D'you know my name, darling?

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Alors ? Qu'est-ce qu'on a ?

✂ Surnom : Nourson. ✂ Age : 19 ans. ✂ Année : Huitième année. ✂ Année d'arrivée : Septième année. ✂ Classe : PHY ou PSY.

Swim away Fugu fish, swim away.

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Un enrobage de fraîcheur qui révèle un cœur de douceur.

Hey, Sweetheart ! Tu vois, ce type, dans l’fond d’la classe, à tripoter le coin de table pour faire passer l’temps ? Et celui qui se contente de piquer du nez alors que le professeur déblatère son cours à tous ses élèves ? Celui qui, studieux, note consciencieusement, à la virgule près, le discours du dit-professeur ? Tu les vois, tous, sans exception ? Alors oublie les, et concentre toi sur le pauvre mec, qui malheureusement pour lui, fait tomber toutes les cinq minutes (en lâchant une panoplie d’injures qui plus est) quelque chose de sa table, que ce soient des stylos, une gomme, un règle, un livre. C’est cette personne là, à qui il vous faut porter une attention particulière.

En effet, sa vulgarité n’a pour limite que sa maladresse, qui tout de même reste à une place très élevée sur le palmarès des pires gaffes. Tu connais bien ce sifflement exaspéré que lance une personne qui vient, une fois de plus, de faire tomber quelque chose à même le sol alors qu’il était jusqu’alors dans sa main, non ? Nour en avait été l’auteur à de multiples reprises, si bien qu’il pensait même un jour se scotcher crayons, gommes et tout son attirail de parfait glandeur au poignet. Et il sortirait ses stylos comme Spiderman lançait sa toile. Ceci étant dit, il n’était pas Spiderman (à son plus grand désespoir ?).

Et c’est sous cette couverture de personne peu avenante que se cache en fait un être tourmenté par ses propres défauts. Pour sûr, son physique, qui, si je puis dire, n’est pas des plus affables non plus, ne lui permet aucunement de remédier à la distance qui s’était créée au fil du temps, entre sa personne et le reste de la société. Certes, il se fond facilement dans la masse, mais n’en reste pas moins distant. Ce n’est pas le type à qui on parle entre deux cours, non. Même de futilités, même d’inepties. C’est plutôt le type qui regarde, en dissimulant une certaine envie, une discussion entre deux potes, entre deux cours.

Avec envie. Oui.

Il cache et cacherait certainement toujours, qu’il désirait des relations. Depuis tout jeune, très lié à sa mère, il n’avait jamais vraiment eu d’attaches autres que familiales. Mais il n’en voulait pas moins. Malheureusement, de prime abord, il inspire plus à une personne qu’il ne faut pas approcher, terrée dans son propre monde, qu’à une personne facilement abordable. Nour peut pourtant être très gentil lorsqu’on l’est réciproquement à son égard et ce, sans arrières pensées et de façon spontanée. Mais il peut aussi être un vrai salaud, comme on lui avait si bien appris, si toute approche avait ce côté malsain et profiteur qu’il connait si bien. Vous savez, le genre d’approche pour attirer l’attention, le genre d’approche qui l’exaspère au plus haut point sans trop savoir pourquoi.

Il s’emporte vite. Et ce, en bien, comme en mal. Si une quelconque personne a l’audace et le courage de l’approcher malgré ses sourcils froncés de désarroi (très certainement dû à sa maladresse frappante), et que cette personne semble naturelle, il peut très vite s’attacher. Dans le cas contraire, la rancune qui lui colle très souvent à la peau peut s’évertuer à pourrir la vie de sa malencontreuse rencontre.

Si on omet ce côté désagréable de sa personnalité, il peut être très gentil et serviable, sans pour autant se laisser marcher sur les pieds. Quand on le connaissait bien. Il suffit de voir comme il réagissait avec sa mère, qui n’était pas non plus une personne des plus faciles à côtoyer au quotidien. Hum, collante à souhait. Imaginez-vous Nour avoir ce côté attachant et attacheur ? Non ? Et bien, vous vous fourvoyez, car une fois qu’on rentre, de manière positive, dans son collimateur, on en ressortait plus.

Au final, on pourrait tout simplement croire que Nour est quelqu’un de solitaire. Point du tout, mon cher. Il n’est tout simplement pas apte à se sortir de ce standby et à avancer vers quelqu’un.

Tu veux du boudin ?

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✎ Don : CHANGEMENT DE NOM.

✎ En détail : Comment expliquer… Tout est dans le nom. Avoir la capacité de donner un nom quelconque à une personne, pendant un certain laps de temps. Imaginons une situation : utiliser ce don pour appeler quelqu’un, « Biquette ». Eh bien, cette personne, quel que soit son sexe, son âge, son nom, voit celui-ci changer pour devenir « Biquette ». Et elle en a pleinement conscience ! Alors que ceux qui ne font qu’assister à la scène croient que cette tierce personne s’appelle réellement « Biquette » depuis que ses parents lui ont accordé un nom. Bien sûr, lorsque son don ne fait plus effet, personne ne s’en rend compte à part la personne concernée. Ca peut être très pratique quand une personne vient vous voir dans le simple but de vous emmerder. Enfin. Ca peut l’être si seulement vous savez vous en servir correctement.

✎ Maitrise : Ayant développé très tardivement son don, Nour n’a pas encore eu le temps de l’apprivoiser comme il se doit. Pour lui, c’est comme donner des cours de chinois à un perroquet qui peinait déjà à parler allemand. L’irlandais n’étant, qui plus est, pas bon en langue, du tout. J’vous laisse pas imaginer les quiproquos embarrassants que ses difficultés à maîtriser cet « incroyable » don pouvaient entraîner. Entre donner un nom à la place d’un autre à un pauvre type, changer le nom d’un gamin sans le faire exprès et se tromper de nom en voulant faire chier… Ouais, Nour n’est pas au bout de ses peines. Il est aussi adroit que doué dans ce domaine. Autant ne pas se présenter devant lui. Ca n’améliorait pas vraiment ses relations extra-familiales tout ça…

✎ Lui & les ELEM : Autant faire simple, il ne les porte pas dans son cœur. « Des gens qui ne s’intéressent qu’à leur petit cul en dénigrant ceux des autres, non merci. » comme il le dit si bien.

✎ Lui & les SPE : A contrario, Nour ne trouvait pas les SPE plus dérangeants que ça (bah ouais, à quoi bon juger une personne en se basant sur son don…). Il se fout bien des préjugés, préférant largement se bâtir des relations sans regarder l’apparence des autres.

✎ Lui et les PHY : Pour dire vrai, il ne comprenait pas vraiment pourquoi les PHY étaient si désagréables au yeux des autres membres de son groupe. C’est vrai quoi. Il y avait pas non plus marqué « ANTI-PHY » sur son front, faut pas pousser l’bouchon trop loin. Mais cependant, avec Nour, ça reste plutôt du donnant-donnant (même s’il a la sale manie de prendre plus que de donner). Donc, « ils se foutent de moi, pourquoi je m’intéresserait à eux ? ».

✎ Lui et les PSY : Vous ne verrez jamais Nour s’amuser à rester cloîtré dans un laboratoire. Jamais. C’était limite s’il n’avait pas peur d’y rentrer et de se faire séquestrer. Il aimait bien son groupe, mais les personnes qui n’arrivent pas à penser à autre chose que leur don… Il avait une certaine difficulté à les aborder. Encore plus que les autres, qu’ils soient enclins ou non à toute sorte de relation.

Pourquoi c’est moi qui suis toujours l’power ranger rose ?

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Donne moi ton doigt, je prends ton bras.

- Nourson chériiii ! Viens aider ta mère à ranger les courses ! Et fais moi un bisou tant qu’t’y es.

- … Maman, j’ai passé l’âge de me blottir dans tes bras comme quand j’étais petit ! C’est bon quoi !

- T’as honte de faire un bisou à ta mère ? J’me décarcasse pour toi et toi, tu veux même pas me remercier avec un simple bisou ! Fils indigne va !

- M-… Mais non ! Tu vas pas commencer à pleurer hein ! Maman ! ‘Chier…

Ouep, sa mère gagnait toujours. Toujours. Si elle voulait quelque chose, elle l’avait. Et il le savait. Il savait pertinemment qu’elle ne se gênerait pas pour le prendre par les sentiments et l’obliger à obéir, voire même le soumettre, pour qu’il exauce ses souhaits, même les plus bêtes et sans importance. Et pour le bisou qu’elle avait demandé, elle avait aussi gagné, en prime, un câlin, ainsi qu’une autre paire de baisers, que Nour lui avait « généreusement » offert pour se repentir des quelques fausses larmes qu’elle avait déversées par sa faute.

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En fait, c’était fusionnel entre eux. Quand l’un était triste, l’autre l’était aussi, indubitablement. Quand l’un était heureux à en sauter de joie à tout va (ça, c’était plutôt du côté maternel d’ailleurs, le fiston se retenant sans peine de succomber l’hystérie dont sa mère faisait preuve), et bien… L’autre aussi était heureux et le faisait savoir, d’une quelconque manière. Ils avaient ensemble, bien plus qu’une relation qu’entretenait une mère avec son fils. C’était limite l’adoration que portait un frère à son jumeau. Cette ressemblance, au niveau moléculaire… Car oui, évidement que physiquement aussi, elle lui ressemblait.

