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 THE PRETENDER.

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Tristan B. Evans
THE PRETENDER.  Rangphy
Tristan B. Evans

Messages : 42
Date d'inscription : 01/09/2012
Age : 29


It's a kind of magic.
Age du personnage : la majorité
Nationalité: irlandaise
Relationship:

THE PRETENDER.  Vide
MessageSujet: THE PRETENDER.    THE PRETENDER.  Icon_minitimeSam 1 Sep - 14:13


THE PRETENDER.  Renard10
tristan bertie evans
I'M FEELING ROUGH I'M FEELING RAW IN THE PRIME OF MY LIFE
THE PRETENDER.  33110 THE PRETENDER.  Musica10SURNOM twister
ÂGE 18 ans
ANNÉE 7ème
NATIONALITÉ irlandaise
ARRIVÉE en 1ère année
DON vue surdéveloppée
CLASSE physique

yeah it's overwhelming but whatelse can we do
GET JOBS IN OFFICES AND WAKE UP FOR THE MORNING COMMUTE ?

Lointaine déjà lui semble l'époque où il faisait jouer ses sourcils et ses fossettes devant son miroir pour avoir l'air le plus crédible possible. Il étudiait ses mains. L'index est accusateur, l'annulaire élégant, le majeur outrageux. Croisées, elles sont la détermination, et mobiles, la nervosité. Il a repéré jusqu'au pouvoir de son grain de beauté sur la joue qui amplifie son rire ou adoucit son sourire. Tristan n'est pas un comédien, il n'est pas assez honnête pour l'être. Faire la comédie, c'est accepter que l'on joue quelqu'un d'autre et se dissocier de soi. Mais lui pense qu'en feignant, il ne montre que sa nature la plus vraie. Il n'y a pas de vrai Tristan Evans. Il y a le Tristan bavard comme une pie, malin comme un singe, rusé comme un renard, gai comme un pinson : Evans est un patchwork d'animaux qui se camoufle dans la jungle de la société de ses semblables. Il paraît que Tristan rit beaucoup, qu'il ment comme il respire, qu'il trouve toujours un moyen pour s'incruster à chaque fête, qu'il se tape de mauvaises notes alors qu'il est brillant et caetera mais tout ce qu'on peut retenir de lui est contenu dans le pire vice des hommes et la pire gâterie de l'âme, la lâcheté. Elle s'insinue sans prendre le nom de la peur et corrodant toutes les autres qualités de Tristan, puisque oui, il en a bien, seulement ce sont des broutilles qu'il a préféré stratégiquement écarter de son chemin. On le dit intelligent ? Il préfère simuler la désinvolture puérile. La lâcheté, voilà pourquoi il bombe des murs, lance des ballons d'eau, arrose le sol d'huile et balance des tartes à la crème pour s'enfuir en courant et tout mettre sur le dos de Kyle. Tristan, si entreprenant, si brave, si extraverti, et si lâche, continuant à jouer du pipeau à droite et à gauche alors que tout le monde connaît sa nature; parce qu'il n'a là que sa seule arme pour défendre sa peau. Il a toujours été du côté des paresseux, des faibles, parce qu'il n'avait jamais eu le goût de se battre comme les autres garçons, et c'est ce qui l'a conduit à échafauder tant de stratagèmes pour éviter de faire face à ses démons. Toujours à sauver sa petite personne et à s'enfuir dès qu'il peut après avoir tourné comme une mouche agaçante autour des oreilles des prédateurs. Et pourtant ce Tristan égoïste se revendique comme membre à part entière de la solide famille des physiques ! On ne peut pas le saisir. Il a tant répété devant son miroir, la joie spontanée, la douloureuse tristesse, la magnifique fureur, que ses expressions les moins vivantes sont certainement les plus sincères. Il simule les extrêmes, le rire aux éclats ou l'insolence suprême, mais ce qu'il pense est tout en nuances : on peut dire que ses réflexions sont un léger biseau qui entraînent le dessin d'angles immenses. Il se veut détaché, observateur, épicurien, seulement voilà : il se veut et non il veut être. Toute la volonté d'Evans réside dans cette obsession à détacher l'être et le paraître comme deux jumeaux siamois qu'il aurait minutieusement disséqués avec froideur. Mais à priori Twister préfère faire la fête plutôt que d'exposer ses découvertes biologiques à la face du monde. 

spinning infinity
WE'VE GOT THE VISION NOW LET'S HAVE SOME FUN

DON UNE VUE DE FAUCON, FRÈRE
DESCRIPTION Qui n'a jamais rêvé de voir l'infime détail de chaque étoile dans le ciel, ou de pouvoir compter les grains de poussière posés sur le tapis ?
MAITRISE Chaque jour où il s'exerce, il affûte sa vue. Peut-être que dans soixante ans se verra-t-il lui même de dos en scrutant l'horizon.
TRISTAN & LES PHY < je les adore. ils sont ma famille haha ! > s'il n'en pense pas vraiment un grand bien - il les juge irréfléchis, impulsifs, incapables, idiots, en somme - il ne peut pas nier qu'il est parfois heureux, avec eux.
TRISTAN & LES PSY < ah les tarlouzes ! > ils sont intéressants.
TRISTAN & LES ELEM < oui ceux qui ont un balai dans leur cul ! > Tristan leur voue un mépris particulièrement rancunier.
TRISTAN & LES SPE < des pirates ? > il n'en pense pas vraiment grand chose.

THE PRETENDER.  Tumblr16 THE PRETENDER.  Tumblr14
THE PRETENDER.  Tumblr10 THE PRETENDER.  Tumblr18
i'll miss the comfort of my mother
AND THE WEIGHT OF THE WORLD

Andrew, tu ne vas pas en croire tes oreilles. Souvent Tristan commençait ainsi la discussion lorsqu'il appelait son cousin à l'autre bout du monde.
Vas-y.
J'ai été élu chef du comité des élèves, et le pire c'est que ma partenaire est folle de moi. Elle s'appelle Nelly et on dirait un top-model. Oh et tu sais, le type le plus riche d'Aisling, eh bien je l'ai arnaqué au poker et je me suis acheté une rolex avec ce que j'ai gagné. Et hier un gamin a failli se noyer alors je me suis jeté à l'eau et je l'ai sauvé. Fou hein ? 
Complètement fou. Andrew rit, et Tristan ne savait jamais s'il riait parce que c'était effectivement incroyable et qu'il avait deviné que son parent irlandais ne pouvait avoir de vie aussi palpitante. Et après qu'est-ce qu'il s'est passé ?

Il se réveilla avec les mains attachées dans le dos et la tête couvert d'un sac en toile, comme dans un vrai film de gangsters. Le tissu était dense et ne lui permettait de rien voir. Sa chaise était encore froide et il avait mal à la tempe; il en conclut que peu de temps s'était écoulé depuis qu'on avait l'assommé et fait asseoir là. Il était donc encore à Aisling et à priori ses ravisseurs le connaissaient puisqu'il avait l'impression d'être seul et qu'étrangement ils n'allaient pas le garder bien longtemps. Il réfléchit deux secondes. Cette scène était plausible dans une telle école, se dit-il très simplement, au premier abord. On pourrait s'étonner de la froideur des réflexions d'Evans, mais en considérant ce garçon de quinze ans d'un peu plus près, on aurait vu que c'était là sa manière de faire de toujours et que son sang-froid ne se troublait pour si peu.
C'était ennuyeux, pensa-t-il très bêtement. Tristan s'attendait bien un jour ou un autre à un tel scénario, mais il avait tout de même tout mis en œuvre afin d'éviter une telle formalité. Il pensa à ce qui pouvait lui arriver : ils allaient manifestement le tabasser pour se venger d'une de ses manigances, et peut-être lui servir un discours pour lui ordonner de ne jamais recommencer. Oui, c'étaient sûrement des psychiques qui se vengeaient avec bassesse d'un de ses petits tours de passe-passe de rien du tout – que c'était puéril, de faire tout un plat d'une blague de Tristan – et puis le faire partir. C'était vraiment ennuyeux. Il savait alors qu'il fallait prendre un ton craintif - une voix trop téméraire était synonyme de coups de pieds dans l'estomac :

Qui c'est ? Qu'est-ce que vous faites là ? Pitié, libérez-moi ! Je n'ai rien fait je vous le jure ! Dites au moins qui vous êtes ! Je suis sans défense, s'il vous plaît ! 
— Ta gueule, Tristan, on connaît tes trucs.

Celui qui venait de parler lui ôta le sac de la tête.
Tristan entrouvrit sa bouche.
King, King en personne, la terreur d'Aisling se tenait devant lui et allait le cogner avec ses propres poings.
Et brusquement Tristan eut peur pour de vrai. 
L'idée seule de se recevoir une raclée de King lui glaça le sang et il eut envie même de sangloter pour se faire épargner - mais il savait que ce monstre sanguinaire resterait de marbre devant les complaintes du rouquin :

Kyle ! Je t'en supplie ! On se connaît toi et moi ! S'il te plaît ! Nous sommes dans la même classe, on est frères toi et moi ! 
— Ferme-la.

Le premier coup de poing de Kyle lui coupa le souffle. Alors il s'imagina déjà sur son lit à l'hôpital avec un désespoir singulier, bleu de partout, avec un cocard, les incisives brisés, la peau gonflée et meurtrie, le nez cassé, les cheveux tondus, les oreilles coupées, la langue sectionnée, les ongles arrachés ; son corps serait recouvert d'une épaisse couche de plâtre, comme une momie qu'on s'apprête à enfermer dans son tombeau et il ne sentirait même pas l'odeur du jasmin qu'on aurait posé là pour le consoler d'être fini. Il eut pitié de lui-même et commença à regretter tous ses actes passés, à l'instar d'un homme prêt à mourir, et se recueillit deux instants en lui-même.

— Je propose un marché Evans, tu bosses pour moi.
On appelle ça du chantage ! 

Le portable dans la poche de son pantalon se mit à vibrer et instaura un silence embarrassant. C'était sûrement Andrew qui l'appelait encore pour lui parler de mondialisation ou de socialisme primitif - oui, avec le décalage horaire, il était bien trois heures du matin à New York, c'était sûrement ce crétin fini. MacNeil se pencha sur lui et alluma l'écran du portable pour vérifier que Tristan n'avait pu avertir personne. Celui-ci l'observa longuement. Kyle croyait pouvoir imposer un marché à sens unique : c'était apprendre à faire la grimace à un vieux singe. Tristan s'étranglait d'indignité. Comment oser essayer de rouler celui qui se pensait le plus rusé et le plus démagogue de toute la faune d'Aisling ? C'était comme essayer de tendre un piège à maître Renard. Il n'était pas bien loti, pour l'instant, bien vrai, mais aussitôt qu'il aurait les membres défaits, il courrait vers ses alliés stratégiques pour enclencher une riposte. Il y a une chose que l'on négligeait chez Tristan : à force de sourire à gauche et de faire rire à droite, il avait une sorte d'armée de protecteurs qu'il pouvait liguer les uns contre les autres. Et c'est bien en vue d'une scène comme celle-ci que Tristan avait entrepris la lourde tâche de caresser tout le campus dans le sens du poil. Il avait eu le flair et avait minutieusement couvert ses arrières comme l'oiseau qui construit son nid brin par brin, toute relation et toute amitié étant précieusement posée dans le cercle stratégique des alliances. On ne soupçonnait jamais Evans derrière ses tricheries aux parties de cartes et ses plaisanteries mesquines, il avait tout prévu. Il avait listé avec le zèle d'un orfèvre les élèves susceptibles de pouvoir s'attacher à lui ou au contraire ceux dont il pressentait l'antipathie. On ne se rend pas compte de tout le travail qu'un farceur à priori irresponsable comme Tristan peut impliquer s'il est vraiment décidé à assurer son corps contre tout dommage physique. Tristan avait vraiment tout prévu, si jamais les Psychiques voulaient le traquer, les Spéciaux le coincer et les Élémentaires l'évincer, il était protégé contre les princes de cette classe et contre la racaille de celle-ci ; mais jamais il n'avait pensé à Kyle MacNeil.
À ce stade-là, tout était perdu de toute manière : tous les chemins mènent à l'hôpital général de Dublin.

— Tu flippes comme une gonzesse.

Et comment.
Kyle avait suffisamment observé Tristan pour en retenir qu'il allait flatter tout le monde pour se préserver des coups essentiellement. Evans devait être à ses yeux un trouillard de premier ordre, une poule mouillée qui allait ramper aux pieds de qui voulait bien lui offrir sa protection – Tristan lui-même appelait ceci de la diplomatie.
Il avait toujours envié Kyle MacNeil. Jamais à son esprit la vie ne pouvait être aussi tranquille que lorsqu'on possédait les muscles et la réputation de King. Personne n'allait lui chercher des ennuis, que ce soient les chiens belliqueux ou les oiseaux de parade de la sorte d'Evans, et il avait le champ d'action entièrement libre. Ce qui était loin d'être son cas, obligé de mentir pour trois sous alors qu'il aurait pu, lui aussi, tout régler par coups de poings. Il rêvait de pouvoir faire comme King. Dire son nom et voir le peuple entier s'effondrer à genoux pour le laisser défiler : ç'aurait été très beau. Mais Tristan faisait partie des gens qui allaient au panthéon pour contempler les statues des dieux de la guerre comme King ou des reines par hérédité comme McQueen.

Ccc'est pas dma faute... Tristan s'était mis à pleurer.

Kyle le gifla d'une force spectaculaire.

— Silence !

Tristan se tut subitement.
Kyle dégageait un charisme d'une telle puissance qu'il ne put rien rien dire : et depuis des mois il ne trouvait rien à dire, rien à jouer, rien à simuler. Il ne pouvait pas faire la comédie avec King.
Le roi d'Aisling le surplombait de ses superbes épaules qui lui valaient cette réputation. Il l'éblouit. Tristan regarda derrière lui : King avait de fidèles acolytes de sa classe et il vit dans leur regard leur loyauté sans faille. Et pourtant qu'étaient-ce ? Des cancres, des simplets, des bons à rien, mais le suzerainage de King leur donnait une noblesse éclatante qui étonnait autant Tristan que l'effrayait.
Kyle sortit un bout de tissu de sa poche :

— Tu mettras ça sur ton oeil et tu diras que c'est moi qui l'ai défoncé.

Tristan plissa ses yeux.
Kyle voulait faire croire à l'école qu'il l'avait tabassé alors qu'il ne lui avait pas touché un cheveu, ou presque, et c'était là apparemment l'autre poids dans la balance du pacte.
Non seulement cela justifiait que Tristan soit subitement devenu son sous-fifre, mais en plus ce bandeau lui conférait un aspect héroïque : il voudrait dire que Tristan est passé sous la main de Kyle et a survécu. Cela lui ajoutait, comment appelle-t-on ceci, ah oui, de l'honneur. Tristan sourit. C'est bien un truc de ganster, l'honneur, lui s'en foutait bien et l'avait balancé à la poubelle à la première occasion. Il allait avoir l'occasion d'accéder à une réputation, une vraie. Kyle ne lui faisait pas de chantage : le marché allait bien dans les deux sens, un nom contre des services, Tristan Evans, le type qui a survécu à King. C'était beau. Ça sonnait bien. L'honneur, chose si abstraite et si inutile pour lui auparavant, avait quelque chose de brillant et de clinquant qui l'attira beaucoup.

— Tu es intelligent Twister. J'ai besoin de toi.

Tristan n'était pas intelligent : il était malin. Il y avait une sacrée différence là-dedans. L'intelligence était distinguée, elle était pour les bons élèves et les chercheurs. Les malins sont des intelligents égoïstes et fourbes.

Il dit alors :

Je suis pas Business moi ! Je ne me vends pas. J'ai des emmerdes mais c'est le prix de la liberté. Je resterai libre.

King fit craquer ses doigts.

OK. Marché conclu.

Ainsi naquit la légendaire loyauté de Tristan Bertie Evans envers King.

*

Aujourd'hui Tristan est le seul à encore appeler Kyle par son impérieux sobriquet d'autrefois.

King ! J'avais amené tes gants de boxe et ta veste de gangster au pressing, ils commençaient à prendre poussière.
— Oui...

Kyle enfonça sa tête dans son oreille et se rendormit.

King ! J'ai fait imprimer des affiches « BIG MACNEIL IS WATCHING YOU » et je les ai collés dans toute l'école. Même dans les douches des filles.
— Oui...

Kyle ne le regardait même pas.

King ! J'ai obtenu un rendez-vous avec Elizachiante McQueen en me faisant passer pour le Suédois, il n'y aura aucun témoin autre que moi : on pourra la tabasser à deux.
— Oui...

Kyle se brossait les dents.

King ! Pourquoi tu n'endosses plus ta peau de lion pour rugir ?
— La ferme !

Kyle lui donna un coup de poing dans le nez.

Voilà le King que je connais ! On est sur la bonne voie !

Tristan peut toujours courir.

Qu'est-ce qu'il y a encore, tu as rencontré un martien ?
Andy je vais te raconter un truc de fou, au bahut y a un type, il est roux et c'est la terreur du lycée - non mais attends je parle pas de moi - et devine quoi ? Il m'avait demandé de devenir son bras droit, comme les mafiosi : j'étais attaché et il allait me tabasser, mais vraiment à deux doigts, il m'avait séquestré exprès, tu sais comme dans ce film où le parrain va tuer les otages alors que j'étais seul, et c'est là que j'ai fait – hé, Andy, t'es encore là ?

remus  17 ans fille richard & wolle

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Perceval A. Clydwyn
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Perceval A. Clydwyn

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It's a kind of magic.
Age du personnage : 19 ans.
Nationalité: Gallois, évidemment.
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THE PRETENDER.  Vide
MessageSujet: Re: THE PRETENDER.    THE PRETENDER.  Icon_minitimeMar 11 Sep - 15:27

Étonnement je te valide, abruti roux. Et je t'appellerai Bertie jusqu'à la fin de tes jours.
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THE PRETENDER.

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