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 Clyde A. Buckley { Every breath we take... }

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Clyde A. Buckley
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Clyde A. Buckley

Messages : 2186
Date d'inscription : 11/02/2010
Age : 31


It's a kind of magic.
Age du personnage : 17ans.
Nationalité: Irlandaise.
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Clyde A. Buckley { Every breath we take... } Vide
MessageSujet: Clyde A. Buckley { Every breath we take... }   Clyde A. Buckley { Every breath we take... } Icon_minitimeJeu 4 Mar - 18:13

« Hi. My name is Clyde. Have a bad day ! »

« I am what I am. »

Clyde A. Buckley { Every breath we take... } Dna01_sashide-1
    • Surnom : Bonnie & Clyde. Quand il est avec elle.
    • Age : 17ans.
    • Année : 6ème.
    • Année d'arrivée : 1ère année.
    • Classe : Spé. Parce qu’il est pas comme les autres. Lui, il est particulier. Jusqu’à dans sa manière de parler.


« No you girls never know. »

« You're living in a lie, don't you hide »

    Je forme les cœurs pour les détruire. Je sociabilise pour jeter. Je souris pour mieux me moquer. Je suis un connard. Mais un connard d’une classe rare. Je suis un solitaire. Mais un solitaire qui attire les autres vers lui ; parce que je le vaux bien. Je suis la pub iPod. Produit de surconsommation que tout le monde s’arrache. Et personne n’a jamais dans le même coloris. Je suis comme ça, je m’adapte gars. Ce qui est plutôt pas mal. L’adaptation, c’est la source de la survie. La théorie de l’évolution, Darwin, le truc qui dit que les types comme moi finiront par bouffer les types comme toi.

    La classe.

    Je suis pas si imbuvable en vrai, mais là, c’est la partie où on cause de moi alors je me sens bien un élan narcissique. Parce que bon Dieu, ça fait du bien à l’égo parfois. Non pas que mon égo en ai besoin. J’ai par nature une assez haute estime de moi, assez pour ne pas me laisser atteindre par des piques aussi banales que le « t’es moche » mais pas suffisamment pour paraître comme le plus grand narcissique que la terre ait porté – je laisse volontiers ce rôle à d’autre. Où es-tu Adriel ?

    Surtout que, manque de bol pour toi, j’ai aussi pas mal de répartie – et le sourire de connard qui va avec, parce que sinon c’est vraiment pas drôle. Pas que je suis intouchable. Nan y’a vraiment des trucs qui me sortent par les trous de nez. Genre quand on s’en prend à ma relation avec Aelys. Là je montre les crocs et je t’explose ta face d’ange contre le sol. Parce que Aelys, c’est ma Bonnie et qu’on ne touche pas à ma Bonnie. Jamais. Tu comprends ? Jamais. Sauf si tu as des pulsions maso, mais là, mon gars, je peux rien pourtoi. Désolé.

    Y’a aussi mon éducation qui m’a forgé un peu bizarre. Je veux dire, je fais mon inchoquable, genre ouais, je suis pas impressionné, mais parfois c’est un peu le cas (le mot clé étant ici un peu). Comment dire… Mes parents étaient branché Saint-Marie-Mère-de-Dieu-délivrez-nous-du-mal, ce genre de connerie sibyllines qui ne servent à rien dans ta vie sauf à te faire croire qu’à la fin, tu seras sauvé de l’apocalypse, tout ça et que même si t’es un loser et que t’as pas d’amis, bah gars, il te reste toujours DIEU. Woah, c’te chance. Hum, je m’égare.

    Donc, mes parents étaient branchés catho. Enfin orthodoxe. Ou protestant. Ou merde, je sais plus. Mais ils étaient pas musulmans, ça je le sais. Donc, j’ai été élevé comme tout bon gosse de catho à la con : crois en Dieu, fils, et tu seras sauvé. Les femmes sont le pêché. McDo aussi, et tant qu’on y est, ces connards de capitalistes. Certes, j’ai réussi à ouvrir les yeux avant de virer complètement extrémiste – Dieu merci, je me voyais mal homophobe, xénophobe, mcdophobe, femellophobe et toutautretrucphobe. Mais l’éducation, c’est comme le vélo, ça s’oublie pas. Alors y’a encore des trucs à la con qui me gêne même si je fais genre « ouais ouais vas-y y’a pas de problème Aelys, dézappe toi devant moi, je ne suis absolument pas prude et je ne détourne pas le regard. Je rougis ? Quoi, nan mais n’importe quoi, tu délire ma pauvre fille. »

