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 Beating around the bush ▬ PV Clyde

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Leif Karlstrøm
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Leif Karlstrøm

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MessageSujet: Beating around the bush ▬ PV Clyde   Beating around the bush ▬ PV Clyde Icon_minitimeMar 13 Avr - 1:31

...
Beating around the bush ▬ PV Clyde 100413011608729888Beating around the bush ▬ PV Clyde Txt21Beating around the bush ▬ PV Clyde Drrr12

A hypocrite
You're just a contradiction
rapped up in your lies who knows what's real


"Pas de blagues, Buckley, ça fait trois fois qu'on tourne autour de ce buisson."

Et il était flippant ce buisson, ce qui lui permettait d'affirmer avec certitude qu'ils l'avaient déjà croisé auparavant.Ceci dit, tout était potentiellement flippant, dans cette forêt qui portait si bien son nom. Mais ce buisson en particulier, là, Leif pouvait parfaitement le reconnaître, avec son attention pour les petits détails, comme quoi il ressemblait un peu à un corbeau.
En fermant un peu les yeux.
Et en inclinant la tête sur la côté.
Bref.
Toute chose vivante ici, animale ou végétale hérissait un peu le poil, mais trêve d'élucubrations botanique, quelque chose à ses côtés le hérissait d'autant plus. Il fallait forcément qu'il partage cette charmante ballade avec son grand ami de toujours, le seul et l'unique Clyde, Andrew, Buckley. Sauf qu'actuellement, Leif Karlstrøm lui n'était pas en phase de souvenance ni motivation de en ce qui concernait l'ensemble de ses particules, et ainsi, son jeu pour passer le temps depuis qu'ils étaient perdus, c'était de pouvoir trouver quelque chose qui s'accorde au A mystère. Comme Abruti. Au hasard.
Oh, parce que, oui, optionnellement, ils étaient perdus.
Comment était-ce arrivé, déjà... Non, parce que ce n'était pas que Cavil n'aimait pas passer du temps avec l'autre catho déchu, mais techniquement il était tout de même plus demandé ailleurs qu'ici et avec lui. Le fait était que cette école avait décidément une directrice avec un certain penchant pour Harry Potter, et ce genre d'influence, avec une dose de flemme en plus. C'est-à-dire qu'en idée d'heure de colle, une randonnée dans la forêt maudite était une idée sympathique, même sans garde forestier en option. Pourquoi ? Peut-être à la fois pour punir et à la fois pour resserrer les liens de ces garnements dans une ultime affrontement de l'adversité ?

"Tiens, celui-là te ressemble."

