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Date d'inscription : 26/04/2011
Age : 30
 |  Sujet: WAYNE ; Empire State of Mind.  Mar 26 Avr - 5:32 | |
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WAYNE MILAGRO PARKER.
| SURNOM : Uncle Ben pour la plupart. Oui. Parce que il est « vieux », et black. Dure la vie, chez les Irlandais.
AGE : 20 ans.
ANNEE : 1991 ouais non ok ok neuvième année.
ANNEE D'ARRIVEE : Septième.
CLASSE : Franchement, comme vous voulez.
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(Douce colombe au sourire éblouissant jusqu'aux vipères les plus venimeuses, le caractère de votre personnage n'est pas à négliger. Présentez le dans le moindres détails !)
15 lignes minimum.
▬ … Lol. Regarde. Douce colombe. T'as vu, ils nous prennent pour un pigeon dans le formulaire d'inscription.
▬ J'avoue en plus lol quinze lignes tsé tu vas arriver à écrire quinze lignes sur ta vie ?
▬ Ta gueule j'écris bien des chansons qui durent trois minutes à l'oral.
▬ Ah ouais c'est vrai.
▬ Pfff j'commence par quoi ?
▬ Ah attends j'ai une idée. « Salut moi c'est Wayne, vingt ans, beau gosse, rappeur »... Les filles elles keaffent grave ça.
▬ Gars, t'es mal, tu racontes de la merde.
▬ Ben non, sérieux, parce que sinon comment t'expliques que Lil Wayne il a toujours plein de belles nanas dans sa voiture ?
▬ …
▬ Donc... « Wayne, vingt ans, rappeur »... Tu penses que ça peut le faire si on marque que tu es le chef de la 137 ?
▬ Quoi lol non t'imagines le gars qui lit ça il voit que je suis chef de gang jamais il m'acceptera.
▬ Bon alors je marque quoi ?
▬ … Dis que je connais les répliques de Roméo et Juliette par coeur.
▬ Lol pas con mec t'as de bonnes idées.
▬ …
▬ … C'est vrai au fait ?
▬ Oui. Appuyé contre un mur complètement défoncé, il te fixe sans ciller, jusque à que tu décides de capituler et partir. Ce qui n'est pas bien compliqué. Personne ne défie Parker. Y a des rumeurs, sur lui, qui disent que dans son pays, aux États Unis, il est connu. Que genre, il a démoli une voiture à l'aide de son poing droit. Qu'il a serré la main de Barack Obama. Qu'il a fait un duo avec Kanye West. Lui, ça le fait marrer d'entendre ça. Wayne, derrière son physique de vieux loveur et ses chemises hawaïennes, c'est pas un rigolo. Oh que non. Wayne, de là où il vient, c'est une légende. Wayne, c'est le roi de la rue, le maître du secteur, et surtout, leader d'un des plus grands gangs du Bronx. Ici, tout le monde connait Wayne Parker, le légendaire héros de la 137, pour avoir liquidé un gang ennemi à lui tout seul. Wayne, on l'appelle Don Tigre, parce que jor il suffit qu'il ouvre la bouche pour que le peuple tremble. Et aussi parce que il parle qu'espagnol sur ses lieux. ET AUSSI PARCE QUE PHOENIX WRIGHT PWR LOLZ. Alors bon, Wayne, c'est quand même une réputation, un orgueil, des gens qui le suivent et qui le vénèrent, bref, c'est pas un mariole qui a que de la gueule. Mais Wayne, c'est autre chose qu'un cliché kikoowesh US. Déjà, Wayne, au fond, c'est un grand romantique, il croit éperdument au grand amour et évidemment à chaque fois il se fait prendre pour un gros con par les filles dont il est amoureux. Style il est capable de vous offrir des grands bouquets de fleurs, vous écrit des lettres d'amour avec du One Million dessus, ou encore de se coller sous votre fenêtre pour vous faire un truc à la Roméo. Ah. En parlant de Roméo. Wayne pousse tellement le romantisme loin qu'il connait toutes les répliques de Roméo et Juliette par coeur. Oui, PAR COEUR. Il a vu le film un nombre incalculable de fois, se le récite tout seul, ressort quelques trucs comme ça dans le move, bref, mais ça personne ne le sait, parce que tu vois, Wayne le boss qui regarde Roméo et Juliette, bah ça le fait pas du tout. Wayne, c'est un gars loyal, prêt à tout pour ses amis, sa famille, c'est loin d'être un teubé quoi. Et puis Wayne, c'est le gars qui est arrivé à Aisling en voulant imposer sa loi mais qui s'est fait surnommer Uncle Ben par un première année qui l'a vu débarquer et même si il fait peur à tout le monde, dans le dos, il entend bien les "avec Uncle Ben c'est toujours un succès !". Alors voilà, à défaut de courir derrière les petits qui rigolent en l'appelant le monsieur marron, il se pose avec ses potes dans un coin, écrit un rap pour Omaha ou écoute la vie de Pourpre, et va rejoindre Harley pour discuter de la mort de Mickael Jackson aux Bahamas. Donc voilà, Wayne, il fout rien, il est sympa, adresse des sourires aux autres, sait faire le regard du tigre prêt à bondir sur sa proie, hésite pas à en coller une à un minet ou à pousser une gueulante en cours, il est pas gentil ni méchant, c'est juste un cliché us un peu lassé de la vie qui se fait passer pour le roi d'Aisling. DON : Regard laser.
EN DÉTAIL : Ben en fait, si Wayne le veut, des lasers sortent de ses yeux en mode bg et il dégomme tout, en gros c'est les yeux révolver nouvelle version AHAHAHAHA ok je sors.
MAITRISE : Relativement mauvaise. Il ne maitrise pas tout à fait lorsque il peut ou non activer son don, la durée, la portée, et lorsque il l'utilise cela le fatigue beaucoup. Donc monsieur s'en sert en cas d'urgence ; on optera pour un 1/10.
LUI ET LES ELEM : Bah. Prétentieux qui veulent pas se mouiller. Ils sont marrant à emmerder.
LUI ET LES SPE : Oh. Ben... Ouais. Ils sont spéciaux, quoi. Mais bon, y a Char et Omaha, donc à la limite il s'en fout.
LUI ET LES PHY : Sa classe. Forcément, il la keaffe. C'est sa meute, son gang.
LUI ET LES PSY : VRAIMENT PAS DRÔLES A EMMERDER.
Dieu,
Je m'appelle Wayne Milagro Parker, j'ai 10 ans, et j'habite avec ma mère, mon père, mes quatres soeurs et mes six frères dans une toute petite baraque où on est tous serrés comme dans mon pantalon le matin, bref, la clique, c'est la galère ici. On m'a dit de t'écrire une lettre dans mon groupe de gospel parce que il parait que ça aide quand on est triste, mais j'suis pas une tapette moi, j'pleure pas. On m'a aussi dit que Dieu sait tout. Alors j'vois pas trop l'intêret de t'écrire, je gâche du papier pour rien, et ça coûte cher le papier, mon vieux le dit tout le temps. Pour lui, tout coûte cher. C'est pour ça qu'on mange que la bouffe pas chère de chez Noods, l'épicier du quartier avec ses oranges douteuses. Alors plutôt que de tout savoir, tu veux pas m'apporter du fric ? J'pourrais au moins me payer la bouffe de l'école et des fringues à ma taille, plutôt que de récupérer celles de Davis qui datent de la préhistoire, c'est la honte, on se fout de moi parce que j'ai des pull Waikiki. Et quand on se fout de moi, je tape les autres. Les petits. Les grands. Je tape les méchants. Ceux qui sont dégueulasse avec moi ou avec Vince. Vince, il est moche, il est petit, jaune, tout maigre avec des culs de bouteilles qui lui bouffent la tronche. C'est le premier de la classe, il rentre ses chemises dans son pantalon pour faire genre il est riche mais a pas un rond. Alors la prof l'a pris en pitié et le complimente tout le temps, alors les autres le tapent. Et moi je tape ceux qui le tapent. Parce que Vince, c'est mon meilleur pote. Quand je vais chez lui, sa mère nous prépare toujours des trucs avec du poisson cru, je l'appelle Jackie Chan, lui m'appelle Fifty, enfin bref, on refait le monde en rêvant d'être les plus forts du quartier, parce que là où je vis y a que des grands qui tapent les autres en bande, et je sais que mon frère en fait partie. Mon frère, c'est mon idole. Il est grand, tout le monde se tait quand on le croise, il sort toujours avec ses potes, personne le défie, et il tue tout le monde en moins de deux secondes. Mon frère, Jamie, il est souvent en train de s'occuper de moi. Souvent, il prend la voiture toute défoncée de mes vieux en juif, m'embarque avec lui, et on fait un tour du côté des beaux quartiers plein de lumières pour se faire rêver, en sachant qu'on y arrivera jamais. On traine la nuit. Et on rentre tard, avec ma mère qui nous engueule en espagnol, et on va se coucher après s'être lançé un regard complice. Avec lui, c'est moins dur la vie de pauvres. Alors, je m'entraine à taper les gens à l'école, pour être comme lui.
Dieu,
Pardon, je crains, j't'ai pas présenté ma famille, même si tu les regarde tout le temps (d'ailleurs ça me gêne, tu pourrais regarder ailleurs pendant que je fais pipi ? C'est quelque chose que j'ai pas envie que tu voies, j'suis trop jeune, merde). En tout, on est treize dans la maison. Ma mère, c'est Maria, elle a 38 ans, elle vient d'Espagne et avant elle était super belle, genre grande aux cheveux très noirs avec beaucoup de rouge à lèvres et un parfum de femme, maintenant bah elle a pas trop changé, mais elle a juste beaucoup de poids en plus. Mon père, Danny, il est noir, chauve, toujours en bleu de travail, il bosse chez les gens qui vident les poubelles, alors il gagne une misère, et galère pour nous faire vivre. Il est strict. On marche droit, avec lui. Ca m'énerve. Après, y a mes frères et soeurs. Je suis le dernier. Le plus grand, c'est Chris, il a 21 ans. Ma mère l'a eu à 17 ans et s'est faite virer de chez ses vieux pour ça. Chris bosse dans le dessin. Il est gentil, un peu mou, fume beaucoup. Il a tout le temps l'air à côté de la plaque, tout le monde l'engueule pour ça, moi je comprends pas, il est juste un peu con, quoi. Après, y a Isabelle et Lola, qui ont 19 ans. Elles sont jumelles, et veulent bosser dans la mode, mais ça coûte cher, alors pour le moment elles se fabriquent leurs fringues comme elles peuvent avec la vieille machine à coudre de ma mère, et il parait que ça marche bien. Tant mieux. Puis y a Jamie, 18 ans tout juste. Chef de bande en devenir. Grand. Beau. Fort. Toutes les filles sont à ses pieds. C'est un héros, ce mec. Même si il s'engueule souvent aussi avec mon père. Amanda et Alexie, 16 ans, ils sont au lycée, ils sont drôles, ils font des spectacles où tu meurs de rire tous les deux, et tout le monde les aime. Après t'as Orlando et Chase, qui ont 15 ans, eux par contre viennent juste d'arriver au lycée, et tapent tout le monde aussi. La tribu Parker se fait respecter, y parait. C'est cool. Au moins le terrain est préparé pour moi. Tout le monde se rappelle de Jamie, le plus fort. Les autres, je sais pas trop quelle place ils ont eu. Et puis y a Sara, 13 ans, et Davis, 12, ils font chier, ils arrêtent pas de se disputer pour tout et pour rien, c'est pénible. Je récupère les fringues de Davis, les affaires de Davis, tout. Moi, je préfèrerais celles de Jamie. Mais bon. C'est du favoritisme, et c'est nul.
Putain, je te déteste, Dieu. T'es qu'un enfoiré. Faut toujours qu'il nous arrive des merdes.
Jamie s'est fait arrêter aujourd'hui. Et pas pour vol à la tire.
Mais pour meurtre.
Dieu,
Je sais que Jamie a rien fait. Il pourrait pas tuer quelqu'un, jamais ! Il se contente de... Ouais bon. Mais jamais le meurtre. Jamais. Il me l'a toujours dit. Je sais que mon frère est innocent. Et il y a un connard qui essaye de le faire accuser à sa place. Je m'y connais pas, j'peux pas dire, je regarde juste New York Police Criminelle sur la télé de Vince, mais putain, qu'est ce que je peux faire pour l'aider ? Et puis, pourquoi il irait tuer Noods ? Il nous a toujours aidé, ce mec, même quand on avait pas assez pour payer de la bouffe, il nous donnait des trucs, merde, jamais Jamie pourrait tuer Noods !
On va le voir cet aprèm au centre de détention.
... Je reviens du centre. Il m'a dit que c'était pas lui, évidemment. Il était trop fort. Même pas il pleurait ni rien, il gardait la même tête que d'habitude, alors que ma mère chialait, il lui disait de pas s'inquiéter, qu'il allait s'en sortir, qu'il connaissait quelqu'un qui pourrait le tirer de là. Il m'a donné un numéro, celui d'un gars qui s'appelle Terry. Il m'a dit de lui passer un coup de fil en lui expliquant tout dès que je serais rentré, de faire tout ce qu'il me dirait, que je pouvais lui faire confiance. Puis au moment de partir, il m'a fait un grand sourire comme il a l'habitude. J'ai peur. Je veux pas qu'on m'arrache mon frère pour un truc qu'il a pas fait.
SAMEDI 6 MARS 2004, 18h37 ; AVEC TERRY. ▬ ... Je vois. Donc toi, t'es le petit frère qu'il disait ?
▬ Oui. Jamie m'a dit de t'appeler dès j'ai pu. Il t'a parlé de moi ?
▬ Ouais. Au cas où il lui arrivait une couille, il m'a dit que la relève, c'était toi. Et pas Alexie le rigolo, Chase et Orlando qui sont trop gamins, ou pire, Davis, qui sait rien faire de ses mains. Il m'a dit que toi, t'irais bien. Toi, t'as déjà ta petite réput' au bahut, hein ? C'est un bon début.
▬ Mec, j'ai 13 ans. Tu me prends pour qui ?
▬ T'inquiète. Avec moi, ça va aller, tu vas voir. Avec Jamie, on est arrivés à peu près à cet âge là. On a monté peu à peu les échellons. Et on a pris le pouvoir. C'est ce que tu feras. Tu veux pas te venger du gars qui a foutu ton frère en taule ?
▬ ...
▬ Moi, je t'aiderais à le faire. Fais moi confiance. Quelques mois après, Jamie est condamné. J'irais le voir pratiquement tous les jours, pour lui décrire mon avancée, lui dire ce que Terry me fait faire, comment j'apprends peu à peu à me battre, me servir d'un flingue, tout ce genre de choses. Lui hoche la tête silencieusement et sourit. On se quitte sur un regard complice comme avant. Et intérieurement, je me promets de retrouver le con qui a foutu mon frère en taule pour quelque chose qu'il n'a pas fait.
Et c'est comme ça que je me dévoue corps et âmes à Terry.
VENDREDI 30 JUILLET 2006.
Dieu,
Je viens de fêter mes 16 ans, l'âge pour moi d'entamer de vraies opérations plutôt que de faire le guet dehors pendant que Terry tabasse un gars à l'intérieur d'une vieille baraque (heureusement parce que c'est bien chiant). On file chez Evans pour discuter, boire un coup, fumer sur de la bonne musique. On rit. On parle de trucs de mecs, de gonzesses, de cul, puis la nuit, on sort, des meufs m'abordent. Dans le groupe, on se fout de ma gueule parce que j'ai jamais serré de fille. Alors cette nuit là, je reste avec une belle brune pendue à mon bras dans un grand rire alors que je lui récite des vers à l'oreille. Les gars sont dégoutés ; je me réveille avec cette fille dans les bras dans la voiture de Terry.
Le lendemain matin, je vomis ma race.
Puis Terry me ramène chez lui, en bagnole, on monte, il me tend un seau et commence à me parler sans que je comprenne trop ce qu'il raconte. Puis il me tend un révolver. Je lève les yeux vers lui.▬ Bah alors, prend le. C'est le tien. J'ai retrouvé le mec qui a mis Jamie en taule.
▬ Terry, mec. Y a que Dieu pour décider de la vie ou de la mort dans c'monde.
▬ Parce que tu crois encore en Dieu, après ce qui s'est passé ? Un keum a foutu ton frangin en taule, et toi tu le laisserais filer sous prétexte que t'es pas Dieu ? J'vais te dire un truc, Wayne. Ton frère, il avait des couilles, lui. Si quelqu'un avait de lever la main sur toi, il l'aurait descendu direct avec un aller simple aux Enfers. Alors tu vas faire ce que je te dis, et finir le travail bien proprement si tu veux pas que ce soit moi qui m'occupe de ton cas, gamin. On fonce sur la 12°. Debout. Et environ deux heures plus tard, on arriva devant une porte complètement défoncée. J'te promets, Dieu, j'étais dans un état, j'te raconte même pas, limite je me chiais dessus. Quand le gars a ouvert la porte, c'était pire. Un espèce de grand truc, maigre, avec des cheveux noirs ébouriffés, joint à la gueule, peau jaune, air absent, complètement shooté. A sa chemise, de vieilles lunettes toutes rayées, dégueulasses. J'sais pas c'qui m'a pris. Quand je l'ai vu, j'ai failli gerber, tellement j'avais la haine. On s'est regardés. Il m'a fait "ouais, c'est moi". Puis a ri comme un taré. J'ai flippé. Alors je lui ai dit, j'ai dit "gars, je suis Wayne Milagro Parker, et tu vas crever dans ta merde" tsé genre comme dans les films, et là, sa gueule était bizarre, il m'a regardé, et au moment où j'ai tiré, j'ai entendu sa voix éraillée gueuler un "Fifty".
