Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Pokémon EV06 : où acheter le Bundle Lot 6 Boosters Mascarade ...
Voir le deal

Partagez | 
 

 Old chords from the past [Orwenn]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
▬▬▬▬▬▬▬
Ruby Montaigue
Old chords from the past  [Orwenn] Rangelem
Ruby Montaigue

Messages : 73
Date d'inscription : 08/01/2012
Age : 30


Old chords from the past  [Orwenn] Vide
MessageSujet: Old chords from the past [Orwenn]   Old chords from the past  [Orwenn] Icon_minitimeMar 28 Aoû - 1:39


Old chords from the past  [Orwenn] 51c7427d5804281bd069a30127f0bb95_large
What can lie here year after year?

A vrai dire, elle ne savait pas vraiment ce qu’elle cherchait, cette fois.

Quoi d’autre que de la poussière, des trésors, des antiquités, des ennuis dans une pièce si enfumée de vieux souvenirs et d’anciennes collections maintenant révolues ? A vraiment s’en souvenir, aucune idée du pourquoi de ce besoin d’exploration soudain, de ce relâchement de son attention des choses matérielles comme ses cours, sa vie en colocation, ses camarades, le tout pour se concentrer sur des vieilleries jaunies par le temps qu’elle peinait à déchiffrer sous la couche du temps. Un bric à brac inestimable où peut osaient vraiment s’aventurer, à part en pleine nuit pour se lancer des défis de courage ou de frayeur, ou pour venir avec une lampe et quelques provisions pour ressentir le délicat frisson de la communauté horrifiques aux heures les plus pleines de la lune. Même astre qui pointait si timidement la première fois que Ruby s’était réveillée dans le grenier du grand manoir qui leur servait de racines scolaires, en pleine nuit, en ignorant absolument ce qu’elle avait bien pu faire avant dans son sommeil, dans sa vie, même dans sa soirée pour se réveillée nus pieds, en chemise de nuit sur le parquet poussiéreux. La pièce était à peine éclairée par les rayons qui arrivaient à percer à travers la couche épaisse de crasse, d’intempéries qui les maculait, rendant l’exploration par tâtonnement assortis de mises en courage de sa propre voix à sa propre personne pour sortir de ce qu’elle pensait être un rêve.

Pour la troisième fois en moins de deux semaines.

Un rêve ? Dans une remise du genre ? Non, plutôt un cauchemar de courants glacés qui vous balaient le sol en espérant vous mordiller avidement le mollet à la moindre inadvertance, une création de voix et de silhouettes chuchotantes sur votre passage pendant que vous cherchez la sortie de ce rêve que vous ne vouliez absolument pas faire. Sortir des bras d’un être cher, un étage et plus presque plus bas, en pleine nuit de vacances scolaires, pour se réveiller au milieu du Grenier. Belle épopée. Au lieu de crier comme toute bonne élémentaire de sexe féminin l’aurait fait vu l’heure, la crasse et l’endroit, elle avait cherché avant de finir par retrouver le battant poussé d’une main de somnambule par ses soins quelques heures plus tôt. Avant de regagner sous la lumière beaucoup plus entière de la nuit ses pénates, en trottinant le long des couloirs. Mais pourquoi le grenier ?

Evidemment, lors des vacances scolaires, à part se balader, prendre du temps, dormir, et gagner des exercices d’apprentissage et de maîtrise de Dons supplémentaires pour les internes comme elle, la vie se déroulait avec une lenteur exaspérante. Les yeux grands ouverts à l’aube, les veillées de plus en plus poussées, rien pour casser le paysage. Sauf ces étranges crises pour ponctuer le décor, qui ne ressemblaient finalement pas tant à des rêves que ça. Comme la poussière tout autre que la cristalline habituelle dans ses draps le matin. Des plantes de pied glacées, grises des courses nocturnes.

Armée de quoi se couvrir, d’une lampe et de beaucoup de courage et d’intrigue, la voilà qui s’en allait en guerre un début d’après-midi. Pour braver ledit lieu de jour, qui à sa surprise se trouvait bien plus accueillant que sa version de nuit, la soleil chauffant agréablement les carreaux épars, la poussière volant à travers les rayons. Les merveilles révélées par l’astre du jour. Des souvenirs, des pans du passé des gens avant elles, de vieux albums photos, de vieilles coupes. Des vieux journaux scolaires, des bouteilles [strike]trop de bouteilles[/i], des petits objets appartenant à d’anciens élèves. Beaucoup de livres. Des journaux de bord tenus par ses prédecesseurs.

Une après-midi, deux, trois, à parcourir la pièce peu large, tantôt étrangement étalée, mais parfois difficile d’accès, à se baisser pour éviter les poutres, ou à pouvoir entendre l’écho de son souffle au dessus de sa tête. Les journaux la passionnaient, ces récits d’apprentissages laborieux, faciles, étranges, délicats, d’un autre temps pas si éloignés la faisaient remonter, ainsi que tous ces objets qu’elle ne pouvait emporter avec elle.

Habituée à son lieu de rendez-vous après une semaine stricte à farfouiller, soulever le passé, la poussière, les découvertes mais à rencontrer le silence et la solitude chaque matin, la main qui se posa sur son bras quand elle ne s’y attendait pas en cette fin d’après-midi pluvieux lui fit échapper un cri immense.
Un sursaut en prime.

Et une chute non maîtrisée sur la pile la plus proche de recueils.


Revenir en haut Aller en bas
http://sparklinghero.tumblr.com
▬▬▬▬▬▬▬
Orwenn McGallan
Old chords from the past  [Orwenn] Rangphy
Orwenn McGallan

Messages : 72
Date d'inscription : 01/04/2012
Age : 133


It's a kind of magic.
Age du personnage : 18 hivers.
Nationalité: Irlandais.
Relationship:

Old chords from the past  [Orwenn] Vide
MessageSujet: Re: Old chords from the past [Orwenn]   Old chords from the past  [Orwenn] Icon_minitimeMar 28 Aoû - 19:31

- Tu sais Chevalier, tu devrais peut-être réfléchir à ce que tu vas faire une fois hors de ces lieux.
- Partir ? De mon royaume ? Jamais cela n'arrivera !
- Tous les rêves ont une fin. Tu te seras bien amusé, mais tu le sais, la conclusion n'est pas si lointaine.
- Non ! J'ai passé ma vie à chercher où était ma place ! Maintenant que j'y suis, j'y reste !
- Chevalier, tu vas de suite arrêter avec ton caprice de gamin, compris ?
- Un seul caprice, c'est trop te demander, Gold ?
- Il a déjà duré bien assez longtemps, Chevalier.
- Je ne le laisserai jamais s'arrêter !
- Tu n'auras pas le choix.
- On a toujours le choix !
- Tu m'ennuis. J'en ai marre de discuter avec toi.
- Heureux de le savoir, c'est réciproque.
- Bon. C'est l'heure.
- L'heure de quoi ?
- De te réveiller.

Le soleil tapant à travers le feuillage des arbres empêchait le chevalier de dormir plus longtemps, c'est donc avec une mine fatiguée qu'il se redressa, l'esprit encore embrumé. Il s'était encore une fois endormi en pleine nature. S'il se souvenait bien, la veille, il avait fait la fête jusqu'à pas d'heures, accompagné de plusieurs phy et spe. Il se rappelait vaguement avoir gagné une partie de cartes, refusé de faire des bébés avec un étrange gamin aux cheveux noirs, esquivé une proposition indécente de Freyja, et fuit dans les bois en clamant chasser les ogres. Une soirée presque normale quand on est chez les physiques. Orwenn se remit les idées en place bien vite après son réveil, vérifier son matériel aidant à relancer la machine. Le bouclier en bois, l'épée en mousse, la carte, et tout le reste, semblait être là. Soulagé, il réajusta son long bonnet, ainsi que ses oreilles d'elfe.

Par ma suite, il vagabonda à travers les arbres, repensant à son rêve. Ce n'était pas la première fois qu'il avait droit à un délire onirique de ce genre. À chaque fois, il avait droit à une discussion entre le Chevalier et Gold. L'un représentant le rôle qu'il interprète dans ce gigantesque terrain de jeu qu'est Aisling, l'autre représentant celui qu'il était avant de retrouver la flamme de son enfance. Autrement dit, dans sa tête se déroulait bien souvent un débat opposant son côté extravagant à sa froide maturité. Super, se disait-il d'un ton blasé. Jusque dans ses rêves, il fallait qu'une part de lui vienne lui tirer les oreilles et s'amuse à lui briser les testiboules. Comme si les gens trop terre à terre du coin ne l'énervaient pas assez comme ça. Heureusement qu'il n'était pas du côté des psy, ça l'aurait fait incroyablement chier. Bien qu'il y en ait des sympas, comme Luca.

- Bon... C'est bien beau de roupiller dans les bois, mais je vais faire quoi de cette... Il est quelle heure, au fait ?

Orwenn lâcha un petit grognement: il n'avait pas de montre pour lui donner l'heure, encore moins de téléphone. Bon, y avait plus qu'à se repérer avec la position du soleil. De ce qu'il pouvait en déduire, il devait être un peu plus de midi, mais de là à savoir l'heure exacte...

- On va dire l'après-midi. Ça me donnera une excuse pour manger des confiseries en guise de petit déjeuner. Maintenant ce serait bien de savoir où je suis.

Le chevalier balaya les alentours de son regard. Pour changer, ça ne lui disait rien: s'il se perdait aussi souvent, c'est parce qu'il n'avait aucune mémoire visuelle. Autant vous dire que ses talents en dessin et peinture n'étaient pas bien poussés, sa fameuse carte du territoire ressemblant plus à une carte du monde dessinée par un enfant de 5 ans qu'un plan exact des lieux. Vagabondant tant bien que mal en tranchant ce qui se mettait sur son chemin de part la lame devenue réelle, Orwenn croisa diverses bestioles ne l'intéressant pas plus que ça, parce que, hein, bon, les lapins, on s'en branle.

L'espace d'un instant, le chevalier eu l'étrange impression d'être observé. Non pas par un individu inconnu ou un animal random, mais par la végétation. Ce ne serait pas étonnant de croiser un arbre vivant dans cette école. Mais bien vite, il se désintéressa de cette sensation et reprit sa route, jusqu'à enfin sortir de la forêt. Notre bien aimé Peter Pan était maintenant dans le campus, non loin des dortoirs. Le temps de se demander si l'un de ses colocataires s'inquiétait de son absence, une voix criarde vint lui griller les tympans.

- OOOORWEEEEEENN !!!!

Le gamin aux cheveux noirs de la nuit dernière s'approcha tel une fusée avant de trébucher vers le chevalier. L'elfe esquiva l'enfant, déjà au coruant que ce dernier était d'une maladresse rare, le genre à tout faire tomber en se retournant. De ce qu'il en savait, c'était un spécial avec un don en dérangeant plus d'un. Bref, le mioche à terre après sa tentative ratée de faire tomber Orwenn, ne semblait pas pressé de se redresser, trop occupé à se tenir le crâne en grommelant dieu sait quoi dans une autre langue.

- Vous allez bien, Sir Vittore ?
- J'ai boboooooooooooo !! Ça fait maaaaaal !
- Hum. Je ne suis hélas pas entraîné dans l'art de la magie curative.
- Uuuuuuuuh...
- ... Je vais vous appeler une escorte pour vous emmener aux soigneurs de la région.
- Non, ça ira ! Je suis un grand garçon ! Tu fais quooooâ ?
- J'erre à la recherche d'une missive quelconque.
- ... Tu chasses pas les dragons ????
- Pas aujourd'hui.
- Mais tu chasses toujours les dragons !
- Je n'ai pas eu vent de signes de leur présence, je n'ai donc pas à les chercher.
- Ah. Et les gobelins ?
- Ils hibernent.
- Les lycanthropes !
- Il ne fait pas nuit, ils sont donc sous forme humaine.
- Maiiis euuuh !!! Il faut chasser les vilains monstres ! Je sais ! On va demander à Lino d'en invoquer !
- Huuum... Je n'ai pas spécialement envie de croiser la route d'un invokeur, actuellement.
- Mais c'est.. Oh ! Je dois vous laisser monsieur le chevalier !
- Euh... Alors à bien-
- LINO JE TE CHERCHE DEPUIS TOUT à L'HEURE !!!
- NON ! LAISSE-MOI !
- TU M'ÉCHAPPERAS PAS !
- Tôt.

Le petit italien s'échappa tel une tempête, coursant son ami à la peau basanée mais arborant cependant une touffe blonde en guise de cheveux. L'espace d'un instant, Orwy se demanda si lui aussi, il avait l'air aussi vivace quand il se mettait à traîner autrui dans ses délires d'aventurier. Je serais tenté de dire que oui.

* À croire que les spéciaux ont tous les enfants de l'établissement chez eux. *

Bien, ce caméo terminé, reprenons notre récit. Le chevalier était donc non loin des dortoirs, il en profita donc pour faire un rapide tour dans sa chambre. Personne. Peu étonnant, mais bon, discuter avec l'un de ses colocataires aurait eu le mérite de le distraire. Déposant son bouclier ainsi que son épée, rendue de nouveau factice, Orwenn retira sa tenue de chevalier pour changer de style vestimentaire: il avait dormi avec ses affaires, il n'avait pas vraiment envie de sentir le chacal, ainsi mettre une autre tenue était normale, enfin, après une bonne douche pour décrasser tout ça. Hum. Je vais éviter de vous raconter ce passage. Oui, je sais, vous êtes des fangirlz en chaleur, mais bon, vous parler d"eau ruisselant sur des muscles de garçons ça ne me tente pas, je suis pas monsieur Garrison moi.

Alors vous n'avez plus qu'à vous faire vos films ailleurs, et non, vous en serez pas remboursés. De toutes façons, c'est pas comme si je vous faisais payer pour lire me bêtises, alors rembourser du rien, hein. Bon, cela dit, Orwenn reste le chevalier du coin, alors il ne pas revêtir une tenue lambda, que non. À la place de sa tunique verte accompagnée de long bonnet, le blondinet enfila une tenue de bretteur plus classique: bottes hautes en cuir, pantalon et chemise en bure, et pour finir une paire de gant également en cuir, bref, il avait des airs de bretteurs ne nageant pas dans le luxe: une de ses tenues favorites lorsqu'il ne pouvait s'habiller de son accoutrement normal.