Ou alors peut-être par simple sadisme, volonté de voir deux adolescents s'entre-tuer, dernier kiffe de se refaire un remake de SAW. Et encore, ça pouvait limite être plus sanglant.
Pourtant, Affligeant et lui-même prônaient au quotidien le pacte de non-agression, c'est-à-dire qu'ils se voyaient, devaient réciproquement penser que l'autre ferait mieux de se pendre sans faire d'histoire ou d'aller se jeter de plus du deuxième étage, mais globalement, n'allaient pas se jeter l'un sur l'autre pour abimer leurs jolies gueules. Et d'ailleurs, c'était assez révélateur de leur relation.
Cavil par exemple était de réputation bien connu comme étant l'éternel rival et adversaire de Lancelot, et il n'avait cesse de le provoquer, si bien que tout éclatait très régulièrement. L'autre quant à lui, il ne s'intéressait pas trop à son cas, mais il savait qu'il était sans doutes du genre à balancer quelques piques et phrases bien placées - c'était une langue de vipère parfois, une vraie nana - pour toute personne qui lui sortirait un peu par les naseaux. Mais rien de violent. C'était trop contraignant.
Entre eux, justement, c'était différent. Ils s'ignoraient royalement, simplement leurs regards ne trompaient pas : Oh noes, les deux grands je-m'en-foutiste, je n'ai point de temps à perdre à vous détester, pauvres mortels, ne pouvaient pas se voir en peinture, et ils ne pouvaient pas le cacher trop longtemps. C'était une vraie et simple relation de haine, une sans colorant ni additifs, 100% naturelle. Lancelot, au fond, c'était surtout assez divertissant, et c'était bien autre chose - mais ne remettons pas en doute la colère transcendantale de ce dernier à son égard, bien sûr, nous n'oserions pas. Enfin, cette haine, donc, se traduisait par le calme le plus complet. Parfois même ils semblaient converser comme deux humains normaux et personnes civilisées.
Mais il en fallait peu pour mettre le feu au poudre.
Cela venait souvent de Leif, c'était dans son caractère de provoquer un peu, de chercher les ennuis - même si c'était dans une certaine limite, avoir affaire à Atterrant, il y avait plus marrant - et il suffisait qu'il laisse échapper quelque chose, qu'il fasse un geste un peu décalé, qu'il se rapproche de sa douce, qu'il soit lui pour que cela titille suffisamment leurs nerfs.
Ils étaient les deux seuls à pouvoir se faire cette effet.
La joie.
Ainsi donc, vous comprendrez bien vite la raison de leur présence en ces charmants lieux, à savoir que les deux jeunes hommes avaient fini par se dresser une nouvelle fois devant l'autre, pour une raison lambda que nous n'énoncerons pas de toutes façons. Et résultat des courses, ils se retrouvaient coincés ici, tous les deux. Il aurait encore préféré être pendu par les pieds, quitte à se la jouer influence sorcier à binocle et balafre.
Et la seule occupation en attendant de sortir de là...

"Bon. Je sors l'artillerie maintenant ou tu t'ouvres les veines avec une plante grasse comme un grand ?"

... C'était bien Clyde Aberrant Buckley.
Certes, là règle voulait qu'on dise "je te tue ou tu commences", ce genre de choses, je te défie en duel, cette terre est trop petite pour nous deux, mais là tout de suite, il ne se sentait pas tout à fait de se la jouer réglo. Texto, admettons les faits tels qu'ils étaient : Ils avaient tenu suffisamment longtemps en compagnie l'un de l'autre pour ne tirer aucune morale de leurs petites histoires, et ils allaient à présent entamer la phase critique où l'autre allait lui sortir par les yeux.
Mais allez, il plaisantait, la menace n'avait rien du tout d'impressionnant, on était d'accord. Il n'allait pas en venir en mains ou don ou tout autre affrontement maintenant, ce serait du gâchis, quand on connaissait les possibilités du SPE...
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Clyde A. Buckley
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MessageSujet: Re: Beating around the bush ▬ PV Clyde   Beating around the bush ▬ PV Clyde Icon_minitimeVen 16 Avr - 22:57

Oh Santa.
I have been killing just for fun...
« On est pas perdu, merde. On ne sait juste pas où on est. »

Oui, en gros, ils étaient perdus. Mais la fierté intense et renommée de Clyde était de mise cette fois-ci. Et d’abord, comment ne pas se perdre quand un abruti de descendant d’Ikéa vous collez au basque, hein ? c’était obligé que son être magnifique en soit déstabilisé, au point d’en effet repasser pour la troisième fois devant le buisson. Il grogna et se gratta violement le bras pour faire passer un peu de ses nerfs, à vif par la présence de l’incongru meuble en kit à côté de lui. Puis finalement, il céda et tabassa le buisson avec violence.

Avant de reprendre la route, les mains dans les poches et en tentant d’ignorer le souffle fétide de la bête humaine, de son regard venu tout droit du pôle glacé, en esquivant ses mouvements furtifs de yeti libéré de Rullaker. Bon, il exagérait. Mais mince, il s’agissait de Leif Karlstrom, connu sous le nom de Ingvar-Kamprad-Le-Roi-du-surgelé-en-kit (parce que oui, chez Ikéa, même une julienne surgelée doit être en kit), dont on parlait ! Le seul type qui était capable de créer chez lui un sentiment d’aversion assez conséquent pour qu’il grogne quand on prononce son nom dans l’assemblée.

Et Bonnie le kiffait bien. Cette chaaaaaaaaaaaaance. Mais fort heureusement, il attirait à ses pieds Queen, et tant qu’il la gardait dans son coin, il pouvait quand même éprouver un brin de sympathie pour lui. Tout petit. Minuscule. Riquiqui. Un chouïa. Vraiment pas beaucoup. Microscopique. Ridicule. Dérisoire, et autre. Mais un brin quand même. Parce que quiconque éloignait la furie de son glorieux être divin était quand même bien vu. Sauf le Jerker(référence d’un meuble Ikéa pour les non-initiés, mais faudrait apprendre à suivre) commença à ouvrir la gueule de vipère qui lui servait de bouche pour déverser son horrible venin moqueur à son encontre.

« Karlstrom. Je te jure que je vais finir par faire un meurtre sur ton odieuse personne si tu continues à… A… A…A exister, tout simplement »

Ni une ni deux, il se reçu un bout de baton sur la tête. Qui commença à le battre alors que le SPE continuait d’avancer. Histoire de prévenir, comme ça. Parce qu’après tout, si Clyde prônait le pacifisme ou au mieux le langue-de-vipérisme comme forme de combat, et bien Leif, c’était un peu différent Il ne l’aimait pas, voilà tout. C’était pas physique. Non non, il ne cherchait pas à le haïr ou quoi. Sa dégaine, sa façon de faire, non, il ne pouvait pas l’encadrer. Mais bien sûr, plutôt indifférent à toutes formes de combat, il préférait au mieux ignorer sa présence avec un regard foudroyant que de venir lui causer, même si ça arrivait, parfois, dans des moments de perditions.

Bien sûr, on en venait jamais aux mains, c’était salissant et c’était accorder trop d’importance à l’autre. Non, on se contentait de sourire faussement et d’envoyer l’autre sur les roses avec une tête amicale, histoire de sauver la face. Donc pour les communs des mortels, Leif et Clyde, c’était un peu des camarades qui s’appelaient par leur nom de famille, quoi. Mais pour eux, l’autre était la peste noire, le choléra, la rage, la suette, la grippe espagnole et ils préféraient largement crever que de passer une minute seuls à seuls.

Aliénor ne l’avait pas vu de cet œil. Toute joyeuse qu’elle fut, elle leur octroya une gentille retenue avec une gentille morale et un gentil endroit où la passer : La Forêt Maudite. La chance de leur vie pour devenir les meilleurs amis du monde ! Ou bien, enterrer discrètement le corps de l’autre et l’oublier pour l’éternité sous ce buisson flippant. Avec un peu de chance, un lapin carnivore doté de deux trois rangées de dents rotatives le trouverait et dégusterait les restes.

Non mais c’est vrai quoi. A croire que la directrice avait choisi le meilleur endroit pour qu’ils puissent s’entretuer en toute discrétion, vraiment. D’ailleurs, l’autre brun ouvrit en peu de temps les hostilités.

« Non, pas la peine de sortir l’artillerie. Rien que d’entendre ta voix doucereuse fait saigner mes délicates oreilles… D’ici deux minutes, je devrais être vidé. »

Mais pourquoi avait-il dit ça ? c’était une incitation à la torture ! Leif allait forcément en tenir compte. Et chanter Aux Champs-Elysées pour les trois heures à venir. Il se sentait soudainement con.

Well, the party is over, kid
'Cause I've a bullet in my gun
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Leif Karlstrøm
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MessageSujet: Re: Beating around the bush ▬ PV Clyde   Beating around the bush ▬ PV Clyde Icon_minitimeVen 30 Juil - 23:59

Il se réunissent et décident d’aller chercher des amis,
pour se rendre à leur rendez-vous ils rencontrent :
Yvan le hareng
Edgar le couguar
Fidel la sauterelle...

___En guise d'introduction de cette réponse, je m'adresse directement à toi – oui tu permets que je te tutoie bien sûr – pour dire que j'aurais bien envie de me mêler un peu à ce sacré bazar en faisant une voix OFF à la première personne, telle Bella. Mais sans niaiseries. Donc la même chose en tout à fait différent.
Donc pour introduire cette réponse, donc, il serait utile de faire la liste des capacités de Leif, réduites à un champ bien spécifique de « qu'est-ce que l'imagination de Cavil à pu trouver dans ses moments d'égarement pour vous donner envie de vous jeter sous le premier broyeur à ordures que vous trouveriez, encore plus que ne le ferait trois heures de poésie Vogone* ». Bien entendu nous abrégerons ce même champ à « liste des choses éreintantes » dont Leif était capable.

Premièrement, il serait arbitraire de dire que sous prétexte qu'il parlait une langue de ces fins fonds scandinaves le simple fait de l'entendre était déjà irritant, mais j'ai décidé d'être bête et méchante, ainsi, ma première discrimination s'arrêtera sur ce simple fait qu'il était suédois. La mondialisation de ses grandes surfaces si connues et de ses chaises en rotin Hästveda n'étant pas comptée comme une excuse acceptable, merci.

Deuxièmement, sa simple tête et son air suffisant qu'il pouvait adopter, comme, tiens, maintenant, et sur lesquels je n'aurai sans doutes pas à écrire des romans, fort heureusement ; Ça passait avec certains, pas avec d'autres, ils pouvait faire tomber les filles comme les poutres, donc concluons simplement que c'était variable sur ce point-là.

Troisièmement, et nous ferons un tir groupé pour ce point là car je tiens mon enchainement, et j'ai aussi dépassé mon quota de phrases à la première personne pour retourner me cacher sous mon lit jusqu'au jour de l'an, l'attitude de Cavil était un chef-d'œuvre. À la fois innée, du talent, que du talent, et en même temps parfaitement calculée et exécutée d'une main de maître.
En gros ? Oui, Leif savait être chiant. Quand parfois il abandonnait son habit plus ou moins occasionnel de parfait connard pour choisir celui de ce que l'on appelait, dans ses contrées reculées des Nërds, troll.
Vous me direz à première vue, quelle est la différence entre un troll et un simple connard (que je puisse sortir mes shurikens et que je ne me lance point à l'aveuglette dans le combat). Eh bien c'était très simple. Le connard laissait faire les choses, et était content. Le troll cherchait, et lui aussi, en fait, il était content, simplement c'était déjà beaucoup plus fatigant.

En bon emmerdeur qu'il était, Leif avait donc dans sa « liste des choses éreintantes » dont il était capable, juste à côté de son tic qui était de chantonner, marmonner ou autre l'air de la maison des poupées incessamment jusqu'à ce votre cerveau n'implose, une façon de classer les informations de façon à se souvenir de nom, prénom, classe, allergie ou non au lactose, sujet éventuel sur lequel troller (est-ce normal que mon correcteur orthographique laisse passer un tel mot ou dois-je le faire exorciser sur-le-champ ?).
Du Lac devait donner quelque chose comme « Lancelot Reuben Ceallach, Physique, pas à ma connaissance, moi ». Voire même « Lancelot Reuben Ceallach, Physique, toujours pas, tout ce qui ne serait pas un fil à la fraise. »
Ainsi, il avait bien entendu récolté des dossiers sur Clyde. Clyde Abruti Buckley, Spécial, à confirmer, encore moi, Adriel-est-à-moins-de-trois-mètres-de-Lys-dirait-on, Bonnie de toutes façons. Et encore. C'était sans compter que ce dernier devait encore douter de ses superbes capacités pour lui donner encore quelques soluces.

« Karlstrom. Je te jure que je vais finir par faire un meurtre sur ton odieuse personne si tu continues à… A… A…A exister, tout simplement »

Déjà, ça, c'était largement dans ses cordes. Le simple fait de polluer par sa simple présence était d'ailleurs un moindre mal en apport physique – alors que se faire courser par Du Lac constituait une activité saine et équilibrée.
Non, non, attention, avec Clyde nous l'avons déjà évoquée, par de séance de bras de fer autre qu'orale, la transpiration était tout à fait inesthétique dans leurs affrontement, alors on préférait foudroyer du regard – n'est-ce pas Buckley – en espérant qu'avec un peu de chance le peu de cervelle de l'adversaire explose comme dans un roman de science fiction obscure. I can kill you with my brain. Ou je peux aussi te tuer indirectement avec ce même cerveau, te volant sans scrupules le pouvoir-oh-si parfait de mon compagnon, espérant pouvoir te frapper avec ce bâton jusqu'à la mort, comme si c'était une cuillère. Quelle bassesse.
Ou au moins, si ça ne le tuait pas, ça aurait au moins le mérite d'être très chiant.

« Non, pas la peine de sortir l’artillerie. Rien que d’entendre ta voix doucereuse fait saigner mes délicates oreilles… D’ici deux minutes, je devrais être vidé. »


Clyde, mon petit, tu avais du beaucoup pêcher dans une vie antérieure. Ou alors tu avais bien raison de ne plus croire en Dieu, car tu ne pouvais avoir tué suffisamment de chatons pour qu'on décide de mettre sur ta route Leif ce jour-là, et que toi, dans ta grande mansuétude tout aussi grande que son abrutissement, tu lui tendes de telle perches. Était-ce là une façon de te repentir, chemin de croix faisant ? Alors Cavil était bon et t'y aiderait. Amen.
Le sourire du brun s'étendit au coin de sa lèvre, et la lueur de son œil ne disait rien de bon.

« Ah tu m'en vois... Ravi. Désolé. Hm. Je ne sais pas trop. »

Raviolé. Le meilleur des deux mondes.
Comble de l'agacement, Leif posa une main sur l'épaule du SPE avec un autre sourire qui lui se voulait amicale, mais qui n'avait pas du le tromper bien longtemps.

« Allez, puisque nous sommes perdus ici par ta faute, je te propose que nous soyons amis, d'accord ? »

Il leva les yeux au ciel l'air de réfléchir.
Et avant la fin, je vais reprendre le micro pour vous demander quel serait pour vous la pire chanson à intégrer dans l'esprit de quelqu'un ? Expliquons. Ce petit tour de passe-passe est à la porté de toute personne, Aislingien ou non, ainsi, les enfants, vous pouvez tester chez vous la manipulation mentale, avec très peu de moyens.
Pour cette expérience, il vous suffit d'avoir sous la main un pigeon et une bonne chanson agaçante, entêtante, et à répéter en boucle, à l'infini, comme La Ferme, des Fatals Picards. Lorsque le sujet est en train de travailler, ou si par exemple il est perdu dans une forêt maudite avec vous – les deux cas de figure sont tout à fait plausibles – entamez en passant derrière lui à intervalles réguliers votre chansonnette. Peu de temps après, la personne ne pourra s'enlever la ritournelle de l'esprit.
À varier, avec les meilleurs tubes de colonies et de nouvelle an, les chansons paillardes ou, le choix de Leif (tellement qu'il s'était auto-hypnotisé et qu'il marmonnait ce fichu air à tout bout de champ), celui de Disney Land dans la maison des poupées.
Si la personne est absorbée par quelque chose d'aussi vile que des mathématiques, elle risque de ne même pas se rendre compte du stratagème, et l'effet est surprenant.
Si, comme ce sera sans doutes le cas dans le cas présent, elle tente de résister, ce sera encore pire.

Ainsi, le psychique prit cet air inspiré.

« Tiens, chantons en choeur. »

Encore quelques milliards de coup de bâtons microscopiques, et Clyde pourrait espérer le coma.


*H2G2, merci.


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