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 | La première fois { .Dante ♥

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Yue Weng A. Sullivan
| La première fois { .Dante ♥ Rangpsy
Yue Weng A. Sullivan

Messages : 736
Date d'inscription : 10/03/2010
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It's a kind of magic.
Age du personnage : 17 ans
Nationalité: Chinoise
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| La première fois { .Dante ♥ Vide
MessageSujet: | La première fois { .Dante ♥   | La première fois { .Dante ♥ Icon_minitimeLun 10 Jan - 1:14

    Ce RP a été créé à partir d'un rêve que j'ai fait IRL, en fait. Mais le contexte est le même qu'à Aisling, si ce n'est que ça se passe en dehors de l'école et dans un hôpital ? Sinon rien d'autre de particulier à signaler, si ce n'est qu'on m'a à peine forcé à le poster ici 8D


| La première fois { .Dante ♥ Stock1098__| La première fois { .Dante ♥ Stock1012__| La première fois { .Dante ♥ Stock1008

« La première fois que j’ai vu Dante, je n’aurais jamais pensé qu’il puisse devenir aussi important pour moi. Si on me l’avait dit je crois que j’aurai rigolé niaisement, sans même soupçonner qu’il y ait une once de possibilité pour que cela se produise. Mais de toute façon personne n’aurait pu me l’annoncer ; je suis le seul ici à connaître l’avenir, et malgré ça, je suis resté résolu dans cette idée toute faite et au combien erronée. C’était une belle connerie. Je ne peux même pas affirmer ce qui m’a poussé à le connaître davantage : peut-être était-ce son côté acariâtre bien que susceptible, ou bien peut-être ai-je réussi à voir plus loin que cette coquille revêche autour de lui. Le bouclier protecteur lui va bien, comme don. J’ai toujours eu l’impression qu’il se dissimulait derrière une apparence ombrageuse à lancer des insultes à tout va, alors qu’au fond il devait être bien plus sensible que la plupart des gens que je connaisse. Au final il m’est arrivé l’unique chose que je souhaitais éviter à tout prix : m’attacher à quelqu’un. »




    Yue s’avança lentement dans la salle, puis, dénué de toutes émotions, déposa le bouquet de fleurs blanches à l’intérieur du vase en verre. C’était désormais devenu un rituel : chaque jeudi il venait dans cette chambre aux tons pastel pour y changer l’ornement principal qu’il prenait toujours au même endroit, à savoir dans un champ voisin d’Aisling. Cela faisait presque un an qu’on le lui avait montré et jamais il ne l’avait oublié, y retournant même parfois seul pour y trouver un peu de sérénité. Il sélectionnait toujours les Sélénias au même endroit : c’était là où il s’était allongé avec l’Italien la première fois qu’il lui avait fait découvert ce paysage. Il aurait pu le repérer entre-mille ;
    mais il n’y avait maintenant plus que de l’herbe là où les corps s’étaient posés.


    Les fleurs étaient blanches : couleur de la vie et de la sérénité en Occident, symbole de la mort et du deuil en Orient. Ainsi il reliait étroitement deux idées contradictoires qu’il ne pouvait dissocier l’une de l’autre tant il n’espérait plus.



    Il récupéra une partie des anciennes sélénias fanées avant de les répandre sur le drap immaculé qui voilait le corps de Dante Miller, comme s’il voulait lui donner l’illusion de s’être endormi au beau milieu de ces dernières et d’y être un peu plus apaisé. Sa main alla alors chercher la sienne, d’un froid presque morbide, tandis qu’il caressait doucement son front de l’autre. Un soupir attristé entrava ses lèvres. Environ cinq mois s’était écoulés depuis l’accident. Ou plus exactement quatre mois et vingt-trois jours qu’il ne s’était pas réveillé : il pouvait citer exactement la date, à la minute près s’il le fallait. Depuis qu’il était entré dans cet hôpital il venait lui rendre une visite tous les jours, aussi brève soit-elle. Peut-être était-ce juste pour se rassurer qu’il ne soit pas mort ? Ou bien parce qu’il espérait encore le voir ouvrir les yeux et lui jeter une insulte au visage ? Lui dire qu’il était con à s’inquiéter ainsi ? Probable. Il ne s’était jamais rendu à tel point ses injures pouvaient lui manquer et aujourd’hui il était prêt à donner n’importe quoi rien que pour entendre un « fuck » claquer dans les airs. Mais non. Le roux était plongé dans le plus lourd des sommeils et il n’allait sûrement pas prendre la peine d’y sortir pour le chambrer. Ce n’était pas son genre.


    Le véhicule l’avait frappé de plein fouet. Il ne l’avait probablement pas vu arriver et ne s’était pas protégé. Depuis ses yeux émeraudes s’étaient éteint, laissant place à un corps sans vie et inanimé. Ses cheveux roux baignaient dans une flaque de sang qui les rendait encore plus flamboyants qu’à l’ordinaire.


    Lentement il retira sa main, le dos de ses doigts allant s’attarder sur sa joue. Ses yeux regardaient encore une fois son visage inexpressif, se rappelant encore à quoi il ressemblait quand il avait cet air railleur et un brin provoquant. Alors, le reste du bouquet séché toujours en main, il se dirigea vers la fenêtre entrouverte pour y poser ses coudes et relâcher les tiges dépéries dans l’air, ces dernières se faisant à peine balayée par la brise tiède qui vint lui titiller son visage. Le soleil était en train de se coucher, c’était une fin d’après-midi. Mais le ciel était encore doré et les feuilles des arbres se mouvaient dans un bruit feutré, se détachant parfois de la branche pour retomber mollement au sol. Les ramures asséchées qui s’étendaient vers le ciel semblaient en quêtes d’une nouvelle jeunesse, tandis que quelques pétales tourbillonnaient parmi le vent. Yue ferma les yeux à demi, laissa ce souffle soulever ses cheveux. Tout venait à lui rappeler cet évènement, et pas même un paysage comme celui-ci ne parvenait à l’apaiser. Mais en avait-il seulement besoin ? Il ne ressentait plus rien depuis quelques temps, ni la joie, ni la tristesse. Pas même la compassion. Juste un vide permanent qui faisait qu’il n’avait plus conscience de rien. A part l’attente d’un signe. Qu’il se réveille ou qu’il soit mort, il attendait quelque chose, las d’être suspendu au beau milieu de ces deux issues qui semblaient le narguer. En attendant il ne réagirait pas. Comme s’il était mort de l’intérieur.


    Someday I want to run away to the world of midnight, where the darkness fills the air, where it's icy cold. Where nobody has a name, where living is not a game. There, I can hide my broken heart dying to survive. There, no one can see me cry the tears of my lonely soul.


    Et les souvenirs lui revinrent en mémoire. Le jour de sa rencontre avec lui, quand il lui avait jeté une petite cuillère au visage. Quand ils avaient fini par mieux se connaître et à faire connaissance autour d’un plat de carotte râpées qu’il avait voulu lui préparer. Quand il l’avait à moitié intoxiqué avec ses médicaments ou presque assommé avec le couvercle d’une essoreuse à salade. Quand ils s’étaient raconté leurs secrets. Ensuite il y avait ce champ de fleurs, la nuit. Ils s’étaient tous deux étendus dans l’herbe en attendant que le temps passe. Il avait joué de l’erhu et il l’avait vu pleurer pour la deuxième fois. Puis il y avait eu toutes ces fois ils étaient ivres et où ils s’étaient livrés à des jeux dangereux. Celle où ils s’étaient amusés avec la nourriture et avaient complètement fini enduis de chocolat et de marmelade, désespéré à enlever le sucre de leurs cheveux après s’être infiltré dans les douches en passant par une fenêtre et les vestiaires des filles. Et c’était sans oublier les moments plus difficiles, comme celui où il lui avait avoué le fond de ses pensées et qu’il l’avait frappé. Ils avaient fini par faire des crêpes en parlant de tout et de rien, comme s’il ne s’était jamais rien passé. Encore un peu plus tard il y avait la fois où ils s’étaient tentés à tenir un restaurant, lors d’une soirée, et qu’il avait cédé à s’habiller d’une soubrette.



    « Je t’ai fait des carottes parce qu’il paraît que ça rend aimable ! - …T’es con en fait, tu sais ? Comme si ça marcherait. –Mais goûte au moins ! –Fuck. – Et tu m’apprendras à faire une vinaigrette ?
    « Dante, Dante ! Je crois avoir trouvé ce qu’il te faut ! C’est pour la fièvre. - …Tu ne me feras rien avaler, je te préviens tout de suite. – Oh si. Je suis certain que ça t’aidera à aller mieux. – C’est quoi au moins ton truc ? - …Je ne sais pas, je l’ai retrouvé dans mes affaires.
    « C’est vraiment beau cet endroit… - Oui. Ca me rappelle quand j’étais gosse. J’allais souvent dans des champs de fleurs pour remettre mes idées en place. – Je suis heureux que tu m’ais montré ça…
    « Tu me repasses une bière ? – Laquelle ? - Une Italienne. Les meilleures que tu puisses trouver ! – Attends, t’en as encore un peu au coin des lèvres…
    « Hors de question que je me les coupe tu entends ?! – Je n’ai jamais dit ça ! Il suffit de mettre un peu d’eau chaude. Comme ça. - …Attends. C’est pas chaud là. C’est brûlant. – Mais non, ça va aller. Penche ta tête en arrière. Je ne te toucherai pas. – Il vaudrait peut être mieux que je me les coupes si tu te fais mal… - Hors de question. C’est toi même qui l’as dit.
    « Mais t’es vraiment une sous-merde pour agir comme ça ! Et ta famille ? Ta p’tite sœur ? T’y as pensé à ta p’tite sœur ?! – Arrête… - Tu me dégoûte à dire ça. – Parce que tu crois que je fais exprès d’être comme ça ?! Tu crois que ça me fait plaisir, que ça me distrait ? Que je le cultive ? - ….Viens.
    « Merci… - Hein ? Merci pour quoi ? – Pour m’avoir frappé, et m’amener ici. - …T’es maso ? - …Mais non ! C’est juste ta façon à toi t’aider les gens. C’est touchant, d’un côté. »