Par la suite, il acheva sa tenue avec sa ceinture et son fourreau, l'épée s'y trouvant était d'ailleurs d'une autre catégorie de son arme habituelle: en effet, quand il portait cet ensemble, il préférait utiliser une rapière, laissant de côté son épée à une main et son bouclier. Aussi, oubliez la paire d'oreilles d'elfe pour cette fois. C'est donc avec son costume secondaire que Orwenn allait vivre la majeure partie de cette aventure, comme quoi, on est des dingues ici, on innove et tout, fuck le budget, on est des tru rebelz de la life !

Bon, j'ai assez raconté de la merde maintenant, on va pouvoir en arrêter là avec l'introduction du rp, youpi ( Goldberg. ), joie, bonheur, fête du slip ! Ah, vous voyez, je suis un narrateur sombrant dans la folie, c'est signe qu'il faut que je mette fin à cette ouverture. Bon, bah voilà. À la prochaine, tout ça tout ça, on se rappellera bébé.

.... Non mais vous pouvez partir hein. ... Ce post est fini, on est pas dans un film Marvel avec un spoiler se planquant après le générique de fin.

.... Cassez-vous je vous dis !!!!

... Bon, c'est quoi le problème ? ... Ah, oui, c'est vrai. J'ai pas encore raconté la rencontre entre le cheva- le bretteur, et la damoiselle se tapant elle aussi un prénom de truc machin chouette précieux. Roh vous êtes chiants. Vous êtes certains de vouloir que je raconte ça ? Oui ? Saloperie d'enfants pourris gâtés. Je vais appeler Super Nanny, elle vous bottera le cul. Et j'en ai rien à secouer qu'elle soit morte. Bon. Alors. Hum. Par un heuuuureuuuuux hasaaaaard, Orwenn parcouru l'école jusqu’à arriver au grenier, et là, oh bah ça alors, il croisa Ruby et lui toucha le bras !

Oh putain de cliffhanger de malade mental ! C'est qu'on s'y attendait trop paaas !!! TROP DE SUSPENS POUR MOI JE LE VOYAIS PAS VENIR TU VOIS JE SUIS GENRE MEGA SURPRIS !!111!!!1111!!!11!! C'est du génie et ça vient même pas de moi, je suis soufflé ! 'TAIN IL FAUT QUE HOLLYWOOD FASSE UNE ADAPTATION CINÉMATOGRAPHIQUE DE CE POST DE GUEDIN ! Allez, je vais vendre l'idée à une boîte de prod et me faire un max de thunes, adieu bande de nases !

Bon je vais quand même ajouter qu'après, il a genre fait une révérence, dit un truc lambda du style " que faites-vous en ces lieux, douce colombe à la beauté enivrante ? ", qu'il l'a aidé à se relever, et qu'ensuite, il a ouvert au hasard un livre, et que dans ce livre, y avait genre les photos des anciens élèves, et, trop mdr, il tomba sur celle de je sais pas quel adulte du coin qu'a étudié ici dans le passé ! Trop méga bien ! Et donc, après Orwenn, il a rigolé en montrant l'album photo, tapoté les cheveux de Ruby, et il lui a demandé si ça la tentait de se faire baiser sauvagement retrouver les vieilles tenues du club de théâtre pour en essayer quelques-unes. Voilà voilà.

Fin.


... Quoi encore ? Hum ? Étoffer la venue d'Orwenn jusqu'au grenier ? Rendre ça plus épique et palpitant ? Ce que je fais est carrément du foutage de gueule ? Aucun respect ? Je massacre l'oeuvre ? Humpf. Ah ouais ? AH OUAIS ?! Allez vous faire foutre, je vous ai dit que j'étais même pas payé, alors je fais ce que je veux ! En plus en le racontant pas, ça m'fait genre un truc à exploiter pour ma prochaine réponse, woah, je suis vraiment trop fort, je fais comme avec les flashback super trop bien qu'on coupe pour le prochain épisode. Hahahaha, le marketing, c'est vraiment trop cool pour frustrer les gens ! Et ouais ! Moi. Je. Suis. le. NARRATEUUUUR !!!!! KING OF THE WORLD !!! Je fais que ce que je veuuuuux !!!

ANAAAARCHHHHIIIIIIIE !!!! \m/
Revenir en haut Aller en bas
 

Old chords from the past [Orwenn]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: « COLLEGE/LYCEE | RPG. :: « Cinquième étage. :: « Grenier.-
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit