Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Pokémon EV06 : où acheter le Bundle Lot 6 Boosters Mascarade ...
Voir le deal

Partagez | 
 

 Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
▬▬▬▬▬▬▬
Athos L. Duroy
Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep Rangspepa
Athos L. Duroy

Messages : 51
Date d'inscription : 21/08/2011
Age : 32


Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep Vide
MessageSujet: Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep   Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep Icon_minitimeSam 27 Aoû - 20:01

You know my name.

.
Phrase/citation/autre.
Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep Iconathos2
✂ Surnom : Captain
✂ Age : 20
✂ Année : Neuvième
✂ Année d'arrivée : ?? J'ai besoin de ton aide, demoiselle qui demande des mp hot !
✂ Classe : J'aimerais qu'il soit un schtroumpf, ou bien un tournesol.
Supernatural Superserious.

.
Straighten up little soldier, stiffen up that upper lip, what you cryin' about ? You got me.



Quand Athos viole la loi, elle en redemande. Parce qu'Athos, c'est un bombe, à tel point qu'on masculinise le nom rien que pour lui. A tel point qu'on se risque même à voler un Chuck Norris fact pour sa gueule d'ange. L'état brut du sex-appeal naturel, la fraîcheur d'un charme et d'une élégance innés, la beauté d'une grâce lionesque, l'innocence d'un sourire ravissant; Athos est un BG par définition. Du matin au soir, de ses longs cheveux bruns jusqu'au plus petit orteil, Athos pue la perfection. C'est le genre de mec que l'on déteste naturellement, sur qui l'on crache en groupe, sans jamais être capables de nous avouer le pourquoi. Soit par fierté, soit parce qu'il n'y pas de pourquoi valable. On aurait pu se baser sur des tumultueuses love stories pour argumenter, seulement Athos n'est pas le stéréotype du BG salopard qui jette mesdames après avoir assouvi ses pulsions sexuelles, Athos, lui, est parfait until the very end et reste très souvent en bons termes avec ses ex-copines. Haha, tellement idéal ce Duroy... et pourtant, comme il manque de discernement ! Parce que oui, Athos pense fermement ne pas être populaire à Aisling, que ce soit auprès de la gente féminine ou masculine. Et on se garde bien de lui dire qu'en réalité sa taille svelte fait fantasmer les nénettes, et que si on ne l'approche pas c'est parce qu'on est décontenancé par ladite grâce -Ôôôô combien- lionesque. Et blabla blabla etc.

Sauf que, sauf que. Porthos, Aramis, Caprice. Un trio de petits frenchies incroyablement doués dans l'art de se foutre dans la merde et d'y creuser encore jusqu'à s'y noyer. Le premier se bourre la tronche avant de se fumer un ou deux pilons pour perdre tout contact avec le raisonnable, se déshabille complétement, court autour d'Aisling en chantant du Amel Bent, sous la pluie, filmé, coursé par les surveillants, tandis que le deuxième se ramène avec un air parfaitement nonchalant vers LE groupe de thugs de la street -rhaaaay sisi dédikass-, leur balance à la tronche ses pensées concernant leur QI à deux chiffres, en finit par "Cordialement". La dernière quant à elle a visiblement plusieurs mecs, un officiel, un officieux, un amant, un sex-friend, un whatever... et se retrouve dans de beaux draps -comprenez le double-sens de ce jeu de mots, infidèles!- à tous les coups. A les voir, on dirait franchement qu'ils le font exprès. Parce qu'ils savent qu'il y a toujours quelqu'un qui les couvre, parce qu'il le fait tout le temps. Athos, aka le Grand Frère. Il passe ses journées à récupérer Porthos de ses aventures les unes plus ridicules que les autres, à sauver Aramis des hooligans, à régler les histoires de mecs abracadabrantes de Caprice, à faire ci, à faire ça. Tellement qu'il ne cherche même plus à savoir si c'est son rôle ou si ce sont ses oignons. Tellement qu'il a adopté une politique préventive pour essayer de les empêcher de se foutre continuellement dans la bouse. Mais que nenni, "c'est celui qui dit qui est", "ça rentre à droite ça sort à gauche", "blabla blabla... BLABLABLA!!", des sourds ils sont, n'est-il pas ? Il a assez d'allure pour que tout le monde s'écrase lorsqu'il hausse la voix et se met profondément en colère, mais ça arrive tellement rarement qu'on l'oublie vite. Enfin, Athos n'abandonne pas, parce que sa nature trop bonne l'en empêche, et parce qu'en insistant, ça rentrera. Du moins, c'est ce qu'il croît. Tout ça pour dire qu'il cherche à jouer le sauveur avec tout le monde -et tout ça avec le sourire, tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes-, et qu'à force il est devenu plutôt doué pour ça; il est d'une manière ou d'une autre capable de se sortir de situations compliquées, quitte à utiliser des petits explosifs artisanaux, des blitzbombs (les machins qui aveuglent quand ils pètent), des fumigènes ou toutes autres sortes de stratagèmes, quitte à devoir mentir parfois. Mais bon, c'est pas du tout son kiff, alors il évite vraiment autant qu'il peut. Bref, à cause de tout ça, Athos a fini par traficoter avec du monde pas tellement clean et par se salir les mains souvent. Chose qui commence à l'inquiéter fortement. Pauvre Captain, plus le temps de penser à devenir médecin.

It's the end of the world as we know it.

.
♠ ♥ ♣ ♦

✎ Don : Contrat d'une vie
✎ En détail : Un papier, une plume, de l'encre et une signature. Congratulations, your wish has just been fulfilled. Aussi simple que ça. A l'image du nain Tracassin, Athos a la possibilité d'exaucer les souhaits des gens à condition de minutieusement rédiger par écrit toutes les clauses du contrat. Il est question d'échange équivalent, il n'est pas possible d'obtenir sans donner, la contrepartie est alors proportionnelle à la "taille" du souhait. La clause de sortie est simple: pour annuler le contrat, il suffit de le déchirer, le brûler, le rendre illisible ou assez détérioré.
✎ Maitrise : Malgré sa neuvième année, sa maîtrise n’est pas énorme. Son don est souvent détraqué, et est totalement relou d'utilisation. Il lui faut systématiquement rédiger un contrat long et lisible, sans aucune faute d'orthographe, sans aucune erreur de syntaxe et surtout sans confusions et métaphores, lesquelles risqueraient d'être carrément prises au mot près: "j'aimerais avoir ma langue dans la poche l'espace d'une journée !": en plus d'être un souhait ridicule, il est mal formulé: cette personne aura littéralement sa langue dans sa poche l'espace d'une journée.
✎ Lui & les Autres : Need some help ?

Jolie petite histoire.

.
LUMIÈRE DES LUMIÈRES, QUELLE GÉNÉROSITÉ !





That's when I wake up, alarm clock's ringin', there's birds singin'
It's Spring and, he’s outside swinging…



Ils étaient assis sur le canapé devant la grande vitre de la véranda, agglutinés l’un contre l’autre, souriants, se respirant mutuellement, regards vers l’extérieur, vers lui. Il jouait au ballon dans le jardin, titubant comme un petit pingouin, souriant et prononçant « maman » d’une voix fébrile. Il repoussait de sa minuscule main fragile ses beaux cheveux bruns qui ne cessaient de masquer ses grands yeux verts pendant que le soleil venait se frotter à sa fine peau pâle, l’éblouissant et le renversant sur le dos. Il restait là quelques instants à admirer l’immensité du ciel bleu et ce qui était pour lui des « lapins gris sans ailes qui peuvent voler ». Il disait qu’il voulait être un lapin gris sans ailes mais qui peut voler quand il serait grand. Tout lui semblait fascinant ; les coccinelles qui se posaient sur ses petites mains chétives, les framboises qu’il adorait manger mais qui laissaient des traces rouges envoûtantes sur ses doigts, la télé, qu’il considérait être une boîte dans laquelle étaient enfermés des gens.

▬ Maman fais les sortir !

Ils riaient avec attachement ; le bonheur les emplissait à chacune de ses paroles, à chacun de ses gestes, de ses mimiques, de ses regards, de ses sourires. Et lui les regardait rire, dépassé par la situation, étonné par ce comportement. Alors il se mettait à pleurer, s’arrêtait, les regardait aussi rapidement et discrètement qu’un enfant de 4 ans puisse le faire, et se remettait à pleurer.



Who can catch lightning in a bottle? Set fire to water?



L’amour vieillit-il avec le temps ? Est-ce qu’il devient plus souffreteux, plus cassant au fil des années ? N’est-il pas censé être éternel, sans défauts ? Ce sont des questions qu’Athos s’est posé à une époque, avant même qu’il n’ait eu l’occasion de l’expérimenter de lui-même. Alors pour se consoler il repensait à avant, à quand il y avait encore de la place pour la joie dans cette petite famille devenue morne, à quand un sourire matinal avait le pouvoir de redonner courage, à quand l’amour avait encore une définition. Il ne voulait pas penser à après, parce qu’il savait ce à quoi il ressemblerait. Il n’aurait rien de brillant, il serait le même que le présent, la même tension, les mêmes cris, les mêmes engueulades, les mêmes bruits d’éclats. Là où les rayons du soleil aimaient à se faufiler autrefois s’était installée une ambiance littéralement pourrie, insupportable. Nuits blanches se succédaient aux journées noires que passait Athos, il souffrait en silence, effleurant comme un enfant l’espoir d’un retour à la normale. Ils ne le voyaient pas, ils n’avaient pas le temps de remarquer sa fatigue croissante, son teint pâle et ses yeux cernés, parce que si l’un le faisait, il laissait du temps à l’autre pour déblatérer encore plus de conneries et implicitement prendre le dessus. Plutôt mourir. Pathétique. Tellement pathétique qu’ils avaient obligé leur enfant à en venir à emprunter un Ipod pour pouvoir ne serait-ce que se reposer un instant. Un seul instant. Un petit instant de répit rompu par le ton croissant des voix devenues infernales au point que l’on souhaiterait ne plus jamais les entendre. C’était comme s’il avait écouté la même chanson pendant deux ans, 24/24, en boucle. A 12 ans seulement. Il avait toujours été passif, subissant sans ne rien extérioriser, ni à la maison ni en dehors, jusqu’au jour où il prit une feuille de papier et écrivit quelques mots, quelques phrases, paragraphes, pages. Plus il écrivait, plus ses mots devenaient violents, plus ses phrases étaient courtes, plus il se trahissait, plus il trahissait ses sentiments d’angoisse, de frustration et de colère.
Un jour, il était descendu dans le salon avec un papier et un stylo à la main, le regard vide, triste et fuyant. Il ne cherchait pas la conversation, il ne cherchait plus le réconfort, il ne pensait plus au retour à la normale. Il avait fini par comprendre que tout avait changé, que tout changeait, que le temps nous bouffait tous à petits feux. Après un silence attristant et tellement misérable, il présentait sa feuille aux deux voix de Stentor avec toute la fébrilité et toute la naïveté du monde.

Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep 1138465408

Quel calme, quelle amertume. Serrements de cœurs et regards mélancoliques chantaient les éloges de la nostalgie présente des moments passés. Il l’avait espéré sans fin, ce temps qui s’arrêterait un matin. Et c’était le cas, il s’était arrêté, lui qui n’était plus que l’ombre de lui-même, lui qui avait l’habitude de couler si lentement, lui qui n’était devenu que succession pâle de jours maussades. Ce court instant de surprise, de stupéfaction et d’attente semblait être impérissable. Ce silence éternel, dans cet espace devenu infiniment grand, l’effrayait. Courageux, il attendait une réaction. Un mouvement, un mot. Un signe. Quelque chose, n’importe quoi. Peut-être même un prétexte pour fuir la pièce, une excuse pour faire reprendre son cours normal au temps.

Haha, bien-sûr qu’on va te signer ça chéri.

Il aurait tant aimé savoir si ce sourire était réel. Au fond, il avait espéré une réponse différente. Il pouvait se permettre d’avoir une seule, une unique pensée égoïste après tout. Mais il allait faire avec, avec ce « chéri » banal et hypocrite auquel il s’était habitué. Alors ils signaient, tous deux, pour lui faire plaisir, ou bien pour se débarrasser de lui, pour ne plus l’avoir dans leurs pattes.

Voilà voilà. Est-ce que ça te dirait d’aller jouer avec Porthos, chez lui ?

Celui-là était définitivement feint, il était tellement forcé et non naturel. Et vraisemblablement, ils n’avaient pas fini leur petit conciliabule et avaient besoin de « calme » pour continuer. Le plus simple était d’envoyer Athos chez les Deschanel qui avaient eux aussi un garçon du même âge, et pourquoi pas le laisser dormir là-bas, comme il faisait de plus en plus. Il n’avait plus besoin de réfléchir à ce genre d’offres étant donné les deux options qui s’offraient à lui : accepter et se reposer, ou refuser et replonger dans le monde des cris horripilants. Le choix était vite fait, il préférait fuir aussi loin et aussi longtemps que possible.

A peine était-il entré dans la chambre de Porthos qu’il s’assoupissait déjà sur son lit, affaibli par les nuits d’insomnie qu’il passait régulièrement. Et il dormait là paisiblement, comme s’il savait qu’à son réveil il aurait quelqu’un à qui parler, quelqu’un avec qui passer un peu de temps. Porthos comprenait. Malgré son jeune âge et sa personnalité frivole, il savait qu’il ne devait pas être égoïste et réveiller Athos, il savait, peut-être inconsciemment, l’épuisement qu’il cumulait. C’était comme s’il ressentait exactement ce qu’éprouvait Athos. C’était comme un lien de générosité, d’humanité et d’empathie rapidement développé. Alors il patientait sans bruit, attendait calmement son réveil en s’amusant de son côté. La scène était incroyablement fascinante et envoûtante ; la bonté, la sagesse et la maturité dont un gamin de douze ans faisait preuve étaient inimaginables. Personne n’aurait jamais pu imaginer quelque chose de tel, un instant aussi surprenant, aussi beau. Et il restait ainsi pendant des heures et des heures, jusqu’à ce qu’Athos se libère des bras de Morphée et ouvre les yeux.

▬ Bien dormi ?
▬ J’ai parlé pendant mon sommeil ?
▬ Ahahah. Bolosse.

Et ils se mettaient à rire, dans ce cocon solide qui leur servait de chambre. C’étaient les seuls moments de véritable paix pour Athos, les seuls instants où il se permettait de ne penser à rien.

Et comme à chaque fois venait le moment de rentrer chez lui. Anxiété, inquiétude et amertume reprenaient le dessus. Il savait que rien n’aurait changé, que la même pièce de théâtre y serait encore rejouée, que la même ambiance, littéralement vulgaire, y régnerait. Le même jardin, la même aura que dégageait la propriété, rien n’avait bougé à l’extérieur. La surprise fut l’absence de bruit lorsqu’il arriva devant la porte d’entrée. Rien. Pas le moindre battement d’ailes, pas le moindre bruit de pas, et encore moins de glapissements. Un évènement hors du commun, une première pour lui depuis si longtemps. Il ne savait pas comment réagir face à cette situation qui dans l’absolu n’avait rien de si préoccupant. Mais c’était différent, c’était tellement inhabituel qu’une tonne de pensées le submergeaient, qu’un milliard de scénarios différents se dessinaient sans qu’il n’y en ait en fait ne serait-ce qu’un seul effleurant la réalité. Il avait mis sa capuche, certainement par réflexe de protection, pour se sentir un peu plus en sûreté. Il avançait finalement sa main tremblotante vers la poignée qu’il admirait depuis un long moment maintenant, redoutant peut-être la suite des évènements. Après un léger grincement, il s’était retrouvé à l’intérieur et observait une scène unique. Singulière et complétement étrange. Il contemplait deux muets en pleine escarmouche verbale, ses deux parents en train de se disputer, utilisant une variation approximative et inconnue du langage des signes qu’ils inventaient au fur et à mesure de ce qu’ils voulaient communiquer. Il fallait voir l’énorme absurdité de la situation, deux êtres ne pouvant prononcer un seul mot se donnaient un mal fou pour se quereller et se faire comprendre. C’était à mourir de rire, le comique de situation et le comique de gestes étaient d’un niveau intergalactique. Le pire, c’est qu’ils semblaient s’être habitués à la situation et faisaient ça comme si c’était humainement naturel. Un coup d’œil sur la table à l’entrée lui faisait remarquer qu’une enveloppe lui était adressée. Elle avait certainement dû être livrée durant son absence, et provenait d’une certaine « Aurore ». D’une école, entendons-nous. Non parce qu’il était facile de s’y méprendre et de penser à une fille vu qu’il commençait à avoir du succès auprès d’elles. Bref, il l’avait ouvert et la lisait. Une école pour « surdoués » dotés de « dons » surnaturels lui offrait une place en son sein. Rigolo. Et absurde. Mais il n’en avait rien à faire, il avait décidé qu’il partirait de toutes façons. Seule la destination venait de changer, elle était passée du statut d’inconnue à celui d’Aurore.

Trois jours plus tard il avait fait ses valises et se préparait à s’en aller. En fouillant un peu dans son bazar il avait retrouvé le « contrat » qu’il avait passé avec ses parents, à propos du bruit et des engueulades et tout ça. La seule utilité qu’il ait eue a été de l’envoyer chez Porthos pour quelques jours, autrement il était totally useless. Et il le déchirait en quatre avant de balancer les morceaux dans sa petite corbeille bleue qu’il avait placée, il y a longtemps, sous son bureau. Valises, lettre destinée à Porthos, il était paré pour partir. Il posterait cette dernière juste avant de prendre le train dans le but de l’informer de son absence et lui raconter les récents évènements, sans bien-sûr évoquer l’Aurore puisqu’il était interdit d’en parler en dehors de l’établissement. En descendant dans le salon, il se rendait compte que les disputes étaient de nouveau audibles : les muets semblaient pouvoir une nouvelle fois s’adresser la parole. Littéralement. La seule différence était du côté d’Athos, il était serein et souriant, c’était fini, il partait. Un petit problème subsistait cependant : il n’avait aucun don. Du moins, il le pensait. En supposant que cette histoire fusse vraie, et puisqu’il avait reçu une invitation dans cet institut, il devait forcément en avoir un. Enfin, il n’allait pas se tracasser avec ça maintenant, il y réfléchirait sur place.


It shouldn't be difficult to explain
Just why you came back again, you hate the fame



Il se trompait à l’époque ; il avait en fait un don. Une histoire de contrats avec les autres ayant pour objet le transfert d’un souhait en échange du versement d’un prix équivalent. Et malheureusement pour lui, ce n’était pas la règle du consensualisme qui primait : il ne pouvait pas choisir la forme et le support du contrat puisque le don ne fonctionnait que s’il y avait conclusion écrite. En gros, un procédé plutôt relou pour lui. Enfin, ça ne l’intéressait pas plus que ça ce truc, ce n’était clairement pas la principale raison de sa venue à Aurore. Il avait rapidement trouvé ses repères dans cette école, il s’y plaisait ; il était agréable à tout le monde et la plupart d’entre eux lui étaient aimables. Surtout les filles. Il faut avouer qu’il avait plutôt pas mal de succès auprès de ces belles naïades qui pour certaines d’entre-elles allaient assez loin pour se faire remarquer, dans le bon comme dans le mauvais, en passant par les stéréotypés « je-te-capte-même-pas-quand-je-passe-à-côté-de-toi ».

Sinon, Porthos n’avait pas tardé à suivre et arriver lui aussi à l’Aurore. Ils ne s’étaient pas quittés depuis longtemps que le destin les réunissait déjà, et avec surprise puisqu’il surgissait de nulle part, tel un bonhomme de neige dans le Sahara, pour surprendre Athos en pleine conversation avec l’une des dites nymphes.

▬ Hey toi ! Pas touche à Athos !
▬ Haha, t’inquiète pas pour ça, je te présente Por… PORTHOS ?!
▬ Ahahaha, quelle tête tu fais. T’es pas content de me voir ?

Tellement surpris par cette arrivée à l’improviste, il ne savait plus quoi dire. Même si ça lui avait rapidement traversé l’esprit, il n’avait jamais une seule seconde réellement cru qu’il retrouverait Porthos à cet endroit improbable, à l’Aurore.

▬ C’est pas possible. Il y a quoi, une chance sur des millions pour que tu sois arrivé ici ?
▬ Boarf, on s’en tape des probabilités qu’il y a. Par contre, j’ai une simple question à te poser : ce soir, est-ce qu’on dort chez ton amie, juste là, à qui tu n’as pas fini de me présenter ?

Evidemment, ni une ni deux qu’elle était déjà loin. Et Porthos, avec toute sa classe et sa légèreté légendaires, lui criait qu’elle pourrait ramener des amies à elle si ça la rassurait. Enfin, c’est l’intention qui compte à ce qu’il paraît. Pendant ce temps, une personne s’était arrêtée très près d’eux et les observait par-dessus ses lunettes. Certains n’ont pas besoin de regarder leur clavier lorsqu’ils écrivent sur un PC, lui semblait ne pas avoir besoin de regarder son bloc note pour y écrire.

▬ Faux. Il y a très exactement 1/ (7 845 213^17) chances que lui soit arrivé ici. Ceci étant dit, je vous laisse entre macaques.

Précision ; ce n’était pas Norman. Et c’est exactement à ce moment précis qu’Athos s’est demandé si l’arrivée de Porthos n’allait pas rimer avec « arrivée massive d’emmerdes et autres aventures random ».

▬ Je sais pas qui c’était.
▬ Moi non plus.
▬ Tu viens juste d’arriver abruti.

Et alors ? Il se sentait déjà comme chez lui. En tout cas, l’impertinence de ce jeune homme les avait impressionné tous deux. Bon, ils avaient pris ses remarques à la légère et avaient déliré sur le sujet pendant des semaines en s’appelant « macaques », mais c’est pas pour autant que le petit gosse était passé inaperçu. Ils s’étaient dit que s’ils le rencontraient à nouveau, ils lui feraient ravaler sa langue avec des punchlines qu’aurait préparées Porthos. Quelque part, ils étaient voués à échouer.



They call me SUPERMAN,
leap tall hoes in a single bound.



Son pressentiment était juste ; Porthos avait vraiment amené avec lui mille et une emmerdes. Il était une sorte de Mary Poppins, sauf qu’à l’inverse de celle-ci, lui en ressortait systématiquement des problèmes lorsqu’il fouillait dans ses poches. C’est ainsi qu’avaient passé quelques années de dur labeur pour Athos qui n’avait pas cessé de courir à droite et à gauche pour réparer les conneries de son grand pote, qui avait quand même l’habitude de complétement dégénérer et se retrouver dans des situations loufoques. Chanter « 51 je t’aime » dehors, sous la pluie, dénudé, à quelque chose comme moins vingt degrés. Par exemple.

Ils avaient également revu, alors qu’ils glandaient dans les jardins de l’Aurore, le gosse qui les avait rembarrés la première fois et qu’ils avaient surnommé Enki. Enfin, ce n’était plus un gosse, mais un ado normal, aussi « normal » que possible en fait. Et cette rencontre avait sonné l’heure de la vengeance, dont on disait qu’elle était meilleure servie froide. Oui parce que les piètres philosophes qu’ils étaient avaient polémiqué sur si leur vengeance allait se manger chaude ou froide, ou un truc du genre totalement inutile et sans aucun sens. Et bien-sûr, ils avaient complétement perdu le fil de leurs argumentaires et s’étaient retrouvés à parler de takoyakis et de cuisine japonaise en général. Jusqu’à presque en oublier la raison de leur débat.

▬ Psssst ! Enki !

Bon, allez comprendre pourquoi est-ce qu’il l’interpellait de cette manière. Et aussi surprenant que cela puisse être, Enki s’était retourné. Il avait certainement dû être surpris qu’une personne à l’Aurore puisse connaître le Dieu de l’intelligence et de la sagesse de la mythologie sumérienne. Porthos avait ensuite pris soin de lui confirmer qu’il s’adressait bien à lui, en le pointant du doigt et en acquiesçant lorsqu’il l’avait regardé.

▬ Ah, si ce ne sont pas les macaques.
▬ Tu te souviens de nous ?
▬ Je n’oublie pas les personnes qui se rasent l’arrière du crâne pour faire semblant de se creuser la tête sur un problème de maths.

Pris de vitesse. Quelle insolence. A vrai dire, ils se seraient rétamés de toute façon ; les « vannes » qu’avait préparées Porthos il y a de ça quelques années étaient ridicules. En plus de ça, il les avait oubliées à moitié. Le silence qui avait suivi n’était par contre absolument pas synonyme d’incompréhension de la part des deux jeunes hommes, ils ne savaient simplement plus quoi dire.

▬ Mais puisque vous semblez connaître les bases de la mythologie sumérienne, je vous laisse le bénéfice du doute. Je vous donne le droit de devenir mes cobayes, et par extension, mes larbins.

Le sérieux avec lequel il avait prononcé ces paroles, sans aucun sarcasme ni aucune ironie, pensant qu’ils accepteraient avec joie, les avait fait éclater de rire. Une spontanéité énorme, un manque de tact grandiose, une méconnaissance des relations et des usages sociaux magique. Ce gars, ayant commencé à prendre des notes sur son bloc note après les avoir vus rire ainsi, était génial. Une perle rare parmi les perles rares elles-mêmes.

▬ Je m’appelle Athos.
▬ Moi c’est Porthos.
▬ Bien. Appelez-moi « Maître Aramis ».

Après s’être enfin arrêtés de rire, ils avaient décidé qu’ils allaient jouer le jeu l’espace de quelques jours, pour tuer le temps. Ils s’étaient ainsi présentés à lui et avaient appris qu’il s’était autoproclamé « Maître ». Ce qui était sûr, c’est qu’avec une telle répartie, spontanée, il ne devait pas s’en sortir aussi bien avec tout le monde.



I think about the things I would have never got to say to you,
I'd never get to make it right, so here's what I came to do.




Quelle coïncidence. Athos, Porthos et Aramis. Peut-être étaient-ils prédestinés à se rencontrer. En tout cas, les deux premiers avaient appris à connaître le dernier et l’avaient accepté au sein de leur petite bulle. Au final, Athos pensait qu’Aramis avait besoin de quelqu’un pour le couvrir –même si celui-ci prétendait le contraire- vu qu’il devenait de plus en plus impertinent et qu’il se foutait de plus en plus dans la mouise, aussi bien auprès d’élèves random que de la direction de l’école. La bonté d’Athos lui avait déjà joué des tours auparavant, mais il ne pouvait pas s’en empêcher ; c’était plus fort que lui.

Et apparemment, elle lui jouerait encore des tours. Porthos, contrairement à ses habitudes, avait un jour amené une fille lors d’une sortie entre potes. Malgré les nombreuses demoiselles qu’il avait fréquentées, il n’était JAMAIS venu lui en présenter une seule. Encore moins si celle-ci était cinq ans plus jeune que lui. Au premier abord, c’était une petite brune aux yeux clairs et au sourire aimable. Facilement, on se rendait compte que ses yeux s’illuminaient à chaque fois que Porthos daignait lui adresser la parole, la frôler, la toucher, lui lancer un regard, ou pire encore, prononcer son prénom. Caprice. Cette tendresse à son égard était si grande qu’elle en devenait submergée par de la colère, une anxiété à être énormément plus jeune que celui qu’elle adulait. De la rage et du dépit, ces sentiments étaient à l’origine de l’image qu’elle donnait d’elle-même ; une fillette capricieuse, facile, agressive parfois, vulgaire. Athos voyait ça comme de la candeur à l’état brut, il y trouvait là une naïveté jalouse, de la faiblesse, autant de faiblesse candide que chez Porthos.




I don't think she understands the sacrifices that I made



L’expression « jamais deux sans trois » était complétement fausse. « Jamais trois sans quatre » convenait bien mieux. Entre les exploits herculéens dans l’art des emmerdes naturellement trouvées de Porthos, d’Aramis et de Caprice, Athos ne savait plus où donner de la tête. C’était comme si ces trois-là se concertaient à un instant « t » pour que l’un d’entre eux fasse une connerie à « t+1 », le second «à « t+2 » et le dernier à « t+3 ». Résultat ? Venait-il tout juste de réparer la bévue à « t +1 » qu’Athos devait déjà se rendre à « t+2 ». Du coup, ses journées entières étaient rythmées par des sauvetages en tout genre. Le plus inquiétant des trois était Aramis, il devenait de plus en plus violent verbalement et semblait ne plus du tout se soucier de la hiérarchie. Personne ne lui était comparable d’un point de vue intellectuel, il avait ce don qui lui offrait une connaissance universelle. Et c’était peut-être la raison de son comportement de plus en plus agressif ; peut-être se sentait-il seul. Athos avait pensé qu’il avait besoin d’un peu de temps pour sortir de cette phase, que ça lui passerait à un moment ou à un autre. Il était naïf. En allant retrouver l’un de ses rendez-vous, Captain, comme Porthos venait de le surnommer, avait surpris une conversation tournant autour d’Aramis.

▬ T’as entendu ce qui se raconte ? Bones se fait jarter d’ici. Il doit se barrer demain apparemment.

Un choc. Cette nouvelle avait eu un impact gigantesque sur Athos. Deux issues avaient été possibles pour Aramis ; soit son comportement revenait à la « normale », soit il était « condamné ». Il n’était plus question de fleurter avec les filles ou d’aller à un quelconque rendez-vous, Athos devait faire quelque chose pour cette situation désespérée. Il avait sans attendre couru jusqu’au bureau du (-de la) directeur (-trice). En passant dans l’un des couloirs proches de sa destination, il avait croisé Aramis, assis sur l’un des bancs disposés en file indienne le long d’un mur blanc, mis à disposition des élèves. De nature si compréhensive d’habitude, Athos ne lui avait jeté qu’un simple regard cette fois-ci. Aramis comprenait le sens de sa venue, et la source de sa colère. L’avoir vu arriver en courant l’avait rendu furieux lui-même, peut-être contre sa propre personne. Lui qui avait la langue bien pendue n’osait à cet instant plus dire un seul mot. Rapidement, Athos était arrivé et était entré dans le bureau de la dernière chance, ou de la dernière fois, cela dépendrait des cinq minutes qui allaient suivre.

▬ Quelle surprise. M. Duroy.
▬ …
▬ Il a dépassé les bornes cette fois-ci.
▬ Je prends la responsabilité entière de ses actes.
▬ Ce n’est plus aussi simple.
▬ S’il vous plaît, accordez lui le bénéfice du doute encore une fois. Je réussirai à le gérer.
▬ Je suis désolé.

C’était peine perdue. Cette fois, Athos n’arriverait pas à le sortir de cette galère, il allait être renvoyé de l’Aurore. Avait-il réagi en état de choc ou était-ce une décision antérieurement et mûrement réfléchie, le fait était qu’Athos quittait l’institut de son propre chef. Il lui était impossible, dans l’état actuel des choses, d’abandonner Aramis. Peut-être l’aurait-il justement mérité, peut-être lui aurait-ce servi de leçon. Mais Athos savait la douleur de la solitude, et en dehors d’eux trois, Aramis n’avait personne.



a@znyi.

.
Maybe one day we'll wake up and this will all just be a dream
Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep Ford-100x100
✔ Age : 19
✔ Sexe : Fall from grace, je suis un mec.
✔ Avatar : Laguna Loire, FF.VIII
✔ Comment avez-vous connu le forum ?: Mockingbird ? Tout le monde le connaît.
✔ Pensez-vous demander un parrain/une marraine ?: Éventuellement, pourquoi pas, peut-être.
✔ Autre chose ?: Gorillas in suits, the holy war, the spiritual troops fighting over the mythical truth. J'espère avoir compris un minimum le personnage, jaja.




Dernière édition par Athos L. Duroy le Ven 2 Mar - 1:06, édité 17 fois
Revenir en haut Aller en bas
▬▬▬▬▬▬▬
Aelys E. O'Brien
ADMIN | Give me the chocolate and nobody gets hurt.
ADMIN | Give me the chocolate and nobody gets hurt.
Aelys E. O'Brien

Messages : 2670
Date d'inscription : 07/08/2009
Age : 31


It's a kind of magic.
Age du personnage : 17 ans.
Nationalité: Irlandaise.
Relationship:

Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep Vide
MessageSujet: Re: Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep   Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep Icon_minitimeDim 28 Aoû - 16:14

Citation :
?? J'ai besoin de ton aide, demoiselle qui demande des mp hot !
...C'est pas moi messieurs dames. J'vous jure. QU'EST CE TU ME TRAHIS TOI. CA DEVAIT RESTER SECRET.
Il est arrivé au début d'année, donc neuvième /o/
Citation :
Athos, aka le Grand Frère.
Il n'y a que moi qui ai pensé à l'émission, ou... ?

Mais tu m'as tué quoi. C'est tellement Athos que je n'ai rien à redire et ta fiche a fait ma journée.
Alors je te propose Le contrat d'une vie en SPE, ou bien la métamorphose en canidés en PHY ~
Et j'ai hâte de lire la suite uhuh.
Revenir en haut Aller en bas
https://aisling.forumactif.com
▬▬▬▬▬▬▬
Athos L. Duroy
Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep Rangspepa
Athos L. Duroy

Messages : 51
Date d'inscription : 21/08/2011
Age : 32


Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep Vide
MessageSujet: Re: Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep   Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep Icon_minitimeMar 30 Aoû - 23:56

Contrat d'une vie ça peut être marrant, boom. Va pour ça. Et comme l'a si bien soulevé un philosophe grec: "L'écureuil a vu." Ayant dit ça, il est retourné manger les crêpes que sa môman avait préparées.

Je retourne envoyer mes mps ultra sexy à Aelys, sinon elle m'a dit je suis dans la merde. Je retourne réfléchir à la suite de cette fiche en vrai.

EDIT; je vais avoir besoin de plus de temps pour finir la fiche, putain de reprise des cours...
Revenir en haut Aller en bas
▬▬▬▬▬▬▬
Scarlett A. Reed
MODO | Magic Mirror, who is the fairest one of all?
MODO | Magic Mirror, who is the fairest one of all?
Scarlett A. Reed

Messages : 1143
Date d'inscription : 14/12/2010
Age : 28


It's a kind of magic.
Age du personnage : 17 ans.
Nationalité: Américano-britannique. (MARYSUE)
Relationship:

Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep Vide
MessageSujet: Re: Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep   Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep Icon_minitimeMer 14 Sep - 16:04

Où en est la fiche ? (sans nouvelles, elle sera archivée sous 7 jours)
(tkt on veut juste vérifer que t'es vivant, la rentrée est dure pour tout le monde)
Revenir en haut Aller en bas
▬▬▬▬▬▬▬
Athos L. Duroy
Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep Rangspepa
Athos L. Duroy

Messages : 51
Date d'inscription : 21/08/2011
Age : 32


Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep Vide
MessageSujet: Re: Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep   Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep Icon_minitimeJeu 15 Sep - 18:56

Je suis toujours là, je passe de temps en temps mais je trouve jamais le temps d'écrire quoi que ce soit. Enfin, une ou deux lignes de temps à autre mais c'est lent. Damnnnnn !

Je sais pas quand est-ce que je pourrai finir, est-il possible de foutre ma fiche dans celles en attente ? Ou bien, étant un prédéf, c'est gênant ?
Revenir en haut Aller en bas
▬▬▬▬▬▬▬
Aelys E. O'Brien
ADMIN | Give me the chocolate and nobody gets hurt.
ADMIN | Give me the chocolate and nobody gets hurt.
Aelys E. O'Brien

Messages : 2670
Date d'inscription : 07/08/2009
Age : 31


It's a kind of magic.
Age du personnage : 17 ans.
Nationalité: Irlandaise.
Relationship:

Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep Vide
MessageSujet: Re: Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep   Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep Icon_minitimeJeu 15 Sep - 19:07

Pas de soucis, on reviendra te poker de temps en temps ~
(et puis Caprice et Porthos ne devraient pas tarder à arriver on aura les fiches toutes ensemble comme ca ! /out)
Revenir en haut Aller en bas
https://aisling.forumactif.com
▬▬▬▬▬▬▬
Athos L. Duroy
Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep Rangspepa
Athos L. Duroy

Messages : 51
Date d'inscription : 21/08/2011
Age : 32


Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep Vide
MessageSujet: Re: Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep   Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep Icon_minitimeMar 13 Déc - 20:25

Yé enfin fini, après presque quatre mois loul. Mais ligne par ligne j'y suis finalement arrivé. BANZAÏ !
Cette fois-ci c'est pas du wtf, la première tentative était horriblement horrible >X. Sauf le passage sur ronflex, personne n'est autorisé à dire qu'il est horrible, c'est un boss pur.
J'ai repris la mise en page RP d'Adriel en passant, je la trouvais super stylée. J'ai pas eu le temps de demander avant, donc voilà si elle/il passe par ici et que ça le/la dérange, un petit MP avec pour titre "fuck off" et je retire ça aussi vite qué possible.

BANZAÏ !
Revenir en haut Aller en bas
▬▬▬▬▬▬▬
Aelys E. O'Brien
ADMIN | Give me the chocolate and nobody gets hurt.
ADMIN | Give me the chocolate and nobody gets hurt.
Aelys E. O'Brien

Messages : 2670
Date d'inscription : 07/08/2009
Age : 31


It's a kind of magic.
Age du personnage : 17 ans.
Nationalité: Irlandaise.
Relationship:

Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep Vide
MessageSujet: Re: Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep   Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep Icon_minitimeMer 14 Déc - 12:25

...J'ai rien à dire, j'ai juste ri comme une débile. Cette fiche m'a fait rêver.

ah si, juste un petit détail, Caprice est censée avoir débarqué un beau jour avant l'Aurore, ramené par Porthos, (elle aussi ne devait pas habiter très loin des deux mousquetaires) mais ce n'est pas comme si c'était une terrible erreur, hein.
Donc tu es validé et j'attends que tu continues à me lancer des paillettes dans les yeux avec tes RPs, qu'on se le dise.
Revenir en haut Aller en bas
https://aisling.forumactif.com
▬▬▬▬▬▬▬
Contenu sponsorisé



Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep Vide
MessageSujet: Re: Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep   Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

Captain - no more worries, rest ur head and go to sleep

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: « CAP OU PAS CAP ? :: « Que la partie commence. :: « Bienvenue à Aisling.-
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit