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 .: Danny K. Applefield _ You're weird. It's a compliment.

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Danny K. Applefield
.: Danny K. Applefield _ You're weird. It's a compliment. Rangspepa
Danny K. Applefield

Messages : 163
Date d'inscription : 12/08/2011
Age : 31


It's a kind of magic.
Age du personnage : 17 bougies.
Nationalité: Anglaise.
Relationship:

.: Danny K. Applefield _ You're weird. It's a compliment. Vide
MessageSujet: .: Danny K. Applefield _ You're weird. It's a compliment.   .: Danny K. Applefield _ You're weird. It's a compliment. Icon_minitimeLun 15 Aoû - 16:21

Danny Kristen Applefield

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Ctrl+Z_I'm Sorry.
.: Danny K. Applefield _ You're weird. It's a compliment. 24013656
✂ Surnom : Double Shot_Car elle shoot toujours deux fois là où ça fait mal.
Pomme_Car oooh! Un champ d'apples!
Dan_Genre faut justifier?
✂ Age : Dix-sept. Jamais été aussi vieille…
✂ Année : Sixième année donc.
✂ Année d'arrivée : First Madam’ !
✂ Classe : Spé. What else ?
Normal is just a nicer way of saying "BORING".

.
I want to put a peanut in your nose.

Fragile comme le verre, elle est fine, plate, sans forme appétissante, presque squelettique. Pâle comme la neige, elle a l’air malade à en crever, cadavérique. Elle ne sourit pas, semble vide de sentiment. La comparer à une poupée de porcelaine serait verser dans l’euphémisme, n’est-ce pas ? Pourquoi vouloir trouver du charme à une mourante ? Pourquoi se trouver des prétextes alors que ce ne serait que mentir ? C’est un pécher. N’allez pas lui dire qu’elle est belle, elle ne l’est pas, ou si vous y tenez tant, peut-être bien, mais à la manière de Blanche-neige dans son cercueil de verre et ce serait s’avouer nécrophile. Et encore, au contraire de Blanche Neige, cet être ne présente aucun contraste plaisant. Loin des cheveux ébènes de la princesse, la sienne est fade, blonde. Le soleil la fuit, fuit cette chose sans pareil, il a peur, peur de révéler au monde ce fantôme transparent, c’est pourquoi son teint n’ira jamais au de-là de sa pâleur naturelle, et qu’elle vivra tout le temps dans sa propre ombre. Chez elle, un seul élément interpelle certaines personnes. Ses yeux. Loin du blanc qui dirige son apparence, ils sont bleus. Tantôt azurés, parfois turquoises, ils éblouissent son visage, la rendent presque jolie. Mais presque n’est pas un tout.

Même si elle est invisible, la demoiselle n’a pas peur de se manifester quand ça lui chante. Disons qu’elle n’a pas la langue dans sa poche. Ses paroles peuvent être rudes, blessantes, mais qu’importe, elle n’a pas peur de se faire détester. Juste de se faire aimer. Aimer, c’est apporter sa confiance, et Danny est faible, naïve. Il suffit de peu pour qu’elle se mette à apprécier une personne, juste quelques mots doux et elle vous donnera toute la confiance du monde, vous la tiendrez alors dans votre paume comme un rien. Elle sera à votre merci, vous pourrez tout faire d’elle. Même la détruire. C’est pourquoi elle se protège, constamment, par expérience personnelle, d’une carapace de glace, de piques et de méchanceté. Elle dit tout ce qu’elle pense, même ce qui est mal, de façon franche et cassante. Alors Danny, vous aurez beau la haïr, vouloir sa mort, sa disparition, lui faire des coups tordus, l’insulter à tout va, ça ne l’affectera pas, jamais, car elle a toujours vécu ainsi. Délaissée, rejetée. Elle a l’habitude. Et ce sera toujours moins pire que la trahison, surtout par une personne qui vous est chère, pour laquelle vous ferez tout pour, même changer le monde.

Au fond, Danny, ce n’est qu’une enfant, une enfant qu’on nourrit de miel et de gentillesse, une enfant qui à la base ne demande qu’à être aimée. Elle le sait qu’elle est faible, fragile, facilement mise en pièces, et elle se déteste pour ça. C’est pourquoi, elle se protège de ce monde qui lui en veut d’être née, qui regrette son existence. Peut-être qu’elle est parano, mais elle y peut rien car elle y croit. Parce que si elle le pouvait, Danny, elle voudrait bien l’aimer cet univers, l’accepter et le lui rendre. Mais elle a trop peur d’aller dehors, au de-là de ces barrières qu’elle a elle-même forgée, cette prison dans laquelle elle s’est barricadée. Alors elle est méchante avec toutes les personnes qui pourraient peut-être lui apporter un rayon de soleil, lui tendre la main. Ils sont tous comme ça, tu crois qu’ils t’aiment par leurs jolis sourires, mais en faite ils ne veulent que te voir pleurer, rampant et malheureux. Tu le sais ça Danny, hein ? Donc elle continue, sans cesse, à trembler seule dans son coin, en retenant ses larmes, refusant toute l’aide qu’on pourrait lui apporter, le bonheur qu’on pourrait lui amener, feignant d’être forte et intouchable, alors qu’elle ne l’est pas.

Autrement, Danny, à part une boule de paranoïa, elle a aussi ses propres hobbies. Des hobbies auxquels on ne s’attendrait pas de sa part même. N’ayant pas ou peu d’amis, elle passe ses journées en pyjama, c’est qu’elle ne sort pas souvent de chez elle comme le ferait une adolescente de son âge, alors voilà ce que Danny est devenue : une geek. Constamment sur pc/console/télévision/nouvellement Iphone –c’est beau la technologie, elle est devenue experte en la matière, capable de battre n’importe quel gens, fille ou garçon, que ce soit sur jeu de plateforme ou jeu plus sportif (DDR, Parapara tout ça). Néanmoins, elle s’est réellement abimé les yeux en terme d’échange équivalent, c’est pourquoi elle doit porter des lunettes pour lire ou jouer –geek mode, so.... Enfin qu’importe si ça lui permet d’éviter la foule et le plein air, et de se divertir, voir même côtoyer le gens via le online. Évidemment, elle est bien obligée d’aller en cours, histoire d’obtenir un laissez-passer pour le monde des adultes, et de ne pas porter le statut de NEET (Not in Education, Employment or Training) toute sa vie… Voie qu’elle a l’air de suivre malgré elle au vu de ses résultats scolaires.

Sans être basses, ses notes ne sont pas particulièrement bonnes ou suffisantes pour ouvrir toutes les portes. Mais comme bon nombre d’adolescents certainement, elle n’éprouve aucun réel plaisir à aller en cours, surtout si c’est pour finalement s’isoler de sa propre initiative… A quoi bon ? Les seules matières qui lui sont, disons, plus ou moins favorables sont les sciences. Étrange pour une geek n’est-ce pas ? -ou pas- Après tout, si on tourne le problème à l’envers, ce n’est qu’un jeu dont il faut trouver le raisonnement et la solution. Certainement comme la réalité… Un gros simulateur de vie sans les barres de besoin, ou les ambitions de chacun affiché clairement sur l’écran. Un peu plus compliqué en somme… A part devant un écran, étrangement Danny aime bien squatter les cuisines quand il n’y a personne, pas qu’elle apprécie particulièrement manger, ni cuisiner, mais l’ambiance qui y est, est simple, propre, et apaisante en dehors des heures d’affluence… Et puis peut-être y aurait-il un fond de pâte à tartiner ou de tablette de chocolat…Qui sait.
I’m a Tortue NINJA! COWABUNGA !

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♠ ♥ ♣ ♦

✎ Don : Drain matériel
✎ En détail : C'est l'histoire d'une petite fille qui se nourrissait de piles. Non sérieusement, c'est vrai. Elle peut. C'est pas forcément aussi gouteux que certaines pâtisseries, mais c'est plutôt nourrissant dans le genre. En gros, elle peut, si elle se sent patraque, absorber l'énergie contenue dans tout objet de nature électrique pour restaurer la sienne. Un peu comme les plantes avec le soleil. Il est alors après question d'énergie limitée ou non, si un objet est branché par une prise de secteur, Danny pourra absorber autant qu'elle le sent l'énergie qui s'y trouve. Petit, non gros inconvénient, un trop plein d'énergie peut lui être fatal, allant de la simple fièvre à une mort certaine, c'est pourquoi sur un objet branché, elle se doit de se concentrer pour ne pas absorber une trop forte quantité. L'objet qui en a été la victime est alors vidé de la quantité prise, sauf les objets branchés donc, qui sont constamment alimentés. Mais Danny peut bouffer la batterie de vos portables.~ Par exemple.
✎ Maitrise : 75%. Danny contrôle plus ou moins la quantité qu'elle absorbe, mais elle ne s'est jamais risquée à aller trop au de-là de ses limites.
✎ Elle & les ELEM : Élémentairement chiants.
✎ Elle & les SPE : Spécialement supportables.
✎ Lui et les PHY : Physiquement épuisants.
✎ Lui et les PSY : Psychologiquement agaçants.
Once upon a... Hum. No.

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Your flashback is a lie.

On dit qu’à l’approche de la mort, les souvenirs resurgissent, réapparaissent, même les plus enfouis, ceux qu’on pensait disparus à jamais, ceux qu’on aurait ne jamais avoir à revivre. Alors, cette vie qui est mienne, défilant à toute vitesse sous mes yeux, contenant joie et tristesse, signifierait-elle, que je suis en train de mourir ?


Twelve years ago


Cette histoire, même si elle ne commence pas par « Il était une fois… » n’est ni vraiment triste, ni particulièrement dramatique –c’est relatif, elle ne raconte que la vie d’une personne banale sans trop l’être, et ne compte pas se finir de si tôt. Il s’agit de la suite du barbant et ordinaire : « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants. », rien de vraiment amusant, si ce n’est que la réalité arrangera la fin par un enfant unique. Question économique certainement, car faire survivre une marmaille d’une trentaine de gosses n’a jamais rendu heureux qui que ce soit. A moins que la réelle interprétation soit « Ils vécurent heureux jusqu’à ce qu’ils aient beaucoup d’enfants. » Qu’importe car, vous raconter l’histoire du début dès les premiers contractions manquerait certainement d’intérêt, vous savez comment on fait les enfants non ? … Ne m’obligez pas à vous expliquer comment, potassez plutôt vos cours de bio… Et c’est ainsi que vous vous retrouvez… Sept ans plus tard.


Five Years ago.


Prenant une aussi grosse inspiration que lui permettait ses petits poumons, accoudée à la fenêtre de sa chambre, à moitié montée dessus, une ridicule demoiselle, presque voilée par son abondante chevelure cria aussi fort qu’elle put : « Jaaaames !! ». Aucune réponse. Enervée, complètement essoufflée, la miss reprit de plus belle, « JAMES CHRIS WALTER !! » hurla-t-elle de sa stridente voix à la manière d’une mère au foyer engueulant son mari après qu’il ait fait une connerie. Aucune réponse non plus. Le pied tapant au sol, complètement agacée, elle s’arma d’un cube en bois fièrement monté au dessus d’une pile de ses congénères et le balança à travers la fenêtre. L’objet vint alors percuter un livre, puis raisonna à la suite un mécontent : « James tout court… Et t’en as encore beaucoup des cubes… ? ». C’était un garçon, certainement plus âgé qu’elle, peut-être un peu plus mature qui vint retirer son livre et se placer face à la fenêtre pour lui tirer les joues. A vrai dire, il n’avait eu qu’à tendre un peu les bras, les deux maisons étant à une cinquantaine de centimètres l’une d’elle. «Tu sais que parler normalement suffisait pour m’interpeler… ». Sourcils froncés, articulant tant bien que mal, la fillette rétorqua, sourire malicieux aux lèvres : « Oui, mais c’est plus rigolo, James Chris Walter.~ » vint-elle appuyer sur le second prénom de sa création, sachant pertinemment que ça énerverait encore plus le garçon, car oui, selon elle, il manquait à James Walter ce côté solennelle qu’ont les noms de grands.

« Tu sais. Je déménage demain. »

Les échos, les rumeurs allaient rapidement dans cette ville si petite, répétés, amplifiés, modifiés, il n’était pas étonnant qu’il le sache, que ce soit d’une version différente ou non, mais le terme de « déménager » n’avait certainement pas trop changé. Alors, peut-être qu’il attendait juste qu’elle le lui dise pour se manifester. Pleurer n’était donc pas une nécessité. Retenant ses larmes pour afficher son habituel sourire, le narguant alors de son petit sourcil remuant elle le questionna : « T’es content que ta petite peste de voisine s’en aille he… ». Violemment, le cube vola dans la direction inverse qu’il avait parcourue juste avant, ne lui laissant pas le temps de finir sa phrase. « Ne te force pas à sourire si tu n’as pas envie… Et … Tu es obligé de partir? Laisse-les entre grands… Et restes… avec moi. »
Bien sûr qu’elle le voudrait, lui sauter dessus comme elle le fait parfois, le faire tomber à la renverse et rigoler ensuite jusqu’à ne plus pouvoir s’arrêter. Mais non, elle ne pouvait pas. Laisser sa mère, ce n’était pas possible. Elle avait besoin d’elle, de sa petite princesse, sinon, elle serait seule, toute seule, et puis, certainement était-ce de sa faute si son papa était allé voir ailleurs… Riant comme lui permettait son état, elle déclara « Maman a besoin de moi. Alors… A demain. », faisant alors volte-face pour quitter la pièce et se réfugier dans le couloir. James, comment pouvait-il être aussi égoïste. Non, elle ne peut pas. Son père avait son amante, mais sa mère était désespérément seule et alors instable psychologiquement, elle ne l’avait jamais vu ainsi, ne pouvait donc la délaisser. Alors, il fallait qu’elle soit forte pour elle, pour qu’elle sache que tout le monde ne lui avait pas tourné le dos. Jouer les adultes à seulement sept ans, c’est un peu trop, alors ce poids s’effondre la nuit tombée, quand il est temps de redevenir une petite fille et aller dans les bras de Morphée.

Le matin vint malheureusement, et malgré le soleil qui l’enveloppait doucement, elle ne parvenait à s’en réjouir… Bah, il le fallait bien. Etrangement, chacune des minutes qui suivait semblait se dérouler en accélérer, ne pas vouloir s’arrêter. Les événements s’enchainaient au fil des cartons qui se chargeaient dans le camion. Assise sur l’un des cartons devant la maison, elle était pensive, et ne se rendait pas compte que c’était déjà le Jour-J, que dans dix minutes elle ne vivrait plus dans cette maison, qu’elle n’embêterait plus James en entrant par sa fenêtre, que ses parents avaient divorcé. Ça arrivait tous les jours ça, pleins d’enfants avaient vu leur famille se déchirer, alors, ce n’était pas la peine de pleurer pour ça. Descendant de son carton, elle vit alors sur le palier de sa porte un papier, un genre de papier qu’elle connaissait, leur jeu à eux, rien qu’à eux. Les suivants à la trace un à un, résolvant les énigmes toutes plus stupides les unes que les autres, riant devant certaines malgré le triste instant, elle finit par trouver le dernier qui se trouvait dans la voiture. Alors. C’était la fin ? La vraie ? Hésitant à le lire, elle le fixa pendant un long moment avant de le décoller de la banquette : « Prends soin de toi. » disait-il. Les larmes montaient à une vitesse folle, ne voulant pas cesser de couler, de se rependre et vider sa tête. Elle pleurait alors à chaudes larmes alors que la voiture partait. Impossible de les arrêter.

« Au revoir James. »


Five years ago. (bis)


Depuis son déménagement, Danny n’avait jamais été vraiment la même, elle mangeait relativement peu, ne parlait presque pas, commençait à se renfermer petit à petit. La raison de son état n’était pas forcément le changement de maison, il y avait aussi, James. Ils avaient passé toute leur enfance ensemble, se connaissaient comme leur poche, mais n’avaient même pas pu se dire au revoir en bonne et due forme, mais peut-être était-ce bien moins difficile comme ça. Aujourd’hui était sa rentrée scolaire, découvrir de nouvelles têtes, un nouvel environnement, et passer pour la bête de foire à cause de son transfert au milieu de l’année, non merci. Alors, elle aurait voulu sécher, mais quand on a une mère qui met beaucoup d’espoirs en soit, ce n’est pas si facile… Se résignant à y aller, elle passa la journée à soupirer, regarder la fenêtre, ne parler à personne, répondre simplement par des mouvements de tête… Ce n’était pas vraiment de la timidité, ni de l’intimidation, mais plutôt une sorte de paresse, jusqu’à ce qu’avant de partir, une fillette de son âge, de sa classe lui semblait-il, vint lui parler, un large sourire aux lèvres, une sympathie à vous crever les yeux.

« Toi t’es ma nouvelle voisine non ? Moi c’est Amy, On rentre ensemble ? »

Avoir une personne légèrement collante, maladroite et envahissante aide certainement à se faire voler quelques sourires et éclats de rires, sympathiser avec elle et éventuellement lui trouver des bons côtés, du moins, c’est ce qui était arrivé à la demoiselle. Ainsi, et certainement grâce à elle, Danny parvint à se détacher de son cocon, put redevenir celle qu’elle était autrefois, quelqu’un de joyeux et dynamique, tout le temps dehors à jouer avec son groupe d’amis. Ce genre de spectacle ne peut que rassurer une mère trop inquiète pour son état, mais aussi celui de sa fille. La voir sourire et s’amuser était certainement bien plus reposant que de l’avoir à ses côtés sécher d’amères larmes toute la journée d’une femme dont le cœur brisé ne s’est pas encore tout à fait reconstitué. Si elle n’était pas là, peut-être Danny aurait-elle passé d’horribles moments en solitaire… A moins que…


Two Years ago.


La fin des cours sonnait. A son habitude, cartable sur le dos, toute sourire, descendant les escaliers, pour rejoindre Amy afin de rentrer ensemble, elle vit quelques uns de ses camarades, rigolant de choses et d’autres avec elle, l’une de ses agréables ambiances de fin de journée, le soleil qui se couchait, les élèves qui rentraient chez eux dans la bonne humeur. Levant le bras pour les interpeller, elle aperçut leurs visages de façon plus précises, ils étaient étrangement moqueurs et blessants puis une bribe de leur conversation vint à se glisser vers elle à la manière des bruits de couloirs, ceux qu’on aurait préféré ne pas à avoir affaire : « Franchement, pourquoi tu traînes avec Danny, elle est vraiment trop bizarre… Rien qu’à tout le temps parler de son James-là, on sait même pas qui sait. » Les autres le suivaient, amplifiant par d’autres moqueries, certains par des rires. En soit, c’était assez vexant, mais après tout, personne ne peut vraiment être apprécié par tout le monde, c’est des choses qui arrivaient, alors, pas de quoi faire tout un drame… Néanmoins, une voix vint s’ajouter à cela, une qu’elle aurait préféré ne pas entendre, voir totalement ignorer, celle de sa chère et tendre amie :

« … Danny ? Bah, je ne me fais que me servir d’elle. »

Non. Ce n’est pas possible, certainement avait-elle mal entendu. Oui, c’est ça. Peut-être même qu’elle avait mal compris et qu’elle ne parlait même pas d’elle. Oui, voilà. Elle n’avait qu’à faire semblant de tout juste arriver et tout arriverait comme d’habitude, elle se retournerait sourire aux lèvres, et lui sauterait dans les bras comme hier, ou avant-hier. Oui, comme d’habitude. Du moins, c’est ce qu’elle aurait voulu croire, mais impossible d’effacer ces paroles qui faisaient échos dans sa tête, jusqu’à ce que sa prétendue Amy ne se précise : « Bah, juste parce qu’elle est un peu jolie, les garçons viennent nous parler. Au début, c’était un peu ennuyeux, mais j’ai compris comment faire…Danny elle m’oblige à rester avec elle, juste parce qu’on est voisine… Elle m’oblige à faire ses devoirs de littérature… Je me sens si triste… Ce genre-là ! » imita-t-elle d’une voix niaise et mielleuse, le genre qu’on aurait plaisir à frapper… Cœur serré, elle ne savait comment réagir… Se voiler la face était plus difficile… Comme quoi, même à sept ans la vie n’est pas forcément que joie… Voulant s’enfuir de cet inconfortablement moment, elle fit volte face et enjambant la première marche quand un stylo glissa de sa poche, dévalant alors l’escalier jusqu’à tomber aux pieds d’Amy qui se retourna.
« … Danny, tu as entendu ? » Bien sûr que oui, qui n’aurait pas entendu sa voix de pimbêche raisonnant dans les couloirs… Prenant sur elle, Danny nia de la tête, bégayant dans un faux sourire : « Ah… Non, je viens d’arriver. » Redescendant alors jusqu’à elle, feignant de rentrer, elle fut agrippée par le bras puis stoppée net.

« … Danny, tu me prends vraiment pour une conne ? »

Les doigts s’entremêlant dans les cheveux blonds de Danny, elle la souleva à son hauteur, rapprochant le visage du sien, elle lui cracha dans la figure, le dégoût se lisant sur la sienne. Elle la tira vers un lieu désert. Pas étonnant pour l’heure qu’il était. Tous les élèves étaient rentrés chez eux, les professeurs étaient dans leur salle à prendre le dernier café de la journée. Sans qu’elle ne puisse y faire quoique ce soit, elle fut frappée, blessée. Qu’importe qu’elle ait mal, ce n’était certainement que l’affaire de quelques heures, peut-être une journée, ou deux, mais la seule douleur qui persisterait serait sans doute celle laissée par la perte d’une très chère amie, ou plutôt du goût amer qu’elle lui avait laissé… Alors, tous ces moments passés ensemble n’étaient qu’illusions ? De simples souvenirs montés de toutes pièces ? Elle avait du être réellement divertissante comme fille, tellement naïve et stupide. Quelle rigolade. C’était sa faute d’avoir cru qu’elle avait des amis, d’être tombée dans le panneau comme une idiote, oui, vraiment. Bah, qu’ils frappent autant qu’ils veulent si ça les amusait, au moins elle aura été un peu ‘utile’ jusqu’au bout. Certainement.

« … Danny, tu sais, ta chevelure de princesse arrogante m’a toujours énervée. »

S’abaissant alors tout en accrochant à Danny ce regard malsain et haineux qu’elle avait nouvellement adopté, ou certainement qu’elle dissimulait en fait, elle prit entre ses doigts d’enfant une paire de ciseaux de jardinerie trainant dans l’herbe. Doucement, elle commença à taillader la chevelure blonde de la demoiselle, accélérant l’allure en riant violemment. Ses cheveux étaient sa fierté, celle que sa mère coiffait avec douceur chaque soir, la complimentant doucement en l’appelant par des mots doux, celle qu’il ne fallait pas toucher. Elle les voyait tomber, à la manière de fil d’or devant son regard, impuissante. Non. Les larmes aux yeux, elle commença à se débattre comme lui permettait ses petits poings, cognant tout ce qui était à sa portée. Elle criait, tapait, jusqu’à ce qu’elle sentit l’objet la frôler, le ciseau vint glisser sur la peau de lait de la petite fille, coupant alors sa joue de douce enfant. Le sang contrastait avec la blancheur de son teint, et coulait avec modération tout le long de celle-ci, certainement trop pour son jeune âge. Paniquée, Amy balança le ciseau au sol, avant de s’enfuir avec son groupe, criant dans son hystérie qu’elle n’était pas fautive.

« DANNY ! Tout est de ta faute !! Je te déteste. »

Peut-être était-ce vrai. Peut-être que c’était elle qui avait poussé Amy à faire semblant, à devenir aussi violente, à finir par sortir qu’elle était la réelle coupable, qu’elle la détestait… Essuyant d’un revers de main tremblant la blessure qui lui avait été infligée, relevant alors avec crainte le rouge qui coulait, se crispant au frottement contre la plaie, elle se releva, dépoussiérant sa tenue les dents serrées. Ses sentiments étaient confus et se mélangeaient, elle ne savait plus trop si elle était triste, énervée ou déçue, peut-être les trois à la fois, en tout cas elle se détestait autant qu’elle pouvait haïr ce qui lui était arrivé, le piteux état dans lequel elle se trouvait, les cheveux mal-coiffés qu’elle arborait, son visage cabossé, sa démarche chancelante, ses larmes qui ne voulaient s’arrêter, mais aussi et surtout sa naïveté, son trop plein de confiance en l’humanité, sa faiblesse d’avoir accepté cette pitié. Vraiment. Main sur la poignée, elle entra, se précipitant dans sa chambre, tentant au maximum de ne pas alerter sa mère de son arrivée, qu’elle ne la regarde pas avec un air désolé. Non, elle ne devait pas savoir. Alors, se voilant derrière son habituel dynamisme, elle vint à lui mentir, se vêtir du pêché qu’est celui-ci, comme avait pu le faire Amy, faire croire qu’elle allait bien alors que tout allait mal, pour qu’elle ne s’inquiète pas. Elle s’enferma dans sa chambre, prétendant avoir monstre de devoir à faire, et laissa tomber son masque pour finalement pleurer la tête enfouie dans le coussin.

« James Chris Walter… Aide-moi… »


The last chapter.


Les mères sont certainement des anges pour les enfants sages ou capricieux, elles devinent les bêtises impunies, dévoilent les blessures du cœur, guérissent les douloureuses plaies, font s’envoler les vilains rêves ainsi que les insupportables chagrins. Peut-être possède-t-elle des pouvoirs magiques ou quelque chose comme ça, car malgré les sourires et les sanglots enfouis, la mère de Danny avait rapidement deviné que ça n’allait pas. Elle lui avait recoupé joliment sa chevelure, séché les larmes de la petite et apaisé sa peine. Néanmoins, pas suffisamment. Encore bouleversée par ce qui lui était arrivé, la fillette s’était enfermée dans son propre monde, un univers parallèle aux nôtres ou chacune des blessures infligées ne nous atteignait pas, se soignait avec aisance, ou l’on pouvait recommencer autant de fois que désirer les étapes où l’on avait échoué, un lieu où tout était factice, où on ne pouvait vous faire souffrir, un pays magique et virtuel, celui des Jeux Vidéos. Peut-être était-ce lâche de sa part, mais au moins, là-bas, elle n’avait pas peur d’affronter une fausse réalité, de se faire trahir par les personnages, ou quoique ce soit d’autre, car la Danny derrière l’écran n’en subissait rien. Elle ne fréquentait plus que rarement l’extérieur, n’allait que peu souvent à l’école, passait son temps dans sa chambre, ne voyait alors plus que le visage de sa mère et uniquement le sien.

« Danny ? Tu ne veux pas qu’on sorte pour mon anniversaire ? »

Toutes le deux, main dans la main, elles étaient sorties. Si cela pouvait faire plaisir à sa mère, certainement pouvait-elle faire exception à la règle et mettre un peu le nez dehors pour une fois ? Après tout, ce n’était pas souvent, et puis, sa mère était là, tout près d’elle, et donc, elle n’avait rien à craindre. La journée était passée si rapidement qu’elle n’avait pu savourer autant qu’elle l’aurait voulu chacune des secondes. Aller au cinéma, commenter les scènes niaises, manger bruyamment du pop-corn, finir par pleurer à la fin du film, faire les boutiques, essayer des fringues ridicules, se moquer des choix de certains clients, manger un morceau, en piquer dans l’assiette de l’autre, tout cela se trouvait être assez amusant, la dernière fois remontait certainement à longtemps, assez pour qu’elle ne s’en souvienne pas. Les rires, les bavardages, les ragots, le visage rayonnant de sa mère, tout cela lui avait tellement manqué. Certainement qu’une simple sortie entre filles pouvait résoudre pas mal de problèmes, changer les idées, tout ça. Ce n’était peut-être pas si mal de passer pour l’une de ses filles superficielles qui ne font que cela de leur journée, enfin, Danny avait tout de même ses limites. Alors qu’elles marchaient sur le chemin du retour, elle lui sourit.

« Maman. Merci d’être là. »

Sûrement avait-elle parlé trop vite, sûrement aurait-elle dû parler moins vite, sûrement n’aurait-elle jamais dû sortir ce jour-là, car cela arriva.

Les feux rivés sur elle, les cris de sa mère, le regard abasourdi des passants, les étoiles qui s’éloignaient, les pneus qui crissent, sa tête heurtant le sol, la sirène de l’ambulance, les murs blancs de l’hôpital, le plafond de plâtre qui défilait, les médecins discutant de son état, tout était allé si vite, peut-être trop vite. Elle avait assisté à la scène d’un œil spectateur, entendant tous les mots rassurants de sa mère tel un bruit de fond, ramassant ses sanglots sur sa joue, regrettant de ne pouvoir lui mentir en disant que tout allait bien, en lui souriant, ne pouvant pertinemment rien faire alors qu’elle était l’acteur principal de cet absurde spectacle. Ces larmes versées par sa mère, c’était encore de sa faute. La séparation de ses parents aussi. Une nouvelle fois elle faisait souffrir la personne à qui elle tenait le plus, qui lui était le plus cher. C’était peut-être pas si mal que cette voiture vienne la percuter, comme ça, sa mère n’aurait plus à payer de ses si précieuses larmes après cela… Elle aurait voulu tendre une dernière fois la main vers elle et s’excuser pour tout ce qu’elle aurait du, qu’elle aurait préféré ne pas avoir fait. Alors que le regard déploré de sa mère se broyait, elle sourit une dernière fois et ferma les yeux.

« BIP BIP bip bip biiiiiiip…
- Défibrillateur à 200, chargez.
- Défibrillateur à 300, chargez.
»

La salle se tut alors au rythme du pouls qui disparaissait doucement. Un silence pesant, chacune des personnes alentours n’osait briser cet interdit. Etait-ce réellement fini ? Endurer la mort d’une si jeune enfant était toujours une épreuve même pour ces personnes qui chaque jour devait affronter l’extinction de vie alors qu’elles se trouvaient jusqu’alors entre leurs mains. Comment annoncer la triste nouvelle à la mère se rongeant le sang dans le couloir, attendant avec inquiétude le verdict final. Remontant alors ses lunettes, tendant l’autre bras pour prendre la fiche du patient, un stylo cliqueta.

« Danny Kristen Ap…
- … … bip bip bip.
»

Par certains moments, alors que l’on croit que tout est perdu, que les dés sont joués, que Dieu nous a délaissé, ce dernier se sent vexé par la manque de foi de ses fidèles et lance de temps à autre un phénomène, pour prouver qu’il est toujours là, ce que l’on appelle Miracle.