Il avait hérité d’elle la douceur et la brillance de ses cheveux (bon, certes, pas la coupe), sa peau blanc cassé, qui lui méritait beaucoup de compliments de la part de la gente masculine. Nour avait aussi ses yeux, d’un noir profond à en dissimuler la pupille, ses mains, un peu trop fines pour être celles d’un homme, ses lèvres, elles, ni trop fines ni trop épaisses (et non, je n’parle pas d’une tranche de Saint Albray). En outre, ils se ressemblaient comme frère et sœur, sa mère ne faisant certainement pas son âge.

Nour était né lorsqu’elle avait seulement dix-huit ans. Enfant engendré par erreur, elle décida cependant de le garder, et ce, contre le gré de son petit-ami. Celui-là s’était alors empressé de la quitter, à peine quelques mois après qu’il ait pris connaissance de qui était le père, en déclarant « qu’il n’allait pas se faire chier avec un bébé maintenant, alors qu’il avait toute sa vie devant lui ». Bref, elle laissa couler, et se mit en tête qu’elle devrait l’éduquer seule, malgré la difficulté.

Et elle oublia bien vite sa pseudo-solitude lorsque sa progéniture pointa le bout de son nez. Elle l’appela Nour, car, férue de culture égyptienne, elle voulait lui donner une signification. Nour, la lumière. C’était le genre de femme à décider de quelque chose sur un coup de tête et de ne pas regretter après. Franchement, un irlandais, qui n’avait aucune origine (ou alors, très lointaine et inconnue) avec ce pays s’en voyait maintenant lié à à cause de la simple passion de sa mère. Mais jusqu’où pouvait-elle aller sur un coup de tête ?

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Bref, plus les années s’écoulaient, et plus cette proximité frappante s’amplifiait entre eux. Nour ne pouvait pas se passer de sa mère (malgré tout ce qu’il pouvait dire d’ailleurs) et vice-versa. Comme si le cordon ombilical les reliait encore alors qu’il faisait maintenant plus de quinze centimètres de plus qu’elle. C’était très certainement à cause de leur lien que l’irlandais n’avait jamais voulu se faire d’amis. Il pouvait très bien se contenter de sa mère, qui prenait soin de lui comme un jardinier prenait soin de ses plantes, comme un violoniste de son violon, comme un médecin de son patient, comme une poule de son œuf…

Bien sûr, comme tout enfant qui se respecte, Nour cherchait toujours à se plaindre de sa mère, quoi qu’elle fasse. Il se moquait de sa naïveté, l’énervait à dire des « méchant mots » (comme elle les nommait) devant elle, juste pour s’amuser. C’était jouissif pour lui, de voir sa mère poser des deux poings sur ses fines hanches, gonfler les joues et froncer les sourcils comme une enfant. Bah oui hein… Même en se fâchant elle n’était pas prise au sérieux : gamine jusqu’au bout des ongles.

Mais c'était évident, elle gagnait et gagnerait toujours à ce jeu, Nour se pliant à ses ordres, quoi qu’il arrive. Malgré ses réticences à obéir, tous ceux qui entouraient le garçon pouvaient lire dans les étoiles qui se trouvaient dans ses yeux lorsqu’il la regardait, qu’il pardonnait tout à sa mère : la preuve, il la laissait l’appeler « Nourson » et ça ne l’énervait même pas.

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Puis, le jour de ses dix-huit ans marqua le livre qui recueillait chaque moment de sa vie, d’un lourd marque-page. En plus de la montagne de cadeaux que sa mère lui avait offerts, comme à chacun de ses anniversaires (c’était même à se demander si elle n’économisait pas toute l’année pour pouvoir se permettre de telles dépenses), il avait aussi reçu un autre cadeau : un cadeau que même sa génitrice ignorait lui avoir offert le jour de sa naissance. Sûrement de la part de son père.

Comme tous les ans, sa mère avait invité toute sa famille célébrer les années toujours grimpantes de son fils. Autour de la table, tous criaient les noms et prénoms des uns et des autres pour attirer leur attention. En appelant sa mère par son prénom, il s’avéra que, contrairement à ce à quoi il s'attendait, elle ne lui saute pas dans les bras. Elle ne réagit même pas d'ailleurs. Quoi ? D'habitude elle était toujours d'extrême bonne humeur quand son fiston adoré daignait lui accorder un sourire. Alors l'appeler... Que demander de plus. Puis, convaincu qu'elle ne l'avait pas entendu, il réitéra ses paroles. Tous se tournèrent vers sa petite cousine, Juliette, en lui demandant, en coeur « Bah, puce, tu réponds pas ? ». Personne n’avait l’air choqué. Personne sauf lui et... En l’occurrence la nouvelle « Abby » de la salle.

