Les parents d’Elsa se sont connus jeunes. Tous deux étaient issus de familles aux antécédents "nobles". Ils s’entendirent très bien et c’est ainsi que leur fille est née dans un village près de Norwich, dans l’est de la Grande Bretagne. Celle-ci vécu une enfance heureuse, suivant les conseils de ses parents. Fille plutôt sage, elle avait malgré tout son caractère.  Durant l’année de ses sept ans, ses parents voulaient qu’elle renonce à certaines amitiés que ses parents jugeaient comme étant issues de "Basses classes". Son père était vraiment radical là-dessus. Etant la seule famille noble dans la région, selon lui, elle devait attendre de trouver ailleurs quelqu’un de son rang. En attendant, elle serait une jeune fille au-dessus des autres. La jeune fille ne voyait pas pourquoi elle devait se séparer de ses amis, surtout de William, le garçon dont le père travaillait à l’usine proche de là. Le problème était que cette usine appartenait aux Von Berger. Le père du jeune William fut licencié le jour-même où Elsa accepta, après maintes fois où ses parents avaient insisté, à ne plus parler à William et à le voir le moins possible. En échange, elle obtint la promesse de ses parents de lui prendre des leçons de piano. Le piano est un instrument qui l’avait toujours intéressée et ainsi, elle espérait ne pas trop se sentir seule. Le lendemain, William s’énerva contre elle à cause du licenciement de son père et elle fut contrainte de lui répondre : "Ton père devait avoir fait une bêtise. Ne me parle plus, nous ne sommes pas du même monde". Le garçon lui cracha au visage et plus un seul mot ne fut échangé entre eux. Le piano remplaça cette amitié et ainsi Elsa rentra un peu plus dans le moule qu’avaient prévu ses parents ; ce moule dont eux-mêmes étaient issus.

Ainsi la vie d’Elsa s’épanouit avec la beauté de la musique. Elle était une prodige du clavier, mais ses parents n’en avaient cure et ainsi elle resta avec un professeur d’une petite école de musique alors qu’elle aurait pu prétendre aux plus grands conservatoires. Cela, la fillette n’en avait pas conscience. Son père rabâchait sans cesse qu’elle faisait honneur à sa famille et à ses aïeux, mais ce n’est pas par rapport au piano qu’il disait cela. Il s’agissait uniquement sa prestance, de ses manières. Il faut avouer que la jeune fille était partie pour devenir peut-être une grande beauté et ses manières s’approchaient de celles qu’on considérait il y a quelques siècles comme les dames de la cour.

La vie était paisible. Ce ne fut qu’à 12 ans qu’Elsa se fit gronder sévèrement pour la deuxième fois : ses résultats scolaires étaient bons, mais pas satisfaisants. Il fallut redoubler d’efforts mais ses parents ne la lâchaient jamais sous prétexte qu’elle n’était pas la meilleure de sa classe. La jeune fille fit des efforts encore et encore, même si elle n’avait jamais été très travailleuse : plutôt intelligente, elle n’avait jamais eu à beaucoup travailler. Elle remonta ses notes mais lors d’une séance de travail où elle était énervée contre un problème, son père fut témoin d’un phénomène étrange : l’ombre de sa fille bougea sans sa propriétaire. Ce mouvement était très léger, et on aurait pu croire se tromper, mais il y avait un précédent dans la famille.

Suite à cela, Elsa eut un tête à tête avec son père :
"Vois-tu, ma fille, notre famille vit ici depuis des siècles. Ta mère vient de la noblesse d’ici, mais mon aïeul a traversé la manche. Il venait d’Allemagne et s’est installé ici. Le lieu n’avait pas été choisi au hasard. On disait la région maudite et personne ne voulait s’y installer, mais, lui, a fait construire notre manoir en haut de cette colline. C’est peut-être ce jour-là que nous avons eu le nom Von Berger mais aucun écrit de notre famille ne mentionne un autre nom. Quoi qu’il en soit, il découvrit bien plus tard que son sang avait une affinité avec la magie de ce lieu.
-De la magie ? Mais la magie n’existe pas.
-Cela nous n’en sommes pas certains, je te dis ce que je sais des livres, nous en avons toute une bibliothèque. J’ai bien tenté certains sorts à partir des quelques grimoires présents mais rien ne s’est passé. On dirait que je n’ai pas ce qu’il faut pour le faire. Quoi qu’il en soit, parmi les écrits, on dit que notre aïeul agissait sur les ombres. J’ignore ce qu’il leur faisait, mais les rituels indiqués dans les grimoires ont des mentions parfois "testé" et d’autres fois "théorique". J’ignore si notre aïeul était fou et ses descendants ont gardé ses écrits tels quels ou si sa magie a vraiment existé, mais j’ai vu l’autre soir…
-Oui ?
-Ton ombre a bougé sans toi.
-Quoi ?
-Crois-moi, je sais ce que j’ai vu. C’était inconscient mais tu as interagit avec cette magie qui dort sous nos pieds ! "

La discussion se termina en très peu de temps. Elsa fouina dans les livres, des magies qui parlaient de faire différentes choses. Plus de neuf magies sur dix étaient indiquées comme théoriques. Cela allait du déplacement d’objets par déplacement de son ombre aux meurtres d’ombre tuant ainsi leur propriétaire. Tout cela passait par plein d’autres sorts tout aussi aberrants parlant de résurrection, de possession. La jeune fille n’y croyait pas. Elle prenait son aïeul pour un fou. Elle était cependant inquiète pour son père. Il est vrai que sa mère était tombée malade quelques jours plus tôt, mais ce n’était rien de grave.

Une semaine plus tard, le père d’Elsa appelait les urgences, mais il était trop tard. Madame Von Berger était morte, laissant son mari et sa fille. L’origine de la mort semblait être une insuffisance cardiaque, mais rien n’expliquait la raison de cela. Le drame plongea le reste de la famille dans la tristesse et bien qu’Elsa fit son deuil en quelques mois, son père, lui, ne le fit jamais. La jeune fille assista à la déchéance de son père pendant 3 ans, mais cela ne la touchait pas. Elle se plaisait à ne plus être embêtée pour le travail, bien qu’elle obtint généralement des notes supérieures à la majorité des élèves. Elle n’avait pas besoin d’être la meilleure. Elle était meilleure que ces "premiers" dans d’autres domaines. Le piano était son meilleur ami, les autres n’étant qu’une façade affichée. Elle avait retenu la leçon de son enfance : une amitié réelle ne se construit pas sur des jeux ou une aide sur des matières scolaires parfois inintéressantes. Il y en avait bien deux qu’elle appréciait, dont la compagnie faisait du bien, mais ce n’est pas pour autant qu’elle leur ouvrait complètement son cœur. De plus, l’état de son père montrait qu’il n’était pas fort. Il avait peut-être le sang noble, mais pas la force nécessaire pour clairement être au-dessus des autres.

Elle apprit que sa mère avait laissé un testament mais qu’il ne concernait que son sort en cas de mort de son père. Elle n’en avait cure, puisque son père était vivant… à ce moment. Elle était dans la première moitié de ses quinze ans lorsque l’incident survint. L’événement fut couvert par le journal local, mais il ne fallait pas compter sur le national. La famille n’était pas très connue, et de toute manière pas en bien. L’article expliquait ainsi ce qui s’était passé :
"Dans le manoir des Von Berger s’est produit un drame. Les secours, appelés par la fille de la famille, trouvèrent celle-ci avec une plaie béante au ventre. Son père, seul autre membre encore vivant de la famille, fut retrouvé mort de multiples coups de couteau, dont un au cœur. A côté du cadavre du père, nous avons trouvés des marques de ce qui semble être un rituel sataniste, plein de sang et de ce qui semble être des livres brûlés, ainsi qu’un autre cadavre dont l’identité est encore inconnue. La piste envisagée est donc celle d’un psychopathe sataniste qui en voulait à la famille. La jeune fille blessée est actuellement à l’hôpital. La police a refusé de nous dire lequel pour qu’elle ait du repos, mais nous a assuré que malgré la gravité de la blessure, les médecins l’ont sauvée : ses jours ne sont plus en danger"

On ne retrouvera jamais le psychopathe ayant commis le crime. Elsa pu sortir de l’hôpital quelques mois plus tard. Tout son corps fonctionnait à merveille et se situait dans la moyenne d’une fille de son âge et de sa corpulence. Grâce au testament de sa mère, toutes les entreprises de la famille furent vendues à des propriétaires consciencieux et une infime partie des bénéfices de chaque entreprise reviendrait encore à Elsa pendant cinq à dix ans selon les entreprises, ceci pour lui assurer un avenir dans les études et un bon départ sur le marché du travail. Cependant, au retour du dernier Von Berger au village, les habitants n’étaient pas ravis. La plupart des entreprises proches appartenaient à cette famille autrefois et avaient donc changé de propriétaire. Des plans de restructuration avaient causé du tort à certains. Seule l’hostilité accueilli Elsa chez elle. Seule avec son piano, elle resta ainsi pendant une semaine à ne sortir que pour s’acheter à manger et subissant chaque jour la visite de son tuteur légal désigné par sa mère, qui venait vérifier qu’elle se portait bien. Le testament de sa mère prévu pour lui faire du bien avait également son revers.

La situation n’étant plus tenable, un déménagement s’imposa ; un déménagement loin de ce manoir plein de souvenirs, de ces villageois hargneux. La destination choisie fut l’Irlande, dans la pointe au sud-ouest du pays, près de la mer. La maison trouvée était spacieuse pour elle, mais rien de démesuré, comparé au manoir dans lequel elle avait passé son enfance. Elle s’installa, prit ses aises. Elle rencontra ainsi Martin, qui deviendra la première personne depuis la tragédie à lui être sympathique, mais pas au premier abord. Lors de l’emménagement, elle descendit de voiture avec ses lunettes de soleil et son chapeau. Elle avait toujours été un peu sensible aux rayons du soleil, mais l’incident avait fortement renforcé ce trait chez elle. De plus, les lunettes de soleil avaient l’avantage de cacher ces yeux vairons qui mettaient tout le monde mal à l’aise. Lorsqu’elle suivit les déménageurs transportant le piano avec moult précautions, un homme dans le jardin voisin la héla :
"Oh c’est donc vous qui emménagez ici !
-Indéniablement.
-Je suis Martin Cooper, retraité ; ravi de vous rencontrer, mademoiselle… ?
-Moi de même "

Les mots étaient à l’opposé du mépris à peine dissimulé de la jeune fille. Elle avait d’autres pensées que celles d’un vieillard aimable. Elle devait veiller à l’emménagement, que tout aille là où elle l’avait prévu. Une fois tout placé, la jeune fille put se reposer, et après avoir fait venir un accordeur, put reprendre le piano, afin de passer le temps, de penser à autre chose que son passé. Bien qu’elle ait raté une année scolaire presque entière, elle avait étudié et continuait régulièrement à apprendre par elle-même. Quelqu’un venait non plus une fois par jour, mais une fois par semaine, par la demande de son tuteur, vérifier qu’elle allait bien, continuait à étudier, en attendant de lui trouver un établissement dans lequel elle pourrait se sentir bien. Cette personne râlait régulièrement que l’endroit était trop sombre. De fait, les volets n’étaient jamais ouverts plus que ce qu’il fallait pour laisser entrer quelques faibles rayons de lumière, provoquant une pénombre dans laquelle on pouvait se déplacer, mais pas lire ou distinguer des détails. La seule lampe qui était parfois allumée à moins d’un mètre d’Elsa était celle qui servait à éclairer les partitions sur le piano.

Ce fut un après-midi où elle sortait faire les courses que Mr Cooper l’appela :
"Hey, bonjour mademoiselle Nocturne ! "
Elle s’arrêta et le silence se fit entre les deux personnes pendant dix bonnes secondes avant qu’elle lui demande :
"Pourquoi m’appelez-vous ainsi ?
-Vous avez refusé pendant ces trois semaines de me dire votre nom. C’est à peine si vous m’adressez la parole. J’ai donc du trouver un moyen de vous appeler. C’est mieux que mademoiselle.
-Mais pourquoi Nocturne ?
-Je vous entends jouer du piano, vous savez. J’ai beaucoup entendu de nocturnes, particulièrement de Chopin. Le numéro deux hier, si je ne m’abuse.
-Effectivement.
-… et le numéro vingt aujourd’hui, c’est cela ?
-Oui. Vous vous intéressez à la musique ?
-J’ai joué beaucoup de piano étant jeune. Je voulais en faire mon métier mais je n’étais pas à la hauteur de certains pour les concours. C’est donc un projet que j’ai du abandonner. Puis-je avoir votre nom à présent ?
-Elsa Von Berger, mais continuez à m’appeler Nocturne, s’il vous plait. J’aime ce surnom.
-Soit, eh bien bonne journée, mademoiselle Nocturne. Je vous conseille les pommes au marché, celles de cette récolte sont particulièrement juteuses. "

Et ainsi Nocturne se prit à apprécier ce vieil homme et à discuter avec lui. Il lui fournit des partitions de piano qu’il avait gardées, notamment les Tableaux d’une Exposition, de Mussorgsky. C’est en jouant cet ardu morceau que, sans s’en rendre compte, la jeune fille se faisant appeler maintenant Nocturne utilisa pour la première fois ce don qui lui vaudra une vie particulière. Elle ne s’en rendit même pas compte, concentrée comme elle était sur son morceau, mais la brise passant par la fenêtre ne ressortait pas de la maison car elle avait été absorbée. Personne ne le sut, sauf une plume, dans un bureau. Un nom fut inscrit sur une liste, et une lettre envoyée.

Il était inhabituel que Nocturne reçoive quoi que ce soit d’autre que des publicités ou factures dans sa boîte aux lettres. Elle ouvrit l’enveloppe, lut les quelques lignes sans trop comprendre l’exact contenu. Elle nota le nom de l’école et se fit la promesse d’aller y faire un tour. Ce n’était pas si loin, tout au plus une demi-heure de route en voiture, un peu plus avec d’autres transports qu’elle pouvait emprunter sans chauffeur privé.

Le lendemain, elle se prépara, soigna se tenue. Ses cheveux noirs, quoiqu’un peu rebelles, étaient coiffés soigneusement sur le long de la tête, avec un nœud du côté gauche. Sa peau pâle faisait ressortir les yeux vairons, mais même si du maquillage pouvait cacher cela, elle aimait ses yeux. De toute manière, ceux que cela dérangeait n’étaient généralement pas dignes d’attention. Son visage était souvent qualifié de joli ou mignon, mais pas assez pour attirer l’attention. C’est une beauté presque banale. Sa robe sombre avait un col à dentelle en U qui laissait voir un autre tissu en-dessous avec un nœud pour décorer. Cette robe, bien que large, mettait un peu en valeur la silhouette de Nocturne. Celle-ci avait un corps fin, mais aux formes indéniablement féminines. Elle n’avait pas ces rondeurs opulentes qui font sourire béatement certains mâles, mais elle restait plutôt séduisante, selon les critères normaux. En clair, on pouvait dire que Nocturne avait du charme, sans être un canon de beauté, et cela lui convenait parfaitement.

La jeune fille, une fois satisfaite de ce qu’elle voyait dans le miroir, se rendit à Aisling pour s’informer. On lui expliqua la nature de l’école et la preuve des dons lui fut exposée. Peu de temps après, elle rentra chez elle et réfléchit. Après un temps pas aussi long qu’on aurait pu l’attendre, elle informa son voisin et celui chargé de s’assurer de son bien-être qu’elle serait beaucoup moins souvent chez elle car elle reprenait le rythme scolaire.

Bonjour, et bienvenue.

Hum, je suis désolée, mais en fait j'ai du mal à faire ressortir des traits de caractère assez développés pour choisir un don de tout ça, en ce que ça parle plus de son passé et de ses habitudes de vie ; s'il est possible de modifier, en laissant peut-être ça pour l'histoire et en développant la miss à côté ? Merci.

Bonne continuation sur le forum.

En fait je vois très bien mon personnage, son caractère, tout ça, mais je n'arrive pas à vraiment l'exprimer par des mots... Je vais essayer de m'y recoller, mais je ne promets rien.

Pour ce qui est des détails relatifs à son passé, je ne fais que quelques allusions. J'ai déjà l'histoire (pour la partie non-influencée par le don) qui fait presque 4 pages Word.

Préviens quand tu auras fini que je repasse. /o/

Voilà, après quelques conseils, je suis parti d'une autre manière.
J'espère que ça ira !

Bon, c'est déjà un peu mieux, donc je peux te suggérer, disons, la complexification (par exemple, un "2+2=" deviendra une équation complexe, etc ...) ou, parce que je la vois quand même bien en ELEM, éventuellement l'absorption d'éléments ?
Autre question, ses yeux sont vairons vert & rouge ? Je ne suis pas sûre qu'un oeil rouge naturel soit possible (elle serait partiellement albinos, enfin je ne sais pas trop ... dans le cas d'albinisme partiel elle aurait quand même des problèmes avec le soleil, tout ça, je pense, non ?)

Pour le don, je vois plus l'absorption des éléments que la complexification. Je veux bien une description détaillée du don pour être sûr de ce que je pourrai mettre plus tard dans mes textes.

Pour les yeux, l'image a été assombrie pour l'avatar, l'image de base est ici : https://2img.net/h/oi47.tinypic.com/m9vk7l.jpg
L'oeil gauche (à notre droite) est couleur noisette (l'autre est bien vert).

Nocturne est assez sensible au soleil, mais pas de manière dangereuse. Un soleil fort en plein été sera plus difficile à supporter pour elle que pour la moyenne des gens, mais rien de pathologique. C'est une petite gêne, rien de plus.

Ok ok. /o/
Quant aux précisions, je me cite :

Citation :

L'absorption d'éléments, en fait, c'est un peu pour enquiquiner les autres elem. Sixtine t'envoie une gerbe de flammes, pouf, tu l'absorbes. Un coup de vent, pouf, tu l'absorbes, plus de vent. Après, il y a un côté sur lequel il faut que je me renseigne et j'édite pour t'expliquer.
Non seulement le don permet l'absorption, mais, avec de la maîtrise, le stockage - temps plus ou moins long également selon la maîtrise - et donc le "renvoi" plus tard.
Tout comme le convertisseur d'élément, l'absorption ne vaut que pour les quatre bases - l'eau, l'air, la terre, le feu (sous leurs différentes formes le cas échéant.) !

Dernière vérification : Ce don peut-il permettre d'absorber des éléments qui ne sont pas créés par une autre personne possédant un don, mais quelque chose existant dans la nature ? (exemple : la flamme d'une allumette, une flaque d'eau, un vent fort, etc...)

Vu son histoire, bien sûr Nocturne ne contrôlera rien ou presque, mais je préfère avoir toutes les cartes en main, notamment pour l'histoire détaillée.


EDIT : relations faites, je donne l'histoire (partiellement rédigée déjà xD) dès demain ; après-demain si la flemme.

Autant les éléments produits par les autres élémentaires que ceux déjà existants. /o/

Voilà, j'ai posté l'histoire. J'ai laissé des parts de mystère par-ci par-là. Si certains passages ou autre chose sur la fiche pose problème, il ne faut pas hésiter à me demander (si possible par MP).

ohhh, c'est assez tragique, dommage. Je vais te demander d'estomper ça serait chiant pour toi mais bon. >ww< Bon quoiqu'il en soit, j'ai une petite précision à faire : en principe, ses parents sont morts quand elle était mineure donc elle a dû avoir un tuteur légal hein ? jusqu'à sa majorité, tout ça. (j'ai peut-être mal compris et tu l'as peut-être mentionné mais au cas où)
Bref le cas échéant je te laisse rectifier ça ou me dire que c'est déjà fait et je repasserai vu que la fiche est en tout point satisfaisante autrement.

Je n'avais pas fait attention au côté juridique de la chose. Effectivement, la "personne chargée de vérifier qu'elle va bien" a été désignée comme tuteur légal par la mère dans le testament de celle-ci.

Bien qu'il y ait un côté un peu tragique à l'histoire, Nocturne n'en n'est pas à pleurer. Elle a fait son deuil et vit bien comme ça. Les épreuves traversées font ce qu'elle est au niveau caractère, j'aimerais garder l'histoire telle quelle si possible.

Ok, c'est noté. :3
Oui, je m'en doute, pas de problème à ce niveau. Je valide donc ! N'oublie pas d'envoyer ton secret par MP à Bonnie.