You know my name.

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Sweet Jesus that's good tee.

✂ Surnom : Dante, Mephisto, Meph... ✂ Age : 28 ✂ Profession : Psychologue. ✂ Ancienneté : 3 jours. ✂ Situation amoureuse : Sauvage. ✂ Ancienne classe : Psy.

Supernatural Superserious.

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Je suis aussi sérieux qu'une crise cardiaque.

Son créneau : agir d'une façon, la condamner ensuite, juste pour le plaisir de contredire. C'est quelqu'un d'assez ambivalent, qui ne se comporte pas de façon toujours très cohérente. Sa plus grande passion est de se jouer des gens et son indéniable talent est de tout et toujours théâtraliser. Critique ambigu, il arbore un comportement blasé, flegmatique, précieux, sophistiqué, extravagant et un brin effrayant. Jamais sérieux, toujours tragique, vous ne saurez deviner s'il ment ou s'il dit la vérité car sa vie est théâtre et théâtre est sa vie. Pompeux ? Très. Mais la dramaturgie n'est en aucun cas de l'improvisation ; Mephistopheles est un acteur. Homme qui étudie sans cesse l'art de se contrefaire, de revêtir un autre caractère que le sien; de paraître différent de ce qu'il est ; de se passionner de sang-froid ; de dire autre chose qu'il ne pense aussi naturellement que s'il le pensait réellement, et d'oublier enfin sa propre place, à force de prendre celle d'autrui. Du coup, on ne sait pas trop quand il quitte sa scène et, la quitte t-il vraiment ?

Aussi, arbore t-il un éternel sourire qui soulève à peine les coins de ses lèvres cerises, dénudant quelque fois des dents aussi blanches que neige. Mephistopheles n'est pas méchant, loin de là ; il aime simplement s'amuser. C'est un hédoniste qui prend pour principe moral la recherche du plaisir et de la satisfaction. Cela explique pourquoi il est constamment d'une humeur particulièrement joviale.

Seulement, Mephistopheles demeure quelqu'un de méfiant, mais étant un bon vivant, au lieu de se résoudre au mutisme et observer les gens, il préférera parler de manière tout à fait désinvolte, sans toutefois donner quelques informations sur soi. Sa conversation sera plaisante et inspirée mais rarement riche en quelque information sur lui ou sa personne. Qui plus est, il aura l'aisance suffisante pour ne pas vous le faire remarquer. Vertu indispensable dans son métier de psychologue. Surtout qu'il est rare qu'il apprécie quelqu'un véritablement. Oh, si vous ne lui plaisez pas il vous le fera tout de suite savoir et libre à vous de choisir si vous voulez insister ou pas. Mephistopheles est quelqu'un de très difficile dans ses goûts. Peut-être ne sait-il pas ce qu'il veut exactement, mais il est sûr de ce qu'il ne veut pas ou de ce qui ne lui plait pas. A moins que vous ne soyez un malin cachottier, il se fera une idée sur vous en quelque secondes et cette dernière sera définitive. Mais, soyez-en sûr, plus vous êtes mystérieux, plus il vous appréciera. Les énigmes sont les choses les plus excitantes qu'il y a dans son existence. Plus son cerveau et ses sens sont stimulés, plus il est heureux. Et inversement, plus une chose ou une personne est banale, plus il s'en détourne et l'abandonne sans regrets.

Autant il aura un respect sans limites à quelqu'un qui sait maintenir son intérêt éveillé, autant la médiocrité le rendra sec, sarcastique, méchant et malveillant. En cela Mephistopheles est peu fidèle, car vous resterez son intime tant que vous aurez quelque chose à lui offrir : de la beauté, de l'intelligence, de la malice... ou quelconque autre trait de caractère ou talent qu'il apprécie. Mais dès que vous cessez de lui sembler intéressant, il vous oublie aussi vite qu'il vous a aimé.

L'amour... il est chanceux de l'avoir déjà connu et veut le connaître encore à l'avenir, mais son caractère le rend souvent tristement seul. Enfin, vaut mieux être seul que mal accompagné comme dirait l'autre et cette citation convient parfaitement à notre cher amis. Les périodes ou il n'est pas seul, il choisit très soigneusement ses fréquentations : ses amis pour leurs allure, ses connaissances pour leur réputation et ses ennemis pour leurs intelligence.

Dépassant rarement les deux de tension, le damoiseau reste stoïque quoi qu'il arrive. RIEN n'est grave, alors pourquoi s'énerver ? Cependant, n’étant pas un cadavre émotionnel, lorsqu'il n'est en revanche pas apathique, Mephistopheles est le genre de personnes complètement extrémistes, passionnées, obsessionnelles.

La lucidité est certainement l'une de ses capacités dominantes : il est difficile de le mener en bateau, d'autant qu'il déteste qu'on manipule ses émotions. Ceux ou celle qui tentent de faire échouer ses desseins s'exposent à une vengeance implacable. Mais bon, pour ça, faut déjà arriver à le cerner. Il reste maître de ses faits et gestes, même et surtout dans les situation les plus difficiles. Il est donc redoutable en cas de crise, calculateur de talent et particulièrement tenace. Mephistopheles se laisse aller à un certain narcissisme, gardant ses distances en toutes circonstances : c'est là sans doute que réside le charme qu'on s'accorde à lui reconnaître. Sensible à l'harmonie de son cadre de vie, il se fait passer pour un être assez conciliant. Il lui semble inutile de heurter ses proches sans raison solide, il tente, au contraire, de maintenir l'équilibre autour de lui. Cette soif de tranquillité lui fait parfois adopter des attitudes intransigeantes, voire tyranniques.

It's the end of the world as we know it.

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✎ Don : L'inception.
✎ En détail : Pour être court et concis cher lecteur, ce don lui permet d'introduire une idée dans l'esprit de quelqu'un. Il ne contrôle donc ni l'esprit, ni les actions ; tout se base au final sur la persuasion. Sur la capacité de notre cher dandy à influencer une personne, non d'une manière naturelle mais forcée. Car si la victime doit au moins écouter les paroles de la personne qui l'influence, il suffit à Adonaï d'avoir un contact visuel. Et à cet instant, s'il se débrouille bien, j'aimerai citer Oscar Wilde : "Influencer une personne c'est lui imposer son âme. Elle ne pense plus ses propres pensées ni ne brûle de ses propres passions. Ses vertus n'ont plus de réalité pour elle. Ses pêchés, si la chose existe, sont des pêchés d'emprunt. Elle devient l'écho de la musique d'un autre, elle joue le rôle qui n'a pas été écrit pour elle." C'est donc un don, s'il est utilisé souvent, qui peut changer la nature d'une personne ou pire, l'empêcher de s'épanouir, de réaliser à la perfection sa propre nature.
✎ Maitrise : La maîtrise du don dépend fortement du contexte. Adonaï le contrôle parfaitement lorsqu'il est calme et serein, que rien ne vient le perturber. La concentration est la clef du succès. Néanmoins des echecs arrivent même dans les meilleures conditions. Inversement, lorsqu'il est dominé par une grande émotion, son don se tarit et cesse de fonctionner complètement soit fait du grand n'importe quoi. La personne peut alors se rendre compte de la présence d'un intrus dans son esprit ou alors la pensée introduite est tellement illogique qu'elle se rend compte seule qu'elle est stupide et l'idée cesse son chemin. On définis sa maîtrise entre 10 et 70%.
✎ Lui & les autres : Oh la la... qu'est-ce qu'il s'amuse de toutes ses rivalités adolescentes, de ces conflits... Orgasmique. Parfois, il se contente de regarder, parfois il se mêle des disputes pour les rendre pires ou les cesser lorsqu'elles sont dérangeantes ou ennuyeuses. Ici, dans cette école, la vie est un jeu tout simplement exquis.

Jolie petite histoire.

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Dandy...

D'abord sachez que ce personnage est né sous le doux nom de Alekseï Berstein. « Alekseï » parce que sa mère avait jadis eut un amant qui répondait au charmant surnom « Aliocha » et « Berstein » parce que son père était un juif immigré depuis deux générations en l'Empire Russe. Mais vous n'en saurez plus sur ses parents car ils sont morts bien trop tôt quelque part dans l'une des prisons de l'ex URSS entre 1980 et 1985. Et personne ne sait pourquoi ; secret d'état, probablement.

Quoi qu'il en soit Alekseï était beaucoup trop jeune pour savoir quoi que ce soit et fut placé dans une famille d'accueil qui possédait déjà 14 enfants dont 6 adoptifs. Bien sûr, ce qui intéressait le plus ces généreux parents était non l'aide d'enfants mais bien l'aide d'état – l'argent, donc. Et c'était parfait pour Alekseï qui grandit pendant un certain temps dans une atmosphère de polie ignorance dans la nombreuse famille qui l'entourait. Il était de nature calme et comprit assez vite que pour son bien, moins il posait de problèmes au monde extérieur, moins le monde extérieur lui en poserait en retour. Il devint vite invisible. Les rares moments où on pouvait deviner sa présence dans la maison étaient la nuit, lorsqu'il dormait dans son lit avec ses 7 autres frères et sœurs. Quoi que, ce n'était pas toujours le cas. Curieux par nature, il s'instruit lui-même autant que le lui permettait la société de l'époque.