    Puis il y avait eu l’accident.


    « Vous savez s’il va s’en sortir ? – Ses organes internes ne sont pas en dangers. Il devrait se réveiller sous peu. – Un mois s’est écoulé pourtant. - Mais rien n’indique qu’il devrait rester inconscient plus longtemps. Il est tout à fait apte à revenir parmi nous. – Je ne comprends pas… -Laissez-lui le temps. Un mois ne représente pas grand-chose pour cet impact. »



    Yue finit par se retourner, s’arrachant à la fausse contemplation du paysage qu’il avait devant lui. Il était de toute façon incapable de l’apprécier et la chambre aux teintes orangées lui donnait la nausée. Il n’aurait pas pu dire exactement la raison, il n’y en avait bien trop. Mais une d’entre elle se détachait nettement du reste : il avait peur. Terriblement peur. Tellement que sa gorge était perpétuellement nouée et qu’il ne pouvait plus penser correctement, ni même réaliser que tout ce dont il avait besoin, c’était Dante.


    Et la machine cardiaque faisait retentir ses « bip » funestes dans l’espace, brisant un silence qui aurait pu devenir sa quiétude éternelle. Une perfusion était encore accrochée à son bras et délivrait lentement ses nutriments : pour peu il l’entendrait presque se moquer de lui en disant qu’elle comptait le tenir dans le coma encore longtemps. Il y avait aussi cette odeur purement chimique et médicale si propre des hôpitaux.
    Lui, dormait toujours.



    Il finit par faire quelque pas vers la porte, trop fatigué et rongé par la culpabilité pour oser imaginer une quelconque amélioration. Il s’en voulait tellement de ne rien avoir pu faire qu’il osait à peine voir son reflet amaigri dans un miroir ; tout cela était arrivé parce qu’il n’avait pas pris la peine d’utiliser son don. Il aurait été largement capable de voir ce qui allait se produire, c’était certain ; il aurait pu faire un effort ou simplement se contenter de vérifier. Mais pourquoi alors spécialement ce jour-ci ? Pourquoi, cet après-midi en particulier, l’idée qu’une telle chose se produise lui traverse l’esprit ? Pour se rassurer, sans doutes. Savoir qu’il ne se passerait rien. Pour sauver une vie. Certes, Dante n’était pas mort. Il était juste inanimé et menaçait à chaque instant qui passait de pencher du côté noir ou blanc de ce qu’on appelait l’existence. Mais ces cinq mois lui avaient fait perdre la raison ; y avait-il encore une chance pour que ses yeux verts s’animent de ce feu arrogant qui lui était si propre ? Le physique semblait d’habitude si déterminé et rempli d’énergie qu’il n’arrivait pas à accepter de le voir dans cet état, ni de se dire que c’était la fin. Et pourtant il avait fini d’espérer depuis longtemps. Tous les médecins s’étaient accordés à dire, il y a une soixantaine de jours de ça, qu’il était en état de retrouver sa conscience et que rien ne l’empêchait de se réanimer. Malgré ça il n’y avait eu aucuns changements. Alors Yue continuait de venir et parfois même de lui parler, bien qu’il sache pertinemment qu’il ne l’entendrait pas. Probablement plus jamais. Il allait peut-être rester encore des années allongé dans ce lit froid, maintenu en vie par on ne sait quels miracles, et un jour son cœur s’arrêterait de battre. Mais Dante était l’une des personnes qui lui était le plus précieuse et pour rien au monde il aurait manqué une de ses visites quotidiennes.


    Parce que désormais, il avait compris à quel point cette relation comptait à ses yeux. Ainsi il venait s’asseoir un instant près de lui et lui murmurait qu’il s’en sortirait ; qu’il pourrait de nouveau voir les champs de fleurs et manger un fondant au chocolat comme il les aimait tant. Parfois il tentait même de prier. Même si au final il faisait d’abord cela pour se rassurer lui-même.



    Ses yeux se posèrent une dernière fois sur le corps inanimé tandis qu’il s’apprêtait à sortir, constatant avec désarroi la respiration pourtant trop régulière de l’Irlandais. Il aurait pu s’en réjouir, mais tout ce qu’il était capable de ressentir était une morosité constante. Il n’était même plus en état de pleurer, comme si toutes ses émotions étaient parties en même temps que lui. Comme s’il était en attente, voir non-existant. Alors il lui tourna le dos puis s’apprêta à ouvrir la porte ; qu’avait-il à gagner s’il restait là, mis à part à s’enfoncer d’avantage ? Rien. Et pourtant il lui sembla entendre un grognement rauque émaner du lit d’hôpital, à peine audible, mais qui lui parut comme un signe. Il se figea, sentit son estomac se nouer. Pendant un instant il hésita à se retourner pour être certain de ne pas avoir rêvé, de peur d’être victime d’une de ses nombreuses désillusions. Mais le bruit se répéta, presque semblable à un appel. Tu rêves, Yue. Tu rêves. Le cœur battant à tout rompre, l’Asiatique fit volte-face et planta son regard brillant sur le roux qui semblait avoir bougé la tête. Tu rêves. Ses lèvres s’entrouvrirent mais aucun son n’en sortit ; juste une inspiration saccadée. Tu rêves. Un frisson parcourut son corps. Il n’aurait pu dire si c’était dû à l’angoisse, à la surprise, ou même à la peur. Peut-être un mélange de toutes ces émotions ? Tu rêves. Ou alors était-ce dû au bonheur ? Tout ce qu’il savait c’était que ce simple frisson se transformait en un tremblement qui lui faisait perdre encore plus la raison. Tu rêves. Il avait tort. Dante n’était pas en train d’ouvrir ses yeux. Ni même d’essayer de bouger. C’était son imagination, n’est-ce pas ? Juste son imagination. Tu rêves. Alors pourquoi sentait-il la douce tiédeur d’une larme roulant sur sa joue ? Pourquoi sa respiration se faisait plus rapide et irrégulière ? Et surtout, pourquoi était-il en train d’avancer vers lui comme s’il osait seulement croire à ce qu’il voyait ? Parce qu’au fond de toi tu veux te perdre dans cette chimère. Parce que tu veux que le rêve soit réalité. Il s’agenouilla près du lit, n’osant plus ciller de crainte que tout cela disparaisse. Mais qu’il se rende à l’évidence, l’Italien était bel et bien entrain de reprendre ses esprits et ses iris encore baignés dans l’incompréhension la plus totale en témoignaient. Il entreprit à peine de poser sa main tremblante contre sa joue tandis que les larmes commençaient à s’écouler sans retenues le long de son visage et à rendre sa vision trouble. Puis, sans même réfléchir à quoi que ce soit, il se pencha brusquement sur lui pour l’enlacer dans une étreinte si forte qu’elle en était à peine raisonnable. Mais qu’importe ? Il était vivant. Dante était vivant ! Tu ne rêves donc pas, Yue. Et des sanglots plus poignants les uns que les autres l’envahissaient, alors que ses doigts se posèrent contre sa nuque pour agripper tendrement ses cheveux et le coller un peu plus contre lui, son visage humide enfoui dans son cou.


    Serre-moi. Serre-moi le plus fort possible et dis-moi que tu es en vie. Dis-moi que tout ceci n’est pas un songe et que je ne vais pas me réveiller, que tu resteras là. Que la chaleur de ton corps et les battements de ton cœur sont bien réels, tout autant que le sont mes tremblements et cette fièvre qui m’enivre. Rassure-moi. Je veux entendre le son de ta voix, si détachée soit-elle, me dire que tu ne partiras plus.
    Que tu ne me laisseras plus.



    Pour la première fois depuis longtemps il avait l’impression de ressentir un sentiment autre que celui de la mélancolie, mêlé à un soulagement qu’il n’avait jamais connu jusqu’à lors. Il resta bien de longues minutes dans cette position à le tenir étroitement contre lui avant de s’en détacher pour pouvoir poser son front contre le sien, ses mains se posant de chaque côté de son visage. Ses prunelles ambrées cherchèrent alors les siennes pendant qu’il tentait de reprendre une respiration plus calme, ses pouces caressant frénétiquement la peau de l’Italien comme pour s’assurer qu’il n’avait pas affaire à son image. Enfin il expira doucement et se relâcha quelque peu en prenant conscience de l’état dans lequel Dante devrait se trouver, sans se décoller de lui pour autant.
    Ça, il n’était pas prêt de le faire avant un très long moment.




« La première fois que j’ai vu Dante, je n’aurais jamais pensé qu’un jour je serai là, à pleurer sur son lit d’hôpital, en remerciant n’importe quel Dieu pour l’avoir sauvé. »

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