Les personnes aux alentours, hommes et femmes de science seraient bien trop terre à terre pour accepter la thèse du miracle, alors que ça en était bien un. En cette petite fille qui s’était préparé à franchir de ses petits pieds le Styx, c’est réveillé un cadeau divin. Ce n’était certainement pas aussi extraordinaire que l’on pourrait le croire, que l’on pourrait sur le moment confondre avec la résurrection, mais disons qu’il tombait plutôt bien, un don de Dieu qui se réveilla alors qu’elle s’approchait de la frontière entre la vie et la mort. Evidemment, personne ne sût expliquer comment cela avait pu arriver, mais quand le médecin, poussant les portes du bloc l’air grave et silencieux, la mère s’apprêtait au pire, à la perte de sa chère enfant. Bégayant alors, encore perturbé parce qui était arrivé, il annonça tête baissé :

« Votre fille est en vie.
- Mais ! Pourquoi cette tête d’enterré alors ?!
- C’est que…
»

Après cela, Danny retrouva ses esprits dans une chambre d’hôpital, afin d’y passer quelques semaines en observation, afin de déterminer la nature de ce sauvetage in extremis, qui relevait pour les personnes ayant assisté à la scène, du paranormal. Durant l’une de ses visites quotidiennes, la mère de Danny vint lui apporter une lettre. Il s’agissait d’une invitation pour une école, une école pour les détenteurs de don. Mais ? En quoi cela concernait Danny ? Un personnel de l’école vint alors à se déplacer jusqu’à l’hôpital, leur expliquant par la suite en quoi consistait celui de Danny. Ce qui s’était produit avait donc été la chose suivante, de façon tout à fait inconsciente, Danny avait puisé dans l’électricité produite par les différents câbles électriques liés aux machines qui lui étaient connectés, la transformant alors en énergie suffisante pour faire redémarrer son cœur de peu. Son don étant tout de même limité, ce n’était alors qu’une question de circonstance et de chance.

« … Le Drain matériel, avait murmuré sa mère.
- En effet.
»

C’est ainsi, que malgré ses plaintes, son entêtement, Danny fut envoyée à Aisling, loin de sa mère, dans un lieu qui lui est si inconnu.

Cela peut paraître triste comme histoire, mais, ne sont-elles pas des choses qui pourraient arriver à n’importe qui ? Divorce, violence, renfermement et accident. Alors, pas de quoi fouetter un chat… A moins que ce ne soit que mon côté défaitiste qui ne donne cet aspect dramatique à ma vie…

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Dernière édition par Danny K. Applefield le Sam 17 Sep - 21:32, édité 7 fois
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Aelys E. O'Brien
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MessageSujet: Re: .: Danny K. Applefield _ You're weird. It's a compliment.   .: Danny K. Applefield _ You're weird. It's a compliment. Icon_minitimeVen 19 Aoû - 21:15

Re-bienvenue miss ♥

Elle me plait bien Danny, moi. Je te propose l'armure corporelle en PHY, comme une sorte de métaphore foireuse. Ou alors le drain matériel, qui permet d'aller recharger ses batteries grâce aux objets électroniques en SPE ~ En plus ses yeux seraient en accord avec sa classe, si c'est pas trop bien
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Danny K. Applefield
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MessageSujet: Re: .: Danny K. Applefield _ You're weird. It's a compliment.   .: Danny K. Applefield _ You're weird. It's a compliment. Icon_minitimeVen 19 Aoû - 23:05

AAAH ~ *cri de la fille qui sort du ciné en ayant pleins de sms qui disent qu'elle a ses propositions de dons* Sankyuuu Aelys!!
C'est, genre, TROP COOL! Alooors! Hum... Hum... Armure corporelle aurait vraiment été fun au vu de son caractère (bien pensé xD ...), mais je pense me pencher vers le drain matériel en SPE parce que la couleur est trop belleuh!! (et que oué, trop assorti à ses yeux! Mais du coup, toi aussi t'as la classe suprême!)
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Danny K. Applefield
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MessageSujet: Re: .: Danny K. Applefield _ You're weird. It's a compliment.   .: Danny K. Applefield _ You're weird. It's a compliment. Icon_minitimeJeu 25 Aoû - 0:13

Je. J'ai fini. ~ *un peu longue l'histoire =w= Désolée*
J'espère que la partie où elle "revit" fait pas trop résurrection divine et tout... Même si je parle de miracle... Mais...
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Scarlett A. Reed
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MessageSujet: Re: .: Danny K. Applefield _ You're weird. It's a compliment.   .: Danny K. Applefield _ You're weird. It's a compliment. Icon_minitimeVen 26 Aoû - 23:31

Moi ça me va, et je valide !
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MessageSujet: Re: .: Danny K. Applefield _ You're weird. It's a compliment.   .: Danny K. Applefield _ You're weird. It's a compliment. Icon_minitime

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