Vous connaissez ce sentiment d'être largué par les réactions des autres ? Bah c'était exactement ce que ressentait Nour à ce moment là. Aux dernière nouvelles, Abby était sa mère et Juliette sa cousine. Il n'y avait pas plus simple que ça. Leurs prénoms ne se ressemblaient pas du tout, qui plus est. En voyant que sa cousine s'était vite désintéressée de la situation, retournant à ses poupées, il mit ses « hallucinations » sur le compte de l’alcool qu’il avait consommé avec un léger excès (il n’en avait pas bu une goutte, mais il ne trouvant pas d’autre solution, il préféra taire ses doutes).

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Le lendemain même de ce léger incident inconnu aux yeux de tous, sauf de lui, voilà que sa mère déboulait dans sa chambre telle une furie et sautait dans son lit avec un grand sourire qui s’étirait jusqu’à ses oreilles. Le garçon, qui lui servait maintenant de matelas, la questionna du regard en souriant. C’est fou ce qu’il trouvait sa mère attendrissante dans ces moments-là.

- Nourson d’amour ! Tu as été repéré en tant que détenteur de don ! C’est fantastique ! J’ai pas bien compris c’que c’est, mais ça veut dire que t’es un super héro ! Mon fils, un super héro, qui ira dans une école de super héro pour pouvoir sauver le monde ! Je veux que tu y ailles, fit elle en essayant de prendre un air solennel et en fronçant les sourcils. Je veux que tu ailles leur en mettre plein les yeux ! Que tu te fasses des copains ! Et que tu reviennes à la maison quand tu auras fini tes études. C’est un peu loin, j’pourrais pas venir te voir. Faudra que tu fasses de ton mieux pour revenir vite à la maison ! Et tu me raconteras tout ce qu’il s’est passé pendant ta scolarité, peut-être même que tu reviendras avec une fian-…

Au fil de ce discours, alors qu’elle enchaînait phrase sur phrase, de manière très rapide et dynamique, les sourcils de son fils s’étaient peu à peu froncés. C’était quoi ce bin’s ? Non mais franchement, elle le virait complètement du nid familial là ! Il posa sa main sur sa bouche pour la faire taire en criant un « Calme toi à la fin ! ». Ce qu’elle fit sans sourciller. Puis elle reprit son histoire lentement, comme quand elle racontait des contes de fée à son fils, quand il était petit, pour l’endormir.

Ce dernier n’était pas vraiment motivé à quitter sa mère. Mais celle-ci était décidée et on sait ô combien elle peut être persuasive lorsqu’elle avait une idée en tête. C’est alors, presqu’en le chassant, avec tout l’amour d’une mère cependant, qu’elle obligea son fils à intégrer Aisling. Ce qu’il fit.

Après tout, il ne pouvait que lui obéir.

I'm a pirate.

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Spiderman ne dévoile « jamais » son identité.

✔ Age : Quelques années lumières (rien qu'ça ?). ✔ Sexe : Ni l'un, ni l'autre D8. ✔ Avatar : Tobe, de ID-Boomer. Ou un fanart quelconque de Miyavi (susu). ✔ Comment avez-vous connu le forum ? Bouche à oreille. Enfin, plutôt mp à mp °^°. ✔ Pensez-vous demander un parrain/une marraine ? C'bon, j'pense que j'ai d'quoi tenir o/. ✔ Autre chose ? J'ai passé une bonne après-midi à comprendre réellement le forum, son contexte, ce qu'il faut faire (faut dire, j'l'ai étudié D8). Cet acharnement ne me donne que plus envie de rejoindre la communauté Aislingienne (?). Amen.

Bienvenue sur Aisling ! ♥

Nour veut se faire des amis. Hum. Je te propose donc de l'aider de continuer à lui compliquer la tâche avec LYCANTHROPIE (Lula nationale says : "Transformation en loup-garou à la pleine lune. Sous forme animale, le détenteur ne se rend pas compte de ses actes et laisse place à la bête, et il n'est donc pas bon de l'approcher. Possibilité de se transformer n'importe quelle nuit avec une très bonne maitrise.") ; ou alors CHANGEMENT DE NOM, ou l'art de décider comment se nommera une personne durant un laps de temps plus ou moins long, "Toi. Tu seras Bernadette." ... Et imaginons qu'il ne maîtrise pas son don, "Athos, enchanté." - "Comment ? Huguette ?" (et Athos fut renommé Huguette pour une journée entière, quelle honte pour un sale nain). De quoi faire marrer ses futurs amis ou, au contraire, les énerver.

Enjoy ♥.

Huguette aura conscience de s'appeler Athos, mais, pour les autres, ce sera Huguette (sinon c'est pas drôle t'as vu).

Huhu. Ta tranche de Saint Albray nous ferait-elle un mini (tout petit) complexe d'œdipe ?

En tout cas, je te valide ! N'oublie pas d'envoyer ton secret par MP à Aelys ou Discord.
Bon jeu ♥ !