Hallelujah ▬ I could be your boyfriend in the back seat.

Messages : 64 Date d'inscription : 07/01/2012 Age : 28

versailles hallelujah thompson

Surnoms : Thompson. Vendetta. Haaaalelluuuujaaaaah chanté sur l'air de la chanson. Halle'. Hal'. Vivi. Lulu. L'Albinos. Cheveux Blancs. Et tant d'autres.
Âge : Dix-neuf ans.
Année : Huitième année, donc redoublant.
Année d'arrivée : Sixième année.
Classe : Fier et viril ÉLÉM cassos.

but tonight, you walk on streets of gold.

Thompson. C'est le plus beau, le plus élégant. Le plus magnifique des jeunes hommes d'Aisling, beauté et prestance sont ses mots d'ordre. Parce que sa chevelure de neige attire votre regard, parce que ses yeux de braise vous font brûler d'envie. La pefection en elle-même. Car oui, même en étant badass, c'est le plus galant, le plus attentioné. Toujours premier de la classe, vous écrasant à chaque examen. Toujours entouré d'amis, toujours entouré de groupies et...

NAN STOP STOP STOP. Bordel, Hallelujah, c'est pas toi qui est censé faire la fiche !
ET POURQUOI PAS HEIN ?
PARCE QUE T'ES TROP MÉGALO POUR ÇA. ALLEZ LÂCHE LE CLAVIER ET REDONNE-LE MOI.
JAMAIS, MORUE. T'APPROCHE PAS OU J'TE FOUS UN COUP D'BOULE.
*SPONG* (ceci est la joueuse assommant Thompson avec un chandelier)

... Quoiqu'il en soit. This is a joke. Et j'espère pour vous que vous n'avez pas encore placé votre curseur sur la croix en haut à droite de votre écran, pensant là qu'il s'agissait là d'un vulgaire Gary-Tsu tout droit sorti de l'imaginaton d'une pauvre gamine de onze ans et des poussières, fantasmant sur Justin Bieber ou attendant impatiemment que son Prince Charmant vienne se poser sur le rebord de sa fenêtre par une nuit de pleine lune. Pour enfin royalement se vautrer en marchant sur une poupée barbie qui traînait là où il ne fallait pas. Non mais c'est bon, nous ne sommes pas dans Twilight, l'auteur n'est pas Stephenie Meyer et Thompson n'est pas cette boule disco de Cullen. En fait, c'est simplement le personnage qui a subtilisé en douce l'ordinateur de sa créatrice qui a dû corriger les fautes. Pauvre enfant.

On sait bien que Thompson est tout sauf ça. Tout le monde le sait. Certes il est albinos, a une peau cachet d'aspirine, une taille de colosse, sue la virilité de toute part, tout le tintouin. Cependant la première phrase que l'on sort lorsque l'on parle de lui est pour la plupart du temps :

▬ Oh mon Dieu...
▬ Quoi ?
▬ C'est humain... ?

... Moui. Thompson est humain. Ouais enfin, à quelques détails près, si on exclut les quatre-vingt pour cent d'instinct animal qui réside dans son cervelet qui atteint le diamètre d'une cacahuète et son cruel manque de logique que même une fan invétérée de Twilight a la décence de posséder. Quoi je raconte des salades ? Que ce n'est pas possible d'atteindre un tel degrés de connerie ? Regardez Temujin et je vous dis que c'est possible, pfeuh. Bande de pestiférés.

▬ THOMPSON. TU FAIS CHIER. OUVRE LES CHIOTTES. ÇA FAIT UNE HEURE QUE T'Y ES.
▬ ... Pfffiuuuuh.
▬ THOMPSON ! T'ES ENCORE EN TRAIN DE FUMER ?
▬ Tumtumtum...
▬ THOMPSON, ÇA URGE MERDE !

Thompson est américain et ça se voit autant qu'une pustule ayant élu domicile sur votre pif. Autant dire que la phrase « toutes les merdes du monde sont regroupées aux États-Unis » est totalement véridique ; d'ailleurs, l'une d'elles a été gentiment envoyée en Irlande et elle porte fièrement le nom de Versailles Hallelujah Thompson. ... Ou pas. C'est là qu'on voit qu'il a été malchanceux depuis le début ce pauvre gamin, à porter ce nom à coucher dehors. On ne choisit pourtant pas ses parents et, après que leur enfant de huit ans les ait menacés de faire exploser toutes les poubelles de son bahut : ils ont fini par mettre cette abomination de Versailles en initiale parce que ses profs l'écorchaient toujours d'une façon atroce lors de l'appel au commencement des cours. Et tous ses copains étaient incapable de le prononcer correctement. Et se foutaient bien sûr de lui. De quoi les envoyer à l'hosto pour une durée indéterminée. Faire chier Hallelujah, c'est parfois se retrouver la tête en bas, les pieds pendus à un élastique ou alors se faire coller cinquante pains qui nous oblige à nous faire refaire le portrait. Pour les filles, à la rigueur, c'est avoir dix baffes au postérieur. Ah. Les filles. Non en fait. Le mec est profondément relou avec les jeunes donzelles et se laisse tabasser par elles ; on ne s'étonne même plus qu'il ait régulièrement un tatouage à cinq doigts sur les joues ou soit courbé en deux en se tenant l'entrejambe.

