i've found the peace i've been searching for — Coppelia. ★

Messages : 3 Date d'inscription : 28/12/2012 Age : 24

Coppelia Melody Millers ★

SURNOMS Melo, Lolo (breasts are breasts), Lia;
ÂGE 13 ans, tout frais, tout beau, clean, et tout;
ANNÉE seconde année;
ANNÉE D’ARRIVÉE première année;
CLASSE PSY.

I don't see who I'm trying to be instead of me;

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the sweetest perfection of body and mind, the sweetest injection of any kind

C. — "AH. ALLEZ. MONTE LE SON. C'est Bowie, putain."

Elle était toujours animée, par une musique, il y avait toujours une mélodie qui se jouait dans sa tête, toujours quelque chose, triste, joyeux, qui a un sens ou non, parfois, ça l'amenait à fredonner. Mais il y avait toujours quelque chose, une phrase mélodieuse, des mots significatifs, quelques notes éparpillées, des émotions, des sensations. Son âme est toute retournée, elle macère, pétrie par la batterie, salée par les guitares, assaisonnée à coups de basses, jamais elle ne connu de silence à l'intérieur, de la musique, toujours. Seule ou non, chantante ou pas, c'est ce qui la construit, c'est ce qui intimement, construit son humeur et ses envies, émotions et ravive ses sentiments enfouis ou non: c'est sa vie.
Elle est animée par la musique.

***

that's all there is, nothing more that you can feel now, that's all there is

Cette sensation, intime violation du corps, transe entre l'esprit et l'âme, orgasme cérébral, quand une musique, une mélodie, des paroles, des notes, t'imprègnent, tu t'étends et ouvres tes mais, laissant les paumes libres, ton cou laisse tomber ta tête vers l'arrière, bouche entrouverte mimant des paroles, les yeux fermés et la transpiration aux tempes; jusque dans tes pieds tu la sens vivre en toi, comme si ton corps soudainement devenait vivant, tu tapes du pied, tes mains reprennent vie en rythme, la musique, elle t'enivres, tu ne comprends pas pourquoi et encore moins comment, mais tu vis, tu es en vie, tu es épris, transcendé par la musique, elle devient ton âme, ton corps animé par un rythme lourd et rapide. C'est impalpable et incompréhensible, mais c'est comme ça, qu'elle se sent vivre, c'est son ode c'est son sang c'est sa transpiration, quand elle respire, elle inhale du son, et elle recrache des mélodies. Danser ne serait pas assez pour exalter son corps, c'est un transe, c'est un orgasme. Un orgasme auditif, c'est le seul amour et la seule amitié en laquelle elle a envie de croire. Un salut.

***

?. — "Vas-y, tu saoules avec ton Depeche Mode et ton Bowie, casse-toi, t'es bruyante."
C. — "QUOI. T'AS UN SOUCIS AVEC LA SYNTHPOP ? T'AS PAS DE VIE MEC."

Quand on critique ses idoles, elle s'enflamme, et est colérique, elle est impulsive, intenable, insupportable, invivable, une gamine éternelle, elle crie, elle crise, elle ne sait pas être calme, elle s'énerve, c'est chiant. Elle veut frapper mais elle le fait pas, elle joue de la musique et saute partout pour se calmer. Quand on critique sa façon d'être, elle somme à ces douces personnes d'aller voir ailleurs, si elle ne plait pas. Qui s'y frotte s'y pique, s'irrite, ça gratte, ça chatouille. Effrontée. Arrogante. De ce fait, elle est un peu seule, car violente dans sa façon d'aborder le monde, mais sinon, si on ne la critique pas, elle en a rien à cirer, des autres. Les autres, les choses inintéressantes, ceux qui bouge pas, la campagne, les films sans action, les opéras sans morts, les pièces de théâtres sans cynisme, les bouquins sans ironie, c'est chiant, ça la saoule, elle s'ennuie vite, et elle s'en fout de ces choses. D'ailleurs, elle est souvent là, à répéter à longueur de journée "anyway", "nervermind", elle aime pas dire "ta gueule", mais elle le fait vite comprendre, quand ça l'emmerde.

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words like violence, break the silence, come crashing into my little world

?. — "Elle a quoi cette meuf, elle a des sautes d'humeur ou c'est moi ? Bipolaire ? Ou juste crétine ?"

Non non non. Lia n'est pas crétine (quoique !) et pas bipolaire. Elle est multipolairiquement multipolaire, les humeurs y'en a pas une y'en a pas deux, non. Y'en a à revendre. Pourquoi ? La musique. Si elle écoute un truc qui la rend joyeuse, elle sera joyeuse, souriante, elle s'essayera même à l'humour, et l'amour, l'amitié, et tout ce que font les jeunes de son âge. Si elle écoute des trucs plus sombres, ou juste pas joyeux, et complexes, elle sera cynique, ironique, jem'enfoutiste, elle sera insupportable, mais c'est sûrement son versant le plus intéressant. Musique triste, carillons et mélodies de boîtes à musique, et elle sera triste, mais jamais, elle ne le montrera en publique, elle est mélancolique. Tout dépend de ce qu'elle écoute, parfois mignonne, souvent colérique mais quotidiennement trollesquement cynique, c'est une petite boule d'énergie intenable, et incroyable.
Elle passe son temps à regretter ces bons vieux synthé et ces époques de glamrock, souvent rêveuse et à fond sur les années 70 et 80, elle vit pas vraiment dans son siècle, mais dans celui d'avant. C'est ce qui la rend étrange, à côté de la plaque, difficile à suivre. C'est rigolo. Non ?

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you can't say no to the beauty and the beast

Toujours un peu seule, elle n'a jamais trouvée quelqu'un qui arrivait à comprendre cet amour inexpliquable mais non-négligeable qu'elle a pour la musique, quand elle en parle, elle parle dans le vide, sans personne pour l'écouter, car personne n'a jamais eu envie de comprendre. Au début elle pensait, que la musique, tout le monde aimait ça, mais comme elle, elle l'aime, c'est un amour fou, qui rend fou et qui rend bête, mais c'est trop fort chez Lianounette. C'est ce qui l'habite, la construit, la manipule, elle n'est qu'une poupée de bois animée artificiellement par d'habiles rythmes. Les gens écoutent la musique par plaisir, elle, elle l'écoute par nécessité. Et c'est difficile à comprendre. Donc elle est seule, un peu. Ça ne la dérange pas, en plus d'y être habituée ça l'arrange, c'est plus simple pour s'enfermer et se renfermer pour écouter tranquillement ses vieux groupes qui ont ou pas, mal vieillis.
Quand on lui parle, on voit bien qu'elle est maladroite avec les mots, elle a peur de froisser les gens, car elle est froide et moqueuse sur les bords, c'est un défaut qu'elle essaye d’éradiquer, en vain. Mais elle communique très bien quand même. Même si elle communique mieux avec les gens qui aiment la musique, assez contraignant, mais bon. Souvent elle s'essaye à la sympathie, amicale, gentille et conciliante, mais au bout de cinq pauvres minutes, elle finit par se faire oublier, ou être mise de côté quand un camarade arrive pour dire bonjour à la personne avec qui elle avait miraculeusement établi contact. Là, ils se racontent les ragots, parlent de leurs vies respectives et des fêtes auxquelles elle n'est jamais conviée. Elle connait aucun nom que les deux citent, alors démoralisée elle finit par se barrer.

Observatrice malgré tout, parfois on la prend pour une foutue voyeuse quand elle fixe des longues minutes le visage d'un ou d'une camarade, pourquoi ? Elle étudie son visage, la forme de son nez, la taille de son front, la forme de sa bouche, elle essaye de savoir à quoi la personne pense, c'est un peu comme si elle était une violeuse violée d'intimité. La façon dont les gens s'habillent, leur sac, leurs cahiers, tout, elle regarde, sans un mot, divague, fait des hypothèses. Evidemment, elle ne leur parle pas, et ils ne souhaitent pas établir un quelconque contact, mais c'est pas pour autant qu'elle n'est pas intéressée.

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it's just time to pay the price for not listening to advices and deciding in your youth on the policy of truth

?. — "De toute façon, t'es qu'une grognasse de menteuse de gamine de merde. Casse toi."

Elle déteste ça, être rejetée sans raison, ou alors être traitée de menteuse, le mensonge, c'est une bête, un insecte, un mal, une haine, un flux de haine, une paire de ciseaux, un cutter rouillé, une immondice un déchet, elle l'exècre elle le hait, elle s'insulte elle lui crache dessus. Le mensonge, la vérité, ça l’obsède, c'est un mal intérieur c'est une horreur, c'est un monstre créé par les humains, raclure de la société, maladie irrévocable de l'Être humain. Elle en a peur, elle le redoute. Quand on lui parle, quand on lui promet quelque chose, elle n'y croit pas, jamais, elle est craintive, elle est paranoïaque, quand il s'agit du mensonge et de la vérité. Elle même, ment, souvent, parfois, de temps en temps, toujours, jamais. Elle en a honte mais ça lui arrive, ça arrive à tout le monde, d'ailleurs, elle trouve le Père Noël franchement malsain. Le mensonge, sur elle agit comme un plaie ouverte infectée, qui lui tranche le torse en passant par le coeur, et qui parfois, se met à brûler, la brûler vive. Elle exècre le mensonge, quiconque lui ment, risque la peine capitale. Car pour elle le mensonge s'allie à la tristesse. Et la tristesse, est presque taboue. C'est de la pudeur émotionnelle, que de cacher sa tristesse et ses larmes, mais le mensonge, est un mal qui invoque inévitablement la tristesse, quand l'on apprend la vérité. Il ne faut pas lui mentir. Même pour le bien.

***

Multipolaire, multiphobique, multienvieuse, multijalouse, multimerde. Elle est tout elle n'est rien.

Elle aime la musique, plus qu'elle ne s'aime.

Elle hait les gens autour d'elle, autant qu'elle les admire.

Elle est une gamine écervelée, autant qu'elle est une enfant qui a trop vite grandi.

but the key is a question of control;

DON Chant de la Sirène
ETC Hypnotise ou désarçonne l'auditeur? Selon ce que la demoiselle désir, l'auditeur peut obéir, se plier à ses désirs, ou tout simplement se voit totalement obligé de l'écouter, mais dès que le chant s'arrête, le don n'affecte plus l'auditeur, et il retrouve alors son corps et ses esprits. Pratique pour calmer, ou obtenir des choses / secrets / objets des personnes affectées, c'est surtout pour communiquer ce qu'elle ressent que Coppelia l'utilise. Cependant, pas pratique, car les personnes manipulées peuvent éventuellement très mal réagir.
MAÎTRISE Pour l'instant, autour de 25%, au mieux 35%. Il lui est difficile de captiver un large public, et elle ne peut pas tenir plus de 2 minutes et 17 secondes. (chronométré pour l'occasion) Ce qui lui est le plus aisé, c'est faire passer des émotions et des sentiments à travers des paroles et mélodies, cependant, elle arrive très mal à manipuler son entourage, bien qu'elle s’y entraîne avec ardeur.
& ELEM Sans avis, sont un peu péteux, mais on s'en fiche. Elle aime pas trop que certaines personnes se sentent supérieures à d'autres, sans vraiment l'être, mais bon.
& SPE Chelous, mais assez sympas, sans avis, on s'en fout aussi. Ils sont un peu tous trop déjantés, elle a un peu peur de les aborder.
& PHY Bruyants, mais rigolos, sans avis, on s'en triture la nouille un peu. C'est sûrement ceux avec lesquelles elle aurait le plus d'affinité si elle n'était pas sourde à cause de son casque.
& PSY Silencieux, trop sérieux, sans avis, mais ne trouve pas vraiment sa place. Ils l'ignorent, elle les ignore, tranquille.

can you say what you're trying to play anyway ?;

***

I know it's hard to reach you
I know it's hard to breathe
I know it's hard to be you sometimes
I can't imagine what that means

Les parents de Coppelia, ils faisaient pas spécialement de la musique, ils en écoutaient, et ils savaient des choses, il s'étaient rencontrés lors d'un ballet donné dans leur école, Coppélia ou la Fille aux Yeux d'Email, l'histoire d'une poupée, dont le créateur est convaincu qu'elle est en vie. Tous deux avaient pleuré, assis à côté, et il y a eu une petite fille, qu'ils appelèrent Coppelia. Pendant toute sa prime enfance, elle était bercée de mélodies, de concertos et de ballets. C'est pour ça qu'elle est ouverte. Très ouverte. Toute son enfance, à l'école, partout, ses parents écoutaient la musique, tout le temps, dès qu'ils pouvaient, elle vivait ça comme une drogue, tout comme ses parents étaient addicts. Les enfants, autour d'elles, ils n'écoutaient pas vraiment la musique, ou alors des trucs populaires qui n'en pouvaient plus d'être ridicules et sans aucun intérêt. C'est sûrement pour ça qu'elle ne trouvait pas d'intérêt spécifique à aller vers ses camarades du même âge. Elle était souvent rapatriée avec des personnes plus âgées qui l'appréciaient déjà plus. Mais globalement, elle a toujours été un peu isolée, malgré elle. Elle aime les gens mais du fait qu'elle ne prenne absolument pas la peine de parler avec eux, elle ne créé pas de lien. C'est comme ça que s'est déroulée son enfance, et que se déroule sa vie, sûrement. Après, on ne peut nier le fait qu'elle soit une jeune fille agréable, un peu bruyante et qui crie un peu trop, impulsive et surexcitée, mais différente. En plus, au Luxembourg, les personnes sont souvent très coincées, après tout, il y avait ces gens, qui se prenaient pour l'élite, c'est sûrement à cause de cette monarchie, il y a toujours personnes trop fières de leur Duc, et quelqu'un qui parle fort sans aucun tact, forcément, ça fait souvent "tache".

***

This must be someone else's story
I can't follow what you've planned
How could this be about me
I might suppose to understand

Elle parlait peu de ce qu'elle pouvait ressentir, à ses parents, ses camarades, sa maîtresse, n'importe qui, elle était en fait, étrangère à tout le monde. Ses sentiments profonds restaient cachés, simplement car elle ne ressentait pas le besoin de les exposer à la Terre entière, et aussi, car elle n'arrivait pas à parler à ses parents, de cette tristesse qu'elle enterrait chaque jour. C'est qu'elle aime les gens, profondément, ses camarades, elle les adore, elle les observe et les connait par coeur. Eline amenait tous les vendredis son lait concentré à la fraise, car tous les vendredis, elle les passait avec sa grand-mère. David, lui, il avait eu une trottinette, un vélo, ou des rollers à son anniversaire, vu ses blessures quotidiennes. Bref, elle savait qui ils étaient, mais eux, en revanche, ne parlaient jamais avec Coppelia.
?. — "Déjà, elle a un nom bizarre, puis en plus, elle est bizarre, c'est un clown sur pattes. Et elle est pas belle, on dirait qu'elle se coiffe jamais. Pas étonnant que aucun garçon ne veuille sortir avec elle !"

Oppressée, un jour, elle craqua, à sa façon. Devant sa mère, elle pleura, en chantant. Le Prélude de la goutte de pluie, de Chopin.
La brave mère, hypnotisée, se tue, et fixa sa fille, prunelles vides et immobiles, Coppelia pleurait, sans s'arrêter. Comme un torrent incessant, une pluie diluvienne inondait sans honte ses pommettes et roulaient sur ses joues, rendant sa respiration hoquetante, et son front chaud. Elle voulait parler, mais tout ce qu'il sortait d'était que la mélodie. Elle l'avait souvent écoutée, ses géniteurs, aimaient Chopin, spécialement sa mère. Un peu moins d'une minute passa, et le caprice se calma.
La mère, prise de panique, appela son mari. Il demanda à Coppelia, de recommencer à chanter, en vain. Derechef, la tristesse en flots, coula doucement de la bouche fragile de l'enfant, se tordant en sanglots, un caprice digne d'une princesse, qui paralysa le père et fit pleurer la mère de tout son soûl. Un orage violent, frappait de gouttes la petite famille, inondée par des torrents de larmes, sanglots inexpliqués, provoqués par une petite fille ne prononçant pourtant aucun mot. Le chant. La voix. Durant moins d'une minute, le choc fut de courte durée pour les parents. Affolés, ils firent promettre à Coppelia, de ne pas chanter comme ça en public, de ne jamais le faire, de peur de captiver les gens autour d'elle. Hypnose n'était que légère et courte, mais il était dangereux pour la petite fille de s'exposer au regard critique des autres. Il fallait la protéger autant qu'il était possible de le faire.
Elle avait un don, un pouvoir, quelque chose de fou, et secret.

Dans sa vie, elle n'a pu chanter que quelques fois, Prélude des gouttes de pluie de Chopin, ouverture dix-huit, numéro vingt-et-un (la tristesse); la Symphonie numéro neuf de Beethoven, premier mouvement (la colère, et l'hystérie de la joie); la Danse Macabre de Camille Saint-Saëns (l'inquiétude); et des choses moins lourdes de sens, plus populaires. Mais globalement, elle essaye de chanter le moins possible, car ses parents lui ont fait comprendre dès le début, que c'était mal, et malsain.

***

Like a ship on the ocean
Hanging out to sea
You can hardly see it now
It's a lot like you
Lost like me

?. — "Coppelia, dit moi, pourquoi tu prends pas la peine de retirer ton casque pour nous écouter ? Eh, hoh. EH. COPPELIA. 'tain mais..."
C. — "QUOI ? TU M'AS PARLE ? HAH PARDON EXCUSE MOI."
?. — "BORDEL RETIRE TON CASQUE."
C. — "Ah oui, euh, pardon, tu disais quoi ? J'ava–"
Surveillant. — "Mademoiselle Millers. Y'en a marre, c'est la cinquième fois aujourd'hui, tu me suis, je t'embarque au bureau du Principal."
C. — "... J'ai vraiment pas le droit d'écouter dans les couloirs ? Je suis silencieuse pourtant."
?. — "Pas vraiment, Lia."
C. — "Ah ?"
Surveillant. — "On va pas y passer l'après-midi, maintenant, tu me suis, et tu te TAIS."

La tête baissée, en fixant l'horrible carrelage multicolore, Coppelia avançait en ronchonnant dans sa barbe.
Ces carrelages, ils ressemblaient à rien, c'est de l'art contemporain ? Je ne comprends pas pourquoi ils ont choisi des couleurs aussi moches, non vraiment, c'est même pas une mosaïque, c'est une chiasse. La grande chiasse du Grand Duc. C'est l'art gastro-esque du Grand Duc. Ou serait-ce la représentation de son vomi royal ? Quoi qu'il en soit c'est dégueulasse dans l'imaginaire, et surtout, c'est un viol de ma rétine.
Elle décida d'avancer les yeux fermés, elle en avait trop vu, de carreaux aux couleurs carrément crades. Elle n'en pouvait plus, c'était l'overdose. Elle écoutait le surveillant zélé l'emmener une fois de plus dans le bureau du Principal, et elle savait que cette fois elle risquait gros, simplement car ses parents avaient dit à ce Principal, qu'il était un "porc sans aucune fibre artistique ni musicale" et un "sombre arrière-faix de truie ladre". C'était déjà la sixième fois dans ce bureau qui sent le tabac sec, et en aucun cas elle n'espérait s'en sortir. Déjà, elle ne voulait pas faire d'efforts, parce que franchement, ce carrelage, non. Puis elle en avait marre tout simplement. De ce principal, de ces enseignements, de tout. Le surveillant poussa la jeune mademoiselle dans le bureau qui pue.
Et ça puait.

Ce jour là, elle avait chanté la cinquième symphonie de Beethoven, premier mouvement.
Renvoyée. Crise des parents. Elle décida de leur rappeler qu'elle avait un don, un don bizarre, qu'elle n'avait le droit d'utiliser qu'avec ses parents. Car selon eux, c'était un tare, c'était dangereux, ils avaient raison.
Mais elle évoqua cette école. En Irlande. Elle ne se souvenait plus du nom, mais elle en avait entendu parler, ça jasait même plutôt fort en ce moment. Beaucoup d'adultes disaient qu'il s'agissait d'une espèce d'école collège-lycée expérimental auto-géré qui concrètement est un échec, réunissant des échecs de la société pour en faire des futurs échecs. Au bout de quelques semaines de négociations, ils décidèrent de l'envoyer, loin. Les gens du voisinage, acculaient de toute façon trop la jeune fille, elle était mal vu maintenant dans une grande majorité de la ville, et autant dire que vu la grandeur que faisait son pays natal, le Grand Duc n'allait pas tarder à savoir qu'une Luxembourgeoise a fait ses valises pour cette école expérimentale peu reconnue administrativement mais paradoxalement très connue des histoires populaires.

just give me a pain that I'm used to;

PSEUDAL Pooshi – ~~"beL demoisL rechersh 1 mek mortL"~~ fille de la rue, tavu, tavu
ÂGE 17 hivers à mon actif
SEXE manlymoe
AVATAR inconnu au bataillon
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM je le connais depuis freakin longtemps
PENSEZ-VOUS DEMANDER UN PARRAIN/UNE MARRAINE dépend si c'est la bonne fée ou quoi
POURQUOI VOUS ÊTES-VOUS INSCRIT parce que raisons
& j'ai trop mal au dos, bro, je suis une Depeche Mode devotee, imo, can't touch this eeyohaww yeeea. Je suis à la recherche désespérée de mes amis joueurs de Loups-Garous de Thiercelieux. Heeyoo je souis là ♥ KIRA ★

Dernière édition par Coppelia M. Millers le Sam 2 Fév - 0:50, édité 6 fois

**MODO |** I SHIP US SO HARD

Bonjour et Bienvenue ♥

Pour Coppelia il est difficile de voir autre chose qu'un don en rapport avec la musique ou le son c'est pourquoi je te propose CHANT DE LA SIRÈNE comme ça quoi qu'elle chante les gens le fairont. Genre si tu chantes une super chanson comme quoi tu as envie que Truc te donne son repas du midi, bah il le ferra. Bon, une fois la chanson fini, il risque de te taper dessus, mais c'est une autres histoire. Ahah...( Enfin si je me trompe pas c'est ça u.u ) Ou bien ASSURDIATO je cite "Maitriser la portée de sa voix, et faire en sorte que juste la/les personne(s) choisie(s) l'entende(nt). Pratique pour garder une conversation secrète. "

Voilaaaa, les don spé restant ne collait pas a ta demoiselle mais j’espère que cela te plairont malgré tout, bonne continuation.

**MODO |** I wrote this for you.

Bonjour, des nouvelles de la fiche, au moins au niveau du choix du don ? Merci de te manifester sous 7 jours.

Messages : 3 Date d'inscription : 28/12/2012 Age : 24

Bonjour bonjour !

C'est contre mon gré que je ne puis vous donner de mes nouvelles actuellement, pour vous raccourcir mon histoire personnelle au possible du lisible, j'ai eu un déménagement très imprévu suite à des problèmes familiaux importants, et je ne possède à présent plus ni PC, ni box, ni smartphone viable, je vous écris depuis un smartphone aimablement prêté.

Si vous auriez l'indulgence de laisser ma fiche en suspens, car je n'aurais pas internet avant une vingtaine de jours voir plus, et je ne peux rien faire de plus que de vous avertir, et je ne puis continuer la fiche convenablement sans PC à ma disposition.

Je m'excuse pour cette gêne, mais je ne contrôle rien dans cette histoire, mes plus humbles excuses, et je vous en suis déjà reconnaissante de ne pas avoir supprimé ma fiche.

PS: Je ferai communiquer mon choix de don via Marc Folio, ça passera via mon petit-ami, vers Marc vers vous, en espérant que le téléphone arabe ne sera pas soumis à l'échec !

Messages : 3 Date d'inscription : 28/12/2012 Age : 24

Guess whaaat.
J'ai internet et un PC, j'édite mon message et parlemente avec moi-même pour le don, je reprends l'activité !
Désolée pour l’incident totalement imprévu !

EDIT: /graouh/
Pour moi ça sera définitivement le chant de la sirène, plus fun, plus exploitable, et Coppelia ayant du mal à "discuter sans vexer les gens" ça serait mieux. Et de toute façon, ce n'est qu'un stratège pour vous lyricspam en toute légalité.

Je continue la fiche youhouhou youplala boomboom. <3

EDIT II, le retour: J'ajoute un début d'histoire que je vais retravailler histoire de vous montrer ma bonne volonté, je suis mignonne, hein. C'est écrit très différemment, selon les parties, je reprendrais quand j'aurais l'inspi, d'ici quelques heures / jours.