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 let the bastard get you down.

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AuteurMessage
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Ludvik A. Haraldson
let the bastard get you down. Rangpsy
Ludvik A. Haraldson

Messages : 256
Date d'inscription : 18/06/2011
Age : 29


It's a kind of magic.
Age du personnage : 17
Nationalité: Islandaise
Relationship:

let the bastard get you down. Vide
MessageSujet: let the bastard get you down.   let the bastard get you down. Icon_minitimeSam 18 Juin - 20:01

sympathy for the devil.

SURNOM des insultes, des babils, et lie
ÂGE 18 ans de loyaux déservices (fuk u je change son âge)
ANNÉE 6ème
ANNÉE D’ARRIVÉE 1ère
CLASSE dissecteurs psychologiques

just a curse, have a nice day.


    — ...Putain Haraldson arrête de me suivre quoi.
    — Quoi quoi quoi, j'te fais peur ?
    — Tu veux savoir ? Ouais. Ouais, tu me fais peur.
    — Ah ouais ?
    — Oh mon Dieu s'il te plaît éloigne-toi.
    — Regarde, elle est froide ma main hein.
    — ARRÊTE !!
    — Je peux te lécher la joue ?
    — Arrête... arrête... arrête...
    — Alors chiale.
    — Espèce de sale petit...
    — Chiale.
    — ...........
    — Ben tu vois quand tu veux.


Ludvik. Tu l'as remarqué. Rien que là, ça sonne dur, non ? Ludvik. Des consonnes dentées comme des crans d'arrêt. Découpées dans du fer rouillé, et qui coincent dans la gorge. De la strychnine solide. De l'acide dans les yeux - zut -.

Haraldson. C'est là que ça se complique. Dis-le encore : Haraldson. Ah oui, ça te revient. Voilà une souvenance : Les Haraldson. Lignée de fripouilles islandaises, trafiquants de fret en tout genre et détenteurs de dons qu'on qualifie d'infâmes. Des jouisseurs. Ils font dans la came comme ils font dans l'humain. Ils savent que leur emprise délicieuse sont des ailes d'albatros. Ils foutent les chocottes parce que tout le monde le sait. A entendu parler d'eux. Parce qu'ils sont soudés, compétents et spécifiquement lubriques. Parce qu'ils sont couverts. Parce qu'ils adorent être eux. De vrais salauds, épargnez-moi la petite frappe. Du Haraldson : de l'angoisse tacite. Du corrompu brut. Du déshumanisé. Et un putain de talent.

Je déblatère comme ça parce que Ludvik Haraldson c'est moi. Y'a sans doute que moi qui sache jusqu'où je peut aller dans l'abject. Bon, les autres ont peur. Ils ont des avant-goûts à foison, bon, bon. Je suis pas facile tous les jours. J'entends par là que c'est pas facile de savoir que j'existe ; de se dire dans le creux des mains ou du cerveau "Oh non, il est là". Oui je suis là, tout près de toi. Moi et ma débauche. Je donnerais n'importe quoi pour savoir ce que ça fait. L'épouvante. La vraie. Sentir que ses entrailles se compressent et implosent comme une fleur sanguinolente, dans une fureur éreintante, quand par à-coups la menace approche. Je suis la menace. Je suis beaucoup trop pourri pour goûter à la peur rien qu'une fois maintenant. C'est dommage.

    — Va te faire foutre, Lie.
    — Je t'admire. C'est courageux de ta part de venir me dire ça. Tu as fait le déplacement juste pour moi ?
    — Je te hais. Tout le monde te hais.
    — Tiens donc.
    — Pourquoi tu m'as fait ça ?
    — Je ne comprends pas bien. Tu parles du fait de ne pas t'avoir dit bonjour ou de celui d'avoir détruit ta vie ?
    — Et ça te plaît. Tu adores. Tu n'es pas un monstre, parce que même les monstres ont une âme. Tu es une putain de tumeur, une cellule cancérigène, tu es un miasme échappé d'un corps pourri, t'as la nécrose, tu es juste un salaud, il faut que tu crèves, on serait sauvés si tu crevais, Dieu, faites qu'il paie, faites qu'il crève.
    — C'est tellement mignon ces petites fossettes de rage quand tu désespères. Parle-moi encore de l'épave, de la merde que tu es devenue.


C'est dommage mais au fond je m'en branle. J'ai d'autres sources pour compenser, d'autres ressources pour décompresser. Après tout la peur c'est suffisamment immoral pour m'être délectable. Si je la ressens pas en tous cas j'aime la provoquer. Ça m'amuse comme un chiard. J'aime deviner les mécanismes, les engrenages pour les détraquer. Faire sauter les boulons des autres. Faire céder les verrous réfractaires avec mes pieds-de-biche personnels. Les gens le supposent avec un spasme rebuté, mais ils ignorent à quel points les abysses de mon vice sont profondes. Sans mesure. Je veux savoir, c'est quoi ton effroi ? J'vais te spolier de toute bonne humeur. J'vais te poursuivre - Nan nan - te harceler. J'vais t'enfoncer doucereusement les ongles dans l'âme. Comme des pieux. Empiéter sur toi pour mieux t'baiser. Je vais finir par croire que l'air que j'expire est vicié tellement je dégoûte... Ha ha ha. J'suis altier. Impérial. Enfanté par des salauds. Dieu que je les aime ces salauds à qui je dois tout.

Je suis certainement le dernier mec qu'on veut croiser dans les couloirs par ici. Une saleté de nid à problèmes dont il est trop ardu de s'extirper. Une perte de temps et d'énergie dans les grandes proportions. Un dénaturé, un démon, une hantise : un guet-apens vivant. J'ai eu écho de rumeurs, de bruits troubles sur moi. Je vous jure, c'est jubilatoire. A juter. Je me suis buriné dans la peau une réputation de fumier comme on n'en fait plus. Haraldson jusqu'au bout des griffes ? J'espère bien. Même aux prémices de ma vie étudiante pourtant, quand j'avais rien à me reprocher... Personne n'a jamais voulu me parler, personne n'a jamais voulu faire ami-ami. Même en l'état du parfait inconnu, ma voix traînante, mon style corbillard, mon air rogue et ma morgue, tout ça ne laissait rien présager de bon. Si j'en avais l'acabit, j'aurais pu jouer le jeu. Faire le bon garçon. Mais je rentre pas dans ces normes gentillettes. Ces critères bienveillants. C'est trop pour ma putain de dignité. Et pour le vice inexpugnable, héréditaire qui ruisselle dans mes artères. Alors j'me suis marginalisé dans les mauvais raidillons, j'ai pris les mauvais plis et j'me suis changé en vrai traquenard. Je suis devenu une tare pour la communauté. Une plaie sanguinolente, encore une, que je me complais à remuer. Tréfiler.

Je suis un esprit courbe. Tors, retors, sinueux. Je ne suis pas une ligne directrice : Mon être se disloque pour cheminer sur différents endroits. J'ai toujours été un pervers, un licencieux en puissance. Lie change et prend des virages. Il a aucune étique et aucun honneur, le vernis de ses mensonges cache un fiel diabolique. Le tartufe absolu. Diviser pour mieux régner, tu connais ? Je me découpe l'âme parce que j'ai aucun but. Je cours après tous les lapins à la fois ; dès que j'en ai tiré un le prochain c'est toi. J'ai plusieurs itinéraires qui touchent à plusieurs personnes, un maximum, en fait. Tous tes apanages sont les miens, je veut que mes murmures te soient familiers. Je couvre et je couve quand ça me chante. Tant que j'peux m'attirer leurs bonnes grâces tous les coups sont permis. Lèche-cul, cul verni. J'alterne. Je prends les autres à bras le corps avec une fourberie à gerber. L'hésitation a été une valeur à proscrire, la réflexion à inscrire dans les bonnes mœurs. Je suis complexe. J'suis un judas. Mais pas de ces judas qui se repentent après la forfaiture. Je suis un connard et un vrai, un opportuniste, un perfide, un trompeur et un renard. Je mens comme je respire, je déprave par ma seule présence. J'aime le croire en tous cas. Je m'adule par-dessus tout ça.

    — Pourquoi t'es si pressé ? On a tout notre temps.
    — N-non. Désolé, mais là j'ai cours en salle de pad et-
    — Non. Tu n'as pas cours. Tu es en deuxième année chez les PHY et Strummer, ton professur, est absent aujourd'hui. D'ailleurs tu le sais parfaitement. Tu passais par ce couloir bondé en te disant que je n'irais pas te faire chier devant tout ce monde.
    — S'il te plaît, je t'en supplie Ludvik, demain. Demain, c'est promis.
    — Demain.
    — Oui, pitié. Demain. Je te le jure sur la tête de ma mère.
    — Demain, d'accord. Mais aujourd'hui, aujourd'hui, je vais t'attraper par cette masse informe qui te sert de tignasse, je vais prendre ta petite sale gueule et te la râper sur le pavé et puis sur les portes, jusqu'à ce que les résidus de ta cervelle et de ta face éclatée tracent un chemin, un chemin que ta chienne de petite maman pourra suivre pour retrouver ta tête refaite, tellement refaite qu'elle te reconnaîtra putain de même pas.


Allons, il y a quand même des exceptions qui infirment la règle. J'ai beau être dégueulasse, il me faut bien des trucs à apprécier, sans quoi je toucherais à la névrose et la neurasthénie. Ces mots sont malsonnants dans ma bouche, hein ? J'l'avoue. Abstraction faite de ces trucs qui m'emmerdent, du traditionnel lot de banalités à exclure de mes principes et de mes coutumes, il y a... Des gens. Des sons. Des paradoxes. Des sensations. J'suis pas dédaigneux de tout, et certaines choses s'attirent ma sympathie quand je les hait pas avec exaltation. Mais ces mots que je prononce m'écorchent les lèvres à dire, alors ce sera à vous de découvrir qui ou quoi. Allez vous faire mettre : hors de question que je déballe ça ici, ça ferait trop plaisir à certains. Et ceux qui doivent en procurer du plaisir, c'est vous. A moi. Pas moi. Je supporte pas... je supporte pas... je supporte pas qu'on me résiste. Si vous m'énervez, si vous m'échauffez, vous vous exposez à des périls grandioses. Vous savez très bien qu'il faut pas m'avoir sur le dos. On vous l'a dit. Je fais peur. Et tant que vous m'avez pas prouvé que vous valez plus qu'il paraît, que vous en avez dans les burnes, vous méritez seulement que je vous pisse à la raie. Passé ce cap, je peux être un tantinet moins horripilant. Un tantinet moins macabre. Et plus contemplatif.

Mais n'allez pas croire que j'agis sans au préalable retourner les choses dans ma cervelle. Nan, nan. Un connard est un connard quand il prévoit tout, tout vraiment, dans les détails les plus acérés. Je fais dans le morbide salace. Le génie c'est qu'on se morde les doigts de rage en voyant que t'es toujours là, rôdeur outrancier, derrière les manigances, indifférent à tout et à ta rage peureuse. Dieu que j'aime les voir enrager. C'est là qu'on reconnaît les grands et les glands. Voilà pourquoi j'ai horreur de m'faire prendre les mains dans la merde. Mes coups, mes plans, je les pense, et quand la sauce ne prend pas ou que les choses tournent mal, là je cogne. Les situations dramatiques peuvent se régler qu'à grands coups de ruse, et pas à grands coups de pompes. Je le sais parce que mon influence me permet de m'en sortir sans en venir aux mains. Comment ? Ha ha ! Comment ducon ? Parce que outre ma carrure patibulaire, mon pouvoir me permet un ascendant confortable sur la plupart de mes petits camarades. Qu'on soit superstitieux ou pas, les états d'âmes sont égaux devant la malédiction. Machiavel s'en pisserait dessus, remballez vos marquis de Sade. En brandissant mon don immonde j'ai le monde à mes pieds, enfin ! La plupart de ses composantes. Mais en réalité j'm'en garde. J'ai suffisamment de talent pour faire sans, comprenez ? Le pied, le vrai pied, vous voyez, c'est d'être l'ombre de l'autre. De se glisser dans ses pas, de l'imprégner comme une putain d'odeur de soufre. D'être là, dans ses basques, collés à ses râchis, et de lui susurrer avec le miel de la voix des paroles dont Dieu rougirait. D'esquisser des sourires qui se tordent en rictus exquis. J'aime voir l'assurance trembler, le stoïcisme se craqueler. Les orgueils se démanteler. J'aime le scabreux, l'indécent, le politiquement incorrect. Je suis Ludvik, je heurte je choque et je t'emmerde. Parce qu'il y a des concepts humains que je piétine avec une euphorie de gosse. Parmi eux le respect d'autrui. La (com)passion. L’ingénuité. Tout ça est d'une platitude monotone. Je suis tellement extatique à l'idée de défoncer les plates-bande et d'ébranler l'ordre établi que je m'oublie, et que j'oublie que je suis qu'un connard de plus.

    — Je crois que t'en as assez fait, Haraldson.
    — Je crois que tu crois mal.
    — Et tu vas payer.
    — J'ai encore beaucoup de pots à casser.
    — Parce que je vais te démolir.
    — Et tellement de bonnes consciences à déflorer.
    — Ta trombine me fait vomir.
    — D'ailleurs, t'es la prochaine.


Mais que voulez-vous, être Ludvik ça enivre. Autrement être vous c'est déambuler dans un néant puant.


- - -
but the Lord himself would blush

DON Malédiction. On ne se demande plus pourquoi il est aussi follement apprécié.
EN DÉTAIL Un tel pouvoir dans les mains de quelqu'un comme Ludvik revient à la plein-potence pour un politicien véreux, un dictateur ou un monarque totalitaire. C'est une dose d'arsenic dans la seringue d'un suicidaire. C'est une erreur, c'est une aberration. Et le moins qu'on puisse dire est qu'il n'est pas peu fier d'en user. Ce pouvoir est un signe de plus pour Ludvik et son ego qu'il est fait pour dominer. Capable de pourrir à vie l'existence de quiconque, il sait user avec un doigté effrayant de son pouvoir. Et il se montre particulièrement, méticuleusement cruel lorsqu'il réduit à de vagues reliques le quotidien de sa proie.

Quand il damne, Lie ne le fait pas à moitié. Son diabolisme ressort dans la malsaine jubilation qu'il mobilise à concocter ses malédictions. Oh oui, il adore ça. Peaufiner dans les moindres détails son imprécation pour qu'elle fracasse quelqu'un jusqu'aux plus extrêmes confins ? Un hobby. Mais ses incantations ne sont cependant jamais faites à la légère. Elles ne sont jamais fatales non plus. Où est l'amusement sinon ? Ses aspirations étant de faire des parias et de pauvres brebis galeuses, aucun intérêt à tuer.

Il les créée de manière orale ou manuscrite, le but étant que le martyr en prenne connaissance ou entre en contact tangible avec. Pour une réelle efficacité, il doit se limiter à une personne à la fois. Ça lui demande concentration énorme, et qui le met dans des fatigues variables. Mais Lie s'est nombre de fois amusé à expérimenter sa puissance, histoire de voir jusqu'où il pouvait frapper dans l'horreur. Il l'a notamment fait au travers d'objets de proportions variées, qu'il est capable d'ensorceler de son sceau. Il est d'ailleurs passé virtuose dans le domaine, pouvant à sa guise férir un bouquin, un peigne ou un pendentif des châtiments tordus qu'il imagine. Surtout, n'acceptez aucun des objets qu'il vous proposerait, en particulier s'il le fait d'un air goguenard : Les chances sont grotesquement énormes pour qu'il soit maudit. Les babioles qu'il utilise comme talismans sont ses moyens préférés pour agir, en tous cas. C'est bien plus facile que de manipuler à même la chair humaine.

Récemment, Lie a remarqué que des migraines assez perturbantes le prennent lorsqu'il passe à proximité de victimes encore maudites. C'est affreusement douloureux, mais ça lui permet de tenir un petit "compte" précis des malédictions qu'il a lancé. Et plus celle-ci est lourde, plus le mal est intense. En contrepartie il maîtrise de mieux en mieux son pouvoir, et ça, ça fait sérieusement flipper.

MAÎTRISE un respectable 75%. Il feint toujours de ne pas savoir lever ses sorts, mais il sait très bien comment procéder. Il lui faut le regretter amèrement, chose qu'il exècre profondément. Le don est en lui-même prétexte à un gros trafic d'influence dont il use en premier recours. Si vous ne coopérez pas avec lui, si vous déclinez ses requêtes, son argument n'est pas des moindres. “Tu préfères p't'être l'hôpital tous les jours ?”


ELEM
J'me demande parfois comment autant d'orgueil peut se concentrer dans d'aussi petites pommes. Ils se prennent pas pour du pipi de chat, ceux-là, et c'est pour ça que c'est si facile de les piquer au vif. Ils sont tellement réactifs que c'en est lassant. De petits présomptueux que je saque pas pour la plupart. Bon, en somme, je n'ai pas matière à les enquiquiner, puisqu'on est pas sensés être en conflit. Mais j'adhère pas, c'est tout... Bon bon... Allez. Il y a bien cette salope de Lux qui ne fait pas dans le genre frêle. Elle a su s'imposer assez pour que je la. "Respecte".

SPE Seigneur qu'est-ce qu'ils sont mous. Leur laxisme me casse les noix. De vraies guimauves, et pas une pour répondre aux invectives en général. Ils ont tellement rien à battre des gueguerres intestines que se livrent les autres qu'ils en deviennent... intéressants. Y'a globalement pas à se plaindre de ces loukoums, tant que l'un d'eux se laisse prendre aux jeux que je leur élabore avec tendresse.

PHY Regardez-moi ça, sérieusement. C'est-y pas génial ? Toutes ces petites fripouilles qui ne pensent qu'à batifoler, folâtrer, flâner, sécher les cours et mener la vie dure aux profs. De vraies terreurs. Et dès qu'un coup de chevrotine part dans le tas, hop, voilà le feu au poudres. Ce sont mes agneaux préférés. Des morceaux choisis, ceux que j'aime le plus malmener parce que les plus malléables. Ils peuvent pas me sentir. C'est la débâcle quand j'me pointe. Le noyau solidaire. J'adore épouvanter gentiment ces ratés. J'adore ça, vraiment.

PSY Il fallait bien que je me case quelque part. Ce fut chez eux. Les têtes de classe. Après tout, leurs procédés méthodiques et leur sagacité sont ce qui se rapproche le plus de ma psychologie. Mais paradoxalement, c'est ici que je me suis fait le plus d'ennemis. Ha ha. Marrant non ? Voir le petit Smile émoustillé dès qu'il pose le regard sur moi, c'est limite si ça me fait pas bander. Voir Luca se terrer dans un silence et sa putain de terreur inavouée, j'vous en parle pas non plus. Bon. La classe en global, j'ai réussi à m'attirer leurs faveurs un minimum, mais je m'amuse toujours autant de la frayeur que je leur inspire.

you're a liar you're a liar you're a liar


    — L'Islande est à nous Ludy. Notre négoce c'est l'avenir. Tu comprends ? On est les rois. Les seuls. Hm ?
    Oui.
    — Et tu sais pourquoi ? On a quelque chose que les autres n'ont pas. Qui nous rend plus forts.
    Un don.
    — Oui un don. C'est notre talent, et c'est ce don qui nous hisse au bout de l'échelle. Et toi Ludy ?
    Moi aussi j'ai un don.
    — Tout juste. Et ?
    J'écraserais les autres avec parce que les Haraldson c'est les meilleurs.
    — C'est bien mon grand. Maintenant va aider Kayleigh à déplacer les caisses.
    Oui papa.


Tout-petit et projeté dans le chanvre, la poussière, les macchabées. Pas plus haut qu'un rien et l'esprit déjà gonflé des valeurs familiales. D'une présomption émue et précoce. Bien que l'incompréhension enfantine nimbe son esprit il s'en imprégnait doucement. Presque d'instinct. Se profilait déjà, derrière son innocence vouée à être courte et fugace, les ombrages d'un vice latent. Les réminiscences qu'il aurait du passé ? Abjectes. Trempées dans la hideur du trafic. Il ne pouvait plus désormais échapper aux emprises de son destin et son père, son propre père, était le héraut qui l'enjoignait à le suivre aveuglément. Oui papa. Je te suis. De toutes manières, que puis-je faire d'autre ?

L'enfance de Ludvik fut lapidaire. Il n'eut pas le temps de se construire laborieusement, comme les autres mouflets, certainement parce qu'il n'en exprima pas le besoin. Ça ne lui manqua pas le moins du monde parce que c'était dans son sang, ses gènes. Et il n'eut jamais matière à se plaindre non plus. Autonome passé l'ère chérubine, il épaulait déjà ses aînés dans leur entreprise commune sitôt qu'il put tenir sur ses jambes et déplacer des charges lourdes. L'entreprise commune, c'est le trafic précédemment - et brièvement - mentionné. Je vois les visages se décomposer. Pourtant ça n'a rien de surprenant ? Haraldson. En évoquant ce simple nom, qui n'aurait pu être que celui d'une banale postérité islandaise, les choses s'éclaircissent. La surprise se dilue. Oui, parce que les Haraldson sont connus. Tristement surtout. Il est probable que ce funeste lignage soit derrière bon nombre de commerces illégaux actifs sur la province, ou que leurs détracteurs et autres fournisseurs aient un lien avéré avec eux. Les Haraldson sont d'honorables pourvoyeurs et de talentueux marchands dont les services sont fort souvent employés au pays. Certainement parce qu'ils sont les trafiquants les plus rapides et les plus fiables, et surtout les plus habiles du domaine, tant que leurs services sont bien affranchis. Ils pourraient nantir une petite fille d'opium tant qu'elle a de quoi en échange. Outre la recherche du profit, ce qui les mène est la recherche de la notoriété. Plus leur renom s'érige sur des faits horribles, mieux c'est ! On se voit plus facilement mis en contact avec les gros consommateurs ainsi.

Surenchérir dans le glauque, une politique efficace. Et plus rondement exploitable encore quand on s'appelle Haraldson et qu'on a du sang bleu - surnaturellement parlant -. En plus de leur impressionnante poigne sur le marché noir, et de leur influence sur les produits dispensés, ils disposent en prime de dons les écartant plus encore du commun des mortels. Des dons pour la plupart à faire froid dans le dos tant il rivalisent d'horreur selon les crus. Des dons qui leur permettent de devancer leurs adversaires avec une remarquable aisance. Des dons enfin qui se manifestent dès les années juvéniles, et qui déterminent la future position sociale du Haraldson concerné. Un ménage en somme réglé comme du papier à musique. Comme quoi les pires crapules et les resquilleurs les plus sales sont certainement les plus finement hiérarchisés. Ludvik étant le dernier représentant en date, et le dernier à essuyer le bourrage de crâne interminable de ses géniteurs qui le vicièrent dès son sevrage, on attendait avec une indissimulée impatience l'irruption de son talent. Mais chaque chose en son temps cependant. Comme on n'enfonce jamais les portes ouvertes dans la famille, et qu'il est préférable d'affiner sur une longue durée la perversion des rejetons, on prenait son temps. Et on approfondissait son éducation jusque dans des sommets d'horreur.

Vous en épargner les détails me semble judicieux, aussi faisons d'emblée un bond dans le temps. Ludvik a dix ans. Ludvik se fait déjà appeler monsieur et Ludvik est déjà nubile. Du moins, on a fait comme si. Accoutumé aux manières débauchées de son clan, conformé au mode de vie dissolu des autres et parfaitement dévoyé, il est à l'image de ses modèles et n'a plus à rougir de rien. Le parfait petit Haraldson. Il connaît sur le bout des doigts les affaires de famille ; il a enterré son enfance avec cet empressement de ceux qui se lancent à corps perdu dans l'existence. Et celle du petit garçon est promise à être florissante. Outre sa vie officielle sur les banc scolaires et le parvis de l'éducation nationale, en filigrane s'annonçaient bien d'autres ambitions. Pour lui, le quotidien est un retrempé de concepts triviaux. Un débit sordide de drogue, d'armement, de filles, de cœurs et de rates de remplacement. Entres autres seulement.

    — Rien de mieux à proposer ?
    Quoi, vous êtes un connaisseur ?
    — Peut-être bien gamin. T'as quel âge ?
    Vous trouverez rien de mieux aux alentours. On régente sur Reykjavík, les petits comtés, la lande. Peut-être même sur le pays.
    — T'as de la suite dans les idées en tous cas.
    M'sieur, on est les plus gros. Vous pourrez pas trouver "mieux", comme vous dites.
    — Si tu le dis.
    Mieux, ça existe pas.
    — T'es un bon garçon gamin. Tu devrais pas perdre ton temps comme ça.
    Si vous avez rien de plus convaincant, venez pas chercher les Haraldson. Et allez vous faire foutre.


Il n'allait pas refourguer un si bon opium au premier clodo venu. Dans leurs entrepôts, on ne faisait pas dans l'orviétan. Les négociations de bon matin était l'occasion de chasser à grands coups de pied au cul les itinérants et de braconner de la vraie clientèle. Il fallait rôder dans pas mal de coins et ratisser comme un malheureux fouineur. Les chalands n'étaient pas si rares pour les Haraldson, mais comme ils n'étaient pas seuls dans le commerce il fallait parfois insister plus que de raison. Ils avaient beau en distancer la plupart avec leurs brigues dans l'ombre, d'irréductibles passeurs insistaient encore... Ce qu'ils ne comprenaient pas c'était qu'ils n'étaient pas au niveau. Leurs adversaires étaient d'une autre trempe. Enfin... Ludvik avait un minimum de pratique et savait comment opérer en général. Toujours était-il qu'il trouvait ça d'un ennui profond - la vente -. Tous d'ailleurs avaient bien vu qu'il n'était pas fait pour l'action sur le terrain ni pour la gérance monocorde du marché noir. Heureusement pour lui, il ne dut pas s'y atteler très longtemps sans que les choses évoluent. Ce fut en ces temps fades que le Don consentit enfin à faire parler de lui.

L’élément déclencheur fut une jeune fille à la peau de sèvres. Il le fallait bien après tout. Ludvik n'a jamais eu la prétention d'aimer, de toute sa misérable vie. Son caractère trop spontané et son vice trop impétueux condamnaient de sa part toute impulsion autre que charnelle ; il fut si tôt familiarisé à la volupté et aux galbes féminines que sa froideur sentimentale en devint bien vite terrifiante. Stérilement terrifiante. Tout sentiment autre que scabreux de sa part était pure lubie du moment. Pourtant, cette jouvencelle à l'époque de huit ans son aînée, et son regard douloureusement anthracite lui arracha dès le premier échange des... des frémissements. Ce fut terriblement brutal. Non, ce n'était pas une traînée. Non, rien qui ne se distingua du platonique. C'était une fille qui coulait ses jours nauséeux à l'hôpital.

Une fille à qui il manquait un rein. Une pauvre fille qui apparemment n'avait plus grand-monde familialement parlant et qui s'était oubliée de tout. Elle devait le semblant de vie qui l'animait encore à un oncle richissime, si pourri d'argent et de moyens qu'il pouvait bien lui financer encore un peu d'existence. Par respect pour une mère défunte d'après les on-dit. Rien n'était plus de son goût là où elle était. Elle attendait une opération au black - devinez qui étaient les fournisseurs -, attendant sagement l'arrivée d'une râble compatible. Et il lui rendait visite de temps à autres sans intérêt particulier. Juste pour entrevoir son visage blafard ou ordonner ses cheveux dans un silence verglacé. Pourtant elle était pas si jolie que ça, Jézabel, si Lie se souvient bien. Non vraiment, ce qui l'avait frappé, c'était son regard. Il y avait quelque chose à l'intérieur qui valait tous les charmes du monde. L'un de ces regards de serpents exotiques. Jézabel. Mais elle, Jézabel, n'avait vraiment rien à foutre de Ludvik. Comme elle n'avait rien à foutre de plus rien. Elle le saluait, par principe, quand il entrait dans sa chambre conditionnée. Il revenait après l'école, après les ventes. Mais elle n'avait rien demandé. Elle ignorait pourquoi, pourquoi ces retours récurrents ; pourquoi leur rencontre ; pourquoi il insistait ; il n'était qu'un trafiquant après tout. C'était plutôt si de temps à autres, avec sa fascination grandiloquente et son sourire - ce sourire sale - il ne lui faisait pas peur plus qu'autre chose. Et il le sentait. Et ça l'énervait. Non, ça le foutait hors de ses gonds. Ce gamin devenait de plus en plus monstrueux chaque jour à ses yeux. "Jézabel. Jézabel." Tous les jours. Jézabel. "Jézabel... Tu ne m'aimes pas. Crois-moi, si tu ne m'aimes pas vite, il va t'arriver des putain de bricoles."
Terrifiant.

Il lui avait balancé ça un soir, dans une fureur latente, après l'avoir embrassée et s'être enfui. Le lendemain, quand il était revenu pour faire semblant de s'excuser, Jézabel n'était plus là. Elle était morte parce que ses perfusions sanguines s'étaient étrangement avérées déficientes. Et là Ludvik ne comprit pas. Pourquoi ? Tout allait très bien - enfin assez bien pour qu'elle vive encore -, jusque là. Ses enfoirés d'infirmiers s'occupaient d'elle avec la régularité de petits chiens. Il lui manquait juste cette saleté de rognon. Pourquoi ? Des perfusions merde... C'était même pas pensable... L'explication lui parvint pourtant très vite, sans qu'il l'ait attendue, le jour qui suivit. Tout fut résumé à travers les lignes manuscrites d'une lettre, missive en provenance d'une certaine école aux environs de Cork. Aisling. Et selon les dires de ces messieurs d'Aisling, son Don s'était indubitablement manifesté. Toujours selon eux Ludvik était à présent chaudement convié à s'inscrire auprès d'eux pour dompter sa puissance surnaturelle. D'ici un couple d'années au minimum. Évidemment personne ne se sentit de joie dans la famille. Personne sauf Ludvik. Entre les lignes de la dépêche, il ne voyait rien sinon les yeux reptiliens de Jézabel, des yeux se mourant dans une consumation qui transcendait leur beauté malade. Et un regret profond lui rompit la poitrine. Ce fut avec un alliage de quelques liens logiques et de lucidité qu'il comprit ce que ça signifiait. Crois-moi, si tu ne m'aimes pas vite, il va t'arriver des putain de bricoles. Ludy chiala comme un nourrisson. Des sanglots gros comme des marteaux. Il avait tué Jézabel. Il était un fieffé salaud.

Il avait donc vicié les perfusions. Il avait ardemment voulu lui faire du mal. Avec de simples paroles, des paroles qu'il avait énoncé avec une violence implicite. C'était véritablement la première fois qu'il tuait de ses mains ; et chose étrange, il était le bourreau de celle qu'il avait - supposons-le - aimé. Ludvik ne chercha pas à s'innocenter où à se farder derrière des prétentions. Il l'avait fait indépendamment de sa volonté, ce n'était pas de sa faute après tout... Non. Quelque part, dans les méandres de son esprit dégueulasse il était parfaitement conscient. Alors après avoir été poursuivi plusieurs mois durant par la culpabilité, la répugnance de lui-même et l'affliction rageuse, il finit par accepter et engranger ces horreurs. Après tout c'était fait. Il était un salaud et il n'y pouvait plus rien. Alors autant vivre au jour le jour, apprendre à se faire respecter de son don et le maîtriser. Ce à quoi il s'adonna durant deux ans, avec le soutien inconditionnel de ses parents et de ses pairs. Il faisait la fierté de la lignée, finalement, et n'allait pas tarder à faire la sienne. La malédiction. Un vrai pouvoir de démon. Une abomination, même. Son fonctionnement était des plus simples en soi ; il suffisait de prononcer audiblement ou sur support quelconque une phrase incantatoire. Et d'y insuffler un lot de volonté assez puissant pour le projeter dans le réel. C'était quand même terrifiant ce truc quoi. Son père était un ubique ; il avait le don d'omniprésence et la faculté de se dédoubler, et sa mère contrôlait quant à elle les maladies. Sans parler bien sûr du reste de la dynastie, qui maîtrisait des pouvoirs tous plus lugubres les uns que les autres.

Dès lors Ludvik - aléas et concours de circonstance obliges - devint vraiment mauvais. Non pas qu'il était auparavant un angelot ; mais cette fois il s'annexait pour de bon dans la catégorie des pourritures existentielles. Jeune et con, et déjà corrompu, il s'appropriait sa capacité dans ses détails les plus crus, se poussant souvent à l'éreintement et aux douleurs intolérables qu'engendrait sa force. Au travers des malédictions dont il marquait les premiers à l'échauffer un peu, il apprit à se faire craindre, haïr, mépriser partout où ses pas le traînaient. C'était tout ce qu'il pouvait s'attirer. Un inextinguible mépris. Et Dieu qu'il aimait ça. Ca le faisait véritablement se sentir vivant, de savoir qu'il influençait tant les craintes et les hantises de pauvres diables ; de savoir qu'il était déterminant dans les cauchemars d'innocents... De la pure perversion, du vice à l'état brut ; mû à son paroxysme le plus noir. L'apothéose de l'immonde. Et tous sentaient sourdre en lui, doucement, une dépravation à faire froid dans le dos.

Deux ans donc. Le temps qu'il lui fallut, ou plutôt qu'on lui laissa pour s'amonceler un savoir respectable. Aisling n'était pour lui qu'une formalité ; une étape par laquelle il devait passer et à laquelle il devait accorder un laps d'existence pour enchaîner sur le reste. Ce fut dans la neutralité la plus parfaite qu'il prit un interlude sur sa vie, le petit commerce ignoble de la famille et ses chères habitudes. Il allait plonger ouvertement dans l'adolescence, dans une veulerie et une apathie outrancières. Rien à foutre, très franchement, de cette cohabitation étudiante avec une bande d'ostrogoths illuminés. Tant qu'il pouvait paisiblement prendre son pied...

Enfin. De Ludvik à Lie, il n'y eut qu'un pas à franchir. C'était une évidence ; Aisling représentait une étape de plus dans l'intense détraquement moral du jeune Haraldson. Tout comme il joua les épouvantails dans les petits comtés islandais, il ne tarda pas à effrayer une masse conséquente d'élèves et à s'affubler d'une affreuse réputation de trouble fête - de sale connard en puissance avec qui on évite les rencontres fortuites -. Une ordure à mater avant qu'elle ne écrabouille. Lie c'était son surnom. Et c'était aussi ce qu'il devenait. Un putain de mensonge à lui tout seul, un bas flatteur et un vil profiteur, qui se complaisait à pourrir son monde. Qui prenait un goût malsain à tout ça. Lie.

    — Tu veux encore te battre avec moi ?
    — Ferme. Ta putain. De gueule. Et ramène ton cul.
    — T'as une tête de poussin déterré nourri aux hormones.
    — Je vais tellement te démonter.
    — Je crois que j'ai tapé dans l’œil du petit blond. Retire tes lunettes pour voir ?
    — T'es un homme mort, Haraldson.


C'est ce qu'il était appelé à devenir non ?


be cruel to me 'cause I'm a fool for you.

ÂGE COMME LIE.
SEXE non (elle est bonne mais elle ne fait pas le ménage)
AVATAR yu kanda de d.gray-man hiiii
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM j'ai vadrouillé de top-sites en partenariats jusqu'à la terre promise.
PENSEZ-VOUS DEMANDER UN PARRAIN OU UNE MARRAINE non, je veux un smoking.
AUTRE CHOSE regardez c'est ludyvédeu.



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MessageSujet: Re: let the bastard get you down.   let the bastard get you down. Icon_minitimeJeu 23 Juin - 16:09

Pom pom pom. Je me permet de upper un coup vu que jéfiniiii \o/
edit 24/06/12 : sniffle down transversal, update je te choisis !


Dernière édition par Ludvik A. Haraldson le Lun 25 Juin - 14:00, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: let the bastard get you down.   let the bastard get you down. Icon_minitimeJeu 23 Juin - 16:45

    Bienvenue à Aisling ~
    ....Ludvik est totalement respecté, crois moi. C'est exactement comme ca que je l'ai vu, aussi tordu et détraqué qu'on peut l'être en passant pour sain au premier coup d'oeil. Et ta fiche est juste superbe (Lue avec SOAD en fond, c'est magique.)

    Juste un petit détail, les Haraldson ne sont pas irlandais, mais islandais >D Une simple petite correction devrait faire l'affaire (j'avais pensé qu'il avait été renvoyé d'une école en Islande peut-être, qui sait, une petite erreur est si vite arrivée fufu)
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MessageSujet: Re: let the bastard get you down.   let the bastard get you down. Icon_minitimeJeu 23 Juin - 17:10

Ho, merci merci, c'est parfait alors.
J'espère que tout ira bien pour la suite en tous cas. Et puis System rules the world. <3

Et heu. Merci pour l'info, comme l'étrange fille que je suis a encore du mal à lire j'ai du passer trop vite sur le mot et voir "Irlande". Pardonnez-moi je. Je l'ai pas fait exprès. ;; Les corrections ont été apportée donc c'est un mauvais souvenir. \o/ (Oh ça j'y avais pas pensé mais ç'aurait été tout à fait lui m'voyez.)
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MessageSujet: Re: let the bastard get you down.   let the bastard get you down. Icon_minitimeJeu 23 Juin - 17:30

    Mais pas de problème ~
    Et bien tout est parfait (hiii un Ludvik qui claque ) je valide donc.
    N'oublie pas de m'envoyer ton secret par MP !
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MessageSujet: Re: let the bastard get you down.   let the bastard get you down. Icon_minitimeJeu 23 Juin - 18:37

Merciii !
Je cogite encore pour trouver un truc muhuhu. Mais ce sera fait.~
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MessageSujet: Re: let the bastard get you down.   let the bastard get you down. Icon_minitime

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