Thompson ne drague pas. Comme un rapace, il se jette sur tout ce qui bouge en fait. Tant que ça ait au moins un bonnet C de poitrine, que ça soit joli, l'air mature et que ça n'ait rien de pendouillant entre les jambes. Genre Europe, Vodka, April, Freyja et autres ravissantes midinettes avec des gros nénés. Il remercie le ciel que l'uniforme féminin soit composé d'une jupe plus ou moins courte, parce qu'il imite le vent tu vois. Thompson kiffe vos petites culottes en dentelles et en satin ; il les vole quand ça lui chante, il les regarde sous vos jupes quand il en a l'occasion. Il saigne du nez, vous bave dessus lorsqu'il a le visage dans votre poitrine un peu trop proéminente, mais ça n'est pas pour lui déplaire. Et ça se mate des pornos tous les week-ends si on en croit ses voisins de chambre qui disent avoir entendu des « bruits douteux en provenance de la chambre de l'autre taré albinos qui a volé la lingerie de ma petite amie. »

▬ HAHA J'TE RETROUVE ENFIN WILL. Cette fois-ci j'te lâche pas, t'vas devenir ma nana !
▬ ...
▬ ...
▬ ... What th-- GYAAAAAAAAH. GODDAAAAAAMN SHIIIIT ! SON OF A BIIIIIITCH !
▬ WHAT. MAIS. Euh. Je. Mais. MAIS TU VIENS DE LUI PLANTER UN COUTEAU DANS LE VENTRE ?
▬ Mais non, t'inquiète pas... Ce crétin est immortel. Tu vas voir, il va revenir dans une semaine, l'air de rien.

Et puis môssieur ne parle pas. Il hurle. Il ne murmure pas. Il s'exprime comme Donald Duck. Il ne discute pas. IL VOUS CASSE LES OREILLES. Il n'y a absolument rien de pire que d'entendre un pur Américain mâcher ses mots tout en s'arrachant les cordes vocales ; ses « r » sont incompréhensibles, quand il veut dire « Do you know what are you going to take ? », ça devient une sorte de « D'YA KNOW WATCHA GONNA TAKE ? » beuglé en deux syllabes que seuls ses rares congénères parviennent à déchiffrer sans trop de difficulté. Oh et puis, retenons que sur le net il extériorise intégralement ses pensées en capslock, en agrémentant le tout d'une multitude de fautes. Il n'écrit pas en sms, mais sa grammaire est pire que celle d'un mioche de cinq ans qui pisse encore au lit. Séchage de cours obligé. Ce qui contribue à sa totale inconnaissance de la politesse, de la retenue, de la pudeur et bien entendu, de la culture générale que toute personne civilisée devrait avoir. Jusqu'à il y a peu, Hallelujah ne savait pas que Napoléon était le nom d'un mec. Ses centres d'intérêt se résume à : PARTY HARD AND ROCK'N'ROLL, SKRILLEX, RHUM, JE SUIS LE MEILLEUR, NANAS, SHAKE TON BOOTY, BASTON, TAGS, CULOTTES ET SOUTIFS DES FILLES et compagnie. Autant dire que Thompson semble avoir été maudit par une fée lorsqu'il était encore au berceau, ça expliquerait bien de choses. Et avec d'autres kikoo wesh, ils s'éclatent à proférer des âneries et à enchaîner beuveries sur beuveries. Beuveries de boissons gazeuses j'entends, L'ALCOOL C'EST TOO MAINSTREAM.

▬ POTOOO.
▬ SISI POTOOOOO.
▬ D'YA WANT SOME COKE ?
▬ FAIS PÉTEEER.
▬ Here you go ! ... Attends. BWAHAHAHAHA, HEADSHOT. BASTOOON.
▬ OUAAAAAIS. VIENS LÀ QUE J'TE FROTTE LES TIFS EN SAVON, UEHEHEHE.
▬ AH NAN, PAS MES TIFS.
▬ Vas-y, fais pas ta meuf, WESH. YAAAAAH.
▬ AAAAAAAH. MAIS C'EST PAS VRAI BANDE DE CONS, VOUS ÊTES TOUT COLLANTS, C'EST DÉGUEULASSE.

Beuveries qui se finissent pour la plupart de temps en inondations de coca, de mousse qu'ils prennent plaisir à se jeter dans les cheveux et les canettes gisent par terre sans personne pour nettoyer derrière. Thompson est le champion pour laisser traîner des mégots de cigarette tous les deux mètres, pour se battre contre le premier distributeur automatique qui passerait par là afin de lui subtiliser deux ou trois boissons tout ça parce qu'il a pas un sou, qui laisse une traînée de vomi après une soirée un peu trop arrosée, voire cinq flaques de dégueu' d'une couleur non-identifiée dans lesquelles tout le monde marche et ce tout le monde finit par le maudire jusqu'au fin fond des quartiers malfamés de New York. ON AIME PAS LES AMÉRICAINS NI LES MONGOLS NI LES BOUGNOULES EN IRLANDE. TOUS DES SAUVAGES. Point. Mais ça, c'est pour une autre fois, le mec l'a toujours pas compris et continue à faire chier des pendules à son monde, peu importe le nombre de défaites essuyées et de râteaux qu'il peut accumuler. Qu'il pleuve, qu'il neige, qu'il vente, il y aura toujours un cri indigné appartenant à un surveillant, à un professeur, à un concierge, un infirmier ou un élève pourquoi pas. D'accord, la faute à qui ? Je vous laisse deviner.

▬ OÙ EST THOMPSON ? IL ÉTAIT DANS CE LIT Y A PAS DEUX MINUTES !
▬ azsdkfgrhklidufh IL A ENCORE CREVÉ UN LIT ! L'INFIRMIÈRE CHEF VA FAIRE UN INFARCTUS.
▬ Euh... Dites ?
▬ QUOI ?
▬ Thompson est actuellement dans les couloirs, sur un fauteuil roulant. En train de faire une course avec les pépés infirmes.
▬ ...
▬ Et il est en train de gagner.
▬ ...
▬ Ah et il a également renversé une infirmière qui transportait des poches de sang.
▬ DOUX JÉSUS, MAIS IL FAUT L'ARRÊTER.

Mais comme nous avons pu le voir, Hallelujah n'est peut-être pas humain après délibération. Peut-être que petit, il était tombé par mégarde dans un chaudron de potion magique ou s'était retrouvé trop près d'une usine nucléaire aux réacteurs fuyant ; sait-on jamais dans ce pays pourri que sont les États-Unis. Regorgeant d’innombrables saloperies, d'aliens, de tueurs en série affublés d'un masque, de savants fou, de laboratoires expérimentaux, de. Laissons tomber, la liste ne serait pas exhaustive. Ce pays n'est pas net. Tout comme ce parasite qu'il a échappé en Europe. S'il se déshabille (sifflons-le mes amis !), on a le loisir de voir des milliers de cicatrices de guerre parcourir son dos, ses bras et euh. Non, ça ne vous intéresse pas, mais constatez la gravité de sa folie pure et dure. Thompson est, comment dire, UN CASSOS. Voilà en gros. C'est le mec qui fume comme un pompier, boit comme un trou, fait des accidents de moto, tombe de trois étages, se fait pulvériser par quelque gang de motards du quartier, puis gueule contre les médecins lorsque ceux-ci le tripotent et semble se shooter avec on-ne-sait quelle substance illicite qui l'incite à recommencer ses péripéties, sans se soucier des avertissements des docteurs qui finissent par s'arracher le peu de cheveux qu'il leur reste. Soyons sincères, c'est un Onizuka numéro deux. En pire. Et le comble, c'est que ça lui plaît.

▬ Et sinon, t'aimes faire quoi dans la vie, Thompy ?
▬ ... Attends mec, mais si tu écorches mon nom SO WONDERFUL, TU FINIS AVEC LA TÊTE DANS LA CUVETTE DES WC, PIGÉ ?
▬ WOH WOH WOH, C'EST BON. Calmos ! Repose gentiment cette batte de baseball, hein ? Alleeeez, gentiiil Thompson, gentiiiil. Là, là, tout doux.
▬ Mais en plus tu m'traites comme un chien. Tu veux que je t'émascule, heh.
▬ Tu fais rien pour qu'on fasse le contraire.
▬ C'était quoi la question avant que tu ne profanes mon nom ?
▬ Ouais. Euh. Kess't'aimes faire dans la vie ? Chais pas, à part traumatiser les petits, tenter de violer les filles, faire chier des cactus aux profs, taguer ton nom partout sur les murs.
▬ ... Beeeeen.
▬ ... Je vois que ma question révèle de l'exploit olympique pour toi.
▬ FUCK IT, JE NE TE PERMETS PAS DE M'INSULTER BOUFFON.
▬ JE T'AI DIT DE METTRE CETTE BATTE CLOUTÉE LOIN DE MOI.

Lui ? Imbu de lui-même ? Nooon. Juste un poil trop narcissique, égocentrique, mégalomane. (UN EMPEREUR MÉGALO. Non ? Ça fait pas rire ? Bon.) Bref. Notre cher monsieur semble avoir tous les défauts du monde. N'importe quelle provocation l'enflamme et il explose, armé d'un objet contondant quelconque (tiens, la pelle du voisin, il l'empruntera par exemple), prêt à éclater le crâne du rustre qui a osé salir sa fierté. Comme tout métropolitain qui se respecte, COMME TOUT AMÉRICAIN QUI SE RESPECTE, c'est un crâneur du genre des gamins de seize ans dans Mon incroyable anniversaire qui se croient fabulous parce qu'ils donnent une fête qui rameutent mille et un inconnus. Ô joie. Je vous laisse imaginer sa réaction lorsque certains lui rouent bien dans la gueule qu'il n'est qu'un redoublant. « VOUS MOQUEZ PAS PUTAIN » qu'il criera à tue-tête avant de brandir sa fameuse batte à clous qu'il a confectionnée lui-même.

Néanmoins. Essayons d'être réalistes. Peut-être, qui sait, qu'au fond de lui-même, si on cherche très bien : une part de qualités existe ?

▬ Putain, Will, fais quelque chose : ton copain a encore bu ! Ça va faire une heure qu'il est planté là-bas à brailler comme un bœuf !
▬ WESH NAN MAIS T'AS CRU QUOI ? MOI JE SUIS LE GRAND ET MAGNIFIQUE THOMPSON, PROSTERNE-TOI DEVANT MOI ET SERS-MOI UNE BIÈRE AVANT QUE JE TE BALANCE DANS LA FOSSE À PURIN WEEESH. ... Ah, j'ai envie de dégueuleeer. Beuuuuuurk.
▬ Hallelujah, mon chéri, descends de ce toit s'il te plaît, tu fais peur aux voisins. Si tu pouvais également rendre ce tutu rose à Jenny, tu serais un amour.
▬ JE SUIS IVAN LE TERRIIIIIIIIBLE, HAHAHAHAHA.
▬ Si tu ne descends pas, je te loge une balle dans la tête. Je suis sérieuse.
▬ À MOOORT LES ROUUUUUX WOAH-- AAAAAAAAH.
▬ ... Ah bah, t'avais pas besoin de le menacer en fait. Il est descendu tout seul, comme un grand.
▬ ... Est-ce qu'il est mort ? Nan, parce que c'était une maison à deux étages quoi.

Réflexion faite. C'est définitivement un con.

start again with a brand new name.

Don : Umbramorphose, bitches.
En détail : En gros. Hallelujah est capable de se métamorphoser en ombre, de modifier sa forme à volonté et de se faufiler partout sur les murs, voire les sols, les objets, les gens - tant qu'il y a une surface - pour vous surprendre pendant que vous prenez votre douche, pendant que vous faites vos petits besoins, pendant vos ébats qui sait, également pour vous espionner en douce et aussi pour faire pisser dans vos culottes le soir de Halloween. Le parfait agent secret. De plus, une fois qu'il est éloigné de la lumière, il peut se déplacer extrêmement vite et se retrouver en moins de deux d'un endroit à l'autre. Cependant, ceci ne se limite qu'à une transformation ; il devient uniquement une ombre et n'a pas d'influence ni de contrôle sur les vôtres, même s'il peut s'amuser à se dissimuler parmi elles. L'interaction avec lui sous cette forme est également impossible ; il ne peut pas attraper les objets, ni toucher les gens et ceci est réciproque. Et puis euh. Il est muet en ombre, pas moyen de l'entendre demander de l'aide quand il est coincé.
Maîtrise : S'il est redoublant, c'est pas pour rien. Il le maîtrise à moitié et a encore du mal à retrouver sa forme normale quand il décide de jouer aux ombres chinoises pour faire le guignol. Parfois même, lorsqu'il s'excite, il disparaît soudainement de la circulation. C'est en cherchant bien qu'on peut apercevoir une ombre s'agiter sur le mur et lever les bras en l'air comme si elle maudissait le monde entier.

Lui et les ÉLÉM : Il les rackette, fout des araignées sous leur oreiller, leur tire les cheveux et se perd dans leur labyrinthe de merde auquel il hurle bien haut et fort « FUCK IT. » Sauf Temujin. Parce que ce n'est pas vraiment un ÉLÉM comme les autres. C'est euh. Un spécimen intéressant. Le jeune homme n'a toujours pas réussi à assimiler que cette bande de bourges aux airs aristocratiques est sa classe et ne reste jamais bien longtemps avec eux malgré l'excès d'ego qu'ils partagent avec lui. UN CHÂTEAU, LA LOOSE QUOI.
Lui et les SPÉ : Thompson aime picoler jusqu'à ce que coma éthylique s'en suive, profitons donc sans retenue du stock de rhum pratiquement inépuisable de cette classe, hohoho. Mais quand il est bourré, sachez que ça donne des trucs affreux. Aisling va bientôt sombrer. BEWARE.
Lui et les PHY : CLASSE DE BG. Hormis le fait qu'il se bastonne tout le temps avec eux pour une raison ou une autre et qu'il se fasse défoncer, il s'entend très bien avec ces singes. Parce que c'en est un. Qui se ressemble s'assemble, hein.
Lui et les PSY : Ça ne se résume qu'à deux mots entre eux et lui : À MORT. Disons que cet énergumène supporte un très petit nombre d'individus dans ce sac à légumes. Pour lui, ils sont tout sauf la classe à fréquenter. Trop sérieux, trop coincés, trop intellos, trop faux-culs, trop calculateurs, trop... Brrrr. IL FAUT PROFITER D'LA VIE. CHEER UP, EMO KIDS.
Lui et les ADULTES : Il se considère comme leur pire cauchemar. ET IL KIFFE TROLLER L'AUTRE BINOCLARD DE LAWRENCE, HONHON.

je suis un ménestrel

Âge : Préhistorique.
Sexe : ANYTIME.
Avatar : Haine Rammsteiner de Dogs: Bullets & Carnage.
Comment avez-vous connu le forum ? Trollface.
Pensez-vous demander un parrain/une marraine ? Seulement si c'est une bonnasse avec des gros lolos et en string.
Autre chose ? LES ROUX ÇA PUE. (Sauf Jeremy. ♥)

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no one will ever see this side reflected.

Hallelujah ▬ I could be your boyfriend in the back seat. Th_dogsexhero5

Hallelujah ▬ I could be your boyfriend in the back seat. Th_oo2

And now you steal away
Take him out today
Nice work you did
You’re gonna go far, kid

Les histoires commencent le plus souvent avec le moment où de jeunes parents découvrent avec joie qu'une petite larve grandit dans l'abdomen de la mère. Après une soirée bien arrosée, un dîner romantique dégoulinant de sucre, un viol on ne sait jamais ou juste parce qu'ils avaient envie ce soir et que la capote était trouée, pourquoi pas aussi. Ok. C'est mainstream et Hallelujah n'échappe malheureusement pas à cette règle malgré son taux d'originalité tout à fait exubérante. Sa malchance débuta avec le mariage d'une blondinette répondant au doux prénom de Heather Davis et un autre blond (on aime les blondasses aux States) : Christopher Thompson. Deux jeunots américains fraîchement sortis de leurs études, rien de plus, rien de moins. Pas d'antécédents, pas de passé de drogués ou de voyous, un couple tout ce qu'il y avait de plus normal. À vingt-deux ans à peine ils vivaient sous le même toit et leur relation n'avait jamais commencé par une ribambelle de surnoms affectueux tels que « bébé, p'tite puce, princesse, mon ange » comme le dirait Orelsan. Oui, Heather avait épousé un crétin vulgaire et légèrement tsundere n'ayant pas envie de se noyer dans la niaiserie d'une vie de couple et elle l'aimait pour ça ; elle l'adorait même et elle s'était promis de vivre avec lui. Pour le pire. Oh non, ne pensez pas qu'elle fût totalement soumise à lui et se faisait battre, non. Chris était juste un mec normalement constitué et il kiffait sa femme lui aussi. Bien que dès que la grossesse commença, la bêtise de sa femme tripla d'intensité.

▬ ... Heather ?
▬ Quoi encore ?
▬ Ça me turlupine depuis un moment, mais ton ventre est anormalement rond. Et ne me répond pas sur ce ton, s'il te plaît.
▬ Rah, pff... Je sais. Désolée. Mais. Ça m'énerve, j'ai pourtant rien mangé de lourd ces derniers temps. J'arrête pas de vomir malgré ça.

Quelques secondes de silence passèrent et Christopher se fit un facepalm magistral, ses doutes et la connerie de sa femme ayant été désormais confirmés.

▬ 'tain, mais Heather, t'es trop conne !
▬ Bordel, qu'est-ce que tu me reproches cette fois ?
▬ T'es enceinte, c'est évident ! T'as jamais étudié la grossesse pendant tes années collège ou quoi ?
▬ ... Ah. Mais...

Voilà. Elle se l'était bien fait roué dans la gueule et elle resta là à le regarder avec des yeux de merlan frit, frappée de stupeur. À savoir que, malgré son insolence et ses faux airs de rebelz, madame restait une blonde et n'était parfois pas en mesure de faire correctement fonctionner ses neurones. On avait d'ailleurs tendance à croire que dans tout beau cliché de couples mariés, l'homme était le plus souvent le plus apte à faire correctement marcher sa matière grise.

▬ J'osais pas te le signaler parce que t'as horreur que je te fasse remarquer que t'es grosse. Mais là, faut croire que ta bulle est suspecte.

Blondinette américaine, disais-je. Fortement complexée par le fait d'avoir des rondeurs en plus et passant des heures entières dans la salle de bain à se tartiner le visage de crème anti-rides, à se poudrer le nez jusqu'à devenir blanche comme un cul, à se peinturlurer les ongles et les lèvres de rouge, bref, tout un tas de trucs typiquement féminins (ou presque) et qu'elle pratiquait avec joie et au grand damne de Christopher avant d'être mise en cloque. Lorsque la protubérance commença à devenir de plus en plus conséquente et que la jeune femme manqua de mourir dans la salle de bain en glissant dans une malheureuse flaque d'eau, elle arrêta d'y rester plus de quinze minutes, histoire de ne prendre qu'une petite douche et de se brosser les dents. Ce qui n'était pas pour déplaire à son mari. Mais bon, il ne fallait pas espérer trop d'elle pour autant. Oh non. Ses lubies de femme furent bien évidemment remplacés par des lubies de femme... enceinte. (U DON'T SAY.)

▬ J'aime bien Versailles.
▬ Oui, j'ai adoré cette ville et--
▬ Pour un prénom je veux dire.
▬ ... Hein ? Tu.
▬ Pourquoi ne pas appeler cette crevette Versailles ? C'est joli, non ?
▬ Pour être honnête, je trouve ça de très mauvais goût. Mais je vais obéir à ton caprice histoire que tu ne me jettes pas une autre lampe de chevet à la figure.
▬ T'exagères, chéri.
▬ Je n'exagère rien du tout, regarde un peu le bleu énorme que j'ai récolté à cause de tes crises. Je crois que le pire c'est que tu t'empiffres de cornichons au nutella et tu fous de la mayonnaise partout (même sur les desserts) depuis que ce truc grandit dans ton ventre.
▬ Oui bon euh, moi je trouve ça super bon, d'abord.
▬ Si tu le dis. Mais tu en es bien sûre, hein ?
▬ Mais oui, c'est original ! Je suis certaine qu'il y en aura pas d'autres Versailles à New York. Il sera unique, le môme.

C'est ce qu'ils croyaient. Enfin c'est ce qu'elle croyait, elle qui accumulait les goûts à chier.

▬ J'FERAI EXPLOSER LES POUBS' DE CETTE ÉCOLE SI VOUS CHANGEZ PAS MON NOM TOUT D'SUITE, BANDE DE BÂTARDS, ASSASSINS DE PRÉNOMS. SPIDER MAN VOUS PUNIRAAA.
▬ Mais... Mon chéri, enfin, je...
▬ Y A PAS D'MAIS QUI TIENNE. DISCUTE PAS OU J'LE FAIS. J'LE FAIS ? J'LE FAIS ? NON ? BAH ALORS CHANGEZ CE PRÉNOM DE TAUPE DES CARPATES.
▬ VERSAILLES, TU VEUX UNE BAFFE ?
▬ TA GUEULE LE VIEUX. T'ES QU'UN COOOON, UN CRÉTIN DES FLAAANDRES. Y EN A MARRE QU'ON S'FOUTE DE MA GUEULE À L'ÉCOLE.
▬ Lâche ces pétards, mon trésor !

C'est ce qu'ils croyaient. Jusqu'à ce que celui-ci, âgé de huit ans et révolté par la façon dont le traitaient ses camarades de classe ne décidât de hurler au scandale, proférant des insultes inimaginables contre ses propres géniteurs et agitant ce qui (pour lui) ressemblaient vaguement à des bâtons de dynamite, trouvés dans l'épicerie du coin. Heather avait viré en misérable mère poule comme vous aviez pu le constater ; ne pouvant s'empêcher de spammer son fils de surnoms affectueux tous plus ridicules les uns que les autres et supportant sans rechigner ses crises de colère, ses lubies, ses manies, son carnet de notes, ses convocations, avalant ses épinards à sa place quand il n'en voulait pas et rangeant sa chambre qui était pourtant un véritable champ de bataille. Elle évacuait juste la culpabilité de lui avoir refilé cet albinisme en obéissant à tous les caprices du petit, parce que oui, apparemment, le gène malade venait d'elle.
Mais ça, c'était sans compter le fait que le petiot ne supportait définitivement pas d'être traité comme un petit garçon riche, fragile et distingué, restant cloîtré dans sa chambre à mater les autres de son âge jouer dans la rue, pendant que lui s'emmerdait à lire des bouquins ou jouer avec des petits chevaux de bois, engloutissant des tonnes de médicaments. Pour un albinos, c'était un vrai petit sauvageon, un puma échappé d'un zoo. Qui avait décidé de prendre des cours de karaté le plus tôt possible et jouait le kaira prématurément, rendant ses voisins, ses camarades et ses professeurs dingues. Et sa mère s'obstinait à le voir comme un petit ange. Ne l'avait-elle pas appeler également Hallelujah pour cette raison ? Mais bien sûr. Hallelujah c'était le petit ange incarné. C'est lui qui vociférait du matin jusqu'au soir, maravait ses propres potes dès la moindre petite injure envers lui et faisait de ses cours du papier mâché qu'il prenait grand plaisir à jeter dans les cheveux des octogénaires du quartier. Enfin bref.

L'enfance est censée être qualifiée comme la période la plus belle de la vie, la plus délicieuse, la plus aisée, celle où tu aimerais bien retourner parce que tout était facile, tout était beau, tu vivais dans ton monde parce que tu étais si ignorant, si débile, si niais. Tu pouvais dessiner sur les murs avec tes skills de warrior et tes crayons à pastel, on rigolait et on te disait rien à part que t'étais trop adorable. Tu pouvais te faufiler dans le lit de tes parents, en ayant bien entendu pris soin de toquer à leur porter histoire de ne pas tomber sur une vision d'horreur. Bien trop dégueulasse pour tes petits yeux innocents. Oh oui, on te trouvait adorable. Jusqu'à ce que les hormones se manifestent, te fassent pousser des poils dans les endroits les plus indiscrets, te rendent exécrable à un tel point que tu tentes d'imiter les adultes et faire croire que tu sais tout, te rendent emo parce que tu te rends enfin compte de la cruauté de la vie et de tous ses vices. On a majoritairement tous eu une enfance avec un passage niais à souhait, un passage déprimant au possible ou marrant à se chier dessus, quelle que soit la personne. Thompson n'échappe pas à la règle et je dois dire que même s'il a un caractère totalement random, il a eu aussi droit à ses périodes mignonnes et tristes lui aussi.

▬ CHRIS ! CHRIS ! MON DIEU, HAL' A DISPARU.
▬ Mais qu'est-ce qu'on s'en branle ? Ce gamin disparaît tout l'temps.
▬ MAIS NON C'EST DIFFÉRENT. Il... Il était juste avec moi, sur mes genoux, puis pouf ! Il a pris la poudre d'escampette. Comme ça. D'un coup. Je.
▬ ... Attends, dis-moi que t'es pas sérieuse. Viens on va l'chercher ce garnement.

En quelque sorte. On pourrait dire que notre petit albinos a versé ses premières larmes viriles de petit garçon lors de la découverte de son don, vers neuf ans à peine. Son père lui-même avait commencé à paniquer lors de la disparition du gosse et ils se mirent donc à retourner chaque recoin de la pièce à la recherche désespérée de leur fils. Lorsque celui-ci surgit du mur sans raison apparente et atterrit violemment contre la table basse, ils comprirent que quelque chose n'allait pas. Heather était encore en train de consoler son fils en train de chialer - non pas parce qu'il s'était pris la table, mais parce qu'il avait eu la peur de sa vie, ayant cru ne plus pouvoir retourner à sa forme humaine - quand le père avait eu réponse à sa question. Par le biais d'une lettre en provenance de Stallone, école pour dons et autres gamins attardés (selon ce qu'il avait voulu comprendre). What the fock qu'il s'était dit au début, se demandant ce qu'était cet établissement dont il n'avait jamais entendu parler. Il faut croire qu'en tant que famille de Sans, il y avait de quoi se demander c'était quoi ces conneries. Alors Chris avait haussé les épaules, chiffonné gracieusement la lettre et la jeta dans la poubelle sans un regard. Mais il dût se résoudre à croire ce qu'il y avait été inscrit lorsque son sauvageon de gamin disparut plusieurs fois, pour réapparaître en hurlant comme une harpie ; et il alla se procurer un bracelet de protection, histoire que Hallelujah cessât de se cramponner à sa mère tel un rémora pour ne pas finir une nouvelle fois dans le mur.

You trick your lovers
That you're wicked and divine
You may be a sinner
But your innocence is mine

Cependant. Le petit se prit à vouloir expérimenter son don à onze ans, avant même qu'il n'entrât à la prestigieuse école de Stallone. Pas si prestigieuse que ça si elle devait accueillir un futur monstre. Mais le bracelet de protection ne fut pas facile à défaire et son père lui tapait sur les doigts lorsqu'il l'attrapait avec un de ses tournevis et en train de traficoter l'objet de protection. Heureusement que sa rentrée dans l'école de dons vint rapidement, car il y rencontra nombre d'énergumènes dans son genre. Si, c'était possible. Il rencontra donc plusieurs autres petits monstres. Dont une certaine Willow, gamine rebelz dans sa classe, qui avait commencé à fumer à l'âge de neuf ans et qui volait sans scrupule des babioles dans les supermarchés. C'était une petite brune à la peau pâle, un peu maigrichonne, constamment affublée de gros blousons, de shorts en jean, de baskets pourries et qui avait déjà l'air d'avoir seize ans quand on ne faisait que regarder son visage. Autant dire que même si elle n'était pas particulièrement jolie et que ses boobs étaient relativement plats, Thompson la colla presque autant qu'avec sa mère à l'époque où il était terrorisé par son don. Comme quoi, il la trouva cool et pendant un temps, il la considéra comme son modèle.

▬ Thompson, c'est quoi les bandages autour de ton cou au fait ?
▬ Blessure de guerre.
▬ PFAHAHAHAHA. Mais n'importe quoi ! J'ai tenté de l'étrangler avec des chaînes - me demande pas ce que je faisais avec des chaînes - un soir où on était trop bourrés.
▬ MAIS TA GUEULE, WILL.
▬ Ah. Je vois.
▬ Y a toujours les traces en fait, on dirait que ça veut pas partir. Du coup, il cache parce que tout le monde pense qu'il a voulu se tuer.
▬ Je. te. dis. de fermer. TA PUTAIN DE GUEULE, FEMME !
▬ Quoi quoi quoi ? Tu veux te battre ? Tu veux t'battre ? Viens t'battre si t'es cap. ALLEZ, NINJA.

Au fil des mois et même s'il était pire qu'un pot de colle au début, ils finirent par devenir bons amis. Bien qu'il lui demanda à plusieurs reprises de sortir avec lui et qu'à plusieurs reprises, elle le poignarda avec un couteau suisse pour le faire taire, ils étaient bons amis.

▬ Merde, Hal', pousse-toi, tu prends toute la place.
▬ Tsk. Tu m'accuses alors que tu prends toute la couette, femme.
▬ J'en ai fichtrement rien à cirer, sois déjà content que je sois à poil.
▬ VA METTRE UNE CULOTTE ET UN SOUTIF, BORDEL. OU JE SAIS PAS UN PYJAMA, MAIS LÂCHE CE PUTAIN DE DRAP.
▬ Mais crie pas, j'ai pas encore décuvé 'taaaain.

On les prenait pour un couple, pour les gens c'était sa meuf, mais c'était plus sa meilleure amie que sa petite amie. Bon d'accord, quelques fois, ils se retrouvaient à poil dans le même lit après une bouteille en trop, mais ça n'avait jamais entaché leur complicité. Même qu'ensemble, ils avaient créé un gang. Pas du genre trop classe, hein. C'était un petit gang. Un gang d'adolescents déviants qui trouvaient rien à faire que rouler sur des motos en riant grassement et qui laissaient traîner des cadavres de bouteilles d'alcool un peu partout dans leur planque. Ils s'amusaient à jouer leurs petits criminels pendant les vacances, à défoncer les autres pour prendre le contrôle de la ville, à faire des grimaces pour traumatiser les petits morveux du coin, à casser les fenêtres et vitrines du quartier pour s'amuser. Sans jamais rentrer chez eux, car ils pionçaient dans leur planque pourrave dont les matelas et les sofas étaient crevés. Et c'était le genre d'adolescents dont les parents ne voulaient plus en entendre parler, même s'ils fréquentaient encore Stallone et qu'ils y faisaient un ravage constant.

Mais lorsque leur leader jeta le fils du voisin du haut du sixième étage d'un immeuble quelconque, ce fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase. Oui Hallelujah balança un pauvre gamin moche et à lunettes depuis une terrasse. Sur un coup de tête, pour tuer le temps pardi. Oh bien sûr, celui-ci avait été au préalable bien attaché par les chevilles à un tissu et n'eut aucune blessure. Mais ça avait suffit pour que la mère de la victime portât plainte et demandât au parents de mettre leur vaurien de môme à la rue, dans un camp de redressement, en prison, quelque part, n'importe où, mais qu'il ne fît plus d'autres bêtises dans leur quartier réputé pour être un havre de paix. Et qui depuis les douze ans du petiot albinos, était fréquemment squatté par une bande de voyous qui s'amusaient à faire du tapage nocturne ou perturber la sérénité du voisinage avec leurs motos. Nullement impressionné, Hallelujah se tapa une bonne barre et alla fumer une clope avec ses copains. À seize ans et du haut de ses un mètre quatre-vingt, il fallait dire que mêmes les vieilles mémés avec leur cannes n'étaient qu'une simple formalité. Alors les cris indignés d'une mégère, qu'est-ce qu'il en avait à foutre.
Mais Christopher, trop épuisé par les bêtises perpétuelles de son fils, eut la merveilleuse idée de le balancer en Irlande. Plutôt que d'entendre encore une de ses frasques à Stallone et d'avoir une mauvaise réputation auprès de ses collègues qui avaient également envoyé leurs enfants là, il l'envoya à Aisling. Il n'y avait que cette école de dons qui pouvait recevoir avec plaisir ce genre d'élèves dans ses bâtiments ou alors Iadviga à la rigueur, qui sait ; mais il l'envoya quand même à Aisling, tout en essayant de calmer les pleurs hystériques de sa femme. Et essayer de résister au regard tueur de Will et toute sa bande.

Mais ce fut avec prestance et fierté que Thompson quitta les États-Unis pour mettre les pieds en Irlande, même s'il savait très bien que son père le virait de chez lui et qu'il ne verrait probablement plus ses potes.

I could change the world
I can make it better
Kick it up and down
Took a chance on me

▬ ET MEEEEEEEEERDE. POUSSE-TOI. Y A LA VIEILLE NAGEEL QUI ME COURT APRÈS, ELLE VEUT MÉTOMARPH- MATOME- rah comment on prononce c'te connerie, enfin elle VEUT ENCORE DOWNDATER MES AFFAIRES. DONC DÉGAGE. AH SCAR. WOH WOH SCAR. SALE FEMELLE FAIS QUELQUE CHOSE, DISTRAIS L'AUTRE-- UUUUUUUH. RUN. RUN. I'M OUTTA HERE GURL. AHAHAHAHA. FAITES PLACE. HEY. HEY TOI. OUI TOI. LE ROUX NAIN. TRUC MACHIN LUCA. POUSSE-TOI ET VA REJOINDRE TON GEEK CHEVELU, YOU'RE ON MY FUCKING WAY. Ah mais chuis con. UMBRAMORPHOSE NO JUTSUUU.

Et ce truc qui court à toute vitesse dans tout Aisling en proférant des pseudo-techniques Naruto et poursuivi par notre bibliothécaire indienne simplement (really ?) parce qu'il aurait délibérément écorché deux ou trois bouquins sous ses yeux, c'est bien Thompson. Cliché ambulant de l'Américain superficiel, fusion du Mongol furieux avec une pointe de racisme contre la rousseur, il a réussi à se faire connaître du public par ses nombreux tags sur le mur, particulièrement intelligents et dignes du Q.I. d'un Psychique ; et également grâce à ses hurlements caractéristiques, parce que môssieur est, comme nous l'avons dit, apparemment dans l'incapacité de s'exprimer dans un débit normal.

▬ J'en ai rien à foutre que tes parents soient morts tués par un psychopathe sous tes yeux et que personne ne t'aime, tu vas me faire le plaisir d'engloutir ce triple cheese burger. ... MAIS CHIALE PAS, TANTOUZE, ROOOH. C'EST PAS VIRIIIIL.

Hallelujah n'est pas un mauvaise bougre.
Certes, il est très idiot, très con, très vulgaire, très violent et a tendance à traumatiser les plus jeunes avec sa tronche de tueur en série, mais vraiment : ce n'est pas un méchant garçon. Même que s'il vous surprend en train de couiner dans un emo corner, il viendra gentiment vous consoler. ... Si bien sûr, on peut appeler ça « consoler ». Il vous transportera sur son épaule et ira vous gaver de je-ne-sais-quoi de très gras et de très riche en calories, soi-disant que « t'es trop maigrichon, arrête de faire ton anorexique et ta Mimi Geignarde, etc. » Thompson ne veut pas entendre votre vie de dark kikoo pour qu'il vous plaigne et souhaite de tout son cœur que vous arrêtiez de geindre, parce qu'il faut bien vivre même si votre portefeuille a été dépouillé. Vous voyez bien qu'il n'est pas si cruel, vous qui êtes sauvagement poussé dans les couloirs et racketté par un colosse aux cheveux blancs et aux yeux rouges. Non, point du tout.

▬ Je crève la dalle. ... HEY, FILE-MOI TA THUNE LE PETIT LÀ-BAS, JE SAIS PARFAITEMENT QUE T'AS DU PÈZE.

Point du tout.

**ADMIN |** Just a curse. Have a nice day.

Bonjour et bienvenue (oh mon dieu)

Comme les élems ne manquent pas de cas désespérés, je te propose la umbramorphoseou la faculté de se transformer en ombre 8D ou comme ton perso est phy obviously la transformation en reptile mec !

N'oublie juste pas, si ton personnage ets américain, qu'il y a une école au Etats-Unis, il faudra donc une raison quant à sa venue à Aisling.

Messages : 64 Date d'inscription : 07/01/2012 Age : 28

Comme je suis une Mary-Sue et que je veux rejoindre les rangs des tomates cassos, je prends umbramorphose. Hohoho.

Et no soucy pour l'école, j'ai déjà prévu le truc.

Merci beaucoup ! o/

Invité

Yo, comment avance Thompson ? (merci de répondre sous 7 jours, huhu)

Messages : 64 Date d'inscription : 07/01/2012 Age : 28

Ça avance, ça avance. Lentement, mais sûrement. ;A;

JE N'ABANDONNERAI PAS.

Messages : 173 Date d'inscription : 19/03/2011 Age : 31

Alors le cassos ELEM, il en est où ?

Messages : 265 Date d'inscription : 22/10/2011 Age : 28

Je n'ai point d'excuse.

Syndrome de la page blanche oblige. Ça vient et ça part. Du coup, le truc est un peu à la moitié de la route. Je fais de mon mieux, je suis une warrior.

EDIT : FINIIIIISHED. Enfin. Lula, tu peux venir me validoter avec amour. ♥

**MODO |** Magic Mirror, who is the fairest one of all?

~~Quel cassos mdr~~ non mais c'est très bien tu t'en doutes 8D Je valide tout ça tkt, envoie donc ton secret par mp à Bonnie blabla et enjoy.