    Bref. C’est dur de définir sa propre psychologie en soi. Je suis un être humain, j’ai mes qualités – et je ne me sens pas de les lister –, les défauts qui vont de paires – et nan, ça aussi j’ai la flemme de les lister. Mais on m’apprécie souvent, malgré le fait que moi, j’aime rarement les gens. Je fais des efforts, parce que c’est la société qui veut ça et que je veux pas passer pour un sociopathe, ce que je suis sûrement un peu au fond, mais réellement, je m’en fous de toi, et de toi, et de toi, là, au fond. Moi, y’a que mon Aelys qui compte. Le reste est de nulle importance.
« It's a kind of magic. »

« With loaded guns. »


    • Don : Copie de pouvoir.
    • En détail : Clyde peut, par simple contact tactile, copier ton don et le reproduire. C'est tout aussi passif, mais très classe et pratique.
    • Maitrise : Clyde maitrise son don correctement pour quelqu'un de son année. Il n'est pas un expert, mais sait se défendre. D'ailleurs, il a n'a même plus besoin de contact pour copier un pouvoir, il suffit de le voir pour qu'il le reproduise. Cependant, la grande faiblesse du pouvoir de Clyde se ressent à ce moment là, s'il maîtrise la phase "copie" il ne maîtrise pas du tout le pouvoir copié ! Du coup, c'est bien fun, d'avoir la possibilité de contrôler l'eau mais lui il ne sait pas. Ce qui fait que bien sûr, ses attaques foirebt toujours.
    Cela dit, au niveau de maîtrise ultime de son pouvoir, Clyde serait bien capable de contrôler de manière plutôt normale le don copié et surtout, surtout, tous les pouvoirs copié et appris, il pourrait les réutiliser à volonté sans avoir à retoucher la personne. Mais toute cette partie de son pouvoir, Clyde n'en est définitivement pas conscient et ça ne lui ait même jamais venu à l'esprit que ce serait possible un jour. Lui, pour l'instant, il sait juste copier en regardant quelqu'un faire et le réutiliser de manière maladroite. Bien loin de toute la puissance que ce pouvoir contient. Et sans doute que le jour où lui-même sera au courant de toute son entendue ainsi que le corps éducatif, on lui donnera un bracelet de protection.
    • Lui & les ELEM : Ah. Non. Pas eux. Enfin, le terme exact serait plutôt "PAS ELLE." Queen. Cette horrible petite chose qui l'aime. Pourquoi ? Plus il est loin d'eux, mieux il se porte. Il n'y a que Sixtine qui peut valoir quelque chose.
    • Lui & les SPE : Son petit clan. Ses seuls véritables amis, même si ces temps-ci, ils se sont un peu éloignés, et qu'il ne sait pas trop pourquoi. Il semblerait qu'un secret en unisse certain, un secret lourd et intenable. L'ambiance s'est bien dégradée depuis. Ça le stresse, de ne pas savoir...
    • Lui et les PHY : Ils sont plutôt sympathiques, même si en réalité, il ne s'entend bien qu'avec Twister, un de ses potes de toujours. Le reste est de nulle importance.
    • Lui et les PSY : Sûrement ceux pour lesquels il a le plus de froideur à leur égard. Il reste définitivement hermétique à ce groupe, même s'il apprécie très certainement Sully.


« Nice to meet your Mr Death. »

« Somebody came into my house. »

    On offrit pour sa première année à Clyde un baptême.
    A deux ans, on lui offrit un chapelet.
    A ses trois ans, son premier argent à donner à la quête.
    A quatre ans, de l’eau bénite.
    A cinq, une petite statuette de la vierge marie.
    A six, on lui apprit finalement la lecture avec une bible.
    A sept, on lui offrit sa première communion.
    A huit, Aelys lui tendit la main.

    Clyde n’était pas quelqu’un de méchant. C’était un petit garçon fier et gentil, toujours prêt à aider son prochain, comme le disait le très célèbre précepte de la bible. Il ne comprenait pas pourquoi il fallait à tout prix être gentil, mais il l’était. Pour voir maman sourire et pour rendre papa fier de ce fiston bien propre sur lui. C’était un gosse, pardonnez ses erreurs passées et sa naïveté, que diable ! Quand on a six ans et que Papa nous dit que Dieu existe, on y croit dur comme fer. Et puis on grandit. On va à la messe tout les matins, et on va en école privée.

    Alors non, il n’y avait absolument rien en ce monde qui pouvait permettre à Clyde, ce brave gosse, de remettre en doute l’existence d’une entité tellement supérieure. Il y croyait, à ce gars qui faisait parfois le mal pour faire le bien. Et puis aussi, bizarrement, il ne se posait pas de questions, quand c’était les méchants qui gagnaient dans la bible. Il ne comprenait pas pourquoi le roi Hérode avait commis le massacre des Innocents et s’en était tiré sans rien. Mais il l’acceptait sans poser de questions. Le pigeon croyant parfait sans jamais remettre en doute la sainte parole.

    De quoi rendre Rose-Mary et Marius vraiment fiers de leur tendre progéniture. Pas besoin de procréer plus. Avec Clyde, c’était le bonheur assuré. La parfaite descendance chrétienne. L’enfant prodigue, fils adulé, qui faisait tranquillement sa prière matin et soir et qui, du haut de son mètre vingt au sortir de l’école distribuait des tracts pour glorifier notre Père à tous. Oh oui. Rose-Mary était si fière de parler de son fils à ses tea parties entre amies. Elle le maintenait fermement par les épaules, le dos droit et lui ordonnait de sa voix de mère bienveillante de garder son plus beau et poli sourire.

    Et Clyde grandit ainsi. Dans l’insouciance des problèmes d’adulte. Dans la foi ultime. Dans les préceptes appris au cours du diner. Tout était parfait chez les Buckley, famille irlandaise dont le voisinage enviait le gazon bien tondu et les jardins aux magnifiques roses blanches. Famille propre sur soi, sans aucun péché. Mais bien sûr, comme dans tout conte, une ombre montra son nez sur le tableau parfait. Pourtant, Rose-Mary avait tout fait pour sauver son fils du péché. Absolument tout. Mais certains actes sont dérisoires face au destin.

    Clyde jouait tranquillement dans la cour de la maison. Il portait son pantalon noir et la jolie chemise blanche du dimanche. Les autres enfants avaient vite appris à ne plus s’occuper de ce gosse de riche chrétien, qui ne se mêlait en aucun des affaires des autres. En effet, Clyde suivait les préceptes de sa génitrice et ne se mêlait jamais aux autres, de peur d’être corrompu. Mais il n’était pas seul. Non, non. Il avait Dieu, pour le soutenir. Ne pas avoir d’amis ne le dérangeait pas. Les autres étaient incapables de le comprendre, voilà tout. Tout était la faute des autres.

    Toujours.

    Sauf la petite nouvelle, qui n’était au courant de rien. La petite rousse, en face, au sourire si candide et aux robes bleues innocentes. Cet ange réincarné dans un corps de gamine. Il la fixait de ses grands yeux verts, ébahi et envoutée par cette fraiche enfant. Le premier amour. Le premier tabou. On lui avait interdit de la côtoyer, alors Clyde ne lui avait jamais adressé un mot. Il se contentait d’admirer sa pureté angélique de loin, nourrissant secrètement l’espoir de pouvoir un jour lui parler… Peut-être même la toucher et être éclaboussé par cette vitalité ingénue ? Oh, comme il aimerait !

    Mais non. Il restait dans son coin, à courir après son chien qui tenait la balle avait laquelle il jouait. Jusqu’à que son ange s’approche de lui. Les mains nouées derrière le dos, le buste penché en avant, un sourire espiègle découvrant une rangée de dent bien blanches. Oh. Il restait un instant sans voix devant cette apparition céleste. Aelys était venue à lui. Aelys souhaitait s’amuser avec lui, qui n’était pourtant qu’un petit garçon banal. Et d’un seul coup, cette cascade rousse balaya tous les préceptes maternels. Il lui rendit un sourire timide et quand la douce enfant lui tendit la main, l’innocent garnement n’hésita pas une seconde à la saisir, persuadé de découvrir le paradis tant conté.

    Il y eut simplement droit à un trou noir. Au vide.

    Puis du blanc aseptisé.

    Clyde se réveilla dans un hôpital, l’esprit embrumé et sombre. Il plissa les yeux alors qu’il entendait une voix se réjouir de son réveil. Une voix qui ne lui était pas familière. Il tourna ses yeux vides vers une femme assez petite, aux jolies boucles brunes et au sourire soulagé. Qui était cette adulte qui tenait si fermement sa main ? Il retira vivement ses doigts de la main de l’inconnue avec un regard mauvais. La femme sembla s’offusquer.

    « Mon chéri, quelque chose ne va pas ? »

    Clyde fronça les sourcils. Il n’était pas son chéri. Qui était-elle ? Sa langue semblait pâteuse quand il prononça avec difficulté les mots fatals :

    « Qui êtes vous ? »

    Rose-Mary poussa un cri d’horreur alors qu’un grand homme aux cheveux coupés très courts que Clyde n’avait pas vu se précipita prendre sa femme dans ses bras. Clyde avait soudainement peur du couple. Qui étaient-ils ? Où étaient-ils ? Et surtout. Lui, il était qui ? Et dans sa confusion, quelque chose le frappa. Aelys. Il se souvenait d’elle. Il se souvenait de son sourire, de sa gentillesse et de sa robe blanche. Il se souvenait de la douceur de sa peau, lors de son premier contact. Et son prénom lui revint en tête. Clyde. Il était Clyde Buckley. Et il aimait Aelys. Alors, sa première pensée après la crainte fut « Comment elle va ? »

    Le petit garçon se releva et fixa ces inconnus, alors que Rose-Mary tendait une main tremblante vers son fils, caressant du bout des doigts sa fine mâchoire. Elle pleurait, la pauvre mère esseulée. Elle pleurait la perte de son fils si parfait, corrompu par cette fillette possédée. Tout était de la faute d’Aelys, si leur fils adoré était ainsi. Tout était de la faute de cette rouquine, si Clyde ne les reconnaissait plus. Il fallait en profiter, de cette faille dans cette mémoire, pour tout lui réapprendre, pour tout lui expliquer de nouveau. Et surtout, pour lui interdire de revoir Aelys.

    Mais Clyde ne se laissa plus faire cette fois-ci. Clyde refusait de considérer ces gens comme sa famille. Ces crétins aux esprits étroits qui l’enfermaient dans sa chambre pour ne pas qu’il soit souillé. N’importe quoi. Il n’avait rien fait pourtant. Il n’avait rien fait sauf souhaiter vivre avec Aelys une nouvelle romance, une nouvelle idylle, une nouvelle vie. Alors il refusa cette nouvelle forme d’autorité. Il rejeta Dieu et les prières du soir. Il rejeta la vie de petit garçon sage qu’il avait. A huit ans, il n’était pas trop tard pour tout recommencer.

    Sa famille devint distante, sévère, stricte et commença à le renier, ce gosse qui n’était pas le leur, mais un démon dans un corps d’ange. Alors le démon commença à faire des caprices, à rester tard le soir dans les rues pour jouer enfin avec les autres enfants. Pour profiter de sa jeunesse.

    Finalement, ses parents devinrent de complets étrangers. Finalement, il se rendit compte que seule Aelys, sa gamine, son amie, son ange, comptait. Alors, quand il entra à Aisling avec elle, il ne pouvait être plus heureux. Il ne contacta plus jamais sa famille et noya sa peine dans les bras tendre de sa douce. Le brun eut des moments de faiblesses, des moments où il lui semblait qu’avant, il était heureux de rendre son père fier. Mais il était tellement sûr de rien. Et il était tellement bien, contre cette poitrine rassurante.

    Alors il oubliait à nouveau les réminiscences de son enfance révolue pour profiter de ce nouveau mode de vie. Pour profiter des pauvres gens naïfs. Tout en se persuadant que lui n’en était pas un, tout en cachant profondément les quelques réflexes de son éducation chrétienne bien en lui. Profiter. Il lui fallait juste profiter de la vie.

    De son don d’enfoiré. D’Aisling. Et d’Aelys. Tout en nourrissant à nouveau l’espoir que secret que leur relation ne reste pas à jamais platonique.

    Même si au fond, il s’en foutait. Le prince charmant avait sauvé sa princesse. Tout irait bien tant qu’il serait avec sa Bonnie.

« Miru-Pu. »

« Bus last night was wild. »


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Dernière édition par Clyde A. Buckley le Sam 13 Mar - 13:17, édité 1 fois
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Clyde A. Buckley
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MessageSujet: Re: Clyde A. Buckley { Every breath we take... }   Clyde A. Buckley { Every breath we take... } Icon_minitimeSam 13 Mar - 12:22

Double post pour signaler que ma fiche est terminée Clyde A. Buckley { Every breath we take... } 639202
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MessageSujet: Re: Clyde A. Buckley { Every breath we take... }   Clyde A. Buckley { Every breath we take... } Icon_minitimeSam 13 Mar - 14:19

Tsss.
Bon, t'as vraiment rien compris au personnage, Clyde est pas du tout comme ca. Tu écris tellement mal que ca me fait mal aux yeux, et je n'ose même pas imaginer ce que ca va donner en RP. Un massacre, vraiment. Je vais pas te valider pour une fiche aussi désastreuse, que je n'ai vraiment pas dévoré avec des étoiles dans les yeux. Vraiment. Et je veux pas DU TOUT te séquestrer pour faire un topic avec moi. Pas du tout.

Validé, pff...
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MessageSujet: Re: Clyde A. Buckley { Every breath we take... }   Clyde A. Buckley { Every breath we take... } Icon_minitime

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