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 PEPSI ▬ I don't care.

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Narcolepsie P. Brown
PEPSI ▬ I don't care. Rangpsy
Narcolepsie P. Brown

Messages : 16
Date d'inscription : 03/03/2012
Age : 28


It's a kind of magic.
Age du personnage : SEIZE ANS
Nationalité: Irlandaise
Relationship:

PEPSI ▬ I don't care. Vide
MessageSujet: PEPSI ▬ I don't care.   PEPSI ▬ I don't care. Icon_minitimeSam 3 Mar - 7:44


PEPSI ▬ I don't care. Image3
    PEPSI, c'est ainsi qu'elle a l'habitude de se présenter puisque plusieurs trouvent son nom un peu trop long. Elle était en TROISIÈME ANNÉE lorsqu'elle est arrivée à Aisling. Née un 10 décembre, ce brin de jeune femme atteint à ce jour SEIZE ans et se trouve en CINQUIÈME année parmi une classe de PSYCHIQUES


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SOMETIMES I THINK I'M CRAZY CAUSE I SEE
THINGS SO DIFFERENTLY THAN EVERYONE ELSE

    Alors, prête à rejoindre cette école ?
    J'ai l'impression d'être à côté d'un ravin et qu'on me pousse dedans.

Narcolepsie. Il lui manque une pièce dans son cerveau, personne ne sait où elle est passée. Dans ce crâne, il se passe bien des choses, mais il manque ce petit filtre qui rend les gens plus sociables et civilisés. Narcolepsie n'a pas appris que certaines choses ne sont pas à dire. Elle ne sait pas mentir, elle est franche. Elle dit ce qu'elle pense lorsqu'elle le pense. Ce n'est pas nécessairement méchant : des compliments ou des phrases sans aucun sens sortent également de sa bouche. Narcolepsie aime la routine et la vénère. Elle est organisée de telle façon que cela peut être considéré comme une maladie. Son linge est classé en type de vêtement puis en ordre de couleurs selon l'arc-en-ciel, ses livres sont rangés en ordre alphabétique, ses bijoux selon leur taille, sa nourriture en ordre numérique selon le taux de calorie. Le pire est sans nul doute son agenda où elle planifie presque toutes les quinze minutes de sa vie et où elle précise comment elle s'habille, ce qu'elle va manger et toutes ses activités avec une trop grande précision.

Narcolepsie est angoissée naturellement. Elle est légèrement pessimiste, mais également, elle a un don naturel pour imaginer le pire du pire. Elle est du genre à penser que si vous la fixez trop, c'est parce que vous êtes un tueur en série. Si elle entend un bruit suspect dans sa chambre, un tueur en série est sous son lit pour la tuer. Narcolepsie se fit beaucoup aux apparences pour se donner une idée des gens. Ainsi, si vous avez l'air louche, elle pourrait vous prendre pour un tueur en série. Non, ce n'est pas de la paranoïa, pas encore. Cette adolescente est très imaginative et croit en beaucoup trop de choses. D'abord, ne jamais oublier les monstres. Oui, elle peut se réveiller un matin et ne pas vouloir sortir du lit parce qu'elle a la certitude qu'une créature se cache sous son lit pour lui manger les orteils. Il pourrait vous arrivez de la croiser dans les couloirs de l'école alors qu'elle court en criant que quelque chose va la manger. Pourtant, un autre jour, elle serait la première à clamer que ça n'existe pas. Tout est mélangé dans sa tête entre la réalité et la folie. De même, la majorité des êtres mythiques et des légendes existent selon elle : nous ne méritons tout simplement pas de les voir. D'ailleurs, elle a une idée fortement préconçu de l'espèce humaine : tous des idiots.

Déçue par le monde, raison pour laquelle elle est légèrement associable. Si elle doit choisir entre passer du temps avec des gens ou passer du temps à la bibliothèque, le choix n'est pas très dur pour elle. Narcolepsie préfère les études. Elle préfère travailler, dessiner, calculer, écrire, pianoter et pleins d'autres verbes du genre plutôt que de devoir engager une conversation. La jeune Brown a toujours travailler pour avoir d'excellents résultats et ne va pas arrêter cette trépidante activité uniquement pour passer du temps avec une personne humaine plutôt que son ordinateur portable. Cependant, il faut comprendre que lorsque Narcolepsie travaille sur ses travaux scolaires, elle rentre dans une sorte de mutisme totale. Pour vous donnez une image, prenez quelqu'un qui est drogué. Si vous lui enlevez sa drogue, il risque de devenir un peu fou, de crier, de pleurer ou de frapper. Maintenant, imaginez Narcolepsie avec un livre dans les mains, une éprouvette, son ordinateur ou un cahier de travail. Enlevez lui et vous aurez à peu près la même réaction. Cette fille adore utiliser son cerveau. Elle aime faire des calculs sur les fonctions trigonométriques, sur les vecteurs ou encore, tout simplement compter tout ce qu'elle voit. Elle aime acheter des livres pour remplir tous les vides qu'ont les lettres comme les « a » ou les « o ». Bref, elle aime réfléchir sur tout et rien ; rendre utile cet organe si bien développé et mal utilisé.

Narcolepsie est très curieuse et c'est la principale raison pour laquelle cette fille interagit avec autrui. Il lui faut quelqu'un qui attire son regard pour pouvoir s'en approcher. Que ce soit par une manie, la façon de parler de la personne, son don, ses résultats scolaires, sa couleur de cheveux, sa grandeur et autre, il suffit qu'un petit détail capte son attention pour qu'elle vous parle. Narcolepsie n'est pas gênée envers les autres, mais si elle n'a pas une raison qui la pousse à faire quelque chose, elle ne le fera pas. Si une personne n'attire pas son attention et lui parle, elle lui répondra de la façon la plus courte possible, voir d'une manière semblable à l'homme de Néandertal. Par ailleurs, il se peut qu'un jour, elle vous parle et discute avec vous de façon tout à fait normal alors que le lendemain, elle vous ignorera ou vous dira franchement qu'elle en a rien à cirer de vous. Il suffit simplement de captiver son attention pour que son humeur change.

Narcolepsie est une réplique format géante du Schtroumpf Grognon. Elle n'aime pas la vie, elle est difficile au niveau de son alimentation, critique beaucoup son entourage, se lamente sur tout et rien, prend des heures à trouver un morceau de linge qui lui plait, elle est perfectionniste et n'abandonne pas une tâche tant que ce n'est pas parfait. Cette fille est très peu empathique et n'a pas l'amitié dans ses valeurs. Peu habituée dans les relations humaines, ne vous attendez pas à quelque chose d'exceptionnel de sa part. Si elle retient votre nom, c'est déjà un bon signe. Son visage affiche majoritairement la même expression : soit l'ennuie, soit un air bête. Peut-être semble-t-elle froide ou insensible de l'extérieur, mais parfois ou plutôt, très rarement, apparait un sourire sur son visage, un petit rire ou des larmes. Oui, cela existe chez elle. Il lui arrive de pleurer à cause qu'elle panique ou qu'elle angoisse trop, mais également de pleurer quand un film est triste. De même, si cela ne parait pas toujours, les phrases peuvent l'affecter : tous à ses faiblesses, il suffit de trouver la bonne chose à dire pour mieux blesser.

Si on fait une brève description des goûts de Narcolepsie, il faudrait commencer par son amour pour les vêtements trop grand et les chandails kangourou. Elle aime manger des biscuits, encore plus la pâte lorsqu'ils ne sont pas encore cuits. Elle aime le goût des fruits, mais apprécie peu celui des légumes. Elle adore le porc, le poulet et le boeuf, mais déteste le poisson et ses amis de la mer. Narcolepsie déteste les pieds, elle trouve que c'est le plus laid membre du corps humain, mais elle est fascinée par les iris. Elle adore les vieux romans écrit dans la vieille langue. Elle adore la pluie, déteste le soleil. L'odeur du gazon fraîchement coupé lui donne envie de vomir, mais celle du popcorn l'a fait baver. Les aliments sucrés sont en danger de mort lorsqu'elle se trouve près d'eux tout comme les aliments bien salés. Par contre, elle délaisse complètement ce qui est sûr et épicé. Elle adore manger, mais déteste faire du sport. Par contre, elle aime être mince et se bouge le cul pour le rester. Narcolepsie possède également des peurs. Elle craint les poupées et est certaine qu'elles sont des jouets diaboliques qui s'animent la nuit pour tuer les enfants. Elle fait parfois preuve d'agoraphobie ce qui la pousse encore plus à rester enfermer dans sa chambre, la bibliothèque ou dans des lieux où peu de gens traînent. L'adolescente ne sait également pas nager et cela est par choix. Oui, elle a peur de l'eau, mais uniquement les grands espaces d'eaux. Malheureusement, sa douche ne lui fait pas peur. Pour la suite, il vous suffit d'apprendre à la connaître..


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I LIKE BOATS, THEY GO PLACES

Pourquoi tu fais ça ?
Parce que c'est comme ça que je me sens bien.

Phantom. Une poupée cassée. Une âme disparue. Un cadavre encore en vie. Une créature minuscule. Phantom se fait juger autant qu'elle juge les autres. Phantom aime son physique autant qu'on le déteste, autant qu'on le trouve laid, autant qu'on l'envie, autant qu'on l'apprécie. Phantom est artificielle, mais réelle. On la penserait malade, mais elle ne l'est pas. Ce poids qui est le sien est faible, mais existant. Ce poids qui entoure son frêle corps est peu visible. Le gras est son pire ennemi : il ne s'approche pas d'elle. Ses muscles sont des alliés disparus; elle est rendue faible, épuisée. Son corps prend le poids de ses os, de ses organes, de ses liquides et de son linge. Troubles alimentaires ? Sûrement. Anorexie ou Boulimie ? Non. Oui. Peut-être. Elle ne se fait pas vomir, c'est son corps qui le fait lorsqu'elle angoisse trop. Elle ne s'empêche pas de manger, elle a juste un petit appétit. Il lui manque une pièce dans la tête, il lui manque cette notion de la faim.

Phantom ressemble à une enfant, à une poupée de porcelaine. Son corps est petit. Partout. Ses os ont pris possession de son être, menaçant la peau à chaque mouvement. On les voit qui se dessine sous celle-ci. On les voit qui la tendent, qui semblent vouloir la transpercer. Cette petitesse lui donne cette apparence si fragile, celle qui nous fait croire que même le vent pourrait la briser. Chacune de ses respirations semblent démontrer une douleur refoulée. Sa poitrine – seul élément qui prouve qu'elle n'est pas une enfant – se soulève lentement en même temps que ses côtes qui se pointent, prouvant leur existence sous cette couche de vêtement. Sa colonne vertébrale trace de petites collines au centre de son dos qui se courbe naturellement. Ses omoplates prennent de l'expansion, ses clavicules créent un vide près de son cou. Mais, elle ne s'en plaint pas. Ses os, elle les aime. C'est sa peau qu'elle aime moins, bien qu'elle l'hydrate et la traite si bien. Une peau d'un blanc laiteux, d'un blanc presque cadavérique. Une peau semi-transparente au niveau de sa gorge et de ses poignets, laissant voir ses veines d'un bleu cobalt ou d'un mauve pourpre. Une peau aussi fragile que celle d'un roux. Une peau qui rougit et laisse des marques lorsqu'on la gratte, qui cicatrice lentement, qui démontre rapidement et longtemps les hématomes de maladresse qu'elle se fait. Une peau lisse et douce comme celle d'un bébé, mais avec l'odeur sucrée de la vanille. Une peau imberbe grâce à la génétique de sa mère.

Phantom semble sculpté dans le marbre, surtout son visage aux traits presque trop nets et faibles en expression. Un visage triangulaire avec un menton légèrement arrondie. Un nez fin, mince et court. Un petit nez à peine retroussée vers le haut qui lui donne un petit air enfantin ou de lutin. Une bouche entourée de minces lèvres qui conservent un air féminin malgré tout. Des lèvres d'un rose qui tire sur le blanc. Dans cette bouche se trouve des dents bien droites, bien blanches, mais usées. La magie des appareils dentaires et des broches. La faiblesse de son corps, ses carences alimentaires ont fait en sorte que sa dentition est fragile et faible. Ses canines ne sont plus, elles se fondent parmi le reste de ses dents : parfaitement droite, toute au même niveau. De cette bouche, elle respire et expire, laissant une haleine de melon d'eau sur son passage. Puis, il y a son regard. Ses yeux, seul élément de son visage qui ne semble minuscule. Des yeux qui sont considérés comme grand, même si elle n'est pas d'accord. Des yeux ayant un iris brun qui tire sur le orange, voir le bronze ou le bourgogne. Cependant, Phantom triche. Phantom mets des lentilles. Des lentilles qui se dégradent du mauve au rose. Ses yeux ne passent pas inaperçu et ce, pas seulement à cause de la couleur. Des yeux d'insomniaque aux allures de drogués. Des yeux cernés de rouge, de bleu et de violet.

Pourtant, vous ne la verrez pas toujours ainsi. Parfois, souvent, généralement, Phantom se maquille. Simplement, mais se maquille tout de même. Le cache-cerne, son meilleur ami. Son fond de teint, le meilleur des alliés. Son mascara, son Eyeliner, son crayon noir ; des compatriotes. Elle aime la simplicité, ce qui est sobre, mais ses lèvres resteront toujours dénudées de substance, sauf du baume lorsqu'elles deviennent sèches. Phantom triche pour la couleur de ses cheveux. Naturellement d'un blond presque blanc, elle les teint d'un rose qui varie à chaque teinture, allant d'un rose foncé au rose pastel puis au rose tirant sur le blanc. Elle aime ses cheveux, bien qu'elle perd toute sa discrétion à cause de leur couleur. Elle aime leur odeur de vanille et leur coupe qui demande peu d'entretient. Phantom a les cheveux naturellement plats et minces. Si mince que si vous les mouillez, il semble transparent, il lui donne une allure peu admirable : une apparence aussi laide que celle d'un chat qui prend un bain. Phantom aime ses cheveux longs qui lui arrêtent dans le bas du dos. Elle aime ce dégradé non désiré qui va de l'avant vers l'arrière. Elle aime sa frange qu'elle travaille au ciseau d'elle même. Cette franche qui lui permet de cacher son œil droit derrière un rideau rosé, mais qui permet de voir en tout temps le côté gauche. Elle aime les attacher en deux couettes basses et lâches avec un simple élastique rouge, noir ou blanc.

Phantom aime se vêtir de vêtements trop grand pour elle. Elle déteste les couleurs trop voyantes, préférant les teintes foncés qui rendent son teint encore plus blanc. Elle aime les vestes Kangourou qu'elle achète dans les sections pour homme. Elle n'aime pas les vêtements courts, sauf lorsqu'il s'agit de robes ou de jupes. Phantom aime la lingerie fine et mignonne, même si elle ne l'expose pas aux autres. Il s'agit d'un détail qui la fait sentir bien, pour elle-même. Un petit secret qu'il est dure de connaître. Phantom renie les accessoires et refuse de porter colliers, bracelets, boucles d'oreilles et autres. Sauf à un détail, elle porte souvent ce foulard d'un rouge vin qui est mince et long. Mais, sur ce corps d'enfant aux allures presque morbides, se trouve quelques marques d'encre qu'elle conservera à jamais. 3 tatouages qu'elle cache aux autres dont un qu'elle masque avec du fond de teint, tous les matins, au niveau de son avant-bras. Ses secrets à elle que les gens ne méritent pas de connaître. Des termes qui la définissent, un dessin qui la représente. Pour les découvrir, ils vous suffisent de les chercher..

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I'M NOT SCARED !

L'INSENSIBILITÉ se définit comme la capacité à ne plus ressentir les sensations, précisément les émotions et les réactions mentales. De façon semblable à l'insensibilité congénitale à la douleur, une maladie réelle qui touche davantage la douleur physique que mentale, ce don crée une augmentation d'endorphine dans le cerveau à un tel point qu'il devient une sorte d’anesthésiant naturel contre la douleur mentale. La diffusion d'endorphine dans le cerveau du possesseur lui donne l'effet d'être en sécurité et le plonge dans un état d'indifférence. Pour se faire une image, imaginons que l'esprit du possesseur serait enfermé dans une bulle où ses craintes et ses peurs n'existeraient plus. Par ailleurs, il ne faut pas omettre de préciser que la douleur mentale est l'unique souffrance annihilée. Par exemple, si le possesseur se jette du haut d'une tour, la peur qu'il devrait avoir durant la chute n'existera plus, mais la douleur de l'impact avec le sol sera toujours existante. Également, cela ne touche pas uniquement les fortes émotions telle que la peur, la souffrance et l’angoisse. L'insensibilité peut également agir lors d'un excès de colère ou de joie.

Narcolepsie maîtrise son don à 49 %, ce qui signifie qu'elle réussir parfois – moins d'une fois sur deux - à l'enclencher de façon volontaire, mais qu'il se met en action généralement de façon inconsciente et sans son contrôle. Dans son cas, lorsqu'elle ressent une forte émotion non-désirée, telle qu'une menace pour sa vie ou une peur incontrôlée, l'insensibilité se déclenche d'elle-même. De même, il peut y voir un effet boomerang : le sentiment effacé peut refaire surface plus tard. Sous l'effet de son don, elle ressemble à une morte-vivante ou à une junkie puisqu'elle rentre dans une sorte de mutisme qui la rend insensible à son environnement. Vous pouvez également comparé cela à un robot ayant un court-circuit puisque le changement d'émotion est rapide et fait penser à un dysfonctionnement de la personne.

Narcolepsie ne traitent pas les gens de façon différentes selon leur classe, chacun aura sa part de franchise. Par contre, certaines classes attirent plus sa curiosité ou son attention et ce, sur des points différents. Les ÉLÉMENTAIRES possèdent les dons puissants, les plus beaux, les plus enviables pour leur utilitée. Les SPÉCIAUX possèdent les dons les plus intéressants à étudier et des caractères particuliers et uniques tout comme les PHYSIQUES qui, bien qu'ils sont moins appréciés par sa classe, sont l'une de ses catégories préférées pour leurs personnalités uniques, leurs dons plus farfelues et leur côté plus amical et ouvert. Quant aux PSYCHIQUES, il n'y a rien à dire de particulier. Petite Brown apprécie et respecte sa classe, envie les pouvoirs de certains et sourie en voyant qu'elle ne possède pas celui d'un autre. Dommage qu'il règne cette compétition entre eux.. Par ailleurs, les ADULTES sont très peu appréciés par cette dernière qui les voit plus comme des ennemis que des alliés. Leur présence se fait intimidante, gênante, détestable, lourde et empli de jugements selon elle.



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LIVING IN THE PAST WILL ONLY FUCK YOU UP

PROLOGUE
UNDESIRABLE
DUBLIN. 10 DÉCEMBRE 1995. 23H17
De sa gorge se déploie cet hurlement, ce cri de terreur, de peur, de douleur et de rage. Elle n'en veut pas, elle ne l'a jamais voulu. Celui qu'elle veut est parti lorsqu'elle est arrivée. Celui qu'elle veut l'a abandonné lâchement lorsqu'il a vu son ventre s'arrondir après quelques mois, refusant son rôle de père. Celui qu'elle veut ne viendra plus. . Elle a abandonné, elle a cessé de croire. Il ne reste que cet amer goût dans sa gorge. Cette sensation de haine qu'elle a porté sur ce ventre étiré, sur cette créature qui deviendra bientôt un nouveau membre de cette société, un nouveau membre non désiré dans une famille qui la déteste déjà. Un enfant qui ne crie pas en arrivant dans ce monde. Un sourire sur les lèvres d'une nouvelle mère, un espoir d'une fausse couche. Pourtant, son enfant ne se laissera pas faire si facilement. Une toux et la fin du bonheur de cette femme est terminée. Le poupon hurle, hurle à briser les tympans, hurle à un tel point que l'on ignore d'où il tire la force pour le faire. Ce bébé prouve qu'il vit, qu'il est là pour détruire la sienne. Cette mère refuse son rôle, cette mère refuse la présence de sa progéniture près d'elle. Un enfant sans nom, sans amour, sans famille. Pourtant, des infirmières qui ne font rien, rien pour aider cette nouvelle âme. Ces dames en blanc doivent écrire un nom, peu importe lequel. Un nom qu'une mère n'aura pas choisi, mais plutôt cette vieille dame dans une chambre de l'hôpital, un peu folle sur les bords, à qui l'on demanda de choisir.. Ainsi, dans ce monde où l'on ne veut pas d'elle, Narcolepsie Phantom Brown vit le jour. Narcolepsie à cause d'une inconnue. Phantom à cause d'une mère qui traite son enfant comme un fantôme. Brown pour une famille qui ne sera jamais la sienne.

CHAPTER I
NONEXISTENT
DUBLIN – SOUTHSIDE. 14 AVRIL 2000. 12H48
Rouge. Bleu. Vert. Il manque du jaune ici, du violet là. Ses petites mains s'agitent, ses doigts tracent des traits grossiers. Ce mur blanc est son tableau, ses doigts sont ses pinceaux. Elle continue son dessin, encore et encore, comme elle a fait ceux qui ornent les trois autres murs de la pièce. Son visage est aussi coloré qu'un arc-en-ciel tout comme ses vêtements et le plancher. Elle est encore jeune, encore petite. Elle essaie d'obtenir ce qu'elle ne réussit pas à avoir : son regard, son attention. Elle ignore qu'elle ne doit pas agir ainsi, personne ne le lui dit. Depuis une heure ou deux, peut-être même trois, cette mère qui n'ose toujours pas la regarder est partie, accompagnée de ce faux père qui ne veut rien savoir d'elle. L'enfant ignore où, l'enfant ignore quand ils reviendront. Elle continue d'attendre en traçant diverses formes dont elle ne sait toujours pas les noms sur les murs. Un bruit sourd parvient à ses fragiles oreilles et un sourire se trace sur son minois. Ses mains se détachent de son œuvre et elle part en courant vers l'entrée où ses parents se trouvent. Narcolepsie court, risquant de tomber à chacun de ses pas sur le plancher bien glissant. Elle prend appui sur les murs autour d'elle, laissant des traces colorées sur son chemin.

Cependant, l'enfant fige devant la porte. Sa mère, son faux père et cette dame, un peu plus vieille que sa mère, plus jeune que sa grand-mère, qu'elle ne connaît pas s'y trouvent. La peinture glisse de ses mains pour tomber goutte par goutte sur le tapis de l'entrée. Petite créature reste sans mot, la bouche ouverte. Elle voudrait dire quelque chose à sa mère, lui dire qu'elle lui a fait une surprise, mais elle ignore comment le faire. Pauvre enfant, trop jeune pour savoir démêler son esprit embrumé. Trop jeune pour comprendre complètement la situation, pour savoir que ses efforts sont vains, qu'elle est trop détestée. Sa mère passe à côté d'elle, l'ignorant complètement. Son beau-père la suit, mais d'un pas plus pressé. Ce dernier a vu l'enfant, a vu la peinture sur son visage, sur ses mains. La petite fille se retourne sur son passage, oubliant la dame qu'elle ne connaît pas, et court à nouveau vers le salon où se trouve son trésor. Elle veut voir la réaction de sa mère, voir un sourire sur ses lèvres, avoir le droit à un commentaire. Cependant, dans sa petite course maladroite, elle glisse et s'étend dans son long dans le couloir qui mène à la fameuse pièce.

NAAAARRCOOLEEPPSSIE !

L'enfant reste sur le sol et n'ose pas bouger. Les larmes montent à ses yeux ; elle connaît ce ton de voix, elle connaît son propriétaire. Ils ne sont pas contents, son trésor ne leur plaît pas. Elle est encore jeune, elle ne comprend pas. Pourtant, cette inconnue vient vers elle et la soulève comme si elle était une petite plume. Il faut dire qu'à cet âge-là, l'enfant était déjà bien maigre. La dame la prit dans ses bras et l'amena vers la salle de bain pour l'asseoir sur le dessus du comptoir. À l'aide d'un linge humide, elle commença à lui nettoyer le visage. Narcolepsie se laisse faire, sans dire un mot, sans rien comprendre. Elle continue de pleurer comme un enfant le fait lorsqu'il se fait gronder. Un sourire se dessina sur le visage de la vieille dame. Cette dernière arrêta son acte et tendit la main à l'enfant.

Mon nom est Miranda O'Connor. C'est moi qui serait ta gardienne à partir de ce jour. Quelle est donc le nom de la magnifique demoiselle devant moi ?

L'enfant ne lui répond pas. Elle fixe la main sans pour autant la prendre, elle fixe les yeux de son interlocutrice sans s'en détacher. Aucun mot ne répondit à la dame ce jour-là, mais Miranda sut qu'elle était acceptée par la jeune enfant qui éclata en sanglot en se serrant contre elle.

CHAPTER II
ABNORMAL
DUBLIN – SOUTHSIDE. 07 JUIN 2005. 19H12

Cinq ans qu'il est là. Cinq ans qu'il lui vole cette attention qu'elle n'a jamais eu. Elle le déteste, le haït. Pourquoi lui et non elle ? Pourquoi ne peut-elle peut en avoir une petite partie ? Enfant gâté, enfant pourri. Elle le jalouse, elle l'envie. Malik, son pire cauchemar. Malik, le garçon qu'elle déteste. Étouffe-toi, cesse de respirer, fait-toi frapper par une voiture, boit de l'eau de javel. Meurs tout simplement. L'enfant grince des dents, l'enfant frappe son oreiller violemment. Injuste petite enfance, colère puérile.

De tous ses jours qu'elle le déteste, jamais elle n'aurait pu autant le détester. Jamais elle aurait cru qu'il lui aurait autant volé, qu'il lui aurait autant pris la seule chose qu'elle désire. L'heure tourne, il arrive bientôt 19h13. Elle est là, dehors, en train d'attendre. Assise sur le banc à l'extérieur de la maison, elle fait balancer ses pieds de l'avant vers l'arrière. Elle attend cette voiture qu'elle connaît tant, cette dame qu'elle aime tant. Elle attend celle qui l'accueille avec un sourire si agréable et si charmant. Cette dame qui était sa gardienne devient aujourd'hui une tutrice légale. Cette dame qui l'a élevé comme sa propre fille devra maintenant le faire réellement. Aujourd'hui, la famille Brown n'est plus la sienne, si elle l'a déjà été un jour. Aujourd'hui, sa mère a décidé de faire le grand pas, accompagné d'un faux père heureux de ce choix. Un acte qui a fait pencher la balance vers un choix qu'elle ne peut qu'accepter. Cette haine qu'elle éprouvait contre Malik. Cette jalousie sans fin qu'elle n'a pu retenir en elle.

Il y trois heures de cela, le petit Malik prenait un bain. Il n'était pas seul, évidemment que non. Pourtant, il l'a été. Un petit instant. Une mini seconde. Une simple minute assez longue pour Narcolepsie. Sa mère quittait la pièce pour aller chercher un vêtement sec pour son bambin tandis que Narcolepsie restait assise à côté d'eux, espérant tout de même que cette mère oserait lui parler, lui accorder un simple regard. Une déception, encore. Bientôt, ils partiraient ensemble pour une promenade. Sans elle, évidemment. L'envie fût si forte, si intense, si incontrôlable. Cette jalousie qui grugeait son âme eut raison d'elle, de son acte. Narcolepsie s'est approché de ce petit frère, de cette calamité qu'elle haïssait tant. Il ne savait pas, il ne comprenait pas. Il l'avait regardé avec un tel sourire lorsqu'elle s'était approché de lui. Ce petit rire s'était vite transformé en silence lorsque, en le tenant par les épaules, sa fausse sœur le fit plonger dans l'eau. Quelques bulles montèrent dans l'eau, les petites jambes gigotèrent. Cependant, ce fût tout. Sa mère revint et la poussa loin de son seul enfant. Elle criait, le faisait tousser, le câlinait et le consolait alors qu'il pleurait. Son mari vint se rajouter et comprit rapidement la situation. Des cris de colère s'élevèrent, ses mains s'agitèrent. Narcolepsie restait là, devant cette scène qui la laissait indifférente. Son regard plongé dans le néant, son visage insensible à son acte. Elle regardait sans être présente. Elle se sentait bien comme si elle était ailleurs, comme si son esprit était embrumé.

Enfin, la voiture qu'elle connaît tant tourne le coin de la rue et arrive. Enfin, elle se sentira appréciée quelque part. Enfin, elle pourra pleurer. Cette sensation de bien-être est partie, la peur et l'angoisse ont repris possession de ce corps détestée. Elle veut voir son visage familier, elle veut avoir un câlin, elle veut être pardonnée. L'enfant se lève et se dirige vers la voiture maintenant arrêter. À peine la conductrice est-elle sortie que l'enfant se colle contre elle, pleurant de tout son âme, laissant ressortir ses émotions qu'elle tentait de garder pour elle. Elle crie, comme un nouveau né. Elle crie de plus en plus fort, laissant sortir sa rage, sa peur, sa colère, sa tristesse. Malgré son acte, Miranda est là et la prend dans ses bras. Elle comprend, elle compatit. Pourquoi punir une gamine lorsqu'elle sait que son acte n'était pas le bon ? Son esprit est suffisamment torturée, elle le sait.

Les papiers furent signées rapidement, les bagages furent placés dans la valise et Narcolepsie, endormie après avoir tant pleurée, fût couché sur la banquette arrière du véhicule. Miranda O'Connor devait à présent une mère, une vraie mère. Cette petite était la sienne depuis le jour où elle était arrivée dans sa vie. Elle le savait, même si Narcolepsie continuait de s'accrocher à l'espoir que sa mère finirait par l'accepter. Elle savait que ce jour arriverait et l'acceptait. Arrivée dans son petit loyer, cette nouvelle mère plaça l'enfant dans son lit, embrassa son front et ferma la porte de la chambre avant d'aller regarder son courrier. Il y avait cette lettre parmi les factures, une lettre qui ne lui disait rien. Dans la lueur d'une faible ampoule, elle ouvrit cette enveloppe et lu son contenu. Un poids se rajoutait dans la vie de Narcolepsie, une nouvelle étape commencerait. Pourtant, même si cette nouvelle pouvait être déconcertante, Miranda l'acceptait. Si l'enfant était ainsi, elle la prendrait ainsi jusqu'au jour où elle ne voudrait plus d'elle.

CHAPTER III
FOREVER ALONE
DUBLIN – NORTHSIDE. 26 octobre 2010. 08H54

Elle attend dans cette pièce, dans ce fauteuil en cuir inconfortable. Elle attend que l'homme prenne ses lunettes pour lire ce fameux bout de papier qui semble tant intéresser les gens autour d'elle. Des inconnus, des intrus. Des voleurs, des vautours. Ils ne sont pas là pour les bonnes raisons, l'enfant le sait. Narcolepsie regarde le vieux notaire et attend le moment véridique. En ce 26 octobre, alors que les étoiles commençaient à peine à disparaître du ciel, la nouvelle était déclarée. Lorsqu'on le lui avait appris, quelque chose s'était brisée dans l'adolescente. Une ancienne blessure venait de s'ouvrir, de s'agrandir. Ce matin, l'enfant regardait à travers un mur de verre cette mère qui n'était plus. Aujourd'hui, la femme qui l'aimait tant avait disparu de ce monde. Ce monde qu'elle haït, qu'elle renie, qu'elle déteste.

Dans ce document se trouve les volontés de la défunte Mademoiselle Miranda O'Connor. Ceci commence comme suit...

Elle n'écoute pas. Elle ne veut pas savoir. Son esprit s'engourdit, elle sait déjà ce que cela signifie. Un homme était venu à la maison lui expliquer ce qui se passait dans son esprit. Un homme qui était venu à cause d'une lettre.

[…] Je désire que la maison soit vendue dans une enchère. Les meubles et objets qui l'occupent appartiennent uniquement à ma seule fille, Narcolepsie Phantom Brown. Celle-ci peut décider de vendre ce qui ne lui sera pas utile ou les conserver...

Pourquoi elle ? Pourquoi maintenant ? Sa gorge se serre, puis se détend. Son corps tendue comme la corde d'un arc se relâche lentement. Narcolepsie soupire, écoutant des brimes de phrases ici et là, sans vouloir les entendre. Les écouter prouveraient qu'elle est morte. Les écouter reviendrait à voir la réalité. Sa tête s'engourdit, ses bras aussi. La peur s'amenuise, le chagrin aussi. Quelle belle sensation que ce vide intérieur, que ce silence mental.

[…] Je souhaite que le quart de mon argent soit accessible directement à ma fille unique. Le reste de mes avoirs et ceux obtenus lors de la vente de la maison seront placés dans un compte lui appartenant dont l'accès lui sera autorisé uniquement lorsqu'elle atteindra l'âge majeure...

Elle ne remarque pas ces regards de haine qui lui sont adressés. Elle ne sent pas cette colère, cette jalousie. L'adolescente fixe devant elle le vieil homme. Elle fixe la scène d'un œil flou, dans le brouillard de son cerveau. Elle ne veut pas regarder ses gens qui ont fait parti de la vie de Miranda. Cette famille qu'elle ne connaît pas, mais qui la déteste déjà. Cette famille qui voulait obtenir un faux souvenir de l'une des leurs. Des vautours, des parasites. Ils devraient avoir tous honte de leur acte, de leur présence. L'enfant devrait se lever et crier. Leur rappeler comment ils ont coupé les ponts avec leur fille, leur soeur. Pourtant, elle reste assise, sans bouger, incapable du moindre mouvement. C'est ainsi, elle le sait. Elle se sent bien, incapable de combattre cette bulle qui la protège de la réalité.

[…] Je veux que Narcolepsie aille étudié à Aisling si je décède. Je souhaite également conserver la garde légale de ma fille, même dans le cas présent. Je refuse qu'une autre personne prenne ma place dans sa vie. Les papiers administratifs pour son inscription ont été remplis préalablement dans le cas où ce testament serait lu. Ils se trouvent dans le troisième tiroir, du côté gauche dans la...

La jeune fille se lève, elle en a assez entendu. La suite ne l'intéresse pas, comme le début ne la jamais intéressé. Elle sait déjà ce qu'elle doit faire : sa mère et elle en avaient déjà discuter auparavant. Cette école, peu normale, allait l'accueillir. Son destin venait de changer et elle était impuissante face à ce détour. Elle ouvre la porte, se laissant baigner dans la lumière du matin qui réchauffe légèrement sa peau. Pourtant, dans ce corps qui se couvre de chaleur, se trouve cette âme glacée.

EPILOGUE
I DON'T CARE
CORK – AISLING. 1er AVRIL 2012. 01H36

Le temps passe, le temps court. Déjà deux années qu'elle s'y trouve. Déjà deux années que sa vie s'est modifiée. Même si elle aurait refusée, même si elle aurait été en accord, elle ne pouvait rien y faire. Son caractère est restée le même malgré tout ce temps. Ses principes n'ont pas changés, sa façon de pensée s'est peut-être même empiré. Entre ses murs, la logique n'existe plus, la sienne non plus. La curiosité a remporté sur son esprit, elle veut comprendre ce qui se passe dans sa tête, dans la tête des autres. Ils sont tous ici, tous pris avec le même problème.

L'insomnie est là, comme dans la majorité de ses nuits. Les souvenirs la travaillent, elle ne réussit pas à les oublier. Même si elle reste indifférente, même si elle réussit à ne pas les sentir, ils sont là, attendant la moindre de ses faiblesses. Ce don est une malédiction, elle ne réussit pas à faire son deuil. La douleur est toujours là, se faisant simplement repoussé à chaque fois qu'il se déclenche. Elle se souvient ce jour où Malik lui a tout pris. Elle se souvient de ce jour où elle a retrouvée sa mère sans vie. Elle se souvient de ce moment où elle a été impuissante, où elle a abandonné tous souvenirs matériels d'elle pour respecter ses volontés. Un frisson parcourt le maigre corps, mais elle sait déjà ce qui va se passer. L'adolescente sait qu'elle ne ressentira pas la douleur de ce souvenir. Elle sait qu'il ne lui restera que ce faux sentiment de réconfort. Les blessures de son don sont pire qu'une malédiction. Elle a jamais voulu de cette différence, comme elle n'a jamais voulu de cette vie.


________________________________________

COOKIE MONSTER IS IN THE PLACE !

J'ai 16 ANS, je suis à ce jour identifiée comme une FILLE, mais avec une mentalité qui tourne un peu trop masculine parfois, semble-t-il. Mon avatar est YUZURIHA INORI DE GUILTY CROWN. Je connais le forum parce que je suis une ANCIENNE MEMBRE et je me souviens plus de mon ancien pseudo. J'avais quitté pour des raisons personelles et de temps, mais je réussi pas à trouver un forum aussi bien que le vôtre ♥ Je ne pense pas avoir besoin d'un parrain/marraine. Sinon, j'ajoute que je regarde souvent les fiches et je me demandais c'est qui ATHOS ? Ça dérange si j'ai changé le code ? é_è Je vais corriger les fautes à la fin, il est 1h du matin dans mon chez moi et je suis un peu fatigué là ! Fin de la transmission ~



Dernière édition par Narcolepsie P. Brown le Ven 6 Avr - 18:57, édité 19 fois
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MessageSujet: Re: PEPSI ▬ I don't care.   PEPSI ▬ I don't care. Icon_minitimeLun 5 Mar - 19:40

Bienvenue !

Alors, effectivement, elle est psy à mon goût. Pourquoi pas l'insensibilité pour enfin oublier ces peurs, ou bien le contrôle monétaire ( "Plus besoin de convertisseur, transformer un dollar au prix correspondant en euro, en yen, et dans toutes les monnaies du monde est désormais une question de claquement de doigt." ), elle qui aime mieux calculer que discuter, ça pourrait l'amuser ? /o/

( hiii Guilty crown )

Athos est un membre dont Arthur aime beaucoup se moquer, huhu. Lui en l'occurence /o/
Edit A; HUHUHU.

Et ça ne gène pas que tu changes le code, ne t'en fais pas >D

Bonne continuation !
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MessageSujet: Re: PEPSI ▬ I don't care.   PEPSI ▬ I don't care. Icon_minitimeLun 5 Mar - 20:13

    Uhm.. L'INSENSIBILITÉ m'intéresse, mais j'aurais besoin d'une petite précision sur en quoi cela consiste ;__;
    On parle d'insensibilité physique (du genre, je me prend une porte en pleine face et ça me fait pas mal ?) ou mentale (exemple, mon chat de mourir et ça me fait pas pleurer ou encore, je tombe en bas d'un édifice et j'ai même pas peur ?)
    Est-ce que cela agis uniquement sur elle, uniquement sur les autres ou dans les deux cas ?
    Merci éè
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MessageSujet: Re: PEPSI ▬ I don't care.   PEPSI ▬ I don't care. Icon_minitimeMer 7 Mar - 17:25

Il s'agit d'une insensibilité mentale qui n'agit que sur elle. :3
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MessageSujet: Re: PEPSI ▬ I don't care.   PEPSI ▬ I don't care. Icon_minitimeVen 16 Mar - 14:53

Bonjour, puis-je savoir où en est la fiche :3 ?
Vous avez sept jours pour vous manifester~
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Narcolepsie P. Brown
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MessageSujet: Re: PEPSI ▬ I don't care.   PEPSI ▬ I don't care. Icon_minitimeVen 16 Mar - 19:04

    Je finis pour ce dimanche, j'ai repris l'école et je pensais pas que ça pourrait prendre autant de temps dans mon horaire >_<
    EDIT - 25 MARS 2012 - Imprévu dans mon horaire, j'essaie de terminer cette semaine, promis !
    Il me reste deux parties de l'histoire à écrire et rajouter un détail pour le don !
    EDIT - 1er AVRIL 2012 - Devoirs, activités, dérangement personnel, travail.
    J'ai presque fini, je tente demain soir après mon travail !
    Il me reste une partie, toute petite, de l'histoire à écrire !
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MessageSujet: Re: PEPSI ▬ I don't care.   PEPSI ▬ I don't care. Icon_minitimeLun 2 Avr - 5:12

    J'admets, je suis une vilaine petite chose.
    JE M'EXCUSE À MORT. et je ressuscite pour m'excuser à nouveau pour le délai prit.
    Je pensais pas que j'aurais autant d'activités d'un coup dans ma vie.
    BREF.
    J'ai fini ma fiche ! - inséré ici une pointe de fierté -
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MessageSujet: Re: PEPSI ▬ I don't care.   PEPSI ▬ I don't care. Icon_minitimeSam 7 Avr - 19:03

Eh bien tout est ok, je valide, donc. N'oublie pas d'envoyer ton secret par MP à Bonnie. ♥
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MessageSujet: Re: PEPSI ▬ I don't care.   PEPSI ▬ I don't care. Icon_minitime

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