Et puis advint ce jour il perçut pour la première fois son don. En réalité, peut-être l'avait-il déjà utilisé plus tôt, sans s'en rendre compte, sur sa famille adoptive ou même sur la bibliothécaire qui ne voulait jamais lui prêter deux livres en même temps parce qu'il ne les rendait jamais à l'heure. Mais ce fut bien la première fois qu'il en prit pleinement conscience. Une semaine plus tard il était invité à se rendre en début d'année prochaine à Iadviga.

Mais puisque ce lieu est dit secret, nous le garderons secret et ne préciserons simplement que Alekseï fit de lamentables études pour cause de son désaccord constant avec les méthodes et les sujets d'enseignement avant de quitter définitivement l'école à 16 ans pour entamer une brillante carrière de rien du tout.

Il pensa un instant revenir chez ses parents adoptifs mais c'est à peine si on l'accepterait puisqu'à un âge si avancé, il ne rapportait guère d'allocations.

C'est donc affamé et plutôt malheureux qu'il erra un temps dans la ville de Kalouga avant de tomber, dans une ruelle plutôt sombre sur une vitrine toute teintée de noir où une feuille trônait, spécifiant qu'ils cherchaient une femme de ménage pour leur établissement. Alekseï postula et fut pris. Seulement c'était une maison close.

Les glaçons tintaient au fond des verres à whisky en cristal, des bouchons sautaient, des rires de filles éclataient...

Ophelie, Cerise, Tamara, Alice, Valentine, Elizabeth... Ciel, il y en avait tant ! Aucun genoux cagneux, aucun balconnet vide, pas de peau grasses et boutonneuse, ni de menton qui fuyait ou de cheveux qui tombaient. Les créatures flétries et moches n'existaient pas ici. Que des poupées en porcelaine aux cils recourbés, aux cheveux attachés ou dénoués, coulant en vaguelette sur de luisantes épaules avec des clavicules fines comme des os de poulets, des dents blanches et alignées comme des touches de piano, une bouche charnue, des yeux en amande avec un regard de biche effarouchée. Des femmes aux poignets osseux avec des bracelets en argent et en or lisse coupaient la route de la soie. Des bustes aux seins durs et rebondis comme leurs fesses en forme de pêche. Et leurs yeux ! Impossible de deviner si elles allaient éclater de rire ou se mettre à pleurer. Leurs jambes étaient interminables, telles des flèches plantées dans une cible. Des demoiselles de toutes les origines, avec des airs félins, des iris noires, des lèvres arrondies, des bouches ourlées, une voix veloutée, des jalouses, soumises, capricieuses, saoules, innocentes, vulgaires, souriantes, chaudasses...

… Mais surtout, elles adoraient Amekseï. Il avait 16 ans, était chétif et avait presque l’air d’une fille, à la façon dont l’Alraune d’Ewers aurait presque l’air d’un garçon, ou encore dont l’Orlando de Woolf défie les identités sexuelles, sa peau était diaphane et ses yeux verts grands ouverts devant tant de merveilles. Amusées, les mannequins à moitié à poils le prenaient sur leurs genoux en rigolant. Elles lui posaient des questions en anglais, passaient leurs ongles semblables à ds pétales de rose dans ses cheveux, suçaient ses doigts et caressaient sa peau.

En l'absence de sa mère, Alekseï n'avait pas eu une enfance où on le maternait le plus longtemps possible Ses 2000cm² de peau avaient faim de doigts, son épiderme étaient en manque de lèvres. Tous les soirs, on le chouchoutait, embrassait ses poignets, son ventre, son cou tout en évitant soigneusement sa bouche qu'il leur tendait les yeux fermés. Peut-être parce qu'à partir du moment où on embrasse sur la bouche, il y a une quelque chose de particulier qui se forme.

Secrètement, il rêvait que ces créatures divines le violent, abusent de lui sexuellement, mais il ne voulait pas coucher avec elles, juste les frôler, subir leur attraction tel un aimant. C’était ça qui lui plaisait le plus : désirer quelque chose sans l’avoir tout en étant juste à côté. Cruel et si excitant.



« Do you sleep, Alex ? Demanda Alice.

- No.

- Why ? Chuchota Lisa à son oreille.

- Vous me rendez dingue. Je ne puis me défendre devant tant de charme que je vois tous les jours de si près. Il me fallut céder et vous aimer de la plus violence et la plus sincère façon qui fusse jamais.

- Hin, hin, c’est mignon. Susura Alice.

- No, just in love. De toi, de vous… » Repliqua Lisa dans un soupir.

Fuyant la lumière pour leur lit, ils s’y glissaient le matin et s’y enfermaient, seuls, fermant les volets et bouclant l’aurore à l’extérieur, ils se fabriquaient une fausse nuit. Cela dit, les faibles rayons d’un soleil frileux de décembre arrivaient à percer les rideaux en une ombre violine avant de venir se poser sur les draps du lit. Encore somnolent, Lisa se resserra contre le dos de l’adolescent en ronronnant pareil à un chaton. Frissonnant, Alekseï enfouit son nez dans les seins d’Alice.

« Teuh, mais non. You are not in love, sweet… tu es juste seul et tu n’as personne à caresser, choyer ou même réchauffer, alors tu t’attaches à la première personne qui te passe sous la main. En l’occurrence nous. » Finit-elle par chantonner.

Cette phrase fut probablement la plus grande tragédie de son adolescence.

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Alekseï n’avait jamais été raisonnable. A son âge, il aurait pu choisir de prendre un autre chemin : avoir vie, des études complètes, des amis normaux, des vêtements coûtants la peau du cul, un travail, une sécurité sociale, une énorme télé, une famille, un futur, une carrière... Il aurait pu emménager dans une maison, acheter un canapé en cuir pour s’y installer et regarder des émissions abrutissantes et vides de sens tout en s’enfonçant de la nourriture calorique dans le gosier. Puis il serait mort dans un lit aux draps puants la naphtaline sous le regard de petits connards égoïstes et pourris qu’il aurait lui même mis au monde. Il aurait pu choisir de devenir cadre d’entreprise ou vendeur de petits-pains à 35 ans. En gros, il aurait pu être comme tout le monde. Et il ne voulait pas être comme tout le monde. Pourquoi ? Bah, il n’y a aucune raison. Comment peut on avoir des raisons alors qu’on vit dans un cabaret depuis 16 ans ?

Pourtant, il n'aurait pas du autant perdre de vue son avenir car un jour ou Alekseï était de sortie, La maison close prit feu. Il n'y eut aucun survivant tant la propagation fut rapide.

Avec un léger sentiment de trahison, quelque peu désabusé, Alekseï, du haut de ses 27 ans, s'inscrit dans l'université de psychologie de St. Petersbourg ou il passa exactement deux mois : le temps qu'il lui fallut pour donner un pot de vin conséquent à ses profs et recevoir une licence de psychologue. Une fois cela en poche, il décida de quitter ce pays ou certains le connaissaient un peu trop, d'autres un peu moins... Comme la plupart des mannequins de la maison close où il avait travaillé étaient américaines ou anglaises, il était devenu bilingue sans la moindre once d'accent dans le ton de sa voix.

Sa prochaine destination fut donc très vite choisie : L'Angleterre – et non les USA car il préférait ne pas s'éloigner de cet esprit Européen qu'il affectionnait tant. Profitant de ce changement, Alekseï, avant de partir, refit ses papiers et changea de nom pour quelque chose qui lui convenait plus. Mephistophes Adonaï – sans accent car il le veut anglais. A partir de là il se nomme donc Mephistopheles Adonaï (en réalité un nom à rallonge que tu préfères que je t’épargne). Je te précise, cher lecteur, car tu l’ignores sûrement – c’est un détail assez pédant mais délicieux quand on le connaît – que Mephistopheles est l'un des sept princes de l'enfer. Son nouveau nom de famille ne fait en aucun cas référence à ses racines mais au au juron que prononçait Alice les mauvais jours et qui signifiait « Mes seigneurs » en hebreu – et Dieu seul le sait d'où lui venait cette folle fantaisie.

Courtois et déterminé qu'il est dans sa recherche du maximum de confort, Mephistopheles fut le charme même lors de l'entretient et fut sans hesitation accepté en tant que psychologue à Aisling. Tout dépendra donc de son habilité à ce que personne ne démasque son incompétence.

Votre pseudo.

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Ce qu'il y a de plus ordinaire devient exquis si on le cache.

✔ Age :20 automnes. ✔ Sexe :Changeant. ✔ Avatar : Je crois que c'est un fanart ; mais de quoi ? Mystère. ✔ Comment avez-vous connu le forum ? Partenariat. ✔ Pensez-vous demander un parrain/une marraine ? Non. ✔ Autre chose ? Non plus.