Terry était mort de rire. Moi pas.
Pardonnez moi mon Dieu, car j'ai péché.
Ce soir, je chiale dans mon lit comme un gosse.Dieu,
Putain, tu gères tout. Vince n'a été que blessé, tant mieux pour moi. Et pour lui. J'l'ai pas dit à Terry, j'avais trop les boules, du coup il croit que je l'ai tué, et il m'a dit qu'il était temps pour moi de prendre la relève. Il m'a filé son flingue, puis s'est cassé dans le Colorado. Et moi, genre, je me retrouve avec une bande de zouaves à gérer, des petits, des grands. Ca me plait. On casse la gueule à ceux qui nous cherchent, ceux qui nous défie. Peu à peu, on devient plus connus. On maintient notre réput. Les rumeurs tournent sur nous, sur moi, je me sens plus. Jusque à que plus personne n'ose nous défier. Je continue mon bout de chemin en temps de chef de gang, les autres sont trop fiers, et pour fêter ça on est partis bouffer du gâteau chez la mère de Vince, en mode tranquille, et les bougies voulaient pas s'allumer. Ca m'a fait chier, on poireautait dans le froid (parce que on a voulu le manger dehors) avec Dean qui galérait avec son briquet à la con. Ca me cassait les couilles. Et là, j'sais pas c'qui s'est passé, mais j'ai foutu le feu au gâteau. Enfin. Non. Ca a plutôt détruit le gâteau. Et les autres me regardaient d'un air ultra interloqué, genre monstre. Et Vince avait un grand sourire.
▬ Gars, on dirait Cyclope version noir !
▬ Vince, tu devrais sincèrement arrêter la came.
Dieu,
On m'a écrit une lettre, j'ai pas tout capté, mais c'que je sais c'est que là, aujourd'hui, je fais ma rentrée dans un bahut avec le nom du gars qui fait Rocky pour les gens comme moi. Je gueule. J'aime pas les gens. Je frappe. Quand je rentre chez moi, on cherche Terry, pour lui faire bouffer la manipulation dont on a été victimes. J'entretiens le blason du groupe. Et à Stallone, j'apprends à maitriser les rayons lasers de mes yeux. J'y arrive pas, mais bon. L'idée y est. J'en profite pour me cultiver, je lis Roméo et Juliette, des livres sur la religion, je lis vachement, mais je le dis pas, j'ai pas envie qu'on se foute de moi. Je me forge ma réput aussi. C'est top. Et je rencontre plein de meufs, avec mes potes on se fait des paris, savoir qui serrera laquelle en premier. Un jour, Prince me défie de choper une meuf, dans le genre canon, bronzée, cubaine, toujours à fumer. Genre la fille qu'on veut prendre. Je me fais rembarrer sévère, parce que elle est lesbienne. Mais moi, je me décourage pas. Je sais que j'arriverais à la faire mienne. Enfin. Peut être.
Dieu,
Finalement, pour mes 18 ans, je me casse en Irlande. Pour étudier le comportement des roux. Je me retrouve dans un pays que je connais pas, où il pleut tout le temps, ça craint. Dans un bahut au nom imprononçable.
Putain.
La cubaine est là. En Irlande. Dans le même bahut.
Oh putain Dieu. Que tu es bon. Quoi que non. C'est peut être la malchance en fait.
Fait chier. Et franchement, ton mot avec le truc comme quoi tu me traites de chaton et où tu menaces de dire mon secret, pas terrible, t'aurais pu trouver mieux, j'sais pas moi, un miracle, un truc du style, bref, t'es pas doué gars. | MEL.
AGE : 18 dans deux mois.
SEXE : Mou... Féminin.
AVATAR : Cuba, d'Hetalia.
COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ? ... FRANCHEMENT.
PENSEZ VOUS DEMANDER UN PARRAIN / UNE MARRAINE ? Alors tuvois j'hésitais à demander Vivienne mais - ok ok je sors.
AUTRE CHOSE ? DONNEZ MOI UN DON POURRI N'IMPORTE QUOI CE QUE VOUS VOULEZ JE SUIS VOTRE ESCLAVE. |
Dernière édition par Wayne M. Parker le Lun 9 Mai - 19:41, édité 10 fois |
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(lol il est nul et pardon du retard Dx)