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Date d'inscription : 10/03/2012
Age : 30
 |  Sujet: Est ce que le monde à le vertige• Zora  Sam 17 Mar - 18:47 | |
| Me semble que Thuthur veut kidnapper ma fiche et celle de Zazar.
Et je vous conseille la fiche avec ça. Parce que c'est sur ça que j'ai ecris, enfaite fu. ♫ • Zora Eliška Nováková.✂ Surnom : Zoro. Ou Mák qui veut dire Coquelicot en Tchéque.
✂ Age : 16 ans
✂ Année : 5 eme années
✂ Année d'arrivée : En première ♥
✂ Classe : Spé
✎ Don : Zora elle peut invoquer le Colonel Moutarde et sa bande. Nan c'est pas vraiment un gars qu'a fait un meurtre dans le salon avec le chandelier. Ca aurait put. Mais enfaite le Colonel Moutarde, c’est rien d'autre que le grand schtroumph version lilliputiens, la barbe et la peau bleu en moins. En Théorie Zora peut tous les invoquer. Le colonel moutarde, Salade, Clafoutis, Caramel, Compote, et même Yaourt, et tous autant qu'ils sont, avec leur nom sorti du frigo.
✎ En détail : Dans le jardin, elle avait finalement raison, il y avait des gens, des tout petits, qu'on voit pas vraiment. C'etait son don. Mirek a passé un accord, ils ne doivent se montrer. Du coup Zora à l'impression qu'elle est ps trés douée, c'est pas grave, comme ça elle a continué de chercher.
✎ Maitrise : Zora elle le contrôle pas, elle arrive à invoquer le Colonel. Le reste elle a l'impression qu'elle peut pas. Pourtant ils sont là, camouflé dans les herbes un peu hauts.
✎ Zora & Aisling : Zora elle s'attache un peu trop à son gout, et sans faire de distinction.
 • C’est tout un monde dissimulé sous l’éphémère.-Il parait que le père noël n’existe pas...
Mais Zora envoi encore une lettre, et laisse un verre de lait, trois cookies.-
Tu as seize ans Zora, des paillettes aux coins des yeux, des croyances encore vives alors que tous ils les oublient peu à peu. Nous sommes le 24 décembre, les gâteaux sont à leur place, les chocolats du calendrier, eux, ont soigneusement été avalés. Tu as été sage, promis, pour qu’il ne t’oublie pas et qu’il accepte au moins une de ces requêtes, formulées dans ta lettre. Il ne faut pas croire, on te l’a dit de nombreuses fois, que ce bonhomme tout en rouge, c’était rien que pour les enfants, que t’avais passé l’âge et qu’il fallait ouvrir les yeux, maintenant. Oui, on te l’a dit. Répété. Encore. Mais ils peuvent penser ce qu’ils veulent, tu le vois bien, toi, que le verre que t’as laissé est vide le lendemain matin. Ca te suffit comme preuves pour continuer de croire. C’est peut-être ça, ta force, regarder ce que tu veux voir, oublier ce qui ne va pas. Vivre pour le meilleur, et seulement ça.
-Il parait que les fantômes n’existent pas…
Mais Zora cherche pourtant à en capturer un avec son aspirateur-
Tu leur cours après, aux fantômes, en hurlant dans les couloirs, mais il y a pas qu'après eux que tu cours. Nan, toi tu cours tout le temps. Toujours quelque chose à faire, quelqu'un à voir. Parce que c'est un peu plus que ça Zora, tu fais la courses avec ta vie, tu veux pas qu'elle te rattrape, alors t'as toujours une longueur d'avance. Tu penses à tout, tu prévois, un peu trop loin. Des rêves t'en a plein, mais il te faut plus, Zora. Tu veux les faires ces projets, aussi farfelu et ambitieux soient-ils. Parce que oui, tu comptes bien finir ce vaisseau avec Lies, oui tu comptes bien renommer toutes les constellations avec Zazar, rallumer les étoiles dans les yeux de Nikola, parce que oui tu comptes bien sauver les habitants de ton jardin en supprimant toutes les tondeuse a gazon, parce que oui tu compte bien faire le tour du monde, avoir ta caravane, avoir trois poisson rouge, et trouver cette endroit rien que pour toi... Une vie Zora, tu le sais bien, c'est pas suffisant. Alors tu cours, Zora, tu prévois, tu rayes soigneusement les souhaits déjà réalisés, dans ton jolie carnet.
-Il parait que la petite souris n’existe pas…
Mais Zora a neutralisé toutes les tapettes du grenier pour éviter qu’elle soit effrayée-
T'es ce genre de personne Zora, qui voudrait prendre soin de la terre entière, mais qui a conscience qu'elle n'en a pas la possibilité. Alors tu t'occupes de ton monde, de ces créatures oubliés, de ce peuple inconnu. Si la petite souris viens parfois investir le grenier, toi tu sais aussi que dans le jardin, c'est toute une population qui c'est développé. On ne les vois pas, jamais. Malgré tout tu espères qu'en attendant dans l'herbe, allongée, tu arriveras a en apercevoir un, au moins une fois. Tu y crois. Oui Zora, tu crois. Tu patientes, tu prends soin d'eux, construits pour eux des petites maisons, reste sous la pluie avec tes parapluies pour éviter les éventuelles inondations, voles quelque objets que tu penses futurs trésors. Gardiennes du monde, c'est bien sur le tiens que l'on veille le plus Zora, mais ça tu ne le sais pas. Pourtant quand on regarde ces personnes qui t'entourent, écharpes tricoté main en signe de distinction. Nous on s'aperçoit bien, que tu n'as rien a craindre Zora, tout comme ce monde que tu te forces à protéger.
-Il parait que les monstres sous le lit n’existent pas….
Mais Zora demande toujours que l’on vérifie avant de dormir.-
Qu’est ce qui fait de nous des adultes, comment fait-on pour entrer dans le monde des grands ? Est-ce qu’arrêter de croire aux monstres qui hantent le soir, est suffisant ? Proclamer que les histoires qu’on nous racontait, avant, c’était que du vent. Il y a une date limite, à pas dépassé ? Passé quinze ans t’as plus le droit de rêver ? T’es mal partie Zora à suivre leurs discours, tu ne grandiras pas. Parce que toi tu demandes encore, l’air un peu anxieux qu’on vérifie dans le placard, qu’on vérifie sous le lit lorsqu’il fait noir. T’as des craintes de petites filles, comme ils disent, c’est idiot, il parait. Mais que penseraient-ils de ta peur de t’attacher? Ca aussi c’est un truc d’enfant ? Quand tu penses à leurs futurs, ce futur ou t’es plus là. Quand tu souris Zora, pour qu’ils n’y pensent pas, pas encore. Parce que tu n’es pas assez égoïste pour dire que tu ne manqueras à personne. Tu réalises bien Zora, que t’es différente, que tu pourras pas faire comme tout le monde. Parce que t’es pas, comme tout le monde. C’est pas une question de petits hommes que l’on cherche dans le jardin, c’est une question de maladie, là, en toi. De cette maladie qui te détruis sans qu’on puisse rien n’y faire. Ni eux, ni toi.
-Il parait que dieu existe…
Mais Zora n’a pas besoin de ça.-
Tu sais bien qu’il n’existe pas, que tout ça c’est du faux, tu le sais…. Tu le sais. Parce que c’est pas possible de laisser faire tout ça. De rendre si malheureux Mirek, de faire pleurer ta mère, et de vouloir te séparer d’eux. C’est pas possible, on peut pas faire ça. T’es dans ton monde Zora, oui, et il n’y a pas de place pour lui, parce que ton monde c’est toi qui le régis, c’est toi qui décide de ce qui est visible ou ne l’est pas. Il ne faut pas croire que sous tes cils tout deviens beaux et gentil. T’as conscience que le monde est loin d’être beau, que les gens ne sont pas tous bons. T’as conscience de ça. T’as trop conscience de ça. Et c’est pour ça que tu t’évades, et c’est pour ça que tu effaces. Dans ton monde il y a pas de place pour toutes ces conneries la. T’as pas le temps de te faire du mal, alors tu vis Zora, tu vis pour que s’enchaine les jours, que les regrets n’arrivent pas. Tu vis Zora, chaque instant, chaque petite seconde à une allure folle, sans pensé à la fin. Il ne faut penser qu’a demain. Juste demain.
 •Il parait qu’on a le même sourire tu sais ?-Dobrý den.- Bonjour
" Moi c'est Zora ! " Je sais, je sais déjà tout ça. Je connais même cette douce façon que tu as d'écorcher les prénoms. Enchanté, enfin. Zora Eliška Nováková.
