57

Au contraire, je préfère. Ma conscience coupable n'aurait pas supporté d'accaparer un autre "bon" don. éAè

Je prends donc l'amphibie! 8D
Revenir en haut Aller en bas
http://love-the-irony.tumblr.com/
▬▬▬▬▬▬▬
Ange Duschenes
Ange_Until the day I die. Rangphy
Ange Duschenes

Messages : 300
Date d'inscription : 04/09/2010
Age : 31


Ange_Until the day I die. Vide
MessageSujet: Re: Ange_Until the day I die.   Ange_Until the day I die. Icon_minitimeLun 6 Sep - 20:04

Finit!~

L'histoire est assez floue, pardon >.<
Revenir en haut Aller en bas
http://life-in-plastic.deviantart.com/
▬▬▬▬▬▬▬
Mohsen Ljubomir
Ange_Until the day I die. Rangphy
Mohsen Ljubomir

Messages : 1505
Date d'inscription : 01/04/2010
Age : 31


It's a kind of magic.
Age du personnage : 17 ans
Nationalité: Saoudienne naturalisée anglaise
Relationship:

Ange_Until the day I die. Vide
MessageSujet: Re: Ange_Until the day I die.   Ange_Until the day I die. Icon_minitimeLun 6 Sep - 20:46

    ...
    Arrête de faire des trucs trop orgasmiques.
    Je valide, bien sûr.
    N'oublie pas d'envoyer ton secret pa MP à Aelys ou Discord. Bon jeu !
    ( et je veux une relation orgasmique Ange/Reeta DD8 )
Revenir en haut Aller en bas
▬▬▬▬▬▬▬
Contenu sponsorisé



Ange_Until the day I die. Vide
MessageSujet: Re: Ange_Until the day I die.   Ange_Until the day I die. Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

Ange_Until the day I die.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: « CAP OU PAS CAP ? :: « Que la partie commence. :: « Bienvenue à Aisling.-
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit