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 Fran | It is easier to talk to myself.

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Fran Lorenzen
Fran | It is easier to talk to myself. Rangadulte
Fran Lorenzen

Messages : 69
Date d'inscription : 19/08/2011
Age : 31


It's a kind of magic.
Age du personnage : 26 ans
Nationalité: Danois.
Relationship:

Fran | It is easier to talk to myself. Vide
MessageSujet: Fran | It is easier to talk to myself.   Fran | It is easier to talk to myself. Icon_minitimeDim 29 Jan - 20:18

Fran Lorenzen

.
Lorenzen Brothers Company
Fran | It is easier to talk to myself. A13
✂️ Surnom : Fran, c’est déjà bien assez court. Les élèves aussi l’appellent par son prénom, d’ailleurs.
✂️ Age : 26 ans.
✂️ Profession : Professeur de musique.
✂️ Ancienneté : « Bonjour, je suis un newbie »
✂️ Situation amoureuse : 8D
✂️ Ancienne classe : Selon le bon vouloir du staff, même si je dis non aux dons elem. Obviously.
I live in the same world as everyone else.

.
I just saw more of it.

Il s’était immobilisé, subitement. Sa respiration même semblait s’être arrêtée, et son visage avait perdu son expression. Il s’était juste perdu brutalement dans ses pensées, et en oubliait même les élèves, alors que sous ses yeux se déroulait un évènement autrement plus intéressant à ses yeux, bien qu’infime, imperceptible, et incompréhensible.

Et ça le prend souvent, ce genre d’attitude. A en oublier jusqu’à la clope qui parfois se consume au coin de ses lèvres. Personne ne sait ce qui lui passe par la tête dans ces moments-là, alors que c’est déjà pas assez glorieux en temps normal… Mais lui, ce qu’il voit, c’est des couleurs et des lumières, qu’il associe à des sons par habitude. C’est un sentiment, une impression, quelque chose à exprimer, mais sans pouvoir utiliser des mots trop insuffisants. C’est sa bulle, celle qu’il aimerait bien éclater un peu sans oser le faire, pour se protéger ; mauvaise manie qu’il a pris lorsqu’il était enfant.
La réalité pourrait le brancher un peu plus, si elle était pas aussi grise. Il aimerait y ajouter des couleurs, en reprendre l’harmonie pour changer un peu les choses, mais il n’ose pas. Juste parce qu’il ne sait pas parler, parce qu’il a honte de sa maladresse et envie son frère pour ça, lui qui arrive si bien à trouver le mot juste et la phrase assassine. Fran n’y parvient pas, s’en frustre, estime que mille mots sont bien insuffisants. Il a voulu voir plus loin, et a découvert une piste intéressante, qui s’est transformée rapidement en passion.
Fran en est hanté, et échappe petit à petit au reste du monde, pour aller au-delà, atteindre les idées pures et les interpréter à sa manière. Les secondes prennent des heures pour s’écouler, sans qu’il en tienne compte, parce qu’il a décidé de narguer tout le monde, de faire sa vie sans entraves. Traitez-le d’idiot, il fait juste un pied de nez au reste du monde, parce qu’il a su trouver sa liberté, parce qu’il est de ces évadés qu’on ne rattrape jamais.
Qui le croirait, alors qu’il est le premier à prendre ce qu’on peut lui dire au premier degré, au point d’être capable d’aller se pendre parce qu’on l’envoie bouler avec cette subtile suggestion ? Il ne fait juste plus trop attention, et préfère protéger cette âme d’enfant qu’il a su conserver, tout en grandissant correctement. Il y croit encore, en cette magie qui transcende la réalité, et il arrive à l’exprimer, à coups de textes et de partitions. Et il s’y accroche, il veut que ça prenne forme en sachant très bien que c’est impossible, que ces belles choses qu’il voit ne sont que du vent. Alors il hésite, se tait, se persuade. Il n’est jamais aussi vivant que dans sa bulle, tout en sachant qu’à trop jouer avec, il pourrait ne pas en revenir.
Finalement, le voilà, qui se laisse porter par le courant, tout en osant lui faire face en silence. Il reste ce qu’il a toujours été, libre, refusant le compromis. Peut-être est-ce trop dramatique ? En tout cas, après ses évasions mentales, il finit toujours par revenir dans ce corps sans fenêtres.
It's the end of the world as we know it.

.
♠️ ♥️ ♣️ ♦️

✎ Don : Saut dimensionnel
✎ En détail : Besoin de belles tomates en plein hiver? Pas de soucis, suffit de venir demander à Fran, et il ira se balader ailleurs pour en trouver. Mais vraiment, ailleurs. Cela dit, il ne peut pas non plus y rester indéfiniment, et lorsqu'il n'est pas là, il n'y a aucun moyen de communiquer avec lui. Alors si le bon monsieur ne répond pas au téléphone, c'est soit parce qu'il a oublié son portable, soit parce qu'il s'est barré... Ben dans une autre dimension, quoi.
✎ Maitrise : Don plus utile qu'il n'y paraît, mais plutôt ennuyant quand on se retrouve dans un lieu parfaitement inconnu sans savoir comment, de manière absolument aléatoire, Fran a pris la peine d'apprendre à le maîtriser pour ne plus être embêté. Pour chercher des produits frais pour le frangin, aussi. Mais surtout, pour aller littéralement se couper du monde quand il en a marre.
✎ Lui & les ELEM : Il n'a jamais vraiment compris leur besoin de prendre les gens de haut, mais bon. C'est pas non plus comme si ça le touchait particulièrement.
✎ Lui & les SPE : On y trouve de tout. Vraiment. Du coup, il les aime bien et les trouve intéressants. Puis c'est son ancienne classe, il y a quand même un petit attachement.
✎ Lui et les PHY : Ils sont... Très bruyants. Trop bruyants. Fran est peut-être trop à l'ouest pour suivre leurs délires.
✎ Lui et les PSY : D'apparence sérieux et calmes, mais ils savent bien se cacher... Et Fran s'en fout, en fait.
✎ Lui et les ADULTES : Ah ses collègues. Il y a bien son frère, Kaine et Raphael qui sont très proches de lui, mais sinon il passe pour être sauvage, alors qu'il est juste... Lui-même. Enfin il veut bien discuter, mais il risque de déconnecter d'un coup pour faire ce qui lui plaît.
I have been tamed

.
by the poison of half smiles and glancing eyes.

Il avait depuis un moment perdu la notion de temps, pour faire ce qu'il voulait quand il le voulait. La seule règle était de ne pas embêter les autres.

On a beau avoir Lorenzen comme nom de famille, on est jamais assis que sur son cul. Et la règle s'appliquait toujours, en cette nuit du 22 juin, alors qu'une voiture perturbait le trafic habituellement calme de Copenhague pour foncer vers une maternité privée. L'homme avait les mains crispées sur le volan, tandis que la femme essayait de garder une respiration régulière comme on lui avait appris dans les séances de préparation à l'accouchement et la maternité auxquelles elle n'avait pas manqué d'assister. Cela dit, la tâche était rendue ardue par non pas un, mais deux êtres, qu'elle avait porté à terme. L'épouse Lorenzen, nobliote de service, accoucha donc comme n'importe quelle femme, avec certes quelques difficultés. Aussi, le premier enfant naquis le 22 juin, à une heure avancée de la nuit, et ce ne fut que quatre-vingt-dix minutes plus tard que le suivant daigna pointer le bout de son nez, le 23 juin, à une heure très avancée de la journée. Deux garçons, Dan et Fran, nés à une journée d'intervalle, avec même un signe astrologique différent, comme l'indiqua l'une des infirmières sur le ton de la rigolade.

Tout avait été préparé pour eux, et tout aurait du se passer selon le plan des parents. Mais ce serait oublier que chaque être à une volonté propre, et ils en firent les frais par la suite. Durant les premières années, le projet fut de modeler les enfants à leur convenance, en faisant d'eux l'objet de toutes les intentions, de tout les soins, afin de les éduquer parfaitement. Avec Dan, l'affaire semblait bien fonctionner. Cependant, Fran se montra rapidement problématique et incompréhensible. Très tôt intéressé par la musique, cette dernière semblait être un de ses seuls intérêts, et pour le reste, il était complètement dispersé. On le voyait maladroit, trop distrait et peu digne de confiance, opposé absolu de la perfection qu'était Dan. Il ne tenait pas compte des convenances, faisait même comme bon lui semblait, et sans que ce soit véritablement gênant - au contraire, les gens s'en amusaient facilement -, un agacement se fit sentir chez les parents. Et cet agacement se transforma rapidement en quelque chose d'autre, de plus âpre. Une sorte d'abandon derrière une façade proprette. C'était sans doute de là que lui venait son manque de volonté en ce qui concernait les convenances. En tout cas, l'ambiance n'était pas franchement au rendez-vous, et Dan s'évertuait toujours à le protéger secrètement, pour lui sauver un peu la peau. Mais le plus fâcheux fut sa propre attitude. Il s'enferma lentement, pour échapper aux pluies de reproches, aux regards pleins de trop de dédain et de déception. Fran le savait, il ne faisait que s'enfoncer. Mais il n'avait pas envie de répondre, il ne voulait pas se justifier aussi inutilement. Il y avait des choses plus intéressantes.

D'un geste paresseux, il alluma une cigarette, et s'installa sur l'avancée intérieure du cadre de la fenêtre, cendrier à portée de main et coussin sur les genoux. Il réfléchissait à sa manière, en laissant son esprit vagabonder d'idée en idée.

Ce qui dégrada sans doute l'affaire de Fran, ce fut lorsque son don se déclara. En même temps que son frère, certes, mais le sien semblait bien plus catastrophique aux yeux de ses parents. C'est vrai, Dan qui possédait les gens comme il le voulait - ou pas - c'était moins fâcheux... En tout cas, ce fut surtout avec Fran que les braves parents Lorenzen en firent un flan.
Fort heureusement, une lettre leur parvint, avec dedans des explications sur le pourquoi du comment de tout ça, et la recommandation d'envoyer leurs enfants dans une école spécialisée si ils ne voulaient plus d'avoir d'ennuis avec... Leurs dons, dont les spécificités étaient détaillées dans le courrier, sans oublier des bracelets de contrôle en attendant qu'ils entrent dans l'école choisie.
A douze ans, ils furent donc envoyés à Aisling. Fran soupçonnait ses parents d'avoir voulu l'éloigner, sans rien laisser paraître. Mais n'ayant aucune preuve solide, il préféra ignorer la chose. Aussi, il se sentit bien plus en vacances lorsqu'il était en cours que lorsqu'il revenait au domaine familial pour les fêtes et les vacances d'été. A la maison, son unique moyen d'échapper à une ambiance trop lourde à son goût était la musique. Il s'y était mis jeune, et y avait toujours trouvé un moyen de communication bien plus évolué que les mots. Plus plaisant, aussi. Ce fut pendant son adolescence qu'il commença sérieusement à faire des compositions, qu'il testait la nuit, en période scolaire, en se glissant dans la salle de musique à l'insu de tous, ou en disparaissant à l'aide de son don.
C'était comme ça qu'il avait rencontré Raphael, lorsqu'ils étaient en dernière année. Dan, qui semblait être en bons termes avec lui, lui en avait déjà parlé. Mais Fran était surtout occupé à tenir compagnie à Kaine, son camarade de chambre. Muet, mais loin d'être idiot, il était sans doute l'une des personnes connaissant le mieux le danois. Mais Raph' s'était incrusté dans ce cercle très fermé avec une facilité déconcertante. Ce soir-là, Fran profitait d'une grosse bringue organisée pour aller tâter du clavier, et savait très bien que les surveillants seraient occupés à tenter de mettre un terme à la fête. Ce qu'il n'avait pas prévu, cependant, c'était d'être vu par un élève. Un lourd silence entre les deux, l'un gêné, l'autre surpris, avant que l'américain ne donne son avis sur ce qu'il venait d'entendre et ne parte aussi vite qu'il était arrivé. De fil en aiguille, ils avaient ainsi trouvé un bon terrain d'entente, au cours de cette dernière année à Aisling.

Il écrasa le mégot dans le cendrier, et posa sa tête contre la vitre. Encore une nuit sans sommeil. Dommage, il allait encore être fatigué, à croire que les traits de son visage ne s'estimaient pas assez tirés comme ça.

Après ça, il opta naturellement pour le Conservatoire. Ses parents, il ne les voyait que par obligation, et seulement en présence de Dan, à croire que celui-ci était devenu son avocat. Pour le reste, il avait son propre petit studio, et vivotait dans son coin, naviguant entre les cours et un job à mi-temps histoire de pouvoir vivre un peu. Ses parents refusaient de l'aider, de toute manière, alors autant se débrouiller tout seul. Après trois ans de travail intensif au Conservatoire, il eut la folle idée de vouloir passer des auditions à l'Opéra, et suivit son instinct sans accorder de réflexion à autre chose que ce qu'il allait proposer.
Le jour J, des regards étonnés se posèrent sur lui, lorsqu'il s'installa à côté des autres candidats. La plupart était plus âgés, et tous étaient bien habillés. Lui, il avait plutôt l'air de débarquer, avec ses cheveux de jais mi-longs, son regard sombre, et son air de jeunot. Pas très grand, il s'était contenté d'une chemise blanche aux manches retroussées, d'un jean noir et de chaussures noires. Des tics firent leur apparition sur quelques visages à la vue du vernis noir qu'il osait porter en ces lieux fait pour l'élégance. Fran les ignora et attendit son tour sans un mot. Certains regardaient une dernière fois leurs partitions, lui révisait mentalement. C'était facile, très visuel et intuitif pour lui.

Et ce fut son tour. Il salua discrètement le jury, qui lui donna ses consignes après lui avoir posé quelques questions. Prenant une longue inspiration pour garder la tête froide, il s'exécuta après s'être installé devant le piano, placé dans une salle originellement prévue pour des entraînements de danse. Les sons envahir la pièce, suivant un rythme précis. Il y avait quelque chose de rigoureux, mais aussi de la sensibilité. La seule femme du jury, d'âge mûr, qui l'avait reluqué en pinçant les lèvres lorsqu'il était entré, l'observait cette fois-ci avec beaucoup plus d'intention, et de manière générale, il semblait avoir capté l'attention du jury, mais ne s'en rendait pas compte. Absorbé par son travail, il fut choqué l'espace d'un instant lorsque la femme se leva et l'interrompit. Elle sortit d'un pas décidé, et revint quelques minutes plus tard avec une ballerine à l'air surpris d'être elle aussi interrompue dans son entraînement. Avec un regard plein de défi et un petit sourire en coin plaqué sur le visage, la femme exigea de lui qu'il joue un morceau de sa propre composition, et que la jeune femme qu'elle avait amené improvise dessus, demande franchement incongrue. Déstabilisé, perturbé à l'idée de montrer ce qu'il estimait privé, il s'attela cependant, avec en tête les enjeux de l'audition.
Il jaugea la danseuse, tout en cherchant dans sa tête ce qu'il pouvait faire. Son premier sourire depuis le début de l'audition se dessina, alors qu'il était satisfait de son choix. D'un signe de tête, il s'accorda rapidement avec la jeune femme, et commença à jouer. Elle prit un instant pour écouter les premières notes, capter le rythme et l'esprit. Le début était très léger et doux, il lui évoquait quelque chose de printanier, une petite excitation à la venue des beaux jours. Son corps se mit en mouvement rapidement, presque de lui-même, pour interpréter à sa façon ce qu'elle écoutait. C'était joyeux, et lumineux. Elle se sentait légère, et au fil de la musique, malgré quelques hésitations lors du changement de rythme, elle comprenait de mieux en mieux ce qu'elle écoutait. C'était le vent, qui emportait tout, qui survolait et faisait ce qu'il voulait; des notes claires, d'autres plus profondes, et elle avait sous ses yeux des éclats colorés multiples. Elle se sentait libre, hors de son propre corps. Le rythme changea d'un coup, se fit plus calme, pour repartir lentement, dans un esprit plus paisible. Un soir calme après une course effrénée, baigné d'une lumière douce et de délicates senteurs.
Lorsque la musique se stoppa, en même temps que la danseuse, un silence précéda des applaudissements, d'abord de la femme, puis du reste du jury. Les deux jeunes gens se regardèrent, l'air satisfait, et Fran se leva pour aller vers le jury.

Son regard se reporta sur le coussin posé sur ses genoux. La housse était tricotée maison, avec les typiques motifs scandinaves dessus, dans des couleurs lin gris et rouge qui lui rappelaient l'hiver. C'était Sunniva qui lui avait tricoté ça.

Quelques jours plus tard, il avait un vrai travail, et des danseuses qui avaient décidé de lui tourner autour. Mais il faisait du favoritisme à celle qui avait été présente lors de son audition. Une norvégienne d'un an sa cadette, Sunniva, qui avait ressorti la vieille blague sur la langue danoise, "mais comment vous faites pour vous comprendre entre vous?", avec un air malicieux. Sans s'en rendre compte, ils avaient fini par vivre sous le même toit.
En parallèle, les ponts avaient définitivement été coupés avec sa famille, après le surprenant coup d'éclat de Dan, qui avait fait preuve de beaucoup de panache du début à la fin. Fran était resté silencieux, alors que son frère avait prit violemment sa défense auprès de ses parents. Il avait conscience du risque prit, et le couple Lorenzen se retrouva sans héritiers digne de ce qu'ils estimaient être leur rang, alors que c'était juste un orgueil stupide et obsolète. Et lui, comme toujours, il était resté silencieux, il avait laissé son frère se cogner tout le boulot. Se sentant coupable, il fit la seule chose qu'il estimait pouvoir faire, s'excuser à genoux devant son frère. Ce qu'il fit, réellement. La réaction ne se fit pas attendre. Trois mots, du genre assassins, comme Dan savait toujours si bien le faire. Tu es blessant. Parce qu'il ne l'avait pas fait par pitié, ou quoique ce soit. Juste par amour fraternel, alors que Fran se sentait affreusement faible, exactement comme ses parents l'avaient considéré. Il savait que Dan était retourné à Aisling, mais en tant que cuisinier cette fois-ci. Lui était bien, à l'Opéra, avec Sunniva. Mais petit à petit, l'idée germa en lui de retourner également à Aisling. C'était là son problème, au final. Il s'échappait constamment, de tout. Par crainte, par envie, par folie. Il était parfaitement libre.

Il ramena ses jambes contre son torse, en serra le coussin contre lui, appuyant son front dessus, les yeux fermés. Il n'avait pas franchement aimé devoir se séparer de la danseuse norvégienne, mais aucun des deux ne se sentait capable d'assumer une relation à distance. Ils se seraient échappés, ça aurait été inutile. Ils préféraient de beaux souvenirs.
Alors, il s'était retrouvé à Aisling, cette année même, pour son frère. Et pour Raphael et Kaine, également de retour dans l'école.


Fran.

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OMG ! THAT’S TRUE !
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✔️ Sexe : ✔️ Avatar : Zen - Akusaga
✔️ Comment avez-vous connu le forum ?_o/
✔️ Pensez-vous demander un parrain/une marraine ?o_
✔️ Autre chose ? Promesse tenue. / Arthur m’a dit que je pouvais poster avant d’avoir changé de pseudo ! o : *Balance, moi ? 8D* / Parce que la norvégienne de ma classe, elle envoie du pâté vous voyez? Même qu'elle y est retournée ce WE et m'a ramené du Nugatti! What a Face




Dernière édition par Fran Lorenzen le Lun 9 Juil - 20:26, édité 2 fois
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Alexie S. Decker
Fran | It is easier to talk to myself. Rangspepa
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MessageSujet: Re: Fran | It is easier to talk to myself.   Fran | It is easier to talk to myself. Icon_minitimeLun 30 Jan - 14:33

    Ooh, il a bien changé le Fran (mais on est super contents de le revoir. Surtout moi).
    Je te souhaite pas la bienvenue. T'es là depuis trop longtemps pour mériter cet honneur.

    Du coup, je trouve que son ancien don SAUT DIMENSIONNEL lui convient toujours autant (et tu sais en quoi il consiste, Fran pourra éjecter Athos ailleurs, on en veut plus, il nous gave) ; ou alors SIXIÈME SENS histoire de l'aider quand il a la tête ailleurs (comme ça, Athos ne pourra pas faire son malin, Fran sentira qu'il va tomber de sa chaise, mais il le laissera faire. Parce qu'on aime le voir se faire mal).

    Enjoy ♥.
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Fran Lorenzen
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MessageSujet: Re: Fran | It is easier to talk to myself.   Fran | It is easier to talk to myself. Icon_minitimeMar 31 Jan - 1:07

OMG!

Le saut dimensionnel est mon ami. What a Face

Mais je participerai pas au lynchage d'Athos. Par contre je veux bien le kidnapper pour toi.

EDIT; Je suis surpuissante, à minuit et quatre minutes, je termine ma fiche! 8D Je déconne pas quand je dis que je pond mes fiches en deux jours.
Bref. Sur ce, je vais réviser mes cours sur les atomes, il paraît que j'ai un DS de sciences à 10h. 8D
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Arthur N. Padraig
MODO | I've been officially labeled a disturber of the peace.
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Arthur N. Padraig

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MessageSujet: Re: Fran | It is easier to talk to myself.   Fran | It is easier to talk to myself. Icon_minitimeMar 31 Jan - 20:05

    ...
    C'était beau. Je veux Sunniva à Aisling. J'aime pas les noms cités avec de jolies relations qui disparaissent comme ça, dans le néant. C'est trop triste.


    Je te valide avec tout mon amour. Secret, tout ça tout ça.
    Et un bon retour à Franouuu ♥♥.
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Fran | It is easier to talk to myself. Vide
MessageSujet: Re: Fran | It is easier to talk to myself.   Fran | It is easier to talk to myself. Icon_minitime

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Fran | It is easier to talk to myself.

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