Elle te fait face, Zora et t'as le cœur prés a exploser, on t'a tant parlé d'elle que tu pensais déjà tout connaitre. Mais il y a ses yeux sur toi, son sourire et sa joie. Et toi et toi, dont le souffle s'accélère. Tu en oublie les mots que tu avais tant préparés, les répétitions dans le miroir pour ne pas te trahir. Nerveusement tu tires sur ta casquette, cache un peu ton visage. Un bonjour trouves enfin sa place alors que tes yeux eux, trouvent tes chaussures. Elle est comme sur les photos, elle a le même sourire, la même étincelle dans le regard. Elle est même mieux, en vrai. Elle est même mieux, maintenant, qu'elle est la, tout prés de toi. Elle s'agite un peu, elle a surement plein de chose à faire, tu n'en doutes pas une seconde. Elle a toujours été comme ça, après tout.
"Tu connais Zazar ?! "Tu as pensé bien sur. Tu as répondu non. Et tu as souris, Myrtille.
Bien sur que tu le connais Zazar, mais pas sous ce nom la. C'est même lui qui t'as le plus parlé d'elle. Il t'a raconté cette vie à Aisling, ces journées à chercher l'invisible dans l'herbe, ces voyages spatiaux dans un vaisseau de fortune. Il t'a tout raconté. Parce qu'elle ne parle pas beaucoup d'elle, parce qu'elle ne pouvait pas t'en parler, de ce passé, qui te semble si loin, si proche. Tes mains veulent attraper cette vie, tes doigts la frôlent, mais rien ne la touche. Tu n'as pas vraiment ta place Myrtille. Alors tu questionne alors tu la cherches à travers les autres. Toujours.
-Teši me- Enchanté
"Mirek… Encore une histoire, juste une histoire s’il te plait, après t’auras la paix. Promis " Moi aussi j’ai demandé, comme toi, un supplément. Une rallonge à cette histoire comme le font les enfants.
Tu voudrais connaitre tout les détails, reconstituer le puzzle seulement tu n’as pas tous les morceaux. Ils sont éparpillés en chacun d’entres eux, dans ses souvenirs qu’on enferme dans un coin de cœur comme un bien trop précieux.
Elle aurait du te raconter son passé Zora.
Te parler du commencement.
-De cette Shel’ qui trainait dans les bars pour se donner bonne impression, talons aiguilles et colles de chemises marqués au rouge à lèvres. Son regard de femme fatale qu’elle posait sur le monde et qui avait causé la jalousie de sa sœur. Parler aussi de cette envie de fuir, de ne pas revenir. Mais surtout, de cette rencontre qui à surement tout bousculé, qui l’a un peu changé, qui l’a un peu sauvée. Cette même rencontre qui allait quinze années plus tard, la faire venir au monde, Zora. Il s’appelait Tobias, il étudiait dans une école pour gens un peu spéciaux, bien sur Zora n’aurait pas su te dire exactement comment ils s’étaient connu, ni même qui avait réussi à attirer l’autre dans ses filés. Mais elle t’aurait surement expliqué que Shel’ était partie avec lui, dés qu’elle avait put et que pour cette raison, c’est en Tchèque qu’elle était née. Tu aurais apprit que c’était pas vraiment de l’amour, au début, il fallait juste partir vite, partir loin. Alors elle s’était évadée, au revoir la famille, sœur jalouse et mère contradictoire, Shel’ se disait sans attache, il parait. C’était pas grand-chose, juste de quoi estomper les souvenirs, d’oublier à moitié. Mais elle s’était accrochée, un peu plus que prévu, mais ça avait durée, un peu plus longtemps que prévu. Puis il y avait eu Mirek, un an après il y avait eu Zora. Et elle n’avait plus voulu penser à revenir sur ses pas.
-De ce Mirek protecteur, que tout le monde connait sur le bout des doigts, mais aussi de ce Mirek que trop peut on vu, celui qui veut se battre pour elle, qui crache haut et fort que dieu n’est qu’un salaud et qu’il n’a pas intérêt à exister sinon il lui trouera la peau. Parce que Mirek a arrêté de croire pour qu’elle puisse continuer, parce qu’il à tout laissé lorsqu’il à apprit. Il était loin d’être bête Mirek, il s’était inquiété quand il y avait eu tout ses rendez-vous chez les médecins, ces soit disant visites qui ne devaient être que des contrôles. Et il avait paniqués les yeux gorgés de questions quand sa mère n’avait plus réussi à tenir le masque. C’était tombé, comme ça. On y pouvait rien, c’était là. Des solutions il n’y en avait pas. Elle était malade Zora, et comment on explique ces choses là.
Il y avait eu les larmes de sa mère qu’ils avaient fait semblant de ne pas voir, de ne pas entendre, et il y avait cette histoire murmuré par son père. Courage tangible incrusté dans la voix.
Viens Zora, je vais te raconter une histoire. Celle d’une princesse qui n’aura pas vraiment la même fin heureuse que toutes les autres…
Elle n’avait pas pleuré Zora, peut être même qu’elle n’avait pas tout comprit, ce jour la. Elle savait que dans son corps il y avait un truc qui marchait pas très bien, qu’il allait falloir voir les médecins, encore, souvent. Et puis que sa fin, à elle, arriverait un peu plus tôt que prévu. Elle aurait du te parler Zora de ces changements à la maison, des sourires de sa mère qui avaient disparu comme allait disparaitre jour après jour la détermination de Mirek face à ces vérités que l’âge sans ménagement nous dévoile. Il est loin d’être beau, ce monde. Ca aussi, elle te l’aurait dit. Puis elle aurait souris, en proclamant que c’était pas grave, qu’elle avait le sien.
-De Wini, la cousine qu’on ne connaissait pas, mais que l’on apprend vite à connaitre. Winifred de son nom complet, fille de Camilla. La famille de Shel’, le sujet si taboue, les regrettes, l’amertume, la jalousie passé et ces histoires de gamines qu’avaient fini par mal tourner. Vingt deux ans, vingt deux ans sans oublier. Se tourner le dos, s’ignorer. Elle ne voulais pas revenir Shel’. Elle avait dit, jamais, jamais. Mais Zora le savait bien qu’avec elle rien ne se passait, jamais, comme prévu. Elle allait mal Shel’, bien trop mal pour ne rien dire. Elle avait prit sur elle, avait appelé ce numéro qu’on avait cru brulé, et elle avait laissé un mot d’excuse, gorge serré, cœur en miette. Fragilité si dur à prononcer.
On t’avait cru morte Sheila.
C’est presque ça maman, c’est presque ça.
Zora avait toujours rêvé de voir un peu plus loin, mais elle n’était jamais partie. Elle n’allait plus arrêter après cela. Elle t’aurait surement raconté sa découverte de l’Irlande, de ces décors et de cette pluie qui l’avait fait grimacer. Seulement, si elle t’avait parlé de ces premiers jours dans cet ailleurs encore trop inconnu, elle t’aurait parlé de Wini, avant tout. Wini. Elle aurait fait dévaler les mots, tu aurais vu son air admiratif, t’aurais comprit la situation, vu les étoiles dans ses yeux, sans même assister à la scène. Parce que tu le sais, elle se serait emportée. Quand elle s’attache Zora, se n’est jamais à moitié. Balthazar te l’avais dit, tu n’en avais jamais douté.
-De Marketa et de ces chansons écorchés avec leurs brosses à cheveux qui faisaient, aussi, micro. Marketa elle était là depuis le début. On aurait même put dire qu’elle avait, toujours, était là. Alors elle avait un peu tout vu de Zora. Elle avait su pour les rendez vous chez les médecins, elle avait remarqué les absences de plus en plus répétées en classe, elle avait eu écho des voyages en Irlande, des retrouvailles avec la famille, du mal être de sa mère, des changements de son frère. Elle connaissait bien Zora, ses sourires, mais elle allait apprendre à soutenir la douleur que l’on pouvait y cacher. A Marketa, elle avait expliqué. Même si c’était un peu dur. Elle n’a jamais parlé de sa maladie Zora, parce que c’était sans doute ça qui faisait le plus mal, en parler… C’était devoir dire bonjour quand les autres réfléchissent aux au revoirs. Elle vivait avec la mort, ça grandissant sans faire de bruit, et en fermant les yeux on oubliait que c’était là. Seulement l’oublie n’efface pas. Il faut regarder les choses en face. Réaliser, parfois. Et c’est ce qui est arrivé lorsqu’elle st tombé amoureuse pour la première fois. Elle était grande Zora, elle avait réfléchi l’avenir, elle était grande, elle avait pensé à eux. Mais elle avait dix ans, et elle avait pleuré, Zora…
-De Sheheiah (Séhéya), l’ami que les gens ne voient pas mais qui ne la quitte jamais. Mirek avait dit fait attention à lui, je te le confit, et elle avait veillé sur cette être qui n’existe pas, pour les autres. Bien sur qu’elle y croyait, dur comme fer que Sheheiah, il était avec elle, et qu’il avait besoin, de sa présence. Bien sur qu’elle ne voyait pas que tout ça, c’était pour combler le départ de Mirek, pour pas qu’elle se sente seule et remarquer que c’était elle qui avait besoin de ce mensonge. Tout ça c’était pour elle. Même cette demande, ce s’il te plait qu’il lui avait chuchoté.
Prend soin de lui. Prend soin de Toi.
Mirek était partie. C’était pour suivre les traces de papa, retrouver la famille de maman, qu’il avait découvert Aisling. Aisling…ça sonnait étrangement bien à ses oreilles, et ça avait formulé, un vœu de plus. Elle voulait être comme lui, avoir un don, elle s’en fichait Zora de savoir quoi. Elle demandait pas grand chose en faite, juste de le retrouver, là bas. Seulement on choisi pas, on ne peut pas se dire, je vais travailler dur pour pouvoir y entrer. C’est pas aussi simple que ça. Pourtant elle y a cru Zora, elle a essayé, elle a fait des grand gestes qui partaient tous les sens. Dans la maison, le jardin, à l’école, chez les voisins, la tête en bas. Presque quotidiennement. En attendant un signe, n’importe quoi.
-Du Colonel Moutarde et de sa troupe qui avaient fini par être capturé, un beau jour. Elle n’avait jamais remit en cause leurs existences. Elle avait toujours fait attention. Zora t’aurait d’ailleurs surement mise en garde, il faut toujours regarder ou l’on marche, au risque de les écraser. Elle avait attendu Zora, et c’était arrivé. Une lettre, un don. Du bonheur. Elle n’avait pourtant pas l’impression d’avoir réussi un exploit. Dans sa vie rien n’avait changé. Peu importe. C’était juste dans les temps, pour elle s’était parfait. Un mois et elle allait le retrouver, pendant cette période les herbes du jardin se sont vus plus animés. Puis Mirek a comprit son don lorsque qu’elle a couru partout dans la maison en proclamant qu’elle en avait trouvé un. Le Colonel Moutarde. En personne, s’il vous plait.
Il ne faut pas lui dire, il faut la faire rêver.
Mais Zora n’aurait sut te raconter, ce marché que son frère avait passé. Zora, elle devait avoir la tête dans les étoiles, et le cœur à des milliaires du monde tel qu’il est. Zora elle devait être protégée, resté entière, ne pas être abimé. Mirek avait toujours tout fait pour ça. Le Colonel avait comprit, c’est pour cette raison que l’accord avait été conclu, les Lilliputiens ne se montrerait qu’à moitié. Il fallait courir après les rêves, c’est comme ça que son monde continuait de tourner.
- De Nikola et James, de James et Nikola. Son duo de gentil blasé, oui le sien. Ceux qu'elle observait, un pas en retraie, réécrivant leurs dialogues pour rajouter le beau temps, les oiseaux qui chantent, les papillons et les envies du moment. Elle aurait du te parler d'eux parce que c'était sa vrai première rencontre à Aisling, ils étaient un peu spéciaux, eux aussi. Elle les avait trouvé drôle, avec leurs regards fatigués, elle les avait trouvé touchant avec leurs vies abimés. Zora n'avait jamais eu de pansement suffisant dans sa trousse de secours pour les soigner. C'est peut-être aussi pour ça qu'elle leurs courait après. Toujours à la recherche d'une manière de guérir, de raccrocher les étoiles brisés. Elle avait vite réalisé Zora, que c'était bien plus dur que prévu de ne pas s'attacher. Elle avait beau ne pas vouloir, rester dans son monde pour ne pas les apercevoir. Elle se laissait toucher, direct au cœur. Elle avait voulu retrouver Mirek, c'était juste ça, c'était juste lui. L'indispensable. Elle n'avait pas prévu, Nikola et James à harceler a l'interclasse, elle n'avais pas prévu Alexie pour forcer quelques serrures du monde, elle n'avait pas prévu Astrée ses courses poursuites pour des objets volés, elle n'avait pas prévu Mélina, Minze, Sully et Luca. Ni Zazar. Pas même toi. Elle n'avait rien prévu de tout cela, elle qui prévoyait pourtant tout. Ca ne marchait pas très bien de se vouloir fille solitaire c'est ce qu'elle aurait conclu et t'aurais bien vu dans ses paroles que c'était rien qu'une gamine apprivoiser par le bonheur.
-De Zazar, de cette version que tu n'as pas connue. Tu l’aurais découvert sous un autre jour, ça ne t’aurais pas déplut. Elle l’aurait décrit grand, décrit fort, pilote de vaisseau spatiale et super héros. Tu aurais trouvé l’origine de toutes ces cartes du ciel, un peu trop fausses, beaucoup trop vraies. Ses noms d’étoiles à faire rêver les hommes, à retracer le monde. Elle aurait répété zazar avec son accent Tcheq, Doucement, tu aurais ris. Dans le fond il n’a pas vraiment changé. Il est toujours pareil, tu l’aurais constaté. Toujours cette façon de se gratter le nez quand il est gêné. Toujours un peu super héros, toujours un peu gardien. Et toi aussi, tu l’as déjà surpris à s’entrainer dans le miroir.
Il sait faire maintenant, il sait sourire, maintenant. C’est grâce à toi tu sais ? Et c’est a cause de toi, si ce même sourire a cette teinte un peu triste, parfois.
Tu aurais voulu qu’elle te parle de lui comme il pouvait te parler d’elle. Tu étais sûr, toi, qu’elle t’en aurait dit autant de bien, qu’elle t’aurait raconté une foule de détails que personnes vraiment ne retiens. Elle le connaissait sur le bout des doigts Zazar, mieux que personnes, c’est certain. Il te parlait souvent d’elle, de son monde. Mais c’était le leur n’est ce pas ? Oui, tu aurais voulu qu’elle te raconte Zazar. Parce qu’il n’y avait peut être pas qu’elle que tu cherchais à retrouver, Myrtille.
Elle aurait du, oui, te parler de toutes ses choses. Mais elle n’avait pas pu.
-Dekuji- Merci
" Myrtille… " Tu m’avais dis, c’est un jolie prénom.
Les histoires ne suffisaient pas, ne suffisaient plus.
Le temps passe Myrtille, tu as dejà seize ans, tu te sens un peu perdu dans ce monde sur lequel tu n’oses agir. Tu sais qu’un pas de trop ferrait tout basculer. Un geste, un mot, un nom. Tu n’aimes pas ton don Myrtille, tu craints l’effet papillons. Pourtant, pourtant t’as remonté le temps, parce qu’elle n’était pas dans ton présent, que son nom c’était le passé, les souvenirs estompés. Les tiens Myrtille, les tiens étaient trop flou. Et toujours ce manque, ce trou dans la poitrine, à se dire: Tu n’es pas là. Pourquoi tu n’es pas là. Pourquoi je pourrais retourner la terre d’un simple retourne en arrière et que je peux rien changer à cette maladie qui t’as bouffé. Tu pourrais recommencer encore, et encore, Myrtille, ça changerais rien à cette fin. Toujours le même passé, toujours le même présent. Il n'y a plus que les photos dispersées dans la maison, les histoires que l'on raconte en prenant inconsciemment ce sourire, un peu triste et ce nom qu’elle t’avait donné.
Myrtille oui, c'est un jolie prénom. Tu l'aimais bien déjà, maman.
- A na shledanou- Et aurevoir
. Bhou d'ficelle. |
✔ Age : Toujours la centrentaine et toujours dans la fleur de l'age.
✔ Sexe : Pokemon Legendaire.
✔ Avatar : JADE DE HOMESTUCK VOUS POUVEZ PAS TEST * est deja loin*
✔ Comment avez-vous connu le forum ? HINHINHIN. Je squatte. UN PEU. Dessus ahem. Le gars blasé avec les poches de Mary poppins, le truc a tentacules et l'autre parano qui croit que la terre lui en veux. Bah euh, c'est à moi aussi.
✔ Pensez-vous demander un parrain/une marraine ? Marié a Kyle, c'est suffisant.
✔ Autre chose ? ZORA VOUS AIME DEJA.
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Dernière édition par Zora E. Nováková le Mer 18 Avr - 7:54, édité 